Un exemple d’une intervention esthétique, par laquelle, simultanément, une affection
fonctionnelle est traitée. Un patient souhaite une correction de la paupière supérieure
et n’a, précisément, pas un excédent cutané suffisant pour satisfaire aux conditions de
l’INAMI mais en ressent les effets néfastes. Le médecin spécialiste traitant constate
que cet excédent est conséquent, à cause duquel la transpiration et, parfois, l’eczéma
occasionnent des troubles fonctionnels. Il s’agit, ici, d’une intervention esthétique qui
traite, aussi, une affection fonctionnelle et qui est appréciée par le médecin
spécialiste, en son âme et conscience, comme une intervention présentant un but non
purement esthétique.