l’agressivité – angoisse – opposition au soin – échec
du soin.
La douleur induite par le soin est pris en charge plutôt
avant et pendant (92%).
la lido-
caine, l’Emla, l’actiskenan, l’efferalgan codeiné, la Mor-
phine.
la relation d’aide et d’écoute, l’hypnose et la psy-
chothérapie mais aussi les massages.
l’ab-
sence de prescription anticipée et/ou d’organisation des
soins entre les différents professionnels mais aussi l’identi-
fication des soins et gestes douloureux (un inventaire
exhaustif est prévu dans le plan d’action)
L’antalgique prescrit et donné de manière systématique
peut prévenir la douleur induite par les soins :
mais les réponses sont variables selon les fonctions.
les personnes interrogées font une
EN (échelle numérique) afin de prendre des mesures adap-
tées pour le soin suivant.
97.3 % d’entre vous ont été sensibilisés
par le questionnaire. Nous tenions à vous remercier pour
votre professionnalisme et votre intérêt sur le sujet.
Des mesures seront prises par le CLUD afin d’améliorer la
prise en charge des douleurs induites par le soin.
77,2 % 64 % 88,7 % 57,1 % 46,2 %
, documentaire réa-
lisé par Céline Darmayan, co-produit par Cinétik et K'ien
productions.
Cette rencontre a permis un rapprochement entre 2 exercices
de la profession de Sage-Femme (libérales et hospitalières),
chacune ayant leurs lots de problématiques différents mais
avec un but commun et unique : répondre aux attentes des
couples avec respect et sécurité.
Ce fut l’occasion
d’ouvrir le débat
entre les profession-
nels du CHV et les
sages femmes libé-
rales présentes :
« Comment consi-
dère-t-on la nais-
sance et le corps de
la femme au-
jourd’hui ? Quelle
place laisse-t-on
encore à l’humain
dans l’acte de don-
ner la vie ?
Muriel, Jacqueline,
Sidonie et Cécile ac-
compagnent des
personnes qui sou-
haitent donner nais-
sance à domicile.
Ces sages-femmes nous invitent à découvrir leur pratique et
leur vision de la venue au monde.
En France, le choix de cette alternative prend, aujourd’hui, la
forme d’une lutte. Même si cette pratique n’est pas officielle-
ment illégale, les préjugés sont tenaces. Les sages-femmes
sont soumises à des pressions administratives sans cesse plus
étouffantes, tendant à faire disparaître une des dernières al-
ternatives à l’accouchement médicalisé. »