Démocratie libérale et corruption 5 juillet 2013 Le problème de la corruption est récurrent dans nos sociétés, mais il n’est pas pensé. Si beaucoup d’ONG font des rapports c’est toujours sous forme de données chiffrées. Il s’agirait alors de repenser la démocratie par son versant négatif et non procédural. procédura Se pose alors la question de la forme spécifique de la corruption dans la démocratie libérale. Ce qui importe ici n’est pas tant la transgression de la règle que le faussement de la règle, qui induit de penser à la fois la corruption d’un point de vue moral et métaphysique, et la manière dont elle s’inscrit dans une économie du pouvoir comme dispositif distinct de la simple coercition étatique. Céline Spector (Professeure Professeure au département de Philosophie de l'Université Bordeaux 3) : De la corruption en démocratie : Montesquieu ou les infortunes de la vertu Thierry Menissier (professeur professeur de philosophie "Sciences humaines et innovation" à Grenoble Institut de l'Innovation): Echange occulte et république « d’après la vertu » : doit-on se résoudre à une approche déontologique de la corruption ? ATER en philosophie à l'université de Tours): Tours) Laa corruption n'est pas une Pierre Crétois (ATER affaire de pouvoir (A partir de Rousseau) Christopher Hamel (Post-doctorant doctorant rattaché à l’ULB) : La corruption, envers de la vertu civique. Une perspective républicaine