Je remercie, à travers cet ouvrage, toutes les personnes qui ont lu « La
parole émergente» et qui ont dialogué avec moi.
Et particulièrement ma mère. Pour avoir accepté de communiquer sur
mon histoire personnelle, familiale et sociale et sur son histoire personnelle,
familiale et sociale, en partie commune, en partie différente. Et revenant sur
ma rengaine: «on ne rattrape pas le temps perdu », nous essayons de
construire par nos rencontres, d'écrire par nos échanges épistolaires, une
autre histoire conversationnelle pour le temps qui nous reste.
Je remercie tous les professionnels de la santé que j'ai rencontrés pendant
ces quatre années, car moi aussi, à travers toutes les formations que j'ai
dispensées auprès des Agents hospitaliers, des Aides-Soignants/es, des
Infirmières/Infirmières, des Manipulateurs radio, des Techniciens de
laboratoire, des Kinésithérapeutes, des Cadres de santé, j'ai beaucoup appris.
Je remercie Nathalie Auger, Béatrice Fracchiolla et Claudine Moïse pour
leur réflexion sur le premier chapitre (lors de la journée
psychosociolinguistique) ; elle a pu inspirer le choix du titre de cet ouvrage.
Je remercie Aline, Barbara, Marie pour leur témoignage.