CONFEDERATION GENERALE DU TRAVAIL
REVUE DE PRESSE
Semaine 28 du 06 au 11 – 07 - 2015
PATRONAT
"La priorité est de renforcer la zone euro, avec ou sans la Grèce" déclare Pierre
Gattaz (Medef) le 07 juillet 2015
Pierre Gattaz, président du Medef, appelle l’Europe à trouver rapidement une solution sur la Grèce,
pour ne pas déstabiliser la timide reprise engagée en France et en Europe.
Les patrons français s’inquiètent plus de leur compétitivité, de la stabilité du pacte de responsabilité et de la
réforme du marché du travail, que de la crise grecque, estime Pierre Gattaz, président du Medef, mardi 7
juillet. "La Grèce rajoute une touche d’instabilité globale, est anxiogène, mais ce ne sera pas aussi grave que
(la faillite de) Lehman Brothers, qui a été inattendue et longue à comprendre, alors qu’en Grèce le problème
est connu et prévisible."
Certes, a-t-il reconnu lors de sa conférence de presse mensuelle, " les entreprises françaises ont des
échanges avec les entreprises grecques, des intérêts là-bas, et nous souhaitons idéalement que la Grèce
reste dans la zone euro, mais la priorité est de renforcer et protéger la zone euro, avec ou sans la Grèce. Et
là, le débat devient politique." Il préfère rester sur le plan économique et ne donnera pas son avis sur les
possibles pistes pour résoudre la crise, mais appelle les gouvernements à trouver une solution rapide.
"J’attends des politiques qu’ils règlent le problème le plus tôt possible ; plus tôt ce sera, meilleur ce sera pour
que la croissance reparte doucement."
Le Medef dans la caravane du Tour de France
Le Medef a investi 600.000 euros pour intégrer la caravane du Tour de France
Deux voitures du Medef suivront le Tour de France cycliste tout l’été, pour faire la promotion des
initiatives locales en faveur de l’emploi par un spot télévisé, attirer l’attention sur les métiers en tension dans la région
1
traversée, accueillir les centres de formation d’apprentis (CFA) et afficher les places disponibles pour des formations par
l’alternance. Une initiative qui s’inscrit dans le programme "Un million d’emplois c’est possible" de l’organisation patronale.
"Le Medef est force de proposition, force de débats, et il s’engage dans le concret pour participer à la baisse du
chômage", s’est félicité Pierre Gattaz, président
"L’ACCORD D’ENTREPRISE DOIT PRÉVALOIR SUR LE RESTE"
Le président du Medef espère que la rentrée sociale permettra d’avancer sur la simplification du code du
travail et la nouvelle place, prépondérante, qui doit être faite à l’accord d’entreprise. La commission
Combrexelle, sur les accords collectifs, rendra ses préconisations en septembre, et une mini conférence
sociale sur ce sujet est prévue dans la première quinzaine d’octobre.
"Nous sommes dans un monde en mutation, c’est au chef d’entreprise, avec ses salariés, de s’adapter, en
négociant directement, au sein de l’entreprise, et non pas en suivant quelque chose d’imposé par une loi
générale. L’accord d’entreprise doit prévaloir sur le reste". Quitte à passer à 32 heures par semaine si c’est ce
qui convient à l’entreprise, "mais payées 32, pas 35 ni 39 ! ». Et sans déclencher le paiement d’heures
supplémentaires si le plafond est dépassé. Il se dit ravi que "de grandes personnalités, de gauche, comme
MM. Badinter et Lyon-Caen, aient relancé le débat" sur la simplification du code du travail, et voit même un
consensus droite-gauche sur cette question. Peut-être va-t-il un peu vite en besogne, tant l’opposition des
syndicats et d’une partie des juristes est-il fort sur ce sujet. Mais il dominera l’actualité sociale de la fin du
quinquennat, accompagné de la réflexion sur le compte personnel d’activité, supposé rassurer les salariés.
Pierre Gattaz craint une «balkanisation du dialogue social» LE 07/07 LES ÉCHOS
Le président du Medef, qui a tenu sa conférence de presse mensuelle ce mardi, ne décolère pas
contre la réforme de la représentativité patronale.
Le président du Medef n’a toujours pas digéré le rejet par les sénateurs de l’amendement du gouvernement
modifiant les règles de la représentativité patronale. Pour mémoire, le ministre du Travail a déposé en catimini
la semaine dernière, au moment de l’examen de la loi sur le dialogue social au Sénat, un amendement qui
introduisait une nouvelle mesure de l’audience pour apprécier le poids de différentes organisations patronales
dans le cadre de la réforme de la représentativité. Le nombre de salariés, et non le nombre d’adhérents,
devenait le critère unique pour mesurer tous les niveaux de représentativité (capacité à signer un accord
interprofessionnel, nombre de mandats dans les commissions paritaires et partage des financements). Les
sénateurs ont rejeté l’amendement, à la grande satisfaction des deux autres organisations patronales, l’UPA
et la CGPME.
Une «aberration»
«Il faut une pondération par le nombre de salariés, c’est essentiel. Sinon, il y a un risque de balkanisation du
dialogue social qui nous fait froid dans le dos, a lancé Pierre Gattaz ce mardi lors de sa conférence de presse
mensuelle. Ce serait une dérive incroyable, une aberration car les tout-petits vont avoir un poids incroyable»,
a-t-il poursuivi. En effet, en comptant le nombre d’adhérents, au lieu du nombre de salariés (qui reste toutefois
le critère retenu pour la signature des accords interprofessionnels), le poids relatif du Medef risque d’être
franchement diminué par rapport à ce qu’il est aujourd’hui. Dans les commissions paritaires, le Medef est
actuellement partout majoritaire. Une situation qui ne devrait pas perdurer après la réforme de la
représentativité en l’état. On comprend donc l’émoi de la première organisation patronale qui risque fort de
perdre sa prééminence.
Texte flou
Mais le Medef se réveille un peu tard. Le premier accord signé entre les organisations patronales date de juin
2013 (voir document ci-dessous). Il ne précise nullement que le nombre de salariés doit être le critère retenu.
Le document patronal indique seulement que «la mesure de l’audience de l’organisation à partir des
adhésions sera appréciée en fonction d’une pondération du poids des entreprises adhérentes». Le texte est
donc suffisamment flou pour que tout le monde puisse y voir ce qui l’arrange. Et le Medef a cru pendant ces
deux dernières années qu’il parviendrait sans trop de mal à faire pencher la balance dans son camp.
Pour l’heure, la situation n’est pas à son avantage. «J’espère que la raison fera que cet amendement sera à
nouveau déposé aujourd’hui», a réclamé Pierre Gattaz. Le projet de loi sur le dialogue social revient en effet
ce mardi après-midi à l’Assemblée. Mais le gouvernement ayant échoué à le faire voter au Sénat, il y a fort à
parier qu’il ne se risquera pas proposer à nouveau aux députés un amendement si ouvertement favorable au
Medef.
2
Représentativité patronale: l’impossible réforme LE 09/07 AFP
Les organisations patronales doivent trouver un compromis d’ici à novembre.
La réforme de la représentativité patronale commence à ressembler à une véritable saga. Le dernier
rebondissement en date remonte à ce mercredi. Les députés ont voté en séance, lors de l’examen de la loi
sur le dialogue social, un amendement du gouvernement qui ouvre une nouvelle phase de concertation entre
les organisations patronales pour savoir sur quels critères doivent se répartir les fonds paritaires qui financent
chacune d’entre elles.
Comme quoi l’exécutif, après s’être fait retoquer une première fois la semaine dernière au Sénat , est tout de
même revenu à la charge cette semaine. L’amendement voté est toutefois de moindre portée que le
précédent, qui prévoyait de partir du nombre des salariés employés par les entreprises adhérentes au Medef,
à la CGPME et à l’UPA pour fixer le nombre de sièges revenant à chaque organisation dans les instances
paritaires (Copanev, Coparev, Agirc-Arrco…). Ce critère aurait aussi servi à répartir les financements.
Le Medef pourrait perdre entre 2 et 3 millions d’euros
L’amendement voté ce mercredi ne concerne que le volet financement et la gouvernance du fonds paritaire.
Et il laisse aux organisations patronales le soin de s’entendre dans les six mois. En somme, le gouvernement
se donne du temps, car il a été incapable de trancher entre la CGPME et l’UPA, qui tiennent à un décompte
du nombre d’adhérents pour déterminer le poids des organisations, et le Medef, qui veut se fonder sur le
nombre de salariés, un critère qui lui est beaucoup plus favorable.
Si la répartition des fonds paritaires se faisait réellement sur le nombre d’adhérents, le Medef pourrait perdre
entre 2 et 3 millions d’euros, selon des estimations internes. D’où l’importance du sujet pour l’institution de
l’avenue Bosquet, qui revendique depuis longtemps quelque 750.000 adhérents, sans qu’aucune vérification
ne soit possible.
Difficile compromis
Le président de la CGPME, François Asselin, est monté au créneau jeudi dans «Liaisons sociales», pour dire
tout le mal qu’il pensait de ce nouveau revirement: «Le problème, c’est que le Medef ne connaît pas le verbe
“partager”.» Même tonalité à l’UPA, où l’on se dit «affligé que, après deux ans de discussion, on se rende
compte que ça ne convient pas à tout le monde».
Le compromis, attendu pour novembre au plus tard, sera compliqué à trouver. D’autant que la position arrêtée dans la loi
sur la formation professionnelle de mars 2014 (qui posait les bases de la réforme de la représentativité patronale) et dans
le récent décret de juin 2015, était déjà le fruit d’un précédent compromis. Bien fragile à l’évidence
,
GOUVERNEMENT
EMPLOI
Quelque 50 000 postes de fonctionnaires non pourvus fin 2014 Le Monde.fr avec AFP | 05.07.2015
Quelque 50 000 postes de fonctionnaires sont restés non pourvus à la fin 2014, un volume stable par rapport
à 2012 ou 2013, a indiqué dimanche 5 juillet la rapporteure du budget à l’Assemblée, Valérie Rabault,
confirmant une information du Journal du dimanche.
Dans le cadre du projet de règlement du budget 2014, qui sera débattu lundi à l’Assemblée nationale, la
rapporteure générale a souhaité « faire un focus afin de savoir si les plafonds votés – pour les ministères
prioritaires, comme l'éducation nationale – avaient été atteints ». « La réponse est que, sur la fonction
publique d’Etat [2,5 millions d'agents], il y a 50 000 emplois [soit 2 % de l'ensemble] qui, par rapport aux
plafonds, ne sont pas atteints », explique la députée socialiste.
« Mais ce n'est pas nouveau », insiste Valérie Rabault, qui rappelle que, fin 2012 et fin 2013, quelque 47 000
postes de fonctionnaires n’avaient pas trouvé preneur. Selon le JDD, à la fin de l’année dernière, il manquait
3
ainsi 13 300 enseignants, 5 000 militaires et 4 300 policiers par rapport aux effectifs inscrits dans la loi de
finances et votés par le Parlement. L’hebdomadaire estime que 228 millions d’euros ont ainsi été économisés
du fait de ce non respect des objectifs.
Les ministères prioritaires renforcés
Valérie Rabault juge toutefois « extrêmement positif » que les effectifs des ministères dits prioritaires
(éducation nationale, justice, gendarmerie, police) « aient été effectivement renforcés ». « Sur la justice, il y
avait un écart de 1 700 postes fin 2013 entre les plafonds votés [et les embauches], fin 2014 il n'était plus que
de 1 400 », relève-t-elle.
Aux yeux de la députée, « cela montre que les décisions prises par le gouvernement ont été suivies d'effet.
Evidemment, il y a toujours un temps de latence, à partir du moment où vous décidez d'embaucher, cela ne
veut pas dire que la personne va arriver demain. »
La rapporteure du budget se penchera en septembre sur les causes de ce phénomène. Parmi ces dernières :
un manque de candidats. « On l’a vu dans le secteur de l’éducation nationale, il y a des postes qui ont été
mis aux concours et qui n'ont pas été pourvus », dit-elle. Dans son programme présidentiel, François
Hollande s'était notamment engagé à créer 60 000 postes dans l’éducation nationale d’ici à 2017
L'emploi des cadres repasse nettement dans le vert le 10/07/2015 Le Fig. Eco.
D'après les prévisions de l'Apec, les entreprises envisagent de recruter près de 180.000 cols blancs cette
année. Et 200.000 en 2016.
Depuis le début de l'année, le marché de l'emploi des cadres multiplie les signaux de reprise. Davantage
d'offres de postes publiés, mais aussi de recrutements. Résultat, l'Association pour l'emploi des cadres (Apec)
se veut plus optimiste: le nombre d'embauches de cols blancs devrait progresser cette année de 4 %. Soit, en
volume, quelque 177.000 recrutements. Dans ses premières prévisions dévoilées en février, l'Apec tablait sur
une fourchette d'embauches comprise entre 162.000 et 186.000 cadres. «Une fourchette large qui traduisait à
l'époque l'incertitude dans laquelle se trouvaient les entreprises», explique Jean-Marie Marx, le directeur
général de l'Apec. Les mois ont passé et des signaux de reprise se sont manifestés dans le ciel économique
français. À commencer par la croissance, en progression de 0,6 % au premier trimestre, avec une prévision
de l'Insee de 1,2 % sur l'ensemble de l'année et de 1,5 % en 2016.
Si la reprise se confirme, l'emploi des cadres pourrait renouer avec ses niveaux d'avant-crise et tutoyer la
barre des 200.000 recrutements, atteinte en 2006, puis la dépasser en 2017, avec une prévision de 214.000
recrutements. À ce niveau, le record de 208 000 en 2007 serait alors dépassé…
Jean-Marie Marx se félicite de «ce retour progressif au dynamisme» en attendant cette perspective. «Nous
assistons à la seconde année de reprise de l'emploi cadre», rappelle-t-il. Avec des créations nettes d'emplois
à la clé, qui sont pour l'heure toutefois inestimables. En 2014, alors que le secteur marchand détruisait encore
18.400 postes, l'emploi des cadres affichait 26 000 créations nettes d'emplois. «Nous devrions faire mieux
cette année, sachant que l'Insee table sur la création de 114.000 postes, dont 41.000 dans l'emploi salarié
marchand», assure Jean-Marie Marx.
Seniors et jeunes à la peine
Les secteurs qui tirent l'emploi cadre sont bien connus et confirment une fois de plus leur solidité. En tête
toutes catégories, l'informatique devrait générer cette année quelque 35.000 embauches, suivie du pôle
juridique-comptabilité et conseil aux entreprises (16.500 recrutements). La banque-assurance devrait rester
également porteuse, avec 12.000 embauches. Au total, «deux tiers des recrutements de cadres seront
concentrés sur les services», indique Pierre Lamblin, directeur du département études et recherche de l'Apec.
Quant aux fonctions les plus convoitées, là encore, la stabilité domine avec un tiercé gagnant - commercial,
études/recherche et informatique - qui capte plus de 60 % des offres.
«Ces perspectives en amélioration ne changent toutefois rien à la structure du marché de l'emploi cadre»,
prévient Jean-Marie Marx. Et c'est là que le bât blesse, même si le chômage des cadres ne dépasse pas
4,5 %, soit 360.000 personnes. L'essentiel de la demande des recruteurs reste en effet concentré sur des
profils ayant entre un et dix ans d'expérience. Exit donc les embauches de jeunes diplômés et a fortiori de
seniors.
Ces derniers représentent pourtant 48 % des cadres au chômage. Quant aux jeunes diplômés, ils éprouvent
toujours autant de mal à décrocher un premier emploi. Selon la dernière enquête de l'Apec, un tiers
4
seulement étaient en CDI en 2014 un an après la sortie des cursus et autant de niveau Master pointaient à
Pôle emploi. «Il y a peu de chances que ces chiffres soient révisés à la baisse», prévient le directeur général
de l'Apec. Selon ses calculs, les recrutements de jeunes diplômés devraient osciller entre 35.000 et 36.000
cette année. «Il manque toujours entre 12.000 et 15.000 recrutements de jeunes diplômés pour retrouver les
niveaux d'avant-crise», complète Pierre Lamblin
INTERNATIONAL
Chine : Vers l'éclatement de la bulle boursière chinoise ? 10.07.2015) CI
En procédant à des interventions publiques, les autorités chinoises sont pour l'instant parvenues à enrayer
l'effondrement massif des cours des bourses de Shanghai et de Shenzhen. Le quotidien libéral Savon
Sanomat détaille l'ampleur du désastre que connaissent les marchés d'actions chinois : "La bulle s'explique
entre autres par le fait que de nombreuses entreprises se sont servies de leurs propres actions pour garantir
des crédits bancaires et réinvestir l'argent emprunté sur le marché des actions. La crise s'amplifiera quand les
banques voudront annuler ces garanties. D'après l'établissement financier HSBC, 15 pour cent du patrimoine
des Chinois est constitué d'actions. En cas de perte de valeur, ceci entraînera inévitablement une baisse de la
consommation. La forte perte de confiance des consommateurs se double d'un ralentissement de la
croissance économique, ce qui atteste la gravité de la situation."
EUROPE
UE : La Commission abandonne la directive congé maternité EurActiv.com 06 juil. 2015
Les eurodéputés sont furieux de la décision prise par la Commission européenne le 1er juillet d'abandonner
les lois prévoyant d'étendre le congé maternité à 18 semaines, et réclament un nouveau texte.
La Commission européenne a annoncé l’abandon de sa proposition de directive sur le congé maternité. Dans
un communiqué du 1 er
juillet, l’exécutif européen affirme « avoir déployé d’importants efforts […] pour parvenir
à un accord » en vain, et avoir « décidé de retirer sa proposition au vu du manque de progrès réalisés par les
colégislateurs.
Une annonce qui a fortement déplu au Parlement, qui a appelé à la sauvegarde de la directive congé
maternité malgré les sept ans de blocage des pourparlers entre la Commission et le Conseil.
Désaccord avec le Conseil
« La décision de retirer cette directive est scandaleuse et représente un énorme contrecoup pour les droits
des femmes et l'égalité des genres dans l'UE », a déclaré l'eurodéputée portugaise, Inês Zuber (GUE/GVN),
rapporteure fictive de la directive.
Pour l'eurodéputée britannique Catherine Bearder, coordinatrice ALDE de la commission parlementaire sur
les femmes et l'égalité des genres, « la Commission doit immédiatement soumettre une nouvelle proposition
de loi ». « Le Parlement est prêt à coopérer et à trouver un accord, mais nous ne laisserons pas le Conseil se
défiler ainsi », a-t-elle affirmé.
Le mois dernier déjà, le président de la Commission européenne, Frans Timmermans, avait envoyé une lettre
au président du Parlement, Martin Schulz, pour lui signaler que la loi serait jetée aux oubliettes, pour cause
de divergence avec le Conseil
Grande-Bretagne : la traque de l’esclavage moderne dans la chaine
d’approvisionnement sur le point de commencer 06 juillet 2015 Planet Labor
A la rentrée, les grandes entreprises britanniques, ainsi que les filiales britanniques de multinationales
étrangères, vont devoir établir pour la première fois des rapports annuels précisant ce qu’elles font pour lutter
contre l’esclavage moderne, le travail forcé ou le trafic d’êtres humains dans leur chaine d’approvisionnement.
Et : Annonce surprise de la création d’un salaire minimum vital 08 juillet 2015
5
1 / 12 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !