SOMMAIRE LA BIENTRAITANCE AU CHV Grande soirée Théâtre d

CHV
CHV.
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COM
Journal d’information du personnel du centre hospitalier de valence
Les givrés font leur « chaud » pour faire passer des émotions
et vivre autrement nos pratiques professionnelles
Réservé aux professionnels et étudiants
Entrée libre – un buffet sera proposé
Inscription à [email protected] ou 04 75 75 72 39
avant le 13 mai 2015
Des affiches seront prochainement disponibles pour les services.
La Commission Bientraitance
vous propose pour la
seconde année, une soirée
formation autour de la
bientraitance.
Venez nombreux !
La soirée sera également
ouverte aux établissements
membres de la Communauté
Hospitalière de Territoire
Rhône-Vercors
Pensez à vous inscrire auprès
de la Direction Qualité,
Relations Usagers et
Communication
Dans le cadre de l’optimisation du tri des déchets d’activités de soins de l’établissement et plus par-
ticulièrement des Déchets d’Activité de Soins à Risque Infectieux (DASRI) et des Déchets Assimilés
aux Ordures Ménagères (DAOM), un audit est désormais réalisé chaque année par l’Equipe Opéra-
tionnelle d’Hygiène et le service Propreté, Hygiène des locaux et Environnement.
L’étude consiste àrifier la conformité de la fermeture, du niveau de remplissage et du contenu des
sacs à déchets et des collecteurs pour Objets Piquants Coupants Tranchants (OPCT) dans les services
de soins.
Cette année, 34 unités ont été auditées avec comme échantillonnage commun : 2 sacs DASRI / 2 sacs
DAOM / 2 collecteurs OPCT par service.
n
n
nDASRI 5 %
(5 % en 2013)
nPapiers /cartons 5 %
(2 % en 2013)
nEmballages de conditionnement
30 % (32% en 2013)
nEssuie-mains 8 % (6% en 2013)
n
nFlacons en verre
(filière spécifique)
Près de la moitié des déchets présents dans les sacs jaunes destinés aux DASRI sont des DAOM ! Les chariots
de soins ne disposent pas tous de doubles supports de sac pour autant lorsqu’ils en sont dotés, ces derniers
ne sont pas toujours utilisés !
Les comportements de chacun doivent impérativement évoluer. Le tri à la source doit permettre d’orienter
chaque déchet dans la bonne filière d’élimination, réduisant ainsi les nuisances sur l’environnement en répon-
dant aux exigences légales et en optimisant les dépenses liées à la gestion des déchets.
D.A.O.M. 648,72 tonnes(60%) D.A.S.R.I. 642 euros/tonne
D.A.S.R.I. 237,35 tonnes(22%) D.A.O.M. 140 euros/tonne
D.N.D. 178,12 tonnes (17%)
D.D. 8,88 tonnes (1%)
Retrouver les résultats détaillés de cet audit ainsi que les indicateurs de suivi de gestion des déchets sur l’in-
tranet dans la rubrique « Développement durable » dans l’onglet « Actions » puis « Déchets ».
Le dépistage du cancer colorectal concerne tous les deux ans les personnes âgées de 50 à 74 ans..
Pour l’heure, les équipes médicales sont dans l’attente des nouveaux tests. En effet, les tests immunologiques devraient rem-
placer les tests Hemoccult II courant 2015. Ces tests immunologiques ont l'avantage d’être plus efficaces avec la détection
de 2 à 2,5 fois plus de cancers et 3 à 4 fois plus d'adénomes avancés, et plus sensibles, avec le dépistage de lésions plus pré-
coces. Avec un seul prélèvement de selles contre six avec les test au gaïac, ils sont également beaucoup plus simples d'uti-
lisation et devraient ainsi contribuer à l'amélioration de la participation au dépistage organisé du cancer colorectal.
Ces EPP avaient pour objectif d’ap-
précier le niveau de connaissance
des professionnels sur le sujet afin
d’optimiser la prévention de la dou-
leur.
Tous les pôles ont été concernés par
cette évaluation. 330 questionnaires
ont été distribués auprès des pro-
fessionnels (médecins, internes, IDE,
AS, puéricultrices, IADE, IBODE,
sage-femme, manipulateur radio,
kinésithérapeute, cadre de santé,
ergothérapeute) à l’automne 2014.
Le traitement des données a été ef-
fectué efficacement par le service
qualité (logiciel SPHINX). Les résul-
tats ont été ensuite étudiés en CLUD
restreint puis présentés au CLUD du
16 décembre 2014.
79,69 % de ré-
ponse, ce qui reflète l’intérêt du
sujet pour tous les professionnels
de l’institution.
En moyenne, et ce pour tous les pôles, la prise en charge
de la douleur induite par les soins est satisfaisante.
Réponse de 6 sur 10 (sur une échelle de 0 à 10)
•La pose de cathéter ou prélèvements sanguins
•La réfection de pansement ou soins d’escarres
•La manipulation/manutention/mobilisation
•La toilette
l’anxiété, la répétition
des soins, le manque d’information, la non confiance
au personnel, la non compréhension de l’intérêt du
soin par le patient. Il semble que la communication
autour du soin améliorerait la prise en charge.
:
•L’information au patient
•Attitude calme/empathie
•Bonne installation du patient
•Organisation
administration d’antalgiques et/ou d’anxiolytiques -
EMLA- Méopa –hypnose - sédation.
l’agressivité – angoisse – opposition au soin – échec
du soin.
La douleur induite par le soin est pris en charge plutôt
avant et pendant (92%).
la lido-
caine, l’Emla, l’actiskenan, l’efferalgan codeiné, la Mor-
phine.
la relation d’aide et d’écoute, l’hypnose et la psy-
chothérapie mais aussi les massages.
l’ab-
sence de prescription anticipée et/ou d’organisation des
soins entre les différents professionnels mais aussi l’identi-
fication des soins et gestes douloureux (un inventaire
exhaustif est prévu dans le plan d’action)
L’antalgique prescrit et donné de manière systématique
peut prévenir la douleur induite par les soins :
mais les réponses sont variables selon les fonctions.
les personnes interrogées font une
EN (échelle numérique) afin de prendre des mesures adap-
tées pour le soin suivant.
97.3 % d’entre vous ont été sensibilisés
par le questionnaire. Nous tenions à vous remercier pour
votre professionnalisme et votre intérêt sur le sujet.
Des mesures seront prises par le CLUD afin d’améliorer la
prise en charge des douleurs induites par le soin.
77,2 % 64 % 88,7 % 57,1 % 46,2 %
, documentaire réa-
lisé par Céline Darmayan, co-produit par Cinétik et K'ien
productions.
Cette rencontre a permis un rapprochement entre 2 exercices
de la profession de Sage-Femme (libérales et hospitalières),
chacune ayant leurs lots de problématiques différents mais
avec un but commun et unique : répondre aux attentes des
couples avec respect et sécurité.
Ce fut l’occasion
d’ouvrir le débat
entre les profession-
nels du CHV et les
sages femmes libé-
rales présentes :
« Comment consi-
dère-t-on la nais-
sance et le corps de
la femme au-
jourd’hui ? Quelle
place laisse-t-on
encore à l’humain
dans l’acte de don-
ner la vie ?
Muriel, Jacqueline,
Sidonie et Cécile ac-
compagnent des
personnes qui sou-
haitent donner nais-
sance à domicile.
Ces sages-femmes nous invitent à découvrir leur pratique et
leur vision de la venue au monde.
En France, le choix de cette alternative prend, aujourd’hui, la
forme d’une lutte. Même si cette pratique n’est pas officielle-
ment illégale, les préjugés sont tenaces. Les sages-femmes
sont soumises à des pressions administratives sans cesse plus
étouffantes, tendant à faire disparaître une des dernières al-
ternatives à l’accouchement médicalisé. »
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