Gérer les risques d’infections
Si un patient contracte une infection, la solution habituelle est de lui administrer des antibiotiques afin de
traiter ou d’empêcher l’infection de se développer davantage. Aussi simple que cela puisse paraitre, ce n’est
pas sans risque. L’abus d’antibiotiques peut entrainer le développement d’une résistance aux antibiotiques chez
certains pathogènes, rendant les antibiotiques habituels inutiles. Sans une bonne éradication, ces microbes
résistants aux médicaments peuvent se développer dans l’environnement, prêt à frapper à la première occasion.
De tels organismes multirésistants peuvent limiter les options thérapeutiques disponibles et augmenter la
morbidité et la mortalité des patients.
L’importance de l’isolation des patients est un autre défi pour les services qui manquent parfois de chambres
simples. Les pathogènes ont la capacité de voyager d’un patient à un autre via le personnel médical ou
simplement dans l’environnement. Un mauvais respect des règles d’hygiène a régulièrement été observé dans
les services de médecine générale pendant les tâches de routines. Le risque d’oublier une étape/un protocole
de conformité peut significativement augmenter en situations de stresse comme il peut y en avoir dans les
services de transplantations. Ceci, combiné au manque d’isolation, contribue à l’augmentation des risques
d’épidémies nosocomiales.
La meilleure approche pour le contrôle réussi des infections
Les solutions communément utilisées pour combattre la transmission de pathogènes sont de bloquer les lits
autour d’un patient contaminé, de rassembler les patients infectés et de fermer un service. Ces pratiques
n’ont pas seulement des conséquences sur le fonctionnement d’un service, elles peuvent potentiellement se
répercuter sur la gestion du flux de patients au sein d’un hôpital entier. En plus de compromettre la qualité des
soins, cela peut également affecter la réputation et les finances d’un établissement.
Des procédures fortes de prévention des infections sont vraiment l’unique moyen des contrôler les infections
au sein d’un service de transplantation. Combiner de hauts standards d’hygiènes avec l’isolation des patients
et une décontamination Bioquell régulière – la référence en matière de biodécontamination par vapeur de
peroxyde d’hydrogène (VPH) – s’est prouvé être La bonne équation afin de minimiser les risques d’infections
au sein des ces environnements à hauts risques.
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HC001-MKT-156 FR Rev 1
Références
1. Nath DS, Kandaswamy R, Gruessner R, Sutherland DE, Dunn DL, Humar A, Department of Surgery, University of Minnesota, Minneapolis,
Minnesota, USA - Fungal infections in transplant recipients receiving alemtuzumab, March 2015.
2. Dr. Nesrene Salah Omar, Prof. Medical Microbiology & Immunology, Faculty of Medicine Director of Microbiology diagnostic & Infection control
unit Mansoura University, Egypt - Infection control challenges in liver transplantation unit: Mansoura University Experience, June 2015.
3. The Royal Marsden NHS Foundation Trust.
4. Public Health Wales
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