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THESE
Contrôle de l’auto-organisation de la lumière dans un
système photoréfractif à rétro-action optique
Nicolas MARSAL
Supélec &Laboratoire MOPS, Matériaux Optiques Photoniques et
Systèmes
Présentée dans le cadre de l’école doctorale EMMA pour l’obtention du grade
de Docteur en Physique de l’Université Paul Verlaine de Metz (France)
Soutenance prévue le 21 octobre 2010 devant le jury composé de :
M. Taki, Université de Lille Rapporteur
S. Odoulov, Académie Nationale des Sciences de Kiev Rapporteur
A. Yacomotti, Université de Paris XI Examinateur
A. Arie, Université de Tel Aviv Examinateur
D. Wolfersberger, École d’ingénieurs Supélec et Université de Metz Co-Directeur
M. Sciamanna, École d’ingénieurs Supélec et Université de Metz Co-Directeur
G. Montemezzani, Université de Metz Co-Directeur

Remerciements
Cette thèse, financée par une bourse du ministère, s’est effectuée au sein
du laboratoire MOPS (Matériaux Optiques Photoniques et Systèmes), unité
de recherche commune entre Supélec et l’Université Paul Verlaine de Metz.
Mes directeurs de thèse sont les Professeurs Delphine Wolfersberger, Germano
Montemezzani et Marc Sciamanna. Une thèse étant le fruit du travail de toute
une équipe, je tiens donc à remercier en premier lieu mes encadrants qui ont
contribué au bon déroulement de celle-ci. Ils ont su m’aiguiller dans les décisions
à prendre, et leurs compétences scientifiques m’ont permis d’appréhender une
problématique qui au départ était pour le moins ambitieuse.
Une partie de cette thèse s’est déroulée au centre de Physique non-linéaire
de l’Australian National University (ANU) située à Canberra. En effet, nous
avons établi un Partenariat Hubert Curien de coopération Franco-Australienne
pour la Science et la Technologie (programme FAST) entre nos deux Universi-
tés. Ainsi, je remercie le Professeur Dragomir Neshev qui a supervisé le projet
coté Australie et avec qui nous avons échangé et publié quelques uns de nos
résultats. Sa clairvoyance et ses connaissances y sont pour beaucoup dans ce
travail.
Que ce soit d’un point de vue scientifique ou relationnel, travailler avec ces
chercheurs fut une expérience unique et extrêmement enrichissante.
Je n’oublie pas l’école d’ingénieurs Supélec (plus particulièrement Joel Jac-
quet, délégué à la recherche et aux relations industrielles sur le campus de
Metz) et le conseil Régional de Lorraine qui ont financé une partie des re-
cherches, non seulement d’un point de vue matériel mais également dans les
nombreux déplacements en conférences que j’ai pu réaliser tout au long de ma