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° 65 
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2005   Dossiers d'études 
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A Léoncie Vabre, ma grand mère, 
Pour mon enfance rurale partie avec elle.  
 
Remerciements 
 
 En premier lieu, « Muchas gracias » à mes enquêtés espagnols, pour avoir accepté de recevoir le 
stagiaire de l’ambassade ou l’étudiant français de passage : Boni Cantero, Luis Carlos Sahuquillo, María 
Teresa Patiño Lafuente, Pablo Alvarez Lopez, Begoña Gonzales, Isabel Pizarro, Pedro Nuñez Morgades, 
Alfonso Marina, José Luis Castellanos, Angel Hernández, Pilar Cayuela, Celina Diaz, Francisco Gonzales 
Bueno, Carmen Puyo, Jesús García Pérez, Pilar Alvarado et Javier García Morodo. 
 Un grand merci ensuite à mes enquêtés français, pour l’intérêt qu’ils ont manifesté à l’égard de mes 
recherches et le temps qu’ils m’ont consacré : Monique Sassier, Madame B., Denise Cacheux, Madame P., 
Sandrine Dottori, Michel Chauvière, Isabelle Jacquelin, Monette Cannamela, Bénédicte Brajeux, Dominique 
Vernier, Monsieur C., Madame G., Madame A., Chantal Lebatard, Madame G., Madame A. (n°2), Danielle 
Rapoport et Muriel Eglin. 
 Merci ensuite à Jacques Pé, pour m’avoir accepté comme stagiaire dans son service des affaires 
sociales de l’Ambassade de France à Madrid. Sans lui, l’idée de ce mémoire n’aurait jamais germé. Ses 
remarques  toujours  valorisantes,  sa  personnalité  atypique  et  sa  confiance  ont  rendu  ma  découverte  du 
monde de la diplomatie agréable et enrichissante. 
 Merci également à Rosalina Curras et Françoise Choquet, mes collègues de travail, pour les deux 
mois de bonne humeur partagée. 
 Merci  au  bureau  des  relations  internationales  de  l’ENS  Cachan,  qui  a  appuyé  ma  démarche 
comparatiste en m’accordant un Prix d’action internationale. L’obtention de ce dernier m’a permis de couvrir 
une partie des frais que j’avais engagés, notamment lors de mon séjour à la Casa Velazquez. 
 Merci aux participants du DEA, pour les nombreux échanges que nous avons eu et qui m’ont appris 
à mieux réfléchir. Merci en particulier à Alina pour son amour de la recherche, ses remarques acérées et ses 
félicitations sincères, et bon courage pour la suite du chemin… 
 Merci à mes parents et au reste de ma famille pour leurs encouragements pendant l’interminable 
rédaction estivale, ainsi que pour leur traque de mes soucis orthographiques. 
 Enfin, merci à Jacques Commaille, pour m’avoir fait confiance en acceptant de conduire cette étude. 
Elle est bien loin, avec lui, la représentation du mandarin distant et désagréable. Ses remarques m’ont été 
précieuses, sa disponibilité et son enthousiasme honorent la recherche et le monde universitaire. 
 
 Tous ces mercis expliquent « notre » usage de la première personne du pluriel. Bien que requis par 
toute production académique, le « nous » devra être considéré ici par le lecteur comme une marque de 
modestie.  
 Car  si  les  propos  tenus  dans  ces  quelques  pages  n’engagent  que  ma  responsabilité,  je  veux 
souligner à quel point ce mémoire n’aurait pas vu le jour sans le concours de tous ces apports, que je 
remercie encore une fois de tout cœur.