les uestions de l’rt, c’est-à-dire profondément
étrngère à l mnière nçise illustrée pr l
critiue d’rt. C’est insi ue éopile Gutier
écrit en : « L’Allemgne semble se complire
dns l’estétiue de l’rt […]. Elle ne peint ps, elle
écrit l’idée. Une semblble mnière d’envisger
l’rt est tout à fit nouvelle pour nous. »
ouruoi nouvelle ? En Frnce, l réflexion sur
l’rt, le beu et le goût relève en effet d’une double
trdition, rtistiue et littérire, ui, depuis le
e siècle, s’exprime sur le terrin de l littérture
et de l téorie de l’rt, et, depuis le e siècle,
dns l critiue d’rt. L’pproce pilosopiue
de l’rt et du goût ui se développe en Allemgne
sous le nom d’estétiue eurte donc de plein
fouet cette trdition. Comme on pourr le lire
dns un numéro de
de l’n : « Ce n’est ps l peine de créer le nom
d’estétiue, et de fire une science formelle de
cette prtie de l littérture ui pprend à juger
des productions du génie et de l’esprit. » Dns
’, publié en , Mme de Stël
n’ésite ps à critiuer, cez Sciller, dont elle est
éophile Gautier, - , Paris, Michel
Lévy, t. , , p. .
Recension anonyme de Charles de Villers, ’
’ , dans L D
, no , , p. .