COMMUNICATION FINANCIÈRE RÉSULTATS JUIN 2013 COMMUNICATION FINANCIÈRE au 30 juin 2013 SOCIÉTÉ GÉNÉRALE MAROC COMPTES SOCIAUX AU 30 JUIN 2013 ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS IAS/IFRS AU 30 JUIN 2013 EXTRAIT DES ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS DU GROUPE SOCIÉTÉ GÉNÉRALE AU 30 JUIN 2013 Société Générale Tanger OffShorE Comptes Sociaux cOMPTES SOcIAUX DE LA SOcIÉTÉ GÉNÉRALE MAROcAINE DE BANQUES AU 30/06/2013 BILAN AU 30 JUIN 2013 En milliers de DH ACTIF 30/06/13 31/12/12 En milliers de DH PASSIF 30/06/13 31/12/12 Valeurs en caisse, Banques centrales, Trésor public, Service des chèques postaux 1 909 402 3 132 643 Banques centrales, Trésor public, Service des chèques postaux Créances sur les établissements de crédit et assimilés 6 326 422 5 294 502 Dettes envers les établissements de crédit et assimilés . A vue 3 599 505 1 404 188 . A terme 2 726 917 3 890 314 53 783 662 54 851 362 . Crédits de trésorerie et à la consommation 19 077 173 21 024 951 . Crédits à l’équipement 14 587 042 14 323 301 . Crédits immobiliers 15 922 166 15 247 462 4 197 281 4 255 648 167 987 204 788 Titres de transaction et de placement 4 021 141 4 158 533 . Bons du Trésor et valeurs assimilées 2 927 273 3 091 376 . Autres titres de créance 592 235 565 459 Autres passifs . Titres de propriété 501 633 501 698 Provisions pour risques et charges 702 799 971 887 Provisions réglementées - - Subventions, fonds publics affectés et fonds spéciaux de garantie - - - - Dettes subordonnées 2 547 061 2 578 874 Créances sur la clientèle . Autres crédits Créances acquises par affacturage Autres actifs Titres d’investissement . Bons du Trésor et valeurs assimilées . Autres titres de créance - - 1 154 213 1 119 284 Créances subordonnées - - Immobilisations données en crédit-bail et en location - - Titres de participation et emplois assimilés Immobilisations incorporelles Immobilisations corporelles Total de l’Actif 236 133 228 617 1 236 177 1 260 284 69 537 936 71 221 900 HORS BILAN AU 30 JUIN 2013 - - 488 715 366 333 . À vue 130 306 196 054 . À terme 358 409 170 279 51 063 898 50 781 761 30 226 076 29 689 114 Dépôts de la clientèle . Comptes à vue créditeurs . Comptes d'épargne 7 641 455 7 385 484 10 922 446 10 957 901 2 273 921 2 749 262 5 564 262 7 642 609 5 564 262 7 642 609 . Emprunts obligataires - - . Autres titres de créance émis - - 1 321 828 1 420 195 946 039 812 563 - - . Dépôts à terme . Autres comptes créditeurs Titres de créance émis . Titres de créance négociables Ecarts de réévaluation - - Réserves et primes liées au capital 5 282 553 4 710 053 Capital 2 050 000 2 050 000 Actionnaires. Capital non versé (-) Report à nouveau (+/-) Résultats nets en instance d'affectation (+/-) Résultat net de l'exercice (+/-) Total du Passif - - 12 83 - - 273 568 859 429 69 537 936 71 221 900 ÉTAT DES SOLDES DE GESTION AU 30 JUIN 2013 En milliers de DH HORS BILAN ENGAGEMENTS DONNÉS 30/06/13 I - Tableau de formation des résultats 20 633 352 20 696 910 1.(+) Intérêts et produits assimilés 1 996 831 - - 5 475 996 5 266 279 2.(-) Intérêts et charges assimilés 553 214 582 623 1 443 617 1 450 708 3.(+) Produits sur immobilisations en crédit-bail et en location - - 4.(-) Charges sur immobilisations en crédit-bail et en location - - Résultat des opérations de crédit-bail et de location - - 5.(+) Commissions perçues 230 191 245 168 6.(-) Commissions servies 11 477 11 089 Marge sur commissions 218 714 234 079 Engagements de financement donnés en faveur d'établissements de crédit et assimilés Engagements de financement donnés en faveur de la clientèle Engagements de garantie d'ordre d'établissements de crédit et assimilés Engagements de garantie d'ordre de la clientèle 3 377 647 4 165 518 11 779 709 11 265 113 - - Titres achetés à réméré Autres titres à livrer - - ENGAGEMENTS REÇUS 6 542 934 6 072 448 Engagements de financement reçus d'établissements de crédit et assimilés 1 124 899 1 121 918 Engagements de garantie reçus d'établissements de crédit et assimilés 4 997 884 4 530 058 420 151 420 472 Titres vendus à réméré - - Autres titres à recevoir - - Engagements de garantie reçus de l'État et d'organismes de garantie divers COMPTE DE PRODUITS ET CHARGES AU 30 JUIN 2013 I.PRODUITS D’EXPLOITATION BANCAIRE 1.Intérêts et produits assimilés sur opérations avec les établissements de crédit 2.Intérêts et produits assimilés sur opérations avec la clientèle 3.Intérêts et produits assimilés sur titres de créance 4.Produits sur titres de propriété 5.Produits sur immobilisations en crédit-bail et en location 6.Commissions sur prestations de service 7.Autres produits bancaires II.CHARGES D’EXPLOITATION BANCAIRE 8.Intérêts et charges assimilées sur opérations avec les établissements de crédit 9.Intérêts et charges assimilées sur opérations avec la clientèle 10.Intérêts et charges assimilées sur titres de créance émis 11.Charges sur immobilisations en crédit-bail et en location 12.Autres charges bancaires III.PRODUIT NET BANCAIRE 13.Produits d'exploitation non bancaire 14.Charges d'exploitation non bancaire IV.CHARGES GÉNÉRALES D’EXPLOITATION 15.Charges de personnel 16.Impôts et taxes 17.Charges externes 18.Autres charges générales d'exploitation 19.Dotations aux amortissements et aux provisions des immobilisations incorporelles et corporelles V.DOTATIONS AUX PROVISIONS ET PERTES SUR CRÉANCES IRRÉCOUVRABLES 20.Dotations aux provisions pour créances et engagements par signature en souffrance 21.Pertes sur créances irrécouvrables 22.Autres dotations aux provisions VI.REPRISES DE PROVISIONS ET RÉCUPÉRATIONS SUR CRÉANCES AMORTIES 23.Reprises de provisions pour créances et engagements par signature en souffrance 24.Récupérations sur créances amorties 25.Autres reprises de provisions VII.RÉSULTAT COURANT 26.Produits non courants 27.Charges non courantes VIII.RÉSULTAT AVANT IMPÔTS 28.Impôts sur les résultats IX.RÉSULTAT NET DE L’EXERCICE TOTAL PRODUITS TOTAL CHARGES RéSULTAT NET DE L'EXERCICE En milliers de DH 31/12/12 En milliers de DH 30/06/13 30/06/12 2 531 375 2 593 033 131 624 171 380 1 794 195 1 806 027 71 012 55 924 144 854 121 483 193 434 206 830 196 256 231 389 679 388 731 057 15 511 15 745 334 753 319 624 202 950 247 254 126 174 148 434 1 851 987 1 861 976 19 486 21 099 16 672 18 702 838 162 778 106 416 212 407 409 15 394 25 241 279 244 264 610 47 639 4 342 79 673 76 504 947 143 718 821 25 568 202 754 450 425 378 446 3 546 68 433 519 921 27 456 20 452 526 925 253 357 273 568 3 028 742 2 755 174 273 568 729 663 404 662 221 729 103 272 459 116 383 672 7 406 68 038 815 720 48 715 10 160 854 275 334 726 519 549 3 121 964 2 602 415 519 549 30/06/13 MARGE D’INTÉRÊT 30/06/12 2 033 331 7.(+) Résultat des opérations sur titres de transaction - - 8.(+) Résultat des opérations sur titres de placement 984 3 336 93 598 100 103 9.(+) Résultat des opérations de change 10.(+) Résultat des opérations sur produits dérivés - - Résultat des opérations de marché 94 582 103 439 11.(+) Divers autres produits bancaires 144 862 121 486 12.(-) Diverses autres charges bancaires PRODUIT NET BANCAIRE 13.(+) Résultat des opérations sur immobilisations financières 14.(+) Autres produits d'exploitation non bancaire 15.( -) Autres charges d'exploitation non bancaire 49 788 47 736 1 851 987 1 861 976 -120 -2 988 19 426 21 099 16 672 15 666 16.( -) Charges générales d'exploitation 838 162 778 106 RÉSULTAT BRUT D’EXPLOITATION 1 016 459 1 086 315 17.(+) Dotations nettes des reprises aux provisions pour créances et engagements par signature en souffrance -362 397 -235 313 18.(+) Autres dotations nettes de reprises aux provisions -134 141 -35 282 519 921 815 720 RÉSULTAT COURANT RÉSULTAT NON COURANT 7 004 38 555 19.(-) Impôts sur les résultats 253 357 334 726 RÉSULTAT NET DE L'EXERCICE 273 568 519 549 En milliers de DH II - CAPACITÉ D’AUTOFINANCEMENT 30/06/13 (+) RÉSULTAT NET DE L’EXERCICE 20.(+) Dotations aux amortissements et aux provisions des immobilisations incorporelles et corporelles 21.(+) Dotations aux provisions pour dépréciation des immobilisations financières 30/06/12 273 568 519 549 79 673 76 504 180 - 182 156 102 765 23.(+) Dotations aux provisions réglementées - - 24.(+) Dotations non courantes - - 67 44 048 26.(-) Plus-values de cession des immobilisations incorporelles et corporelles - - 27.(+) Moins-values de cession des immobilisations incorporelles et corporelles - - 28.(-) Plus-values de cession des immobilisations financières - - 29.(+) Moins-values de cession des immobilisations financières - 3 036 22.(+) Dotations aux provisions pour risques généraux 25.(-) Reprises de provisions 30.(-) Reprises de subventions d’investissement reçues (+) CAPACITé D’AUTOFINANCEMENT - - 535 510 657 806 31.(-) Bénéfices distribués (+) AUTOFINANCEMENT - - 535 510 657 806 TAbLEAU DE prÉSENTATION DU chIffrE D’AffAIrES AU 30 JUIN 2013 En milliers de DH 1er semestre 2012 2ème semestre 2012 1er semestre 2013 2 593 033 2 438 609 2 531 375 2 Comptes Sociaux TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE AU 30 juin 2013 En milliers de DH 31/12/12 30/06/13 1.(+) Produits d'exploitation bancaire perçus 2.(+) Récupérations sur créances amorties 3.(+) Produits d'exploitation non bancaire perçus 4.(-) Charges d'exploitation bancaire versées 5.(-) Charges d'exploitation non bancaire versées 2 385 756 4 908 188 3 546 25 331 46 882 131 605 704 523 1 755 043 37 125 116 384 6.(-) Charges générales d'exploitation versées 758 489 1 591 317 7.(-) Impôts sur les résultats versés 615 629 615 629 320 418 986 751 1 031 920 -2 542 970 -1 104 500 3 315 275 10.(-) Titres de transaction et de placement -137 392 -148 898 11.(-) Autres actifs -258 682 194 206 12.(-) Immobilisations données en crédit-bail et en location - - 13.(+) Dettes envers les établissements de crédit et assimilés 122 382 -82 797 14.(+) Dépôts de la clientèle 282 137 3 627 -2 078 347 -2 235 853 I.Flux de trésorerie nets provenant du compte de produits et charges Variation des : 8.(-) Créances sur les établissements de crédit et assimilés 9.(-) Créances sur la clientèle 15.(+) Titres de créance émis 16.(+) Autres passifs II.Solde des variations des actifs et passifs d’exploitation III.FLUX DE TRÉSORERIE NETS PROVENANT DES ACTIVITÉS D’EXPLOITATION (I + II) 17.(+) Produit des cessions d'immobilisations financières 18.(+) Produit des cessions d'immobilisations incorporelles et corporelles -98 367 -177 258 -1 303 541 -3 309 895 -983 123 -2 323 144 60 5 811 - 10 982 19.(-) Acquisition d'immobilisations financières 34 929 11 851 20.(-) Acquisition d'immobilisations incorporelles et corporelles 63 073 169 009 - - 144 824 122 964 46 882 -41 103 21.(+) Intérêts perçus 22.(+) Dividendes perçus IV.FLUX DE TRÉSORERIE NETS PROVENANT DES ACTIVITÉS D’INVESTISSEMENT 23.(+) Subventions, fonds publics et fonds spéciaux de garantie reçus - - 24.(+) Emission de dettes subordonnées - 500 000 25.(+) Emission d'actions - - 26.(-) Remboursement des capitaux propres et assimilés - - 27.(-) Intérêts versés - - 287 000 328 000 28.(-) Dividendes versés V.FLUX DE TRÉSORERIE NETS PROVENANT DES ACTIVITÉS DE FINANCEMENT VI.VARIATION NETTE DE LA TRÉSORERIE (III+ IV +V) -287 000 172 000 -1 223 241 -2 192 247 VII.TRÉSORERIE À L’OUVERTURE DE L’EXERCICE 3 132 643 5 324 890 VIII.TRÉSORERIE À LA CLÔTURE DE L’EXERCICE 1 909 402 3 132 643 CRÉANCES SUR LES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT AU 30 juin 2013 En milliers de DH Bank Al-Maghrib Trésor Public Banques et Service des au Maroc Chèques Postaux CRÉANCES COMPTES ORDINAIRES DÉBITEURS VALEURS REÇUES EN PENSION - au jour le jour - à terme PRÊTS DE TRÉSORERIE - au jour le jour - à terme PRÊTS FINANCIERS AUTRES CRÉANCES 1 213 754 - 1 235 691 - 1 235 691 - 117 912 42 250 INTÉRÊTS COURUS À RECEVOIR 270 CRÉANCES EN SOUFFRANCE TOTAL Autres Établisseétablissements ments de de crédit et crédit à assimilés au l’étranger Maroc 1 896 731 400 391 1 132 003 96 765 38 051 7 585 1 093 952 89 180 1 337 623 58 3 326 Total 30/06/13 Total 31/12/12 3 510 876 2 464 459 1 281 327 1 183 132 1 455 535 45 634 3 802 108 2 137 259 159 2 137 100 1 585 232 127 888 - 63 590 - 63 860 69 999 1 214 024 1 395 853 4 430 005 500 482 7 540 364 7 722 486 CRÉANCES SUR LA CLIENTÈLE AU 30 juin 2013 En milliers de DH Secteur privé Secteur public CRÉANCES CRÉDITS DE TRÉSORERIE - Comptes à vue débiteurs - Créances commerciales sur le Maroc - Crédits à l'exportation - Autres crédits de trésorerie CRÉDITS À LA CONSOMMATION CRÉDITS À L’ÉQUIPEMENT CRÉDITS IMMOBILIERS AUTRES CRÉDITS CRÉANCES ACQUISES PAR AFFACTURAGE INTÉRÊTS COURUS À RECEVOIR CRÉANCES EN SOUFFRANCE - Créances pré-douteuses - Créances douteuses - Créances compromises TOTAL Entreprises Entreprises financières non financières Autre clientèle 30/06/13 31/12/12 2 514 225 2 214 224 300 001 1 251 389 500 000 2 248 2 248 - 12 572 933 6 895 436 2 486 199 82 960 3 108 338 13 057 140 3 910 208 322 906 1 238 865 1 110 084 17 451 111 330 2 693 216 2 173 11 903 372 431 129 16 328 271 10 221 992 2 503 650 82 960 3 519 669 2 693 216 14 310 702 15 813 580 1 254 035 18 104 358 10 821 603 2 656 248 119 646 4 506 861 2 867 316 14 126 216 15 162 979 1 722 015 - - 167 987 - 167 987 204 788 4 265 614 4 110 1 529 2 581 6 358 2 222 636 1 184 620 586 010 452 006 32 253 810 Dotations Reprises utilisées 440 620 440 620 334 845 716 492 2 943 238 2 533 633 224 759 1 409 379 973 690 289 265 876 804 1 033 723 202 468 657 055 526 220 17 425 867 53 951 649 55 056 150 PROVISIONS AU 30 juin 2013 Encours 31/12/12 PROVISIONS PROVISIONS DÉDUITES DE L’ACTIF SUR : Créances sur les établissements de crédit et assimilés Créances sur la clientèle Titres de placement Titres de participation et emplois assimilés PROVISIONS INSCRITES AU PASSIF : 2 765 487 711 513 - - - - - 2 740 614 14 728 10 145 812 563 710 929 435 149 210 466 8 590 2 729 361 314 877 74 246 - -59 3 081 580 14 286 -34 10 260 -15 946 039 40 576 7 892 - 8 542 - -15 - - - - - - - 636 810 182 156 - 67 - - 818 899 - - Provisions pour risques d’exécution d’engagements par signature Provisions pour risques de change Provisions pour risques généraux Provisions pour pensions de retraite et obligations similaires Provisions pour autres risques et charges Provisions réglementées TOTAL GéNéRAL En milliers de DH Reprise Ecart de Encours Autres «devenues convervariations 30/06/13 disponibles» sion 8 590 362 191 -93 3 106 127 - - - - - 135 177 3 578 050 20 418 921 979 2 729 11 319 65 637 436 437 - - - 39 911 87 229 -108 4 052 166 DETTES SUBORDONNÉES AU 30 JUIN 2013 En milliers de DH Monnaie de l’emprunt Montant en monnaie de l’emprunt Cours (1) Taux Durée (2) Condition de remboursement anticipé, subordination et convertibilité (3) Montant de l’emprunt en monnaie nationale (ou contrevaleur en KDH) MAD 50 000 000 - 5,6% (Taux fixe) 10 Ans Le remboursement par anticipation ne peut avoir lieu qu’à l’initiative de l’Emetteur et après accord de BANK AL MAGHRIB Le remboursement du capital et des intérêts n’interviendra qu’après remboursement de toutes les autres dettes MAD 50 000 000 - 5% (Taux révisable) 10 Ans MAD 377 300 000 - 5,6% (Taux fixe) MAD 680 700 000 - MAD 842 000 000 MAD dont entreprises liées dont autres apparentés Montant N (en contrevaleur KDH) Montant N-1 (en contrevaleur KDH) Montant N (en contrevaleur KDH) Montant N-1 (en contrevaleur KDH) - - - - - Le remboursement par anticipation ne peut avoir lieu qu’à partir de la 5éme année, avec préavis d’un mois, seulement à l’initiative de l’emprunteur et sous réserve de l’accord de BAM - - - - - 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5éme année, sans préavis, seulement à l’initiative de l’emprunteur et sous réserve de l’accord de BAM - 245 000 - - - 4,84% (Taux révisable) 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5éme année, sans préavis, seulement à l’initiative de l’emprunteur et sous réserve de l’accord de BAM - - - - - - 5,6% (Taux fixe) 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5éme année, sans préavis, seulement à l’initiative de l’emprunteur et sous réserve de l’accord de BAM - - - - - 324 200 000 - 5,98% (Taux fixe) 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5éme année, sans préavis, seulement à l’initiative de l’emprunteur et sous réserve de l’accord de BAM - 85 000 - - - MAD 175 800 000 - 5,98% (Taux fixe) 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5éme année, sans préavis, seulement à l’initiative de l’emprunteur et sous réserve de l’accord de BAM - - - - - Total 2 500 000 000 - 330 000 - - - (2) éventuellement indéterminée (3) se référer au contrat de dettes subordonnées. 3 Comptes Sociaux TITRES DE CRÉANCE EMIS AU 30 JUIN 2013 En milliers de DH CARACTÉRISTIQUES Dont MONTANT Montant non amorti des primes d’émission ou de remboursement Date de jouissance Date d’échéance Valeur Nominale Unitaire Taux Nominal Mode de remboursement CERTIFICAT DE DEPÔTS 20/09/11 20/09/13 100 4,11% AA 235 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 02/10/12 01/10/13 100 4,20% IF 300 000 - - NATURE TITRES Entreprises liées Autres apparentés CERTIFICAT DE DEPÔTS 19/10/12 18/10/13 100 4,15% IF 60 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 29/03/12 29/11/13 100 4,30% IF 80 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 03/02/11 03/02/14 100 4,25% AA 300 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 15/02/12 15/02/14 100 4,30% AA 340 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 03/03/11 03/03/14 100 4,25% AA 350 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 14/03/12 14/03/14 100 4,40% AA 200 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 27/04/09 27/04/14 100 4,30% AA 30 000 CERTIFICAT DE DEPÔTS 30/04/07 30/04/14 100 4,01% AA 150 000 150 000 - - - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 30/04/07 30/04/14 100 4,01% AA 361 500 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 25/06/12 25/06/14 100 4,18% AA 292 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 27/06/08 27/06/14 100 4,60% AA 95 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 18/08/11 18/08/14 100 4,20% AA 150 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 29/01/10 29/01/15 100 4,18% AA 200 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 14/03/12 14/03/15 100 4,55% AA 67 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 23/03/11 23/03/15 100 4,40% AA 480 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 21/04/08 21/04/15 100 4,70% AA 325 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 21/05/08 21/05/15 100 4,70% AA 150 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 27/06/08 27/06/15 100 4,70% AA 75 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 14/03/12 14/03/16 100 4,60% AA 140 000 CERTIFICAT DE DEPÔTS 27/04/11 27/04/16 100 4,45% AA 500 000 61 400 - - - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 08/06/11 08/06/16 100 4,50% AA 100 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 18/08/11 18/08/16 100 4,45% AA 40 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 24/12/12 23/12/13 100 4,20% IF 100 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 04/03/13 03/03/14 100 4,60% IF 165 000 - - CERTIFICAT DE DEPÔTS 16/05/13 15/11/13 100 4,40% IF TOTAL 200 000 5 485 500 211 400 - - - - 4 Comptes consolidés IAS/IFRS NORMES ET PRINCIPES COMPTABLES APPLIQUÉS PAR LE GROUPE Les établissements de crédit doivent établir et publier leurs états financiers consolidés en normes comptables internationales à partir du 1er janvier 2008, avec un bilan d’ouverture au 1er janvier 2007. L’objectif primordial des autorités réglementaires est de doter les établissements de crédit d’un cadre de comptabilité et d’information financière conforme aux meilleurs standards internationaux en termes de transparence financière et de qualité de l’information fournie. Les nouvelles normes comptables internationales ont donc été appliquées par le groupe Société Générale Marocaine de Banques à compter du 1er janvier 2008. Modèle de réévaluation : Après sa comptabilisation initiale, un actif corporel doit être réévalué régulièrement à sa juste valeur diminuée du cumul des amortissements et pertes de valeur ultérieurs, à condition que sa juste valeur puisse être évaluée de façon fiable. Les réévaluations doivent être effectuées avec une régularité suffisante pour que la valeur comptable ne diffère pas de façon significative de celle qui aurait été déterminée en utilisant la juste valeur à la date de clôture. Amortissement : 1. CONSOLIDATION Approches par composants : chaque composant d’une immobilisation dont le coût est significatif par rapport au coût total de l’immobilisation doit être amorti séparément. Périmètre de consolidation : Base amortissable : coût d’un actif diminué de sa valeur résiduelle. Entrent dans le périmètre de consolidation les entités contrôlées (contrôle exclusif ou conjoint) ou sous influence notable. Il n’est pas fixé de seuils chiffrés d’exclusion dans les normes, l’appréciation de la matérialité doit se faire conformément au cadre conceptuel des IFRS. Valeur résiduelle : le montant estimé qu’une entité obtiendrait actuellement de la sortie de l’actif, après déduction des coûts estimés, si l’actif avait déjà l’âge et se trouvait déjà dans l’état prévu à la fin de sa durée d’utilité. Ainsi, l’information est significative si son omission ou son inexactitude peut influencer les décisions économiques que les utilisateurs prennent sur la base des états financiers. L’importance relative dépend de la taille de l’élément ou de l’erreur, jugée dans les circonstances particulières de son omission ou de son inexactitude. Durée d’amortissement (durée d’utilité) : c’est soit la période pendant laquelle l’entité s’attend à utiliser un actif, soit le nombre d’unités de production ou d’unités similaires que l’entité s’attend à obtenir de l’actif. Le mode d’amortissement utilisé par le groupe Société Générale Marocaine de Banques est le linéaire. Exclusion du périmètre : Options retenues : Deux cas d’exception existent : n n n la détention en vue de revente ultérieure à un horizon maximum fixé à 12 mois, l’existence de restrictions sévères et durables qui limitent la capacité à transférer des fonds à l’investisseur, le caractère significatif. Regroupements d’entreprises : Le groupe Société Générale Marocaine de Banques n’a pas effectué de regroupement courant 2008. Conformément aux dispositions de la norme IFRS 1, le Groupe a décidé de ne pas retraiter les regroupements d’entreprises antérieurs au 31/12/06. Options retenues : Le groupe Société Générale Marocaine de Banques applique un ensemble de seuils pour inclure certaines entités dans le périmètre de consolidation : Filiales intégrées globalement : pour être intégrée globalement, une entité doit satisfaire aux critères suivants : n n droits de vote > 40% ; total bilan > 0.1% de celui de l’activité agrégée du groupe Société Générale Marocaine de Banques. Filiales mises en équivalence : pour être mise en équivalence, une entité doit satisfaire aux critères suivants : n droit de vote compris entre 15% et 40% ; n part dans la situation nette > 0.5% des capitaux propres de l’activité agrégée ; n total bilan > 0.1% de celui de l’activité agrégée. Les options retenues portent principalement sur l’adoption de l’approche par composants, le changement au niveau de la durée d’amortissement et l’adoption du coût amorti. Modèle d’évaluation : Le groupe Société Générale Marocaine de Banques n’a pas opté pour la réévaluation périodique de ses immeubles d’exploitation. Valeur résiduelle : Les normes préconisent la prise en compte d’une valeur résiduelle pour chaque immobilisation. Le montant amortissable de l’actif est son coût diminué de sa valeur résiduelle. La valeur résiduelle des différentes immobilisations est considérée comme nulle. Frais d’acquisition : Les frais d’acquisition des immobilisations comprennent exclusivement : les droits de mutation (droits d’enregistrement, de conservation foncière…), les honoraires ou commissions hors les honoraires d’architecte, nles frais d’actes. n n À l’exclusion des frais de transport, d’installation et de montage ainsi que les honoraires d’architecte qui sont compris dans la valeur d’entrée des immobilisations concernées. Pour la période précédente à 2011, les frais d’acquisition sont forfaitairement inclus dans le coût des immobilisations corporelles concernées (Terrains et constructions) sur la base, le cas échéant, d’une statistique. D’autres frais tels que les honoraires et les droits de mutation sont incorporés dans le coût des immobilisations. À partir de 2011, les frais d’acquisition sont constatés au réel suite à l’inventaire physique des immobilisations SGMA, et intégrés à la valeur brute des immeubles et terrains, subissant ainsi l’amortissement du bien auquel ils sont rattachés. Le groupe Société Générale Marocaine de Banques ne dispose pas d’entité ad hoc. Coût d’emprunt : 2. IMMOBILISATIONS CORPORELLES Le groupe Société Générale Marocaine de Banques n’a pas opté pour la capitalisation des coûts d’emprunt étant donné qu’aucun emprunt n’est adossé à l’acquisition d’une immobilisation. Une immobilisation corporelle est un actif matériel contrôlé et possédé pour la fourniture de services ou pour les tâches administratives propres à la banque. En plus de la nature de la dépense qui reste déterminante pour son passage en immobilisation (au lieu de charge), il y a lieu de tenir compte de la possibilité d’inventorier le bien en question et ce, durant toute sa durée d’existence à l’actif de la banque. Il en découle que si la dépense présente des difficultés quant à sa localisation suite à l’inventaire physique, il faut la passer en charge. Évaluation initiale : Le coût d’acquisition du bien comporte : Le prix d’achat, + Les droits de douane et autres impôts et taxes non récupérables, - les réductions commerciales obtenues et des taxes légalement récupérables. + Les frais de transports, + Les frais de transit, + Les frais de réception, + Les frais d’assurance … + Les charges d’installation qui sont nécessaires à la mise en état d’utilisation du bien en question. Sont à exclure du coût d’acquisition : n Les droits de mutation, n Les honoraires et commissions, n Les frais d’actes. Évaluation postérieure : Modèle du coût : Après sa comptabilisation initiale, un actif corporel est comptabilisé à son coût (ou valeur initiale) après diminution du cumul des amortissements et du cumul des pertes de valeur éventuelles. Approche par composants : La méthode de reconstitution du coût historique, à partir des factures, a été adoptée pour l’application de l’approche par composants, d’où : n affectation du coût historique par composant, s’il y a lieu. n distinction entre part terrain et construction. n n calcul des amortissements en tenant compte des durées et taux d’amortissements retenus pour l’application des normes. retraitement par les capitaux propres du différentiel d’amortissements. Compte tenu de la nature de l’activité du groupe Société Générale Marocaine de Banques, l’approche par composants s’applique essentiellement aux immeubles. Les principaux composants sont : Principaux composants Gros œuvre Agencements Ascenseurs Façade Installations techniques (climatisation) Installations techniques (électricité) Installations techniques (groupes électrogènes) Installations techniques (GTB) Installations techniques (autres) Durée d’utilité (annuelle) 50 15 20 30 12 25 30 15 15 Durée sociale (annuelle) 25 10 10 10 10 10 10 10 10 3. IMMEUBLES DE PLACEMENT Un bien immobilier détenu par le propriétaire (ou par le preneur dans le cadre d’un contrat de location-financement) pour en tirer des loyers ou pour valoriser le capital ou les deux. 5 Comptes consolidés IAS/IFRS Options retenues : Aucun actif ne satisfait aux conditions de classifications en immeuble de placement. Les immobilisations hors exploitations tels que : les centres de vacances et loisirs, les logements de fonction… font parties des immobilisations corporelles. 4. IMMOBILISATIONS INCORPORELLES avantages au preneur, et exige en ce sens une analyse en substance des contrats par opposition au formalisme juridique qui prévaut en normes locales. Un contrat de location simple désigne tout contrat de location autre qu’un contrat de location financement. La norme IAS 17 indique cinq exemples de situations qui conduisent normalement à considérer un contrat comme un contrat de location-financement : Une immobilisation incorporelle est un actif non monétaire identifiable et sans substance physique, détenu en vue de son utilisation pour la production de biens et services, pour une location à des tiers ou à des fins administratives. n Immobilisations incorporelles générées en interne : n Un goodwill généré en interne ne peut jamais être reconnu en tant qu’actif. Le processus de production d’une immobilisation incorporelle comporte deux phases : n n la recherche : les dépenses sont passées en charge. n le développement : les dépenses doivent être capitalisées lorsque certains critères sont réunis : n la faisabilité technique nécessaire à l’achèvement nl’intention d’achever l’immobilisation incorporelle en vue de son utilisation ou de sa vente nsa capacité à utiliser ou à vendre l’immobilisation incorporelle nla façon dont l’immobilisation incorporelle générera des avantages économiques futurs probables (existence d’un marché ou l’utilité en interne) nla disponibilité des ressources nécessaires à l’achèvement nla capacité à évaluer de façon fiable les dépenses attribuables à l’immobilisation incorporelle au cours de son développement. n Si l’entité ne peut pas distinguer la phase de développement de la phase de recherche, tous les coûts passent en charges. évaluation postérieure : Modèles d’évaluation : À l’instar des immobilisations corporelles, deux modèles d’évaluation peuvent être appliqués : Modèle du coût : Comptabilisation au coût diminué du cumul des amortissements et des pertes de valeur. Modèle de la réévaluation : Comptabilisation pour le montant réévalué diminué du cumul des amortissements et des pertes de valeurs ultérieurs. Ce modèle ne peut être retenu que si les conditions suivantes sont réunies : juste valeur déterminée par référence à un marché actif les réévaluations régulières ntous les actifs d’une même catégorie doivent être réévalués sauf s’il n’existe pas de marché actif n n Amortissement : Mode d’amortissement : Le mode d’amortissement doit traduire le rythme de consommation des avantages économiques de l’actif. Le mode linéaire doit être utilisé si un autre rythme ne peut être déterminé de façon fiable. Une immobilisation à durée d’utilité indéterminée n’est pas amortie. Une immobilisation à durée d’utilité finie doit être amortie sur cette dernière. La durée et le mode d’amortissement doivent être réexaminés au minimum à la clôture de chaque exercice. n le contrat de location transfère la propriété de l’actif au preneur au terme de la durée du contrat de location. le contrat de location donne au preneur l’option d’acheter l’actif à un prix qui devrait être suffisamment inférieur à sa juste valeur à la date à laquelle l’option peut-être levée pour que, dès le commencement du contrat de location, on ait la certitude raisonnable que l’option sera levée. la durée du contrat de location couvre la majeure partie de la durée de vie économique de l’actif même s’il n’y a pas transfert de propriété. au commencement du contrat de location, la valeur actualisée des paiements minimaux au titre de la location s’élève au moins à la quasi-totalité de la juste valeur de l’actif loué. les actifs loués sont d’une nature tellement spécifique que seul le preneur peut les utiliser sans leur apporter des modifications majeures. Comptabilisation : Location financement : Comptabilisation chez le bailleur Le bailleur doit comptabiliser dans son bilan les actifs détenus en vertu d’un contrat de location-financement et les présenter comme des créances pour un montant égal à l’investissement net dans le contrat de location. Les paiements reçus doivent être répartis entre la partie en capital considérée comme un amortissement de la créance et la partie en intérêt représentant le paiement d’un taux effectif acquis ou à recevoir. La comptabilisation des revenus financiers doit s’effectuer sur la base d’une formule traduisant un taux de rentabilité périodique constant sur l’encours d’investissement net restant du bailleur tel que défini dans le contrat de location-financement. Comptabilisation chez le preneur : Le preneur doit comptabiliser les contrats de location-financement à l’actif et au passif de son bilan pour des montants égaux à la juste valeur du bien loués ou, si celle-ci est inférieure, à la valeur actualisée des paiements minimaux au titre de la location, déterminées chacune au commencement du contrat. Location simple : Les actifs faisant l’objet de contrats de location simple doivent être présentés au bilan du bailleur selon la nature de l’actif. Compte de résultat : les revenus locatifs provenant des contrats de location simple doivent être comptabilisés en produit de façon linéaire sur toute la durée du contrat de location à moins qu’une autre base systématique ne soit plus représentative de l’échelonnement dans le temps de la diminution de l’avantage retiré de l’utilisation de l’actif loué. L’amortissement des actifs loués doit se faire sur une base cohérente avec la politique normalement suivie par le bailleur pour l’amortissement d’actifs similaires. Options retenues : Les entités exerçant l’activité du crédit-bail au niveau du Groupe sont Sogelease et Eqdom. Le taux de non levée de l’option d’achat est quasi nul. Le traitement comptable appliqué par le groupe Société Générale Marocaine de Banques dans le cadre de la consolidation est conforme aux IFRS. Pertes de valeur : Un test de dépréciation doit être pratiqué à chaque fois qu’un indicateur de perte de valeur est identifié et à chaque clôture d’exercice pour les immobilisations incorporelles à durée d’utilité indéterminée. 6. ACTIFS ET PASSIFS FINANCIERS Options retenues : Les prêts et créances sont définis comme étant des non dérivés à paiements fixes ou déterminables et non cotés sur un marché actif. Les immobilisations incorporelles du groupe Société Générale Marocaine de Banques sont évaluées à leur coût amorti. Le taux d’amortissement retenu est celui appliqué en social. La valeur résiduelle est estimée comme nulle. Les charges à répartir sont retraitées en contrepartie des capitaux propres. Les dépenses engagées dans le cadre des projets informatiques sont traités dans les comptes sociaux selon deux phases : n phase de recherche : les dépenses sont considérées comme charges n phase de développement : les dépenses sont immobilisées. 5. CONTRATS DE LOCATION Un contrat de location est un accord par lequel le bailleur cède au preneur pour une période déterminée, le droit d’utilisation d’un actif en échange d’un paiement ou d’une série de paiements. Classification des contrats de location : Contrat de location-financement : Un contrat de location financement est un contrat ayant pour effet de transférer au preneur la quasi-totalité des risques et des avantages inhérents à la propriété d’un actif. Le transfert de propriété peut intervenir ou non, in fine. Contrat de location simple : Un contrat de location est classé en tant que contrat de location simple s’il ne transfère pas au preneur la quasi-totalité des risques et des avantages inhérents à la propriété. La classification d’un contrat est étroitement liée au degré de transfert des risques et des Prêts et créances : Les obligations non cotées sur un marché actif sont classées en prêt est créances. Exceptions : Les prêts émis ou achetés : n avec l’intention d’être vendus immédiatement ou à court terme sont à classer en actifs détenus à des fins de transaction. n désignés à l’origine comme étant à la juste valeur par résultat. n désignés à l’origine comme étant disponibles à la vente. Taux d’intérêts effectif (TIE) : c’est le taux qui égalise les cash flows futurs estimés, actualisés et la valeur comptable initiale du prêt. Dépôts : Les dépôts sont traités en IFRS de façon symétrique aux crédits. Les problématiques rencontrées sont donc similaires : évaluation initiale : Si le dépôt est rémunéré à des conditions hors marché, il devra faire l’objet d’une décote. évaluation ultérieure : Les coûts et les commissions directement associés à la mise en place du dépôt doivent être étalés via le taux d’intérêt effectif du dépôt. Crédits restructurés : Lorsqu’un crédit est restructuré du fait de la situation financière d’un débiteur, les flux futurs du crédit sont actualisés au TIE d’origine et la différence entre ce montant et la valeur comptable du crédit est enregistrée immédiatement en coût du risque. Cette décote est réintégrée sur la durée de vie du crédit dans la marge d’intérêt. L’abandon d’intérêt est comptabilisé exhaustivement au moment de la renégociation et la rémunération contractuelle initiale est conservée tout au long de la vie du crédit. 6 Comptes consolidés IAS/IFRS Options retenues : Mode de comptabilisation : Prêts et créances : Évaluation à la juste valeur à moins qu’elle ne puisse être évaluée de manière fiable. L’application du coût amorti aux crédits à plus d’un an, est considérée comme non significative. La différence entre le coût et la juste valeur est comptabilisée séparément en capitaux propres jusqu’à ce qu’ils soient vendus. Dépôts : La valorisation en juste valeur des titres de ce portefeuille est répartie entre les lignes suivantes du compte résultat : Les dépôts sont maintenus à leur valeur comptable. Aucune décote n’est nécessaire compte tenu des caractéristiques des opérations réalisées par le groupe Société Générale Marocaine de Banques. n Crédit restructuré : n Pour le chiffrage de l’impact, les dossiers retenus observent un seuil de 1,5 MMAD. produit d’intérêts : pour le montant correspondant au coût amorti de la période. résultat net sur actifs disponibles à la vente : pour le montant correspondant aux dividendes, aux dépréciations durables sur titres à revenu variable, aux résultats de cession. Coût du risque pour les dépréciations durables (titres à revenus fixes et variables) et réappréciation sur titres à revenu fixe. La décote est calculée sur les crédits restructurés pour des raisons de difficultés financières telles que définies dans la norme. Elle est calculée au jour de la restructuration par différence entre la valeur nette comptable du prêt restructuré et la somme des cash flows futurs attendus du nouveau prêt restructuré, actualisé au taux d’origine du prêt. n La décote est jugée non significative. Dépréciation : n Et la ligne de capitaux propres « variation de valeur sur actifs disponibles à la vente » pour le montant correspondant au complément de juste valeur. Provisionnement pour la partie négative constatée en fonds propres. 7. TITRES 7.4. Prêts et créances Quatre catégories de titres existent : Ce sont des actifs financiers à paiements fixes ou déterminables non cotés sur un marché non actif autres que ceux que l’entité décide de classer en catégorie juste valeur par résultat ou AFS. 7.1. Titres à la juste valeur par résultat : Titres de trading : Ce sont des actifs financiers acquis dans le but principal de dégager un bénéfice des fluctuations à court terme de leur prix ou des marges d’un arbitragiste. Tout actif financier dont le rythme de transaction est fréquent doit faire partie du portefeuille de transaction. Le transfert hors la catégorie trading n’est pas autorisé. Mode comptabilisation : Évaluation à la juste valeur par contrepartie du compte résultat. Titres option juste valeur : Il est possible de désigner initialement et irrévocablement tout instrument financier (actif ou passif) dans la catégorie « trading », quelle que soit sa nature et l’intention de gestion initiale. Mode comptabilisation : Évaluation à la juste valeur par contrepartie du compte résultat. Dépréciation : Un actif comptable est déprécié s’il est probable que sa valeur comptable est supérieure à sa valeur recouvrable estimée : Les actifs financiers pour lesquels le détenteur peut ne pas recouvrer l’intégralité de son investissement initial pour une raison autre que la détérioration du risque crédit, ne peuvent pas être enregistrés dans cette catégorie (exclusion des parts OPCVM). Mode de comptabilisation : Évaluation au coût amorti sur la base du taux effectif initial, qui inclut les frais d’acquisition et les éventuelles surcotes/décotes. Le coût amorti est affecté en « produits d’intérêts assimilés », les dépréciations et les reprises de provisions lors de la cession ainsi que les moins values de cession, sont enregistrées en « coût du risque ». Les plus values de cession sont enregistrées en « gains ou pertes ». Dépréciation : Dépréciation de façon à prendre en compte les seuls flux jugés recouvrables. C’est l’écart entre la valeur au bilan et la valeur actualisée, au taux effectif initial, des flux futurs probables. Options retenues : Diverses options sont retenues par le groupe Société Générale Marocaine de Banques : n appréciation au minimum annuelle de l’existence d’un indicateur objectif, dépréciation inscrite en compte de résultat, ndépréciation peut être statistique mais ne peut être générale. n n À la fin de chaque période, l’entreprise doit statuer sur la présence d’indications objectives de dépréciation de ses actifs financiers. Pour cette catégorie de titre (titres de transaction), il n’y a pas de dépréciation à constater. 7.2. Titres détenus jusqu’à l’échéance (HTM) : Ce sont des actifs à échéance fixée et à paiements fixés ou déterminables, que l’entreprise a l’intention expresse et la capacité de conserver jusqu’à l’échéance. Les placements ne peuvent être classés comme HTM si : n n ils sont destinés à être détenus pour une période indéfinie, sauf si le versement des intérêts est prévu pour une période définie. L’émetteur a le droit de régler à un montant nettement inférieur à la valeur comptable. n Il existe une ou des clauses pouvant remettre en cause la détention jusqu’à la maturité. AFS - Titres de participation Prêts et créances - Bons CNCA - Bons de trésor classés en portefeuille de placement - Bons CIH - Obligations et autres titres de créance nValorisation des bons de trésor selon la courbe du marché secondaire. n Détermination de la valeur des titres non côtés sur la base de la situation nette des entités concernées. n La valeur retenue pour la valorisation des titres cotés est le cours boursier. n Étalement actuariel des surcotes et décotes n Ils sont susceptibles d’être vendus en raison des évolutions des conditions du marché, des besoins de liquidité… n Classement des titres en fonction de l’intention de gestion dans les deux catégories : AFS et prêts et créances. Calcul des dépréciations durables dans le cas où une baisse durable et significative est constatée (baisse de 30% de la moyenne mobile des cours sur 12 mois par rapport au prix de revient). Toutefois, si la baisse n’est pas continue sur les 12 mois, une appréciation qualitative est effectuée au cas par cas. 8. PROVISIONS Les actions sont exclues de cette catégorie. 8.1 Provisions pour risques et charges L’intention et la capacité doivent être évaluées à chaque clôture d’exercice : ninterdiction de couvrir les titres HTM contre le risque de taux. nL’entité doit disposer des ressources financières nécessaires pour continuer à financer son placement jusqu’à l’échéance. Une provision pour risques et charges est un passif dont l’échéance ou le montant sont incertains. Si une entité du groupe Société Générale Marocaine de Banques vend à l’extérieur (ou reclassifie) un montant non négligeable de HTM, le groupe doit reclasser l’intégralité des titres détenus jusqu’à l’échéance et ne peut plus classer ses actifs financiers dans cette catégorie pendant 2 ans (règle du tainting). Mode de comptabilisation : Évaluation au coût amorti sur la base du taux effectif initial, qui inclut les frais d’acquisition et les éventuelles surcotes/décotes. Le coût amorti est affecté en « produits d’intérêts assimilés », les dépréciations et les reprises de provisions lors de la cession ainsi que les moins-values de cession, sont enregistrées en « coût du risque ». Les plus-values de cession sont enregistrées en « gains ou pertes ». Dépréciation : Dépréciation de façon à prendre en compte les seuls flux jugés recouvrables. C’est l’écart entre la valeur au bilan et la valeur actualisée, au taux effectif initial, des flux futurs probables. 7.3. Titres disponibles à la vente (AFS) Ce sont des actifs financiers autres que : les actifs de trading. nles HTM. nles prêts et créances émis par l’entreprise. n Un passif est une obligation actuelle de l’entreprise résultant d’évènements passés et dont l’extinction devrait se traduire pour l’entreprise par une sortie de ressources représentatives d’avantages économiques. Évaluation : La norme IAS 37 retient la même méthode d’évaluation des provisions pour risques et charges que le référentiel comptable marocain. Ainsi le montant comptabilisé en provision doit être la meilleure estimation de la dépense nécessaire à l’extinction de l’obligation actuelle à la date de clôture. Critères de constitution d’une PRC : n L’obligation actuelle envers un tiers. n La forte probabilité de sortie de ressources pour éteindre l’obligation. n La fiabilité de l’évaluation de cette sortie de ressource. Options retenues : Un seuil de 1 MMAD est retenu pour l’analyse des provisions pour risques et charges, l’actualisation est à effectuer si le montant est significatif. Les provisions à caractères généraux et les provisions réglementées sont annulées. 8.2 Provisions sur créances 8.2.1 Provisions individuelles : Doivent faire l’objet d’une provision toutes les créances présentant, individuellement ou collectivement, une ou plusieurs indications objectives de dépréciation (risque avéré). 7 Comptes consolidés IAS/IFRS Les indications d’une dépréciation liée à l’existence d’un risque de crédit suivantes sont proposées par la norme : n difficultés financières importantes de l’émetteur ou du débiteur. n une rupture du contrat tel qu’un défaut de paiement des intérêts ou du principal. n l’octroi par le prêteur à l’emprunteur, pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l’entreprise, d’une facilité que le prêteur n’aurait pas envisagée dans d’autres circonstances. n la probabilité croissante de faillite ou autre restructuration de l’emprunteur. n la disparition d’un marché actif pour cet actif financier, suite à des difficultés financières ou, n des données observables indiquant une diminution évaluable des flux de trésorerie futurs estimés provenant d’un groupe d’actif financiers depuis la comptabilisation initiale de ces actifs, bien que la diminution ne puisse pas encore être rattachée à chaque actif financier du groupe. Perte de valeur : L’impairment se mesure comme la différence entre, d’une part, la valeur comptable des créances, d’autre part la valeur recouvrable. La valeur recouvrable est la valeur actuelle des flux de récupération attendus, actualisés en utilisant le taux d’intérêt effectif d’origine de la créance. Options retenues : Les provisions sont constituées sur des créances ayant connu un indice objectif de dépréciation sur la base de leur valeur recouvrable estimée, actualisée au taux d’origine des crédits. Les critères d’identification des créances en souffrance adoptés par Bank Al-Maghrib sont maintenus. Les provisions concernant les créances en souffrance présentant des montants significatifs sont estimées individuellement par l’entité de recouvrement : n n Clients compromis ayant un risque net > 2,5 MMAD. Clients compromis ayant une provision > 5 MMAD. Le groupe Société Générale Marocaine de Banques a développé des modèles statistiques sur la base des historiques de recouvrement et des garanties et sûretés détenues pour le calcul des provisions pour les créances en souffrance non significatives. 8.2.2 Provisions collectives : Si une entité détermine qu’il n’existe pas d’indications objectives de dépréciation pour un actif financier considéré individuellement, significatif ou non, elle inclut cet actif dans un groupe d’actifs financiers présentant des caractéristiques de risque de crédit similaires et les soumet collectivement à un test de dépréciation. Les actifs soumis à un test de dépréciation individuel et pour lesquels une perte de valeur est comptabilisée ou continue de l’être, ne sont pas inclus dans un test de dépréciation collectif. La norme ne distingue pas deux méthodologies différentes pour l’évaluation des provisions sur encours « impaired » individuellement ou collectivement. Le principe unique à appliquer est de provisionner l’excédent de la valeur comptable du ou des actifs sur leur valeur recouvrable. La constitution de provisions n’intervient qu’en cas de dégradation observable du niveau de risque d’un groupe de créances, et ayant une incidence mesurable sur les flux de trésorerie attendus du groupe constitué. n indemnités de fin de contrat de travail. Régimes à cotisations définies : Dans les régimes à cotisation définies, l’employeur paye des cotisations fixes à une entité distincte et n’aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n’a pas suffisamment d’actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pour l’exercice et les exercices antérieurs. La norme impose à l’entité de comptabiliser les cotisations versées au régime à contributions définies lorsque le membre du personnel a rendu des services en échange de ces cotisations. Régimes à prestations définies : Les régimes à prestations définies peuvent être non financés, ou partiellement ou intégralement financés. La norme impose à l’entité : n de comptabiliser non seulement son obligation juridique mais aussi toute obligation implicite générée par les pratiques passées de l’entité. nde déterminer la valeur actuelle des obligations au titre des prestations définies et la juste valeur des actifs des régimes avec une régularité suffisante pour que les montants comptabilisés dans les états financiers ne diffèrent pas de façon significative des montants qui auraient été déterminés à la date de clôture. nd’utiliser la méthode des unités de crédit projetées pour évaluer ses obligations et ses coûts. nd’affecter les droits à prestations aux périodes de services en vertu de la formule de calcul des prestations du régime. nd’utiliser des hypothèses actuarielles objectives et mutuellement compatibles concernant les variables démographiques et financières. nde déterminer le taux d’actualisation par référence à un taux du marché à la date de clôture basé sur les obligations d’entreprises de première catégorie. nde déduire la juste valeur des éventuels actifs du régime montant comptable de l’obligation. nde limiter la valeur comptable d’un actif de telle façon qu’il ne dépasse pas le total : (i) du coût non comptabilisé des services passés et des pertes actuarielles ; plus (ii) la valeur actuelle des éventuels avantages économiques disponibles sous la forme de remboursements du régime ou de réductions de contributions futures au régime ; nde comptabiliser le coût des services passés selon un mode linéaire sur la durée moyenne restant à courir. nde comptabiliser les profits ou pertes liés à une réduction ou liquidation d’un régime à prestations définies au moment où la réduction ou liquidation a lieu. nde comptabiliser une part spécifiée des écarts actuariels cumulés nets excédant la plus grande des deux valeurs suivantes : (i) 10 % de la valeur actualisée de l’obligation au titre des prestations définies ; ou (ii) 10 % de la juste valeur des éventuels actifs du régime. La part des écarts actuariels à comptabiliser pour chaque régime à prestations définies est l’excédent tombant au-delà du corridor de 10 % à la date de clôture précédente divisé par la durée de vie active résiduelle moyenne attendue du personnel participant au régime. La Norme impose une méthode plus simple de comptabilisation des avantages à long terme autres que les avantages postérieurs à l’emploi : la comptabilisation immédiate des écarts actuariels et du coût des services passés. Options retenues : La base de dépréciation du portefeuille des prêts et créances concerne les créances sensibles (selon les cotations internes à la banque). Le groupe Société Générale Marocaine de Banques a développé des modèles statistiques pour calculer les provisions collectives sur la base des historiques de transformation des créances sensibles en créances en souffrance. Options retenues : Le groupe Société Générale Marocaine de Banques retient la méthode du corridor comme méthode de reconnaissance des écarts actuariels. Une exception IFRS 1, permet à une société fille dont la mère est déjà passée aux IFRS, d’utiliser les mêmes évaluations de provisions que ce qui est remonté à sa mère. Les évaluations réalisées dans le cadre des comptes consolidés (remontée à la Société Générale) vont donc être reprises. 9. GOODWILL 11. DÉRIVÉS Le goodwill est constitué par l’ensemble des avantages économiques futurs générés par des actifs qui ne peuvent être individuellement identifiés et comptabilisés séparément. Il correspond donc à la différence entre le coût d’acquisition et la part d’intérêt de l’acquéreur dans la juste valeur nette des actifs et passifs éventuels identifiables. Après être évalué, il doit être comptabilisé à la date d’acquisition en tant qu’actif. Lorsque l’acquisition est réalisée par étape, le goodwill doit être calculé à chaque étape, sur la base de la juste valeur de l’actif net identifiable de l’entreprise à cette date L’amortissement du goodwill laisse la place en IFRS à un test de dépréciation, au minimum annuel. Options retenues : L’amortissement des goodwill est abandonné et des tests de dépréciation réguliers sont effectués. Pour le traitement du goodwill, la valeur nette comptable retenue est celle arrêtée au 31/12/06. Change à terme Les opérations de change sont enregistrées dans le bilan à la date de l’engagement et non plus dans le hors bilan, même si la juste valeur à l’initiation est nulle pour la quasi-totalité des contrats (juste valeur nulle pour des contrats fermes initiés à des conditions de marché). Les opérations de change spot donnent lieu à comptabilisation directement au bilan avec réévaluation comme pour le cas des normes marocaines. Toutes les opérations de change à terme sont suivies en valeur de marché. Options retenues : Le groupe Société Générale Marocaine de Banques n’effectue pas d’opérations de couverture. L’ensemble des opérations de change réalisées est classé en instruments en juste valeur par résultat. 12. IMPÔTS DIFFÉRÉS 10. AVANTAGES AU PERSONNEL L’ impôt différé gomme les distorsions pouvant exister entre : La norme IAS 19 identifie 4 catégories d’avantages du personnel : les valeurs bilantielles comptables et les valeurs bilantielles fiscales ; le résultat social et le résultat fiscal ; nle résultat social et le résultat IAS. L’impôt recalculé représente finalement le résultat courant et le résultat différé. Un impôt différé passif doit être pris en compte pour toutes les différences temporelles imposables puisqu’il s’agit d’une dette future d’impôt. Les impôts différés actifs, qu’ils soient liés à des différences temporaires déductibles ou à des pertes fiscales reportables, ne sont pris en compte que si leur récupération est probable. L’actualisation est interdite. Les actifs et les passifs d’impôt différé doivent être évalués aux taux d’impôt dont l’application est attendue sur l’exercice au cours duquel l’actif sera réalisé ou le passif réglé sur la base des taux d’impôt adoptés ou quasiment adoptés à la clôture. n n n avantages à court terme, tels que les salaires, les rémunérations, les cotisations de sécurité sociale, les congés payés, les congés maladie, l’intéressement et les primes (s’ils sont payables dans les 12 mois suivants la fin de l’exercice) et les avantages non monétaires (tel que l’assistance médicale, le logement, les voitures et les biens ou services gratuits ou subventionnés) accordés au personnel en activité ; avantages postérieurs à l’emploi tels que les pensions de retraite et autres prestations postérieures à l’emploi, l’assurance-vie postérieure à l’emploi et l’assistance médicale postérieure à l’emploi ; avantages à long terme comprenant les congés liés à l’ancienneté, congés sabbatiques, jubilés ou autres avantages liés à l’ancienneté, indemnité d’incapacité de longue durée et, s’ils sont payables 12 mois ou plus après la fin de l’exercice, l’intéressement, les primes et rémunérations différées. n n 8 Comptes consolidés IAS/IFRS ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS IAS/IFRS AU 30/06/2013 BILAN CONSOLIDÉ AUX NORMES IAS/IFRS AU 30/06/2013 En milliers de DH En milliers de DH ACTIF IFRS 30/06/13 Valeurs en caisse, Banques Centrales, Trésor public, Service des chèques postaux 31/12/12 1 909 441 3 132 691 7 202 6 266 Actifs financiers disponibles à la vente 4 124 502 4 282 364 Prêts et créances sur les Etablissements de crédit et assimilés 3 509 120 2 959 027 62 718 999 64 330 170 Actifs d'impôt exigible 452 049 891 088 Actifs d'impôt différé 995 875 800 626 Comptes de régularisation et autres actifs 567 726 570 287 408 020 413 932 1 609 220 1 613 627 268 003 259 836 Actifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments dérivés de couverture Prêts et créances sur la clientèle écart de réévaluation actif des portefeuilles couverts en taux Placements détenus jusqu'à leur échéance Actifs non courants destinés à être cédés Participations dans des entreprises mises en équivalence Immeubles de placement Immobilisations corporelles Immobilisations incorporelles écarts d'acquisition TOTAL ACTIF IFRS 61 248 61 248 76 631 405 79 321 162 COMPTE DE RÉSULTAT CONSOLIDÉ AUX NORMES IAS/IFRS AU 30/06/2013 PASSIF IFRS 30/06/13 Banques centrales, Trésor public, Services des chèques postaux Passifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments dérivés de couverture Dettes envers les établissements de crédit et assimilés Dettes envers la clientèle Titres de créance émis écart de réévaluation passif des portefeuilles couvert en taux Passifs d'impôt exigible Passifs d'impôt différé Comptes de régularisation et autres passifs Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés Provisions Techniques des contrats d'assuarance Provisions Subventions et fonds assimilés Dettes subordonnées et fonds spéciaux de garantie Capitaux propres Capitaux propres part du groupe . Capital et réserves liées . Réserves consolidées . Gains ou pertes latents ou différés . Résultat de l’exercice Intérêts minoritaires TOTAL PASSIF IFRS 11 079 4 297 194 50 846 282 10 016 053 636 444 516 410 1 290 493 326 433 2 547 061 8 655 100 8 536 447 7 332 553 918 490 57 443 227 961 118 653 76 631 405 1 175 185 481 348 925 792 215 343 2 578 874 8 774 012 8 648 081 6 760 053 827 999 56 185 1 003 844 125 931 79 321 162 TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE AU 30/06/2013 En milliers de DH Compte de résultat + Intérêts et produits assimilés - Intérêts et charges assimilées MARGE D'INTéRêT + Commissions (Produits) - Commissions (Charges) MARGE SUR COMMISSIONS +/- Gains ou Pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat +/- Gains ou Pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente + Produits des autres activités - Charges des autres activités PRODUIT NET BANCAIRE Charges générales d'exploitation - Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles RéSULTAT BRUT D'EXPLOITATION - Coût du risque RéSULTAT D'EXPLOITATION +/- Quote part du résultat net des entreprises mises en équivalence +/- Gains ou pertes nets sur autres actifs +/- Variations de valeur des écarts d'acquisition RéSULTAT AVANT IMPOT - Impôt sur les résultats +/- Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession RéSULTAT NET Intérêts minoritaires RéSULTAT NET - PART DU GROUPE 30/06/13 2 148 514 -693 415 1 455 099 440 453 -84 109 356 344 -9 153 24 256 16 934 -16 644 1 826 836 -787 231 30/06/12 2 337 714 -722 555 1 615 159 482 720 -106 298 376 422 29 562 26 292 7 113 -5 624 2 048 924 -731 495 -66 009 -66 954 973 596 -624 484 349 112 31 823 1 250 475 -453 782 796 693 31 795 380 935 -146 750 828 488 -285 484 234 185 6 224 227 961 543 004 7 903 535 101 évolution du capital et des résultats par action En milliers de DH 31/12/11 Capital Nombre d'actions Résultat Part Groupe Résultat par Action (dh) 2 050 000 20 500 1 120 998 55 31/12/12 2 050 000 20 500 1 003 844 49 30/06/13 2 050 000 20 500 227 961 11 31/12/12 23 449 4 287 638 51 141 094 7 207 283 En milliers de DH 30/06/13 Résultat avant impôts +/- Dotations nettes aux amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles +/- Dotations nettes pour dépréciation des écarts d’acquisition et des autres immobilisations +/- Dotations nettes pour dépréciation des actifs financiers +/- Dotations nettes aux provisions +/- Quote-part de résultat liée aux sociétés mises en équivalence +/- Perte nette/(gain net) des activités d’investissement +/- Perte nette/(gain net) des activités de financement +/- Autres mouvements Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements +/- Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit et assimilés +/- Flux liés aux opérations avec la clientèle +/- Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers +/- Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs non financiers - Impôts versés Diminution/(augmentation) nette des actifs et des passifs provenant des activités opérationnelles Flux net de trésorerie généré par l’activité opérationnelle +/- Flux liés aux actifs financiers et aux participations +/- Flux liés aux immeubles de placement +/- Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles Flux net de trésorerie lié aux opérations d’investissement +/- Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires +/- Autres flux de trésorerie nets provenant des activités de financement Flux net de trésorerie lié aux opérations de financement Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie Trésorerie et équivalents de trésorerie à l’ouverture Caisse, Banques centrales, CCP (actif & passif) Comptes (actif & passif) et prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture Caisse, Banques centrales, CCP (actif & passif) Comptes (actif & passif) et prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit Variation de la trésorerie nette 31/12/12 380 935 66 009 680 318 -31 823 9 153 1 510 878 136 773 -1 773 927 958 -65 097 -58 934 723 657 938 927 -803 587 1 905 983 -2 639 474 197 948 -681 517 -83 135 -954 900 -1 564 688 -699 160 -724 537 -2 020 647 -4 026 420 -916 055 25 911 -68 516 -42 605 -289 780 -289 780 -1 248 440 -1 576 615 24 680 -73 398 -48 718 -328 000 -328 000 -1 953 333 3 478 898 3 132 691 346 207 2 230 458 1 909 441 321 017 -1 248 440 5 432 231 5 324 939 107 292 3 478 898 3 132 691 346 207 -1 953 333 TABLEAU DE VARIATION DES CAPITAUX PROPRES au 30/06/2013 En milliers de DH Tableau de variation des capitaux propres Capitaux propres clôture 31/12/2011 Opérations sur capital Paiements fondés sur des actions Opérations sur actions propres Dividendes Résultat de l’exercice Immobilisations corporelles et incorporelles : réévaluations et cessions (D) Instruments financiers : variations de juste valeur et transferts en résultat (E) écarts de conversion : variations et transferts en résultat (F) Gains ou pertes latents ou différés (D) + (E) + (F) Diverses opérations sur Capitaux Propres Variation de périmetre ** Capitaux propres clôture 31/12/2012 Opérations sur capital Paiements fondés sur des actions Opérations sur actions propres Dividendes Dividendes filiales versés HG Résultat de l’exercice Immobilisations corporelles et incorporelles : réévaluations et cessions (D) Instruments financiers : variations de juste valeur et transferts en résultat (E) écarts de conversion : variations et transferts en résultat (F) Gains ou pertes latents ou différés (D) + (E) + (F) Diverses opérations sur Capitaux Propres Variation de périmètre Capitaux propres clôture 30/06/2013 Capital 2 050 000 2 050 000 2 050 000 Réserves liées au capital 4 032 353 677 700 4 710 053 572 500 5 282 553 Actions propres - Réserves et résultats consolidés 1 782 351 -677 700 -328 000 1 003 844 65 142 -13 794 1 831 844 -572 500 -286 713 -3 066 227 961 -51 074 1 146 451 Gains ou pertes latents ou différés 89 131 -32 946 -32 946 56 185 1 258 1 258 57 443 Capitaux propres part Groupe 7 953 835 -328 000 1 003 844 -32 946 -32 946 65 142 -13 794 8 658 185 -286 713 -3 066 227 961 1 258 1 258 -51 074 8 536 448 Intérêts minoritaires 138 225 -11 987 3 084 10 493 10 493 9 004 -22 887 125 931 -12 076 3 272 6 224 -4 698 -4 698 118 653 Total 8 092 060 -339 987 1 006 928 -22 455 -22 455 74 146 -36 681 8 774 012 -298 789 205 234 185 -3 440 -3 440 -51 074 8 655 100 9 Comptes consolidés IAS/IFRS EXTRAIT DES NOTES ANNEXES MARGE D’INTÉRÊTS En milliers de DH 30/06/2013 Produits 30/06/2012 Charges Net Produits Charges Net Opérations avec la clientèle 1 994 278 427 101 1 567 177 2 121 630 384 640 1 736 990 Comptes et prêts/emprunts 1 759 675 418 867 1 340 808 1 885 838 376 357 1 509 481 2 277 8 234 -5 957 2 209 8 283 232 326 233 583 Opérations de pensions Opérations de location-financement 232 326 -6 074 233 583 Opérations interbancaires 154 236 266 314 -112 078 216 084 337 915 -121 831 Comptes et prêts/emprunts 83 379 260 073 -176 694 161 172 332 858 -171 686 Opérations de pensions 70 857 6 241 64 616 54 912 5 057 49 855 Emprunts émis par le Groupe - - - - - - Instruments de couverture de résultats futurs - - - - - - Instruments de couverture des portefeuilles couverts en taux - - - - - - Portefeuille de transactions - - - - - - Titres à revenu fixe - - - - - - Opérations de pensions - - - - - - Prêts/emprunts - - - - - - Dettes représentées par un titre - - - - - - Actifs disponibles à la vente - - - - - - Actifs détenus jusqu’à échéance - - - - - - 2 148 514 693 415 1 455 099 2 337 714 722 555 1 615 159 TOTAL DES PRODUITS ET CHARGES D’INTÉRÊTS OU ASSIMILÉS COÛT DU RISQUE PRÊTS ET CRÉANCES SUR LES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT En milliers de DH 30/06/13 En milliers de DH 30/06/12 Dotations aux provisions -732 868 -258 416 Provisions pour dépréciation des prêts et créances -704 558 -257 909 -7 892 - Provisions engagements par signature Autres provisions pour risques et charges -20 418 -507 Reprises de provisions 127 679 20 954 Reprises de provisions pour dépréciation des prêts et créances 118 500 12 226 Reprises de provisions engagements par signature 8 542 - 637 8 728 Variation des provisions -19 295 -216 317 Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non provisionnées -14 369 -10 513 -8 472 -205 808 3 546 - Reprise des autres provisions pour risques et charges Pertes sur prêts et créances irrécouvrables provisionnées Récupérations sur prêts et créances amorties Autres pertes Coût du risque - - -624 484 -453 782 30/06/13 Comptes à vue 31/12/12 547 962 680 175 2 961 158 2 278 852 - - 3 509 120 2 959 027 - - Total des prêts consentis et créances sur les établissements de crédits nets de dépréciation 3 509 120 2 959 027 Prêts et créances sur les établissemts de crédit et assimilés 3 509 120 2 959 027 Prêts Opérations de pension Total des prêts consentis et créances sur les établissements de crédits avant dépréciation Dépréciation des prêts et créances émis sur les établissements de crédit PRÊTS ET CRÉANCES SUR LA CLIENTÈLE En milliers de DH Commissions nettes au 30/06/2013 30/06/13 En milliers de DH Produits Commissions nettes sur opérations Avec les établissements de crédit Avec la clientèle Sur titres De change Sur instruments financiers à terme et autres opérations hors bilan Prestation de services bancaires et financiers Produits nets de gestion d’OPCVM Produits nets sur moyen de paiement Charges Net 390 869 84 109 306 760 - - - 184 962 15 097 169 865 8 916 4 388 4 528 196 991 64 624 132 367 - - - 49 584 - 49 584 4 706 - 4 706 41 739 - 41 739 Assurance 1 391 - 1 391 Autres 1 748 - 1 748 440 453 84 109 356 344 Produits nets de commissions 31/12/12 Comptes ordinaires débiteurs 10 267 181 10 858 465 Prêts consentis à la clientèle 50 678 370 50 886 200 Opérations de pension Opérations de location-financement Total des prêts consentis et créances sur la clientèle avant dépréciation 33 113 - 6 696 935 6 877 903 67 675 599 68 622 568 Dépréciation des prêts et créances sur la clientèle -4 956 600 -4 292 398 Total des prêts consentis et créances sur la clientèle nets de dépréciation 62 718 999 64 330 170 Dettes envers les établissements de crédit En milliers de DH 30/06/13 Comptes à vue Emprunts Opérations de pension Total des dettes envers les établissements de crédit 31/12/12 226 700 333 968 3 846 172 3 963 226 214 766 - 4 287 638 4 297 194 Information sectorielle au 30/06/2013 En milliers de DH Banque de détail et de financement Marge d'intérêts Leasing Total Dettes envers la clientèle 1 335 759 119 340 1 455 099 359 311 -2 967 356 344 - - - 1 710 286 116 550 1 826 836 Résultat brut d'exploitation 878 561 95 035 Résultat d'exploitation 285 639 63 473 Marge sur commissions Résultat des activités de marché Produit net bancaire En milliers de DH 30/06/13 Comptes ordinaires créditeurs 31/12/12 31 477 749 31 190 100 Comptes à terme 8 569 236 8 484 551 973 596 Comptes d'épargne à taux administré 7 641 308 7 385 489 349 112 Bons de caisse 3 452 801 3 461 761 Résultat net 202 313 31 872 234 185 Opérations de pension Résultat net part du Groupe 196 089 31 872 227 961 Total des dettes envers la clientèle - 324 381 51 141 094 50 846 282 10 Comptes consolidés IAS/IFRS EXTRAIT DES NOTES ANNEXES IMMOBILISATIONS CORPORELLES ET INCORPORELLES En milliers de DH 30/06/2013 VBC 31/12/2012 Cumul des amortissements et pertes de valeur VNC VBC Cumul des amortissements et pertes de valeur VNC Terrains et constructions 1 447 822 -458 585 989 236 1 448 472 -449 456 999 016 Equip. Mobilier, installation 1 200 818 -786 836 413 982 1 165 001 -750 333 414 668 - - - - - - 206 001 - 206 001 199 943 - 199 943 2 854 641 -1 245 421 1 609 220 2 813 416 -1 199 789 1 613 627 435 687 -386 592 49 094 418 708 -367 470 51 238 - - - - - - 218 909 - 218 909 208 598 - 208 598 Biens mobiliers donnés en location Autres immobilisations Total Immobilisations corporelles Logiciels informatiques acquis Logiciels informatiques produits par l'entreprise Autres immobilisations incorporées Total Immobilisations incorporelles Total Immobilisations 654 596 -386 592 268 003 627 306 -367 470 259 836 3 509 238 -1 632 014 1 877 224 3 440 722 -1 567 259 1 873 463 Actifs financiers disponibles à la vente Éventualités et engagementS hors bilan donnés et reçus En milliers de DH 30/06/13 Engagements de financements 31/12/12 Titres de créances négociables 3 171 420 3 342 582 Bons du Trésor et autres effets mobilisables auprès de la banque centrale 2 927 666 3 106 374 243 754 236 208 47 908 49 743 - - Autres titres de créances négociables Obligations Obligations d'Etat Autres Obligations 47 908 49 743 Actions et autres titres à revenu variable 954 416 939 194 dont titres cotés 797 691 618 374 dont titres non cotés 156 725 320 820 4 173 744 4 331 519 Total des actifs disponibles à la vente avant dépréciation Provisions pour dépréciation des actifs disponibles à la vente Total des actifs disponibles à la vente nets de dépréciations 49 242 49 155 4 124 502 4 282 364 30/06/13 En milliers de DH 31/12/12 Engagements de financements donnés Aux établissements de crédit - - 5 667 068 5 613 446 Ouverture de crédit ouvert - - Autres engagements en faveur de la clientèle - - 5 667 068 5 613 446 1 124 899 1 121 918 à la clientèle Total des engagements de financements donnés Engagements de financements reçus des établissements de crédit de la clientèle Total des engagements de financements reçus Engagements de garantie - - 1 124 899 1 121 918 30/06/13 31/12/12 Engagements de garantie donnés D’ordre des établissements de crédit 3 373 279 4 156 508 D’ordre de la clientèle 8 525 797 7 989 501 Cautions administratives et fiscales et autres cautions - - Autres garanties d’ordre à la clientèle - - 11 899 077 12 146 009 5 044 265 4 563 498 Total des engagements de garantie donnés Engagements de garantie reçus des établissements de crédit de l'état et d'autres organismes de garantie Total des engagements de garantie reçus ProvisionS pour risques et charges 695 849 420 472 5 740 114 4 983 970 En milliers de DH 31/12/12 Provision pour risques d’exécution des engagements par signature Provision pour engagements sociaux Provision pour litige et garanties de passif Dotations Reprises non utilisées Reprises utilisées 40 575 7 892 - 142 508 10 294 -8 971 Autres variations -8 542 30/06/13 15 39 909 73 380 217 211 29 054 22 270 7 386 -965 454 816 Provision pour risques fiscaux - - - - - - Provision pour impôts - - - - 20 000 20 000 - Provision pour restructurations - - - - - Coûts de mise en œuvre des synergies - - - - - - 9 990 13 032 1 764 183 -816 20 259 215 343 38 604 -8 172 -8 813 93 395 326 433 Autres provisions pour risques et charges Provisions pour risques et charges Impôts courants et différés PÉRIMÈTRE DE CONSOLIDATION En milliers de DH 30/06/13 Impôts courants 31/12/12 452 049 impôts différés Actifs d'impôts courants et différés 995 875 800 626 1 691 714 636 444 1 175 185 Impôts différés Passifs d'impôts courants et différés 516 410 481 348 1 152 854 1 656 533 état du résultat net et des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres En milliers de DH 30/06/13 Résultat net 30/06/12 234 185 543 004 -3 440 -4 893 Variation de valeurs différées des instruments dérivés de couverture - - Réévaluation des immobilisations - - Variation de valeur des actifs financiers disponibles à la vente écarts de conversion - - Total cumulé 230 745 538 111 Part du groupe 224 521 523 639 6 224 14 472 Part des minoritaires Dénomination Activité % Contrôle % Intérêts Méthode de consolidation 891 088 1 447 924 Impôts courants En milliers de DH SOCIETE GENERALE MAROCAINE DE BANQUES Bancaire 100% 100% IG INVESTIMA Société de participation 48,04% 48,04% IG SOGECAPITAL BOURSE Intérmédiation en bourse 100% 100% IG SOGECAPITAL GESTION Gestion d'actifs 99,94% 99,94% IG SOGECAPITAL PLACEMENT Gestion d'actifs 99,96% 99,96% IG SOGELEASE Leasing 100% 100% IG SG TANGER BANQUE OFFSHORE Bancaire 99,92% 99,92% IG SOGEFINANCEMENT Crédit à la consommation 100% 100% IG ATHENA COURTAGE Courtage d'assurance 96,93% 96,93% IG FONCIMMO Activité immobilière 100% 100% IG SOGECONTACT Centre d'appel 99,83% 99,83% IG LA MAROCAINE VIE Assurances 25,82% 25,82% MEE CREDIT EQDOM Crédit à la consommation 19,97% 20,88% MEE ALD AUTOMOTIVE Location longue durée 15% 15% MEE IG : Intégration globale MEE : Mise en équivalence 11 Comptes consolidés IAS/IFRS EXPOSITION AUX RISQUES ET STRATÉGIE DE COUVERTURE La démarche de la Société Générale Marocaine de Banques en matière de gestion des risques s’inscrit dans le cadre réglementaire en vigueur, et dans celui des meilleures pratiques définies au niveau international, qui déterminent largement les procédures internes du Groupe en matière des Risques et de Contrôle Interne. Le Groupe a défini une politique de gestion des risques, en conformité avec les recommandations du comité de Bâle II et qui s’intègre dans le cadre de la politique du Groupe Société Générale. Cette politique globale vise au pilotage et à la maîtrise de tous les risques inhérents à l’activité bancaire : Risques de Contrepartie, Risques de Marchés, Risques Structurels, Risques Opérationnels, Risques de Conformité, et au dispositif de Contrôle Interne qui sous-tend l’exercice effectif du pilotage des risques. LE CONSEIL DE SURVEILLANCE en tant qu’organe d’administration, a institué deux Comités chargés de l’assister en matière de Risques et de Contrôle Interne : n n LE COMITé DES RISQUES, en charge des risques de contrepartie, des risques de marché et des risques structurels ; LE COMITé D’AUDIT, qui, outre la validation des comptes du Groupe, est en charge du pilotage des Risques Opérationnels et du Contrôle Interne. 1. RISQUE DE CRÉDIT 1.1. Organisation de la filière risque de crédit La filière Risques de Crédits est du ressort de la Direction des Risques et de la Direction du Recouvrement, indépendantes des Pôles et Métiers, et rattachées directement au Directoire. La Direction des Risques couvre l’ensemble des aspects relatifs à l’octroi des crédits et à la surveillance des engagements. La Direction du Recouvrement est en charge du recouvrement précontentieux et contentieux. L’octroi du crédit est exercé en fonction de limites d’autorisations déléguées aux divers intervenants. On distingue divers échelons d’autorisation en fonction des montants, de la nature des crédits, de la notation des clients : Les Directions Régionales ; La Direction des Risques ; n Le Comité et les Sous Comités des Engagements ; n La Commission des Crédits. n n 1.2. Rôle de la Direction des Risques La Direction des Risques est autonome par rapport aux unités opérationnelles. Il lui appartient de veiller au respect des conditions d’octroi des crédits et ensuite de surveiller le bon déroulement des opérations de crédits. Les missions permanentes de la Direction des Risques : n n n n évaluer les risques de crédits (clients, contrepartie et transaction) attachés à une opération ; Contrôler la cohérence des décisions prises ; Recommander les modifications de structure et les protections souhaitables pour rester en conformité avec la Politique de Risque du Groupe ; Communiquer son avis sur l’acceptabilité de ces risques en rédigeant une évaluation de crédit dûment motivée et explicitée. 1.2.1. Surveillance des risques La Direction des Risques doit aussi assurer une surveillance des risques qui : n n n Détecte le plus tôt possible les irrégularités (non renouvellement d’autorisations, prise d’engagements non autorisés, dépassements d’autorisations, non constitution de garanties exigées, etc.) et en informe les responsables de la Direction des Risques et des entités. Détecte les engagements à classer en créances sensibles en vue d’en assurer un suivi rapproché. Détecte les engagements en défaut en vue de leur déclassement en créances en souffrance et à leur provisionnement suivant les critères réglementaires par la Direction du Recouvrement. 2. RISQUE DE MARCHÉ Le risque marché se définit comme étant le risque de perte ou de dévalorisation des positions détenues pour compte propre en instruments négociés sur un marché. La formation de prix fréquents sur les marchés permet de constater facilement une perte réalisée ou potentielle. 2.1. Risque de change Ce risque correspond au risque de variation d’une position ou d’un instrument financier du fait des fluctuations des cours de devises sur le marché. L’avènement du marché des changes et l’élargissement du marché monétaire ont amené le Groupe à se doter de structures spécifiques répondant aux standards internationaux. Selon les règles du groupe Société Générale, ce risque est mesuré en Conditional Value at Risk (CVaR), qui répond mieux aux exigences de Bâle II. Il s’agit là d’un risque de contrepartie à la charge des clients. Afin de maîtriser ce risque, des limites sont fixées. Celles-ci sont de deux types : des limites en valeur nominale et des limites en « stress test ». 2.2. Gestion des limites Les limites mises en place pour maîtriser les risques de change sont issues des instructions de Bank Al-Maghrib régissant la tenue des positions en devises et le respect du « stop loss » fixé à 3% de la valeur d’une devise. En plus des limites réglementaires, des limites internes en nominal et stress test sont fixées par la maison mère sur les positions intraday et over night. 2.3. Risque règlement-livraison C’est le risque de non-paiement des sommes en attente de réception. Il se mesure par la valeur des flux à recevoir. Il naît dans le cas d’opérations donnant lieu à échanges simultanés et réciproques à la date d’irrévocabilité de notre ordre de paiement et s’éteint à la date de constat de la réception (ou non) des fonds. Ce risque est dû à l’intervalle de temps requis pour le transfert de fonds (décalage horaire, plages d’ouverture des systèmes de règlement locaux, organisation interne pour l’envoi des fonds et le pointage des paiements reçus). Afin de distinguer les risques afférents aux opérations à très court terme pour lesquelles une réactivité en cas de dépassement doit être immédiate, des risques afférents aux opérations à plus long terme, il est apparu nécessaire de les distinguer suivant la proximité de règlement : - le risque de livraison immédiat est le risque instantané supporté sur une contrepartie ; -le risque de livraison différé est le risque engendré par les opérations à terme. C’est un risque potentiel qui deviendra effectif uniquement lorsqu’une opération arrivera à maturité. à ce moment là, le risque de livraison différé se transforme donc en risque de livraison immédiat. 3. RISQUES STRUCTURELS Les principaux risques structurels sont : n n Le risque de taux Le risque de liquidité Pour la gestion structurelle des risques de taux et de liquidité, le Groupe adopte une approche dynamique, dans laquelle toutes les données sont mises à jour trimestriellement. Il s’agit d’une modélisation automatique des emplois et des ressources. Le suivi des risques structurels est assuré par le groupe Société Générale à travers un reporting trimestriel «Risques structurels». L’établissement de ce reporting est du ressort de la Direction Financière. Ce reporting est analysé régulièrement par le Comité Financier, comité instauré par la Banque depuis mai 2004, dont le rôle est de définir et mettre en œuvre la stratégie à court et moyen-long termes de la banque en matière de gestion globale des ressources et des emplois générés par ses activités commerciales. Un ensemble d’objectifs a été fixé à cette instance : Optimiser le couple risque/rentabilité en fonction des évolutions du marché et de la stratégie clientèle. Audite les risques pris par les agences et les Directions Régionales dans le cadre de leurs limites déléguées. n La Direction des Risques a également pour mission de vérifier l’efficacité de la Filière Risques mise en place dans les Directions Régionales et le respect des instructions en vigueur relatives à l’octroi des crédits et à la surveillance des risques. n Améliorer le coût de la collecte des ressources ; n Prévoir et contrecarrer les impasses de liquidité et de taux ; n Optimiser la gestion du portefeuille de titres de placement ; 1.3. Rôle de la Direction du Recouvrement n Développer la démarche de gestion Actif - Passif. La Direction du Recouvrement doit gérer le recouvrement des créances compromises : Les Risques de taux et de liquidité sont suivis également par Bank Al-Maghrib. n n En charge de la politique et de l’organisation du recouvrement ; 3.1. Le risque global de taux d’intérêt n Traitement de tous les dossiers (clientèle commerciale et clientèle privée) ; n Gestion des provisions en liaison avec la Direction des Risques ; Ce risque correspond au risque de variation de la valeur des positions globales de la banque (net actif-passif par nature de taux) ou au risque de variation des flux de trésorerie futurs d’un ensemble d’instruments financiers du fait de l’évolution des taux d’intérêt de marché. n Assure l’ensemble des tâches administratives liées à la fonction (reporting, comités de crédit, relations avec les autorités et auxiliaires de justice,…). 3.2. Le risque de liquidité 1.4. Les Notations 3.2.1. Modalités et procédures de suivi Lors de la décision d’octroi des crédits, les clients de la banque font l’objet d’une notation, définie suivant les standards Société Générale et périodiquement mise à jour. Celle-ci a pour but : La gestion de la trésorerie immédiate (court terme) est assurée par la Salle des Marchés de la Banque à travers un calcul quotidien du gap de trésorerie en fonction de la Réserve Monétaire Bank Al-Maghrib (solde du compte Bank Al-Maghrib), des flux entrant et sortant des agences et des prêts/emprunts quotidiens sur le Marché Monétaire. n D’aider à la prise de décision, n De permettre de suivre l’évolution de la qualité du risque sur la contrepartie, n De déterminer l’étendue des délégations pour l’octroi des concours ; n D’apprécier la qualité des risques sur un portefeuille donné. Un Comité Hebdomadaire de Trésorerie, présidé par un membre du Directoire, prend les décisions de gestion de la liquidité à court terme (levées de liquidité, prêts/emprunts sur le Marché Monétaire,…). Il est animé conjointement par la Direction Financière et par la Salle des Marchés. 12 Comptes consolidés IAS/IFRS EXPOSITION AUX RISQUES ET STRATÉGIE DE COUVERTURE (suite) La gestion de la liquidité structurelle est assurée par la Direction Financière à travers : n n Le calcul des gaps de liquidité sur chaque maturité, et de la sensibilité du bilan ; La présentation, au Comité Financier, du tableau de bord ALM incluant le gap de liquidité ainsi que les flux prévisionnels de trésorerie, permettant de mesurer l’exposition de la Banque au risque de liquidité. 3.2.2. Limites fixées en matière de risque de liquidité et modalités de leur révision La banque s’impose une limite en termes de cash (montant maximum à emprunter sur le marché monétaire pour financer son gap quotidien de trésorerie), et de gap de liquidité. Les limites sont fixées par le Comité Financier et approuvées par le Comité d’Audit. 4. RISQUES OPÉRATIONNELS Le risque opérationnel (RO) est défini comme le risque de perte résultant de l’inadaptation ou de la défaillance de procédures, de personnes, de systèmes internes ou résultant d’événements extérieurs (catastrophes, incendie, agressions…) La fonction RO vise à mesurer et suivre les risques opérationnels avérés et potentiels et à mettre en œuvre les actions correctives afin d’en limiter l’étendue. Pour une meilleure optimisation de sa gestion des RO et afin de remplir les exigences prudentielles renforcées dans le cadre des accords de Bâle (dispositif Bâle II), Le Groupe a mis en place une Cellule Surveillance Permanente (SP), Risques Opérationnels et Conformité directement rattachée au Directoire. 13 EXTRAIT DES ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS DU GROUPE SOCIÉTÉ GÉNÉRALE AU 30 JUIN 2013 BILAN CONSOLIDÉ AU 30/06/2013 ACTIF 30.06.2013 (En M EUR) Caisse et banques centrales Actifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments dérivés de couverture Actifs financiers disponibles à la vente 72 245 67 591 482 359 484 026 12 174 15 934 128 128 127 714 Prêts et créances sur les établissements de crédit 101 724 77 204 Prêts et créances sur la clientèle 341 241 350 241 27 906 28 745 Opérations de location financement et assimilées écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 3 450 4 402 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 1 078 1 186 Actifs d'impôts Autres actifs Actifs non courants destinés à être cédés Participation aux bénéfices différée Immobilisations corporelles et incorporelles écarts d'acquisition Total PASSIF 31.12.2012* 6 283 6 154 52 327 53 646 480 9 417 2 060 2 119 17 412 17 190 5 215 5 320 1 254 082 1 250 889 (En M EUR) Banques centrales Passifs financiers à la juste valeur par résultat Instruments dérivés de couverture Dettes envers les établissements de crédit Dettes envers la clientèle Dettes représentées par un titre écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux Passifs d'impôts Autres passifs Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés Provisions techniques des entreprises d'assurance Provisions Dettes subordonnées Total dettes CAPITAUX PROPRES Capitaux propres part du Groupe Capital et réserves liées Réserves consolidées Résultat de l'exercice Sous-total Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Sous-total Capitaux propres part du Groupe Participations ne donnant pas le contrôle Total capitaux propres * Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2012, suite à l’entrée en vigueur des amendements à la norme IAS 19 qui s’appliquent de façon rétrospective. Les rubriques impactées sont les Actifs d’impôts pour 245 M EUR, les Autres actifs pour -59 M EUR, et les Actifs non courants destinés à être cédés pour 7 M EUR. COMPTE DE RÉSULTAT CONSOLIDÉ AU 30/06/2013 (En M EUR) Intérêts et produits assimilés Intérêts et charges assimilées Dividendes sur titres à revenu variable Commissions (produits) Commissions (charges) Résultat net des opérations financières dont gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat dont gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente Produits des autres activités Charges des autres activités Produit net bancaire Frais de personnel Autres frais administratifs Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles Résultat brut d'exploitation Coût du risque Résultat d'exploitation Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence Gains ou pertes nets sur autres actifs Pertes de valeur sur les écarts d'acquisition Résultat avant impôts Impôts sur les bénéfices Résultat net de l'ensemble consolidé Participations ne donnant pas le contrôle Résultat net part du Groupe Résultat par action ordinaire Résultat dilué par action ordinaire Total 30.06.2013 31.12.2012* 30.06.2012** 13 537 29 904 15 538 (8 306) (18 592) (9 433) 104 314 84 4 552 9 515 5 047 (1 262) (2 538) (1 493) 2 194 3 201 2 317 1 984 2 566 2 093 210 635 224 28 497 (27 995) 11 321 (4 754) (2 782) 38 820 (37 514) 23 110 (9 493) (6 000) 16 209 (15 686) 12 583 (4 919) (2 948) (439) (925) (444) 3 346 (1 913) 1 433 6 692 (3 935) 2 757 4 272 (1 724) 2 548 76 154 61 448 1 957 (425) 1 532 213 1 319 1,53 1,53 (504) (842) 1 565 (341) 1 224 434 790 0,66 0,66 (7) (450) 2 152 (741) 1 411 240 1 171 1,38 1,37 30.06.2013 31.12.2012* 5 745 424 419 10 664 110 626 349 968 129 623 4 315 1 205 58 502 972 93 276 3 719 7 752 1 200 786 2 398 411 388 13 975 122 049 337 230 135 744 6 508 1 150 58 163 7 327 90 831 3 523 7 052 1 197 338 25 969 21 949 1 319 49 237 176 49 413 3 883 53 296 26 196 21 916 790 48 902 377 49 279 4 272 53 551 1 254 082 1 250 889 * Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2012, suite à l’entrée en vigueur des amendements à la norme IAS 19 qui s’appliquent de façon rétrospective. Les rubriques impactées sont les Passifs d’impôts pour -17 M EUR, les Passifs non courants destinés à être cédés pour 40 M EUR, les Provisions pour 716 M EUR, les Réserves consolidées pour -542 M EUR, le Résultat de l’exercice pour 16 M EUR, les Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres pour -4 M EUR et les Participations ne donnant pas le contrôle pour -16 M EUR. Le total des capitaux propres est ainsi ajusté pour un montant de -546 M EUR. Attestation des Commissaires aux Comptes relative aux informations financières consolidées du groupe Société Générale COUVRANT LA PÉRIODE DU 1ER JANVIER AU 30 JUIN 2013 DELOITTE & ASSOCIES ERNST & YOUNG et Autres 185, avenue Charles de Gaulle 92524 Neuilly-sur-Seine Cedex S.A. au capital de € 1.723.040 Commissaire aux Comptes Membre de la compagnie régionale de Versailles 1/2, place des Saisons 92400 Courbevoie - Paris-La Défense 1 S.A.S. à capital variable Commissaire aux Comptes Membre de la compagnie régionale de Versailles SOCIETE GENERALE Attestation des commissaires aux comptes relative aux informations financières consolidées du groupe Société Générale pour la période du 1er janvier au 30 juin 2013 Au Président-Directeur Général, En notre qualité de commissaires aux comptes de Société Générale et en réponse à votre demande, nous avons établi la présente attestation sur les informations financières consolidées du groupe Société Générale relatives à la période du 1er janvier au 30 juin 2013 (le « bilan consolidé », le « compte de résultat consolidé » et l’« état du résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres »), ci-jointes et établies dans le cadre de la publication au Maroc de ces informations destinées aux souscripteurs du Plan Mondial d’Actionnariat Salarié de Société Générale. Ces informations ont été établies sous la responsabilité de la direction générale de Société Générale. Il nous appartient de nous prononcer sur la concordance de ces informations avec les comptes semestriels consolidés qui ont fait l’objet d’un examen limité dont les conclusions figurent dans notre rapport en date du 2 août 2013. * Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2012, suite à l’entrée en vigueur des amendements à la norme IAS 19 qui s’appliquent de façon rétrospective. Les rubriques impactées sont les Frais de personnel pour 20 M EUR, les Gains ou pertes nets sur autres actifs pour 3 M EUR et les Impôts sur les bénéfices pour -7 M EUR. ** Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2012, suite à l’entrée en vigueur des amendements à la norme IAS 19 qui s’appliquent de façon rétrospective. Les rubriques impactées sont les Frais de personnel pour 8 M EUR et les Impôts sur les bénéfices pour -2 M EUR. Pour une meilleure compréhension du résultat des opérations de la période du 1er janvier au 30 juin 2013, de la situation financière et du patrimoine du groupe Société Générale au 30 juin 2013, ainsi que de l’étendue des travaux d’audit réalisés, les « bilan consolidé », « compte de résultat consolidé » et « état du résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres » ci-joints doivent être lus conjointement avec les comptes semestriels consolidés dont ils sont issus et notre rapport y afférent. ÉTAT DU RÉSULTAT NET ET GAINS ET PERTES COMPTABILISÉS DIRECTEMENT EN CAPITAUX PROPRES Dans le cadre de notre mission de commissariat aux comptes, nous n’avons pas mis en œuvre de procédures pour identifier, le cas échéant, les événements survenus postérieurement à l’émission de notre rapport sur les comptes semestriels consolidés du groupe Société Générale en date du 2 août 2013. (En M EUR) Résultat net de l’ensemble consolidé Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et recyclables ultérieurement en résultat écart de conversion Actifs financiers disponibles à la vente Instruments dérivés de couverture Quote-part de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur entités mises en équivalence et recyclable ultérieurement en résultat Impôts sur éléments recyclables ultérieurement en résultat Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et non recyclables en résultat écarts actuariels sur avantages post-emploi Quote-part de gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres sur entités mises en équivalence non recyclables en résultat Impôts sur éléments non recyclables en résultat Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres Dont part du Groupe Dont participations ne donnant pas le contrôle 30.06.2013 31.12.2012* 30.06.2012* 1 532 1 224 1 411 (377) 1 543 1 007 (310) (58) (2) 40 2 143 (31) 300 974 36 (7) 2 5 - (611) (308) 71 (209) (129) 109 (310) (192) - - - Notre intervention, qui ne constitue ni un audit ni un examen limité, a été effectuée selon les normes d’exercice professionnel applicables en France. Nos travaux ont consisté à rapprocher les informations présentées dans le « bilan consolidé », le « compte de résultat consolidé » et l’ « état du résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres » joints à la présente attestation avec les comptes semestriels consolidés du groupe Société Générale pour la période du 1er janvier au 30 juin 2013 établis en conformité avec le référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne. Sur la base de nos travaux, nous n’avons pas d’observation à formuler sur la concordance des informations figurant dans le document joint avec les comptes semestriels consolidés cités ci-avant. Cette attestation est établie à votre attention dans le contexte précisé au premier paragraphe et ne doit pas être utilisée, diffusée, ou citée à d’autres fins. En notre qualité de commissaires aux comptes de votre société, notre responsabilité à l’égard de votre société et de ses actionnaires est définie par la loi française et nous n’acceptons aucune extension de notre responsabilité au-delà de celle prévue par la loi française. Cette attestation est régie par la loi française. Les juridictions françaises ont compétence exclusive pour connaître de tout litige, réclamation ou différend pouvant résulter de la présente attestation, ou de toute question s’y rapportant. Chaque partie renonce irrévocablement à ses droits de s’opposer à une action portée auprès de ces tribunaux, de prétendre que l’action a été intentée auprès d’un tribunal incompétent, ou que ces tribunaux n’ont pas compétence. (38) 101 63 (306) 1 334 878 1 226 2 558 2 289 Neuilly-sur-Seine et Paris-La Défense, le 24 septembre 2013. 1 118 108 1 987 571 1 984 305 DELOITTE & ASSOCIES ERNST & YOUNG et Autres Jean-Marc MICKELER Isabelle SANTENAC * Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2012, suite à l’entrée en vigueur des amendements à la norme IAS 19 qui s’appliquent de façon rétrospective. Les Commissaires aux Comptes 14 Tanger Offshore COMMUNICATION FINANCIÈRE cOMPTES SOcIAUX DE SOCIÉTÉ GÉNÉRALE TANGER OFF SHORE AU 30/06/2013 BILAN AU 30 JUIN 2013 (en dollar US ) ACTIF Valeurs en caisse, Banques centrales, Trésor public, Service des chèques postaux Créances sur les établissements de crédit et assimilés . à vue 30/06/13 . Crédits de trésorerie et à la consommation - 2 464 412 503 185 2 464 412 503 185 - - . Crédits à l’équipement 440 935 731 446 050 653 402 792 951 409 740 940 34 177 916 34 398 086 - - . Crédits immobiliers . Autres crédits 3 964 864 1 911 627 Créances acquises par affacturage - - Titres de transaction et de placement - . Bons du Trésor et valeurs assimilées . Autres titres de créance . Titres de propriété (en dollar US ) PASSIF 3 920 . à terme Créances sur la clientèle 31/12/12 Banques centrales, Trésor public, Service des chèques postaux Dettes envers les établissements de crédit et assimilés . à vue 30/06/13 31/12/12 - - 433 215 800 439 140 681 - - 433 215 800 439 140 681 4 709 623 2 852 812 4 049 998 2 204 152 . Comptes d'épargne - - . Dépôts à terme - - 659 625 648 660 . à terme Dépôts de la clientèle . Comptes à vue créditeurs . Autres comptes créditeurs Titres de créance émis - - . Titres de créances négociables - - - . Emprunts obligataires - - - - . Autres titres de créance émis - - - - Autres passifs 133 176 180 850 Provisions pour risques et charges - - Provisions réglementées - - - - 125 024 189 166 - - Subventions, fonds publics affectés et fonds spéciaux de garantie - . Bons du Trésor et valeurs assimilées - - Dettes subordonnées - - . Autres titres de créance - - écarts de réévaluation - - Titres de participation et emplois assimilés - - 4 180 921 2 895 523 Créances subordonnées - - 500 000 500 000 Autres actifs Titres d’investissement Immobilisations données en crédit-bail et en location Immobilisations incorporelles - - 68 702 116 250 - - 443 597 789 446 859 254 Immobilisations corporelles Total de l’Actif HORS BILAN AU 30 JUIN 2013 (en dollar US ) HORS BILAN ENGAGEMENTS DONNéS 30/06/13 3 200 236 Engagements de financement donnés en faveur d'établissements de crédit et assimilés Engagements de financement donnés en faveur de la clientèle 31/12/12 2 683 407 - - 1 793 905 1 176 378 Engagements de garantie d'ordre d'établissements de crédit et assimilés - - 1 406 331 1 507 029 Titres achetés à réméré - - Autres titres à livrer - - 387 889 125 393 556 102 Engagements de garantie d'ordre de la clientèle ENGAGEMENTS REÇUS Engagements de financement reçus d'établissements de crédit et assimilés - - 387 889 125 393 556 102 Engagements de garantie reçus de l'état et d'organismes de garantie divers - - Titres vendus à réméré - - Autres titres à recevoir - - 30/06/13 3 016 438 2 959 207 47 086 10 145 2 159 504 2 129 142 30 363 856 933 176 519 125 127 714 1 132 (en dollar US ) 30/06/12 3 765 541 3 744 726 11 191 9 623 2 895 295 2 862 746 32 549 870 246 200 516 182 139 066 13 720 47 547 47 547 333 108 333 108 583 310 583 310 930 616 30 58 930 588 76 308 854 280 3 599 778 2 745 498 854 280 64 381 64 381 79 038 79 038 684 386 10 352 674 035 68 345 605 690 3 844 579 3 238 889 605 690 Engagements de garantie reçus d'établissements de crédit et assimilés Réserves et primes liées au capital Capital Actionnaires. Capital non versé (-) Report à nouveau (+/-) Résultats nets en instance d'affectation (+/-) Résultat net de l'exercice (+/-) Total du Passif - - 3 989 3 989 - - 854 280 1 285 399 443 597 789 446 859 254 attestation DE REVUE LIMITéE DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LA SITUATION INTERMéDIAIRE DES COMPTES SOCIAUX - PÉRIODE DU 1ER JANVIER AU 30 JUIN 2013 COMPTE DE PRODUITS ET CHARGES AU 30 JUIN 2013 I.PRODUITS D’EXPLOITATION BANCAIRE 1.Intérêts et produits assimilés sur opérations avec les établissements de crédit 2.Intérêts et produits assimilés sur opérations avec la clientèle 3.Intérêts et produits assimilés sur titres de créance 4.Produits sur titres de propriété 5.Produits sur immobilisations en crédit-bail et en location 6.Commissions sur prestations de service 7.Autres produits bancaires II.CHARGES D’EXPLOITATION BANCAIRE 8.Intérêts et charges assimilées sur opérations avec les établissements de crédit 9.Intérêts et charges assimilées sur opérations avec la clientèle 10.Intérêts et charges assimilées sur titres de créance émis 11.Charges sur immobilisations en crédit-bail et en location 12.Autres charges bancaires III.PRODUIT NET BANCAIRE 13.Produits d'exploitation non bancaire 14.Charges d'exploitation non bancaire IV.CHARGES GéNéRALES D’EXPLOITATION 15.Charges de personnel 16.Impôts et taxes 17.Charges externes 18.Autres charges générales d'exploitation 19.Dotations aux amortissements et aux provisions des immobilisations incorporelles et corporelles V.DOTATIONS AUX PROVISIONS ET PERTES SUR CRéANCES IRRéCOUVRABLES 20.Dotations aux provisions pour créances et engagements par signature en souffrance 21.Pertes sur créances irrécouvrables 22.Autres dotations aux provisions VI.REPRISES DE PROVISIONS ET RéCUPéRATIONS SUR CRéANCES AMORTIES 23.Reprises de provisions pour créances et engagements par signature en souffrance 24.Récupérations sur créances amorties 25.Autres reprises de provisions VII.RéSULTAT COURANT 26.Produits non courants 27.Charges non courantes VIII.RéSULTAT AVANT IMPÔTS 28.Impôts sur les résultats IX.RéSULTAT NET DE L’EXERCICE TOTAL PRODUITS TOTAL CHARGES RéSULTAT NET DE L'EXERCICE 15