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me
A et B
Corrigé de l’évaluation sommative : « Jean Valjean et Marius dans les
égouts » ( Les Misérables De Victor Hugo)
1. a. L’action se passe dans les égouts à Paris
b. Ce lieu et hostile : « Jean Valjean était forcé de se courber »
(l.4) « De mauvais points d’appui « (l.7) « Le hideux fumier de la
ville » (l. 8). « Tout le reste était brouillard, miasme, opacité,
noirceur » (l.10) « Le glissement rapide des rats » (L. 18).
2. a. Une comparaison s’installe « comme la mer » (L. 11) et une
hyperbole « sa force qui était prodigieuse, on le sait et fort peu diminuée
par l’âge » (l. 12- 13)
b. Elles confirment que l’épreuve demande beaucoup de force.
3. a. Le temps dominant est l’imparfait de l’indicatif, il exprime la
description.
b. Ce qui rend l’épreuve difficile, c’est la soif, la faim et la fatigue
qui assaillent le héros, le fait qu’il doive se baisser pour ne pas
heurter la voûte mais sans avoir de points d’appui.
4. La situation de Jean Valjean est celle d’un « misérable » car il se
retrouve à fuir à travers les égouts alors qu’il a faim, soif et qu’il
est fatigué « la force en décroissant, faisait croitre, le poids du
fardeau » (L.14-15). L’endroit où il évolue est sale et effrayant « il
sentait entre ses jambes le glissement rapide des rats » (L. 17-18)
5. a. Jean Valjean accomplit un acte héroïque en portant Marius
inanimé sur son dos à travers les égouts, puis en arrêtant
l’hémorragie sont souffrait le jeune homme.
b. Il fait preuve de force et de puissance : « Sa force qui était
prodigieuse, de courage et de volonté » (L.12). « Il fallait à chaque
instant se baisser puis se redresser, tâter sans cesse le mur » (L.5-
6) de bonté : « Jean Valjean avec la douleur de mouvements
qu’aurait un frère pour son frère blessé » (L.22-23)et