Au seuil de cette thèse, je veux remercier en premier
lieu et tout particulièrement le professeur Ruedi Imbach,
pour avoir guidé mes pas et dirigé mes recherches : outre
sa compétence reconnue, il a fait preuve envers moi d’une
patience inaltérable et d’une grande largeur d’esprit. Sans
ses conseils avisés et ses remarques pertinentes, ce travail
n’aurait sans doute jamais abouti.
Je remercie les membres du jury de m’avoir fait
l’honneur de lire cette thèse et de la critiquer utilement.
Je remercie les professeurs qui m’ont formé à la
philosophie, successivement au Séminaire, puis à l’Institut
universitaire Saint-Pie X, enfin à l’UFR de la Sorbonne
(Paris IV). Ma gratitude va aussi, à tous ces auteurs
(disparus pour certains) dont les ouvrages ont éclairé et
enrichi mon esprit au fil du temps.
Et, à ce propos, je remercie spécialement la bibliothèque
du Saulchoir et les personnes!qui y travaillent : au long de
toutes ces années, elles m’ont!accueilli avec gentillesse, et
ont répondu à mes multiples!demandes avec promptitude
et efficacité.
Je remercie l’abbé Régis de Cacqueray qui, à un
moment où je ne m’y attendais nullement, m’a proposé de
reprendre mes études de philosophie et m’en a donné les
moyens : la présente thèse,!qui m’a procuré beaucoup de
bonheur, est le résultat de cette!décision.
Je remercie Anne le Pape d’avoir pris le temps de relire
avec soin ce texte, malgré son sujet philosophique qui ne
sacrifie guère aux préoccupations littéraires qui sont plus
ordinairement les!siennes.
Je remercie enfin tous mes amis d’avoir supporté
durant ces!dernières années que la rédaction de cette thèse
m’ait empêché trop souvent de leur consacrer le temps
que méritait leur amitié.