Occident,Fidel Castro se méfie de la politique des

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ATTENTION, LA GRANDE CRISE
ARRIVE
!
Pétrole
:
les
fermetures
de
puits
s’accélèrent aux États-Unis.
ATTENTION, LA CRISE ARRIVE ! Pétrole : les fermetures de
puits s’accélèrent aux États-Unis
Cet article écrit par l’excellente Hayat Gazzane revient sur
les dernières informations en provenance des États-Unis où
l’on a appris que les sites de forage sont de plus en plus
nombreux à s’arrêter.
« Les forages pétroliers américains ont de plus en plus de
mal à résister à la dégringolade des prix du baril. Selon le
groupe parapétrolier américain Baker Hughes, qui tient un
décompte hebdomadaire, 94 sites de forage pétroliers ont
cessé leurs activités au 30 janvier, soit une baisse de 7 %
en l’espace d’une semaine. C’est la plus forte chute
hebdomadaire jamais enregistrée depuis le début de ces
statistiques en 1987, comme l’ont signalé les experts de
Commerzbank. »
Vous pourrez lire l’ensemble de son article en suivant le
lien ci-dessous mais ce qu’il faut bien avoir à l’esprit
c’est que ce sont plus de 5 400 milliards de dollars de
crédits en cours qui financent cette industrie du gaz de
schiste aux USA et avec un baril à moins de 50 dollars, cette
industrie est condamnée à mourir et très rapidement si les
cours ne remontent pas et très vite. En cas de faillite,
alors ce sont 5 400 milliards de dollars qui devront passer
par pertes et profits alors que pour la crise des subprimes,
on ne parlait que de 1 000 milliards de dollars.
Enfin, n’oubliez pas non plus que 50 à 70% de la croissance
américaine actuelle repose sur cette industrie du gaz de
schiste…
L’avenir s’annonce compliqué pour les Américains.
Charles SANNAT
Source Le Figaro ici
L’OTAN déclare la guerre à la
Russie….
La composition de la force rapide de l’OTAN, actuellement, de
13.000 hommes, serait portée à 30.000 hommes.
L’OTAN va décider, jeudi, de renforcer sa présence, sur son
flanc Est, en approuvant la création d’une nouvelle force de
5.000 hommes et de six centres de commandement, en réponse à
l’agression de la Russie, en Ukraine, a indiqué le secrétaire
général de l’Alliance, Jens Stoltenberg.
« Nous avons d’importantes décisions à prendre. Des décisions
relatives à la manière dont nous pouvons renforcer notre
défense collective », a déclaré M. Stoltenberg, en arrivant à
une réunion des ministres de la Défense des pays membres de
l’OTAN, à Bruxelles.
Lors de leur sommet, au Pays de Galles, en septembre, les
chefs d’Etat et de gouvernement avaient décidé de muscler
leurs moyens de défense, après l’annexion de la Crimée par la
Russie, suivie par son intervention, dans l’Est de l’Ukraine.
La réunion des ministres de la Défense, jeudi, vise, à
concrétiser cet engagement.
« C’est une réponse aux actions agressives de la Russie, qui a
violé la loi internationale et annexé la Crimée », a souligné
M. Stoltenberg.
Le stock d’armes chimiques
US, à Pueblo, démantelé!
Les Etats-Unis commenceront, dans un proche avenir, le
démantèlement de leur plus grand stock d’armes.
Le démentèlement du stock de substances chimiques de Pueblo,
dans l’État du Colorado, sera entamé, en principe, en mars.
Cette action s’inscrit dans le cadre de la mise en application
du traité de 1997 interdisant l’utilisation de toute arme
chimique.
Le démantèlement du stock d’armes chimiques américaines
intervient, alors que, moins d’un an s’est écoulé, depuis
l’utilisation de gaz chlore, en avril, en Syrie, tuant, au
moins, 13 personnes. Le stock de substances chimiques de
Pueblo abrite 780.000 obus de canon remplis de gaz moutarde.
Après l’utilisation d’armes chimiques, pendant la première
guerre mondiale, le traité de 1925 a interdit l’utilisation de
ces armes. Lors de la Convention de 1997, un délai a été fixé,
allant jusqu’en 2012, pour la destruction des armes chimiques.
La Russie, les Etats-Unis, la Libye et l’Irak n’ont pas réussi
à démanteler, pendant le délai fixé, leur arsenal chimique.
Selon les experts, les frais élevés de la sûreté de la
destruction des armes chimiques, ainsi que le souci de la
santé publique et de l’environnement, ont ralenti le processus
du démantèlement. Les violences, en Irak, ont, pour leur part,
entravé ce processus.
L’Occident rallonge sa liste
noire contre la Russie
Des sources dignes de foi annoncent que l’Union européenne
vont allonger d’ici les prochains jours la liste noire de
ressortissants russes et ukrainiens.
De même les autorités américaines ont mis l’accent sur la
nécessité du durcissement des sanctions contre la Russie, ontt-telles ajouté. L’UE a l’intention d’ajouter les noms de 15
ressortissants russes et Ukrainiens ainsi que 4 organisations
sur sa liste des sanctions contre la Russie.
Il s’agit plutôt les dirigeants des indépendantistes dans
l’Est de l’Ukraine, a affirmé une autorité européenne à Itar
Tas.
La question de l’élargissement de la liste des sanctions sera
examinée à partir de la semaine prochaine au niveau du comité
des représentants permanents des pays membres de l’UE pour en
décider avant la fin de la semaine et annoncer par la suite la
question de l’élargissement de la liste des sanctions au seuil
de la session du Conseil des ministres des affaires étrangères
de l’UE qui devra avoir lieu le 9 février, a précisé cette
autorité.
La Grèce qui est contre l’adoption de nouvelles sanctions
contre la Russie constitue une entrave à la prise de décision
sur l’élargissement de la liste des sanctions, a-t-elle
indiqué.
Les noms des personnes et des compagnies ajoutés sur la liste
des sanctions de l’UE ne seront pas divulgués car cette
question n’est pas du tout une question économique, a-t-elle
souligné.
USA : Obama présente un
budget de 4000 milliards de
dollars
Le président américain a présenté un budget de 3990 milliards
de dollars en 2016, pour aider au développement des
infrastructures ainsi qu’à la couche moyenne de la société.
Une partie de cette source financière sera assurée par
l’augmentation des impôts. Le budget 2016 des Etats-Unis
connaîtra un déficit de 474 milliards de dollars soit 2.5% du
PIB du pays. Washington a, aussi, annoncé qu’il avait alloué
un budget de 8.8 milliards de dollars à la lutte contre Daech
et l’aide aux opposants syriens. De même, le Président
américain, Barack Obama a demandé, dans la proposition du
budget 2016 au Congrès, environ 170 millions de dollars pour
ce qu’il appelle la lutte contre l’intervention de la Russie
en Ukraine, Géorgie et Moldavie.
« L’Iran ne se heurte pas à
des obstacles techniques pour
la production de la bombe
nucléaire » (USA)
« L’Iran ne se heurte pas des obstacles insurmontables pour
produire l’armée nucléaire », a prétendu
le contre-Amiral Steven Stewart, Chef du renseignement de la
défense des Etats-Unis. Il a prétendu, aussi, que l’Iran
tentait de produire l’armée nucléaire. « Les Etats-Unis et
d’autres puissances mondiales tentent de restreindre le
programme nucléaire iranien, mais l’Iran n’est pas confronté
à des obstacles infranchissables, pour produire l’arme
nucléaire », a-t-il, encore, prétendu. Il doit s’exprimer,
mardi, devant le comité des forces armées de la Chambre des
représentants. Cette allégation de ce responsable américain
intervient à un moment où l’Iran n’a cessé de souligner que
l’arme nucléaire n’avait aucune place, dans sa doctrine
défensive, et ce, à telle enseigne, que le Guide suprême de
la Révolution islamique a émis une Fatwa, considérant comme
interdite, « haram », toute sorte de production, de stockage
et d’utilisation de l’arme nucléaire. En outre, l’Iran a mené
une étroite coopération avec l’AIEA, l’Agence internationale
de l’Energie atomique, dont les inspecteurs ont confirmé
qu’il n’y a eu aucune dérive, dans les activités iraniennes,
en matière de nucléaire civil.
Les
sanctions
contre
la
Russie seront durcies !!!
(Obama)
Le président américain, Barack Obama a fait part de son
intention de durcir les sanctions contre la Russie.
Lors ‘un entretien accordé à la chaine CNN, Obama a déclaré
vouloir intensifier les pressions économiques et politiques
sur la Russie, a-t-on appris de Farsnews.
En outre, les Etats-Unis accorderont des aides financières au
gouvernement ukrainien, a ajouté Obama. Il a, une nouvelle
fois, accusé la Russie de soutenir les opposants au
gouvernement ukrainien, à Donbass (Donetsk et Lugansk) et
mettre à leur disposition des armes.
Les affrontements, dans l’Est de l’Ukraine se sont
intensifiés ces deux dernières semaines laissant des tués et
des blessés de part et d’autre.
Etat islamique, fruit de la
politique
de
Washington,
Bagdad et Damas
L’invasion américaine de l’Irak, le financement des
extrémistes par les pays du Golfe et l’indifférence de la
communauté internationale envers les exactions commises par
les autorités irakiennes et syriennes ont contribué à
l’émergence de l’Etat islamique.
L’apparition du groupe djihadiste Etat islamique (EI) résulte
aussi bien de la politique pratiquée par les Etats-Unis, la
Syrie et l’Irak que de l’indifférence de la communauté
internationale, indique le Rapport mondial 2015 publié jeudi
par Human Rights Watch (HRW).
« Aucun autre défi ne s’est manifesté dans le passé d’une
manière aussi dramatique que l’émergence de l’Etat islamique,
groupe extrémiste connu également sous le nom d’EIIL [Etat
islamique de l’Irak et du Levant, ndlr] », lit-on dans le
rapport.
Cependant, cette organisation « n’a pas surgi de nulle
part », constate le document.
Organisation terroriste État islamique
Organisation terroriste État islamique
Selon HRW, l’Etat islamique tire ses origines de l’invasion
américaine de l’Irak et des « mauvais traitements infligés
aux détenus de la prison d’Abu Ghraib et d’autres centres de
détention américains ».
« Le financement de groupes extrémistes par les pays du Golfe
a également joué un rôle important. Les politiques sectaires
des gouvernements irakien et syrien, ainsi que l’indifférence
de la communauté internationale envers les violations
flagrantes des droits de l’homme perpétrées par ces
gouvernements ont constitué, elles aussi, un facteur
substantiel », souligne le document.
Fort d’environ 30.000 combattants selon la CIA, le groupe
Etat islamique a proclamé un califat sur les territoires
irakiens et syriens tombés sous son contrôle.
« Fin de la récréation, au
Golan »!!!( « Haaretz »)
Le journal israélien estime que la période d’accalmie,
qui a duré pendant 40 ans, sur les hauteurs occupés de Golan,
a pris fin, tout comme le calme, qui a régné pendant huit
ans, sur les frontières avec le Liban. « Les signes se
multiplient, en faveur de cette prévision : tout dit que les
semaines à venir seront chargées d’incidents, aussi bien, sur
les frontières Nord d’Israël, qu’au Golan, ou encore dans les
fermes de Chebaa ». L’analyste des questions militaires du
journal, Amos Harel, poursuit : « Le calme est de retour, à
Chebaa, après la mort d’un officier et d’un soldat israélien,
mercredi, sur les frontières Nord avec le Liban – ndlr :
Israël ne reconnaît que la mort de deux des dix sept de
sesmilitaires tués, au cours de l’opération de Chebaa-ceci
dit, ce calme ne peut qu’être provisoire, dans la mesure où
un général iranien et six commandants du Hezbollah ont été
tués, que des missiles ont été tirés, depuis la Syrie contre
Jabal al Cheikh et que les convois militaires israéliens, à
Chebaa, ont été pris pour cible. La tempête qui s’est
déclenchée, en Syrie, est, désormais hors du contrôle, et de
nouveaux fronts de guerre sont sur le point de s’ouvrir. Le
Hezbollah a envoyé des milliers de ses combattants, en Syrie,
pour aider Assad, et Israël a annoncé son intention de
bloquer tout déplacement de convoi d’armement, en direction
du Hezb. Quant aux rebelles anti-Assad, ils contrôlent la
majeure partie des régions sur les frontières avec la Syrie,
au Golan. Et, en plus, l’Iran et le Hezbollah ont bâti des
bases militaires, sur le flanc Nord des frontières, dans le
strict objectif de nuire à Israël, au Golan. « Amos Harel
ajoute: « Sur la base de tous ces constats, on peut conclure
que la fin de plus de 40 ans de calme, au Golan, depuis 1973,
a sonné. Il en va de même pour le calme, sur le front
libanais, calme qui règnait sur les frontières, depuis 2006.
Et il faut s’attendre à des confrontations futures. C’est à
la communauté internationale d’emêcher la généralisation de
la guerre. Certes, le pouvoir de dissuasion des deux parties
éloigne le spectre de la guerre, à moins que les événements
se précipitent et qu’ils prennent une tournure imprévisible.
Dans ce cas, une grande guerre est à venir. Pour le moment,
les intérêts stratégiques des deux parties dictent le reste
et empêchent une détérioration de la crise, mais ceci ne
signifie nullement qu’il faudrait ignorer le front Nord,
d’autant plus que la situation semble explosive. La riposte
iranienne n’a pas encore pris fin. Par ailleurs, les
relations Israël/USA inquiètent beaucoup : si le front Nord
s’embrase, Israël devra pouvoir compter sur le soutien des
Etats Unis, un soutien, à la fois, diplomatique et en
armement. Peut-il, vraiment, compter sur ce soutien? «
Six armes nucléaires russes
redoutées par Washington « Ne
jamais
sous-estimer
son
ennemi » !!!
Les SNLE Boreï et Iassen et les missiles intercontinentaux
Boulava figurent parmi les armes nucléaires russes redoutées
par Washington.
Le magazine américain National Interest a désigné les armes
nucléaires russes qui présentent une menace pour les EtatsUnis.
Les sous-marins nucléaires du projet 955 Boreï occupent le
premier rang dans la liste des armes nucléaires russes les
plus redoutables dressée par un journaliste du magazine, Dave
Majumdar.
Marine russe: composition et armements
Marine russe: composition et armements
Les SNLE Boreï ont remplacé les sous-marins stratégiques
soviétiques des projets 941 Akoula (Typhoon selon le code de
l’Otan), 667 BDR Kalmar et 667 BDRM Delfin (Delta-3 et
Delta-4 selon l’Otan). Dotés d’une coque hydrodynamique, ces
submersibles sont silencieux. Les sous-marins du projet Boreï
sont équipés de 16 missiles intercontinentaux R-30
Boulava-30. La Russie a déjà construit trois sous-marins de
ce type. Trois autres sous-marins du projet Boreï seraient
dotés de 20 missiles balistiques internationaux et auraient
des meilleures performances.
Les missiles balistiques intercontinentaux R-30 Boulava
occupent le deuxième rang dans le classement. D’une portée de
11.000 km, ce sont des armes efficaces, d’après l’expert.
Chaque Boulava a dix têtes à trajectoires indépendantes,
alors que les autres missiles balistiques n’en ont que six.
Les sous-marins nucléaires polyvalents du projet 885 Iassen
arrivent en troisième position. Selon le magazine, le K-560
Severodvinsk, tête de série du projet 885, est si
impressionnant que le chef du programme américain de
conception des sous-marins David Johnson a installé une
maquette du Severodvinsk dans son bureau.
Les armes russes les plus redoutables
Selon The National Interest, l’arsenal russe des armes
nucléaires tactiques occupe la 4e place parmi les armes
redoutées par Washington. Ces armes ne sont pas visées par le
Traité russo-américain de réduction des armes stratégiques
offensives (START). Les stocks russes de ces armes sont moins
importants qu’à l’époque de l’URSS, l’armée russe dispose de
2.000 armes nucléaires tactiques. Mais les stocks de ces
armes peuvent atteindre 5.000 unités compte tenu des ogives
qui ne sont pas en service opérationnel. Ces ogives
pourraient atteindre leurs cibles au moyen des missiles
tactiques Iskander.
Les missiles balistiques intercontinentaux russes à propergol
solide RS-24 Iars (code Otan SS-X-29) complètent la liste.
Ces missiles mirvées, une version modernisée du missile
monobloc RS-12M2 Topol-M, sont doté de quatre ogives de 150 à
300 kt à guidage individuel et a une portée de 11.000 km.
Le magazine The National Interest évoque également le nouveau
missile balistique à ergols liquides Sarmat capable de
surmonter le bouclier antimissile américain. Sarmat devrait
remplacer le missile intercontinental R-36M2 Voevoda (Satan
selon le code de l’Otan).
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