Considération théorétiques sur la concurrence et le pluralisme
Les unes de premières considérations concernant les influences que la concentration
économique peut avoir sur le contenu appartient à l’Ecole d’Westminster. Avec
précurseurs comme Knight et Porter (1962), Garnham fait, en1992, de remarques
à
l’egard des effets de l’intégration verticale de l’industrie du film en ce qui concerne le
contenu. Garnham notait que les minorités ont été exclues du contenu des film de plus
que l’intégration verticale s’est accélérée (Calabrese, 2004, p. 23). Ces observations ont
été approfondies par McConnel, qui introduisait le concept de „concurrence imparfaite”,
les effects négatives deviennent visible quand un numéro limité de sociétés bloquent
l’accès des nouveaux acteurs commerciaux au marché. McConnel souligne que les
médias sont présentes dans un marché avec peu d’acteurs. Les coûts grands nécessaires
pour lancer une publication ou une station de télévision, aussi que les marges petites de
profitabilité fait que le caract
è
re oligopolistique du marché (McConnel, 1996, p. 524) se
maintient. Un argument de plus, l’expansion de l’Internet mérite d’être analysé
séparément
Les marchés est-européennes sont devenues, vers la fin des années 1990, subordonnés
aux intérêts différents, spécialement politiques et commerciales (Gross, 2003, p. 176).
Les préoccupations sur la concurrence et le marché unique sont differentes que ceux
concernant le pluralisme, le but pour harmoniser les restrictions sur la propriété sont
naturellement divergentes (Iosifides, apud G. Doyle, Journal of Information, Law and
Technology (3), 1997). Protéger le pluralisme est équivalent à introduire des restrictions,
pendant que la libre compétition, sans frontières, peut tourner contre l’idée de pluralisme
„certaines fusions qui ne menace pas la libre concurrence peuvent être une menace a
l’addresse du pluralisme. La perspective d’harmonisation de la politique européenne de
propriété des médias est difficile à cause de l’impossibilité de réconcilier les deux
objectives: le pluralisme et la libre concurrence” (G. Doyle, 1997).
Concernant les effets positives ou négatives de la concentration, il y a des chercheurs qui
soulignent les effets positives, comme Robert McChesney, qui considère que les
synergies crées au cadre des conglomérâtes conduisent à une meilleure stabilité
financière et, conséquemment, ont un contenu meilleure. Elstein considère que „l’Union
Européenne et les organismes nationales de réglementation sont moins intéressées aux
champions nationaux que les politiciens ont la tendance de le faire. Les monopolies de
n’importe quelle nationalité sont suspects. Mais l’intervention sur le marché au nom de
concurrence libre a souvent des effets contre-productive” (Elstein, 2002, p.7, en-ligne).
D’autre part, des opposants comme Benjamin Compaine, Noam Chomsky, Ben
Bagdikian, considèrent que l’offre sera plus pauvre quand un numéro limité de
conglomérâtes sont présents au marché, l’oligopole est anti-démocratique, générant
sphères d’influence et corruption. Le marché américaine de média, dominé par cinq
conglomérâtes, Time Warner, en 2003 le plus large du monde, The Walt Disney
Company, Murdoch’s News Corporation Viacom et le groupe allemagne Bertelsmann,
n’assure pas l’access a un offre diverse (Bagdikian, 2004, p.3). Le courant d’opposition a
charactérisé les chercheurs de l’école de Francfort, qui ont considéré que la culture de