Stage pédiatrie et méthode Kousmine

Stage pédiatrie et méthode Kousmine : (Par le Dr Suzanne Preney) La santé avec la dynamique Kousmine : (Extrait du site internet www.kousmine.fr) Le Dr Catherine Kousmine est née en Russie en 1904 et décédée à Lausanne en 1992.
En 1928, Catherine KOUSMINE obtient son
Doctorat en Médecine, avec la distinction "Lauréate de la
Faculté de Lausanne". Elle choisit alors une spécialité - la
Pédiatrie
Dans les années 40, le taux des cancéreux
augmentant tellement, qu’elle se dit qu’il serait peutêtre utile de chercher des explications différentes de
celles de la Faculté. Pour cela, elle lit tout ce qui a été
écrit sur le sujet, et constate que rien n’est clair. Elle
décide alors de vérifier ce qui a été publié et commence ses propres recherches.
A l’institut Curie, les souris sont nourries à partir d’aliments en comprimés. Par souci
d’économie, le Dr KOUSMINE, elle, fait le tour des commerçants pour ramasser pain,
légumes, fruits… Les souris reçoivent ainsi un jour sur deux une nourriture en comprimés, et
un jour sur deux des aliments naturels. Le taux des cancers chute de 50 %.
Les malades arrivent d’un peu partout. Le Dr KOUSMINE met en place son
traitement.
- Désintoxication du foie grâce au nettoyage de l’intestin.
- Alimentation saine.
- Rééquilibrage du pH.
- Apport de vitamines pour soutenir l’organisme.
En 1980, paraît : "Soyez bien dans votre assiette…".
Comme elle se refuse à s’enfermer dans son savoir, elle cherche dans tout ce qui
est publié ce qui peut s’ajouter à son traitement : la théorie de Linus PAULING et ses
doses massives de vitamine C, les recherches sur les oligo-éléments. Ses élèves lui
feront découvrir l'’huile d’onagre, l'hydrothérapie du côlon, la spiruline... qu'’elle
préconisera.
Le travail du Dr Catherine KOUSMINE se poursuit actuellement grâce à ses élèves.
Ceux-ci ont créé, en 1985, une Association qui regroupe les médecins formés à cette
Méthode, et les personnes sensibilisées par cette approche, ainsi que les malades. Dans
le cadre de cette Association, sont organisés des stages de formation pour médecins et
des stages pratiques pour tous, au cours desquels on peut prendre connaissance
rapidement des différents points préconisés, et aussi se mettre facilement à cuisiner
sainement et vivant.
Depuis juin 2001, cette Association médicale a évolué vers une Association
d’usagers de la méthode.
La dynamique Kousmine : Il y a 5 piliers : ‐
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Une bonne alimentation saine. Une hygiène du tube digestif. Maintien de l’équilibre acido‐basique (en complément d’une marche d’une heure par jour). Utilisation de complément alimentaire. Immunomodulation : est une désensibilisation aux différents germes qui ont laissé une trace pathogène dans l’organisme. Alimentation Kousmine : Une cuisine du marché : ▪ produits de qualités, complet, frais ▪ En accord avec la nature ▪ Dans l’esprit de la gastronomie pour toutes les bourses Une journée Kousmine : « Un petit déjeuner de roi, un déjeuner de prince, un diner de pauvre. » La crème Budwig : ‐ 4 c. à c. de fromage blanc maigre ‐ 2 c. à c. d’huile 1re pression à froid riche en ω3 ‐ jus d’1 /2 citron ‐ 2 c. à c. de céréales complètes et crue : orge mondé, avoine, riz complet, millet, quinoa… ‐ 1 c. à c. d’oléagineux : lin, sésame, noix, noisette, amande, pignon de pain… ‐ sucrant : banane, sucre complet, miel, fruits frais de saison… RQ : Si il y a une intolérance au gluten : ‐ céréales sans gluten (fonio, quinoa, teff…) ‐ pour remplacer le fromage blanc : 1 c. à c. de purée d’amande + fruits + un peu d’eau dans le blender. Repas Kousmine : ‐ Une crudité (vit, anti oxydant, enz, ac gras essentiel). ‐ Un à pls légumes cuits à la vapeur. ‐ Une protéine animale ou végétale (une seule protéine animale par repas !!). ‐ Eventuellement un dessert. Les crudités vont éviter l’hyper leucocytose post prandiale. Les protéines animales doivent être associées à des pommes de terre plutôt que des céréales (effet désacidifiant). Le repas du soir doit idéalement être pris tôt et allégé… Les fruits doivent être consommés avant ou en dehors des repas. Il est préférable de ne pas chauffer les huiles car la chaleur les dénature et transforme de cis‐
cis en cis‐trans ce qui n’est pas reconnu pas l’organisme. Les huiles riche en ω3 sont (du + au ‐) : lin, chanvre, noix, colza, germe de blé. Il est préconisé l’huile de chanvre pour lutter contre l’eczéma. Concernant les poissons : il est préférable de manger les petits plutôt que les gros. Concernant les laitages : Max 1 par jour !!! De plus le lait est à bannir à partir de 4 ans car il n’y plus de lactase pour la digestion du lactose. Le beurre cru est à consommer modérément car il est riche en acide gras saturé. Les huiles sont à conservée au réfrigérateur sauf pour olive, sésame et noisette. Si il y a une allergie au lactose on peut consommer yaourt et fromage car la présure à jouer le rôle des lactases (mais si allergie aux prot. du lait rien !!). RQ : certains enfants peuvent faire des eczémas quand les parents qui allaitent consomment beaucoup de laitage. Femme enceinte et alimentation : Il ne faut pas manger pour 2 comme on peut l’entendre mais s’efforcer de manger mieux ! Pour la nidation il faut un apport de vit E et d’acide gras poly insaturé (AGPI). Fer : Le fer animal est mieux absorbé que le fer végétal. Les aliments riches en vit C favorisent son absorption. Mieux vaut assaisonner les crudités avec du citron plutôt que du vinaigre. Certains produits nuisent à son absorption : thé, café, vin bière. Eviter aussi les produits laitiers pris au même repas car le Ca++ rentre en compétition avec le Fer. Trucs pour + de Fer : ‐ Fruits secs (surtout figues) ‐ Saupoudrer crudités, yaourts avec noix hachés, cannelle… ‐ Utiliser thym, lentilles ‐ Remplacer confiture par purée de figue ‐ Ne pas négliger les champignons riches en fer Calcium : Besoin = 1200 mg/j Sont apportés par : légumes, oléagineux, fruits, laitages… La vit D est indispensable à son absorption (huile de poisson, syth. par la peau au soleil). L’activité phys. favorise sa fixation (idéal : 1h marche / j) En hiver on peut envisager un apport de vit D (huile de foie de morue). Nuit à l’absorption : trop de prot animales, trop de laitages, café, alcool, tabac, sucre blanc… Trucs pour + de calcium : ‐ Figues sèches en compote ‐ Amandes, graines de tournesol, germe de blé ‐ Brocolis ‐ Légumineuses cuites germées ‐ Soja, tofu Vit B9 : Foie, légumes, salade verte, fromages fermentés, amandes… Vit B6 : Surtout à conseiller qd il y a eu prise de la pilule prolongée. Levure de bière, germe de blé, banane, avocat, légumineux AGPI : Outre 2 c. à c. d’huile ω3 et 2 c. à s. d’huile ω6, ajouter 2 à 6 capsules d’huile de poisson surtout entre la 26e et 23e sem. de gestation puis arrêter pour ne pas retarder l’accouchement. Ajouter 2 à 4 capsules d’huile d’onagre/bourache (pour développement cerveau et rétine) Et spiruline 2 à 6 c. à s. par jour pour éviter les carences chez la mère. A surveiller : ‐
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Poids (en moy 10kg) Attention aux nausées ou régimes qui risquent d’entrainer des carences. T.A. Urines : albumine, sucre, pH (env. 7) Glycémie : en cas de diabète gestationnel on supplémente en chrome sous forme d’Oglio éléments et en vit B6. Alimentation du nourrisson = lait maternel : Pourquoi ?  Adapté, toujours prêt, digestion facile (peu de résidus), apporte les Ac spé, contact privilégié, gratuit… Est le meilleur et le + complet et suffit pour nourrir l’enfant les 8 1er mois… De la naissance au 5e jour : colostrum riche en protéines mais valeur énergétique assez faible. ‐ Du 6e au 21e jour : enrichis en lactose et lipides ‐ … Il y a une variation du lait au cours de la tétée : ‐ Au début : eau, lactose, sels minéraux ‐ Puis : chargé en protéines ‐ Fin : lipides ‐
Lait nature : Valeur énergétique : similaire au lait de vache 750 Kcal/L Protéines : 11g/L Lipides : 35g/L (ω3, ω6) Glucides : 75 g/L Vit : A, C, E Sels minéraux : moins que dans le lait de vache donc charge osmotique moins imp. et absorption meilleure. Oligoéléments : absorption 80% (que 30% dans le lait de vache) Cellules : 200 à 300 000 /ml : macrophages, LT, LB Polluants et toxiques éventuels (attention à l’environnement) Avantage : ‐
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Sur développement du cerveau (AGPI) Sur syst dig : meilleur digestibilité Sur alimentation future : goute de tt Sur métabolisme : moins d’obésité Durée : ‐
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1 sem. : il aura reçu le colostrum, riche en Ac 2 mois : jusqu'à reprise du travail 6 mois : jusqu'à la diversification OMS préconise 1 complet jusqu'à 6 mois et poursuite jusqu'à 2 ans avec une alimentation diversifiée Diversification : ‐
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Est de + en + retardée jusqu'à 6 mois Progressive : 1 seul aliment nveau à la fois tous les 2/3 jours pour favoriser l’acceptation par le bébé et surveiller la tolérance En été débuter éventuellement par des fruits crus mixés sinon légumes cuits mixés. Viandes, poissons, œufs : pas avant 1 an voir l’apparition des prés molaires si est + tardif. Aliments lacté diététique pour nourrissons : ‐
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Appelé autrefois laits 1er et 2e âge Maternisé : est une copie du lait maternel Commencer par un lait standard et voir ce que ça donne puis on adapte Si : ▪ petit poids : pré‐ ▪ Allergie dans la famille : HA ▪ Bonne santé : bio ▪ Régurgitations : AR ou confort ▪ Colique : ‐ riche en lactose et + riche en caséine, éventuellement supplémenté en pro biotique ou acidifiés. Lait de croissance ??  sans intérêts, supplémenté en fer et vit, choisir un lait entier pasteurisé coupé avec 40g d’eau pour le biberon de 240g du matin, lui préférer la crème Budwig très tôt. Quantités : ▪ 1 mois : 6/7 X 120g ▪ 2 mois : 5/6 X 150g ▪ 3 mois : 4/5 X 180g 4 à 6 mois : 4 X 210g 6 à 8 mois : 2 X 240g + légumes midi + fruits à 16h 8 à 12 mois : matin/soir 240g lait 2e âge bio +/‐ céréales, huile à 12h 150/200g légumes + huile + laitage natures, gouter 100 à 150 g fruits + 1 laitage + de 1 an : on introduit viande (pour œuf on teste d’abord avec le jaune cru et le blanc cuit) + 18 mois : bébé à table avec une petite assiette, ne pas forcer l’enfant à manger si il n’a pas faim, ne pas remplacer ce qu’il n’aime pas par autre chose. Suppression du biberon : ‐
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Ceux de 16h et 12h vers 8 mois Soir : vers 12 à 15 mois Celui du matin avant l’école Contre indications de l’ostéopathie : Il n’y a pas vraiment de contre indication absolue à l’ostéopathie. Dans certains cas peut constituer un complément thérapeutique alors il faut bien expliquer aux parents. Les pièges diagnostiques en pédiatrie : Ils sont les mêmes que pour les médecins. Le risque de louper un diagnostique diminue avec l’expérience du thérapeute. La place de l’ostéo est prioritaire dans la prévention et la prise en charge de pathologie chronique. Pour éviter les pièges il faut regarder l’état mais aussi l’état d’esprit de la mère et de l’enfant. Piège digestifs : Vomissement : ‐causes digestives : RGO, sténose pylore, volvulus du grêle, invagination intestinale,… Toutes lésions décelées tôt peuvent être pris en charge par un ostéo par équilibrage crane, sutures, diaph et traitement viscéral. Penser aussi que peut être : ‐ hypertension intra crânienne au cours d’une poussée tumorale. ‐ Appendicite, voir péritonite (recours à la chirurgie indispensable) Toujours demander aux parents de vous tenir au courant de l’évolution à court terme, revoir l’enfant et éventuellement passer la main. Pièges respiratoires : ▪ Devant une bronchite récidivante : penser aux corps étranger inhaler et rechercher par l’interrogatoire. Demander radio (atélectasie). ▪ Devant un asthme sévère rechercher une allergie. ▪ Toute gène respi peut être induite par une tumeur intra thoracique voir sous diaph par compression. ▪ La toux peut être liée à une inflammation de la muqueuse, compression, toxique, allergie, probl. psy. La priorité doit être donnée à l’interrogatoire. Pièges uro‐génitaux : Toute masse ou tout saignement doit être bilantés. Puis dans énurésie on pourra tester tension sacrum, crane, L3 Il peut y avoir une malformation organique, infection chronique, qui relève du médecin, chirurgien… Ne pas s’entêter s’il n’y a pas de résultats. Pièges ostéo‐articulaires : Devant une douleur d’un membre savoir évoquer : ‐ Fracture ‐ Ostéosarcome ou autre tumeur ‐ Ostéochondrite de croissance en rapport avec des phénomènes vasculaires qui pourront être améliorés par une ostéopathie douce. Devant une scoliose penser aux : ‐ Problèmes dentaires (ap. orthodontiques) ‐ Problèmes hépatiques (mauvaise alimentation, séquelle hépatique ou vaccination HB) ‐ Problèmes tumoraux. Craniosténose : tester quelques séances puis passer la main si pas de résultats. Hydrocéphalie : si blocage ostéo arti : ostéo mais si tumoral : chirurgien. Pièges neurologiques : ▪ Devant une paralysie, parésie : savoir si existe tjrs ou est progressive. (trauma. de sciatique par vaccination) ▪ Une baisse de l’audition peut passer inaperçue (trouble du comportement) : attention aux neurinomes de l’acoustique. ▪ Une baisse de la vision : ‐ peut se révéler par chute fréquente ‐ en rapport avec chorio‐retinite post toxoplasmique ou autre (bilan) Les pathologies chroniques chez l’enfant : On incite à vacciner beaucoup et faire manger pleins de laitages mais… Il y a 3 causes de pathologie : ‐ un mauvaise alimentation : trop gras, trop sucré, trop salé ‐ trop de laitage, la plupart sucrés (3 sucres pour un yaourt aux fruits, 6 pour un lait gélifié genre « danette ») ‐ trop de vaccins et trop tôt ‐ une médicalisation excessive Prise en charge : ‐ une alimentation équilibrée ‐ ne faire que les vaccins indispensables ‐ comprendre le sens de la maladie et aider le terrain Devant toute pathologie chronique ne pas hésiter à tester 6 semaines sans laitages voir sans gluten, sans sucres ajoutés. A partir de 4 ans le taux de lactose diminue. Remplacer le lait du matin par yaourt et fromage…. Ou trouver le calcium ?? Toutes les plantes qui se dressent comportent du cilice et du calcium Exple : ‐ 100mg de Ca = 100g de salade ‐ 125mg de Ca = 100g de lait ‐ 250mg de Ca = 100g d’amandes ‐ 280mg de Ca = 100g soja ‐ 380mg de Ca = 100g sardine ‐ 430mg de Ca = 100g de choux frais ‐ 250mg de Ca = 1 œuf ‐ 1g de Ca = 100g de compté Attention : les protéines surtout animales sont acidifiantes. L’acidose fait le lit de nombreuses pathologies. Viande à prendre 1 à 2 fois par semaine. Une seule protéine animale par repas. Sucre : il est partout car c’est un exhausteur de gout donc attention… Il faut comprendre le symptôme… Il faut laisser éliminer l’organisme (vomissement, diarrhée, fièvre) et gérer les symptômes. Impératif : mettre l’enfant à la diète pour soulager foie, intestin… Les émonctoires : ▪ Couple foie/intestin : éviter intoxication par des pesticides, conservateur, éviter constipation avec fruits, légumes, céréales complètes, oléagineux, légumineux, assez d’eau et une activité de plein air. ▪ Reins : boire et uriner assez ▪ Poumon : avoir une activité de plein air, apprendre à respirer, dégager les voies respi. ▪ Peau : avoir une hygiène correcte, marcher, courir pour transpirer. L’enfant tombe malade quand les émonctoires sont bloqués. La suppression du symptôme par un traitement médic viennent aggraver l’intoxication. Dc qu’en cas d’urgence. Vaccins : Autre source d’intoxication. Seul le DTP est obligatoire avant 18 mois. Livres : « vaccination le droit de choisir » (édition jouvence) « Qui aime bien vaccine peu » (édition jouvence) Moyens : ‐
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Repos Repos digestif Eliminer les toxines (boissons, lavement, bain dérivatif) Thérapeutique d’appoint : ‐
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Vit C naturelle Oligoéléments Plasma de quinton Echinacea, argile Extrait de pépins de raisin … Développement psychomoteur : Il faut d’abord connaitre la normalité Chaque bébé évolue à son rythme en fonction : ‐ De la nature ‐ De la sollicitation de leur entourage in utéro Etude du tonus : Tenue de la tête désormais dès la naissance. Hypertonie des membres normale chez le nouveau né (angle poplité à 90°, des abd à 30°). Hypertonie axiale s’atténue aussi pour permettre la station assise vers 8 mois et debout vers 12 mois. Etude du mouvement spontané : Motricité globale, asymétrie à la naissance. Vers 4 mois, tourne la tête en direction d’un son, se redresse et prend appuie sur les avants bras. A 6 mois, se tourne A 8 mois, rampe, marche à 4 pattes. A 1 an, marche. Position assise : Vers 6 mois tiens aussi penché en avant avec une lordose lombaire et appuis sur les mains. Vers 8 mois tient librement assis Vers 12/13 mois tient tout seul et s’assoit tout seul grâce à sa propre muscu. Progression vers marche : 6 mois : à 4 pattes et se balance d’avant en arrière à genoux 8 mois : se déplace à 4 pattes ou sur le derrière ou avec une jambe repliée sous les fesses, explore l’horizontal. 8‐10 mois : tiens debout contre appuis, se hisse après les barreaux du lit ou de la chaise, explore la verticale. 12‐15 mois : associe les 2, il marche. Manipulation : 2 mois : main commence à s’ouvrir 4 mois : découvre ses mains, en prend conscience et commence à saisir. 6‐7 mois : + de précision, passe d’une main à une autre 8 mois : préhension pouce index Ambidextre jusqu'à 3/4 mois. Développement psychique Personnage à part entière dès la naissance Fragile mais avec une force vitale à la base de son développement Apport du milieu (confort, alimentation, soin…) lui procure les moyens de sa réalisation mais il faut savoir dire « non ». Vers 4 mois : découvre main Vers 6 mois découvre pieds, org génitaux 8 mois se reconnaissent dans la glace 6/8 mois découvre l’autre, période d’angoisse Avec la marche il acquiert + d’autonomie, de confiance qui permet + d’échange avec les étrangers. 18‐24 mois : phase d’opposition. Tente de s’affirmer. Très egocentrique, exigeant. Cette phase dure quelque jour à pls mois. Langage : 1 à 2 mois : babille 3 à 4 mois : vocalibe … 18 mois : connait 10 à 20 mots, période du mot phrase 2 ans : 100 mots, les associent par 2 3 ans : parle de lui à la 1ere pers, pose plein de questions Apprécier le développement de l’enfant ‐
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Observation Interrogation des parents Faire des tests simples Juger la compréhension d’ordres simples, de mots simples Vérifier la vue, l’audition