
Remerciements
Tout d’abord, je remercie M. Daniel ROYOYOY de m’avoir fait l’honneur de présider mon
jury de thèse. Je présente mes sincères remerciements à messieurs Mohamed El-Hachemi
BENBOUZIDENBOUZIDENBOUZID et Benoît ROBYNSOBYNSOBYNS pour avoir accepté d’être rapporteur de ce travail. De
même, je présente ma gratitude à messieurs Mohamed Karim FELLAHELLAHELLAH et Sami SIALAIALAIALA pour
avoir accepté de participer à mon jury de thèse.
Je tiens à remercier mes chefs, Mourad AÏTÏTÏT-AHMEDHMEDHMED et Mohamed Fouad BENKHORISENKHORISENKHORIS,
pour leur aide précieuse et leur soutien de tous les instants. Merci pour les conseils, les
discussions et l’ambiance agréable de travail. Je les remercie pour tout.
Ma reconnaissance va également à l’ensemble des enseignants chercheurs du
laboratoire : Nadia AÏTÏTÏT-AHMEDHMEDHMED, Laurence MIEGEVILLEIEGEVILLEIEGEVILLE, Mohamed MACHMOUMACHMOUMACHMOUM, El-
Hadi ZAÏMAÏMAÏM, Rémi MOREAUOREAUOREAU, Didier TRICHETRICHETRICHET, Jean-Claude LEEE CLAIRELAIRELAIRE ainsi que tous les
autres. Mes remerciements vont aussi à Christine BROHANROHANROHAN, Franck JUDICUDICUDIC, Josette LESAGEESAGEESAGE,
Corinne ROGEROGEROGER, Sylvie GAUVINAUVINAUVIN, Isabelle LECOMTEECOMTEECOMTE, Valerie LOREAUOREAUOREAU et Yann PELLOQUINELLOQUINELLOQUIN
pour leur disponibilité, leur sympathie et leur compétence.
Je souhaite exprimer toute ma reconnaissance aux thésards, et mon soutien en plus
à ceux qui n’ont pas encore soutenu.
Merci au «vieux »thésards : Lamya (mon maître Jedi), son mari Medhi, Vinciane,
Matthieu, Brahim, Mohamed et Christophe. Un merci tout particulier à Jérôme
DELANOËELANOËELANOË, mon pote de galère, qui m’a appris à remplacer les anxiolytiques par l’alcool,
ce qui est bien plus convivial. Ensemble, nous avons repoussé des hordes d’extraterrestres
belliqueux et avons conquis le monde à maintes reprises. Ces petits plaisirs simples,
associés à une nourriture saine (bière/pizza) et une activité sportive régulière (le plus
souvent à la télé ou devant l’ordinateur) m’ont permis de surmonter les différentes
crises inévitables de la thèse : un programme qui plante, une manipulation qui brûle