301 : 301 régiment d’infanterie. régiment constitué en août 1914, il participa
notamment à la Bataille de la Marne en septembre 1914 mais également à celle
des Éparges entre septembre 1914 et avril 1915.
Artillerie : ensemble des armes lourdes servant à envoyer à grande distance sur
l’ennemi ou sur ses positions et ses équipements divers projectiles de gros
calibres comme par exemple des obus. (exemple de canon pour l’armée
française : « canon de 75 », canon de campagne de 75 mm ).
Baïonnette : épée ou lame qui se fixe au bout du fusil permettant d'utiliser ce
dernier comme une arme de pique, le plus souvent utilisée comme patère ou
comme bougeoir. Cinq types de baïonnette différents ont été utilisés par les
armées françaises au cours de la guerre. Quatre étaient des « épées-baïonnettes »
qui différaient par la forme de leur garde et du support de fixation, mais
possédaient une longueur de lame fixe de 520 mm. Le dernier type, appelé «
sabre-baïonnette » disposait d’une lame plus courte, de 400 mm.
Boche : désignation des Allemands par les Français. L’origine du terme fit débat
dès les années de guerre, il est probable qu’il s’agisse d’une abréviation de
l’argotique « alboche » pour « allemand ». Cette désignation, comme substantif
ou comme adjectif, s’impose massivement aussi bien pour les civils que les
combattants. Il est à noter que cette manière devenue habituelle de nommer
l’adversaire ne véhicule pas nécessairement l’hostilité, et peut être employée par
les combattants sans animosité. autres surnoms utilisés (Première et Seconde
Guerre mondiale) : « Fritz », « Chleuhs », « Fridolins », « Frisés », « Vert-de-
gris », « Doryphores », et « Teutons ».
Calibre : la nature et la puissance d’une pièce d’artillerie se mesure en 1914-1918
avant tout à son calibre (diamètre à l’embouchure), exprimé en millimètres. Les
combattants apprennent à reconnaître (à leur son ou à leur impact) ces différents