Psychopathologie de l’enfant.
La théorie freudienne du développement de la personnalité.
Partie 2 : Développement de l’enfant de trois à six ans. Cours
5.
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c) infantiles.
Elles émergent des fanta
lations, il élabore des théories, il ne reçoit pas ou n’est pas capable d’intégrer des réponses satisfaisantes, il
L’enfant essaye d
ique et prégénital du stade
A ce stade le
symbolique, le fa session signifie la puissance. L’enfant est encore dans le registre
arcissique et pas idinal objectal, il devient capable de différenciation sexuel mais
ar
tôt
r la revendication narcissique du phallus à travers la revendication du
L’angoisse corrélée à cette période est liée à la construction du moi idéal, à une blessure d’ordre
en existe 2
llique.
o-centré où l’organe, le pénis est apte
à procurer du plaisir à soi et aux autres.
Définition : Expression utilisée onstat de l’absence de pénis
chez la fille qui entraîne chez l r
angoisse consciente et préconscient nce mais elle part tout de même
as
En a l possède le phallus. Il angoisse parce que certaines ne l’ont pas, il surinvesti
nstrument de la satisfaction sexuelle et en tant que symbole de la valorisation
cissique de soi. C’est le résultat de ce narcissisme extrême qui engendre la crainte de perte. Il y a différentes
mais à une mutilation des parents
Les théories sexuelles
smes de la scène primitive (fantasme originaire). Parce que l’enfant est exclu des
re
interprète à sa manière et en fonction de son propre vécu libidinal.
o Théorie infantile de la fécondation orale : C’est en s’embrassant qu’on fait les bébés ou en
ingérant des aliments magique.
o Théorie par l’ombilic.
’accéder à une compréhension.
3) L’aspect narciss
phallique.
pénis n’est qu’un organe de puissance, de complétude, c’est un phallus, il souligne une fonction
ntasme selon lequel la pos
encore dans le registre libn
seulement au niveau d’une réalité anatomique extérieure faussement interprété c’est-à-dire présence/absence
d’un seul terme. Les deux parents sont vécus en fonction de leur puissance ou de leur faiblesse déterminées p
la possession ou la privation du pénis.
On qualifie souvent le stade phallique de stade de la découverte des sexes c’est contestable, Bergeret parle plu
de stade de déni de la différence, les garçons nient la castration narcissique par la négation du sexe féminin. Les
filles nient tout autant cette castration pa
pénis.
On parle aussi de primauté du génital, il faudrait plutôt dire primauté du pénis, du phallus car cette idée de
primat du génital implique la différenciation des sexes qui, on l’a vu, n’est pas encore maitrisée par l’enfant de
cet âge.
narcissique plutôt qu’une angoisse de castration.
4) L’angoisse de castration.
Il
/ L’angoisse prégénitale, narcissique, pha
/ L’angoisse génitale, oedipienne, object
pour désigner la réaction affective qui fait suite au c
e ga çon la peur de la perdre et chez la fille le désir de l’acquérir. C’est une
e à la fois : L’enfant perçoit vraiment l’abse
d’une interprétation fausse de la réalité à laquelle aucun enfant n’échappe. Les adultes n’ont pas besoin
d’intervenir pour provoquer cette angoisse. Freud pensait que l’enfant doit apprendre à s’en défendre et non p
à fuit, il doit se construire autour d’elle.
On distingue deux types de réponses :
a) Le garçon.
pparence tout va bien puisqu’i
énis libidinalement en tant qu’ile p
nar
attitudes face à cette crainte :
8 L’enfant essaie de nier la réalité, de dénier la différence.
8 Il cherche à se rassurer à travers un souhait de réparation magique, ce qui n’élimine pas
l’angoisse.
8 Il n’attribue pas ce manque à une disposition fondamentale
en punition à des plaisirs coupables.
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