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DEVENIR HOMME OU FEMME
Des cellules œufs d’aspect
identique…
Et pourtant, des bébés puis des adultes
de sexe différent
Les phénotypes féminin et masculin sont facilement distinguables dès la naissance, mais
l'aspect de la cellule œuf est identique dans les deux sexes.
Comment se mettent en place la structure et le fonctionnement des appareils
génitaux ?
Comment est assuré le contrôle du comportement sexuel ?
I - LA DIFFERENCIATION SEXUELLE : UN PROCESSUS SE DEROULANT PAR ETAPES
A – La fécondation détermine le sexe génétique
Comparaison des caryotypes
Quelques anomalies chromosomiques
Caryotype
Syndrome XXX
Apparence
sexuelle
Gonades
Syndrome de Turner X0
Aspects cliniques
Quelques anomalies chromosomiques
Caryotype
Syndrome de
Klinefelter XXY
Apparence
sexuelle
Gonades
Syndrome XYY
Aspects cliniques
Le syndrome homme XX (ou syndrome de la Chapelle) est caractérisé chez une personne
de caryotype XX, possédant par ailleurs un phénotype masculin.
Cette pathologie est due à une translocation du gène SRY du Y vers le X.
Testicules non fonctionnels
Stérilité
1 homme sur 20 000
Caryotypes normaux
X Y
XX
100%
X
Ovocytes
XY
50%
Y
50%
X
Spermatozoïdes
Le sexe génétique est déterminé
dès la fécondation
I - LA DIFFERENCIATION SEXUELLE : UN PROCESSUS SE DEROULANT PAR ETAPES
A – La fécondation détermine le sexe génétique
- L'espèce humaine possède 23 paires de chromosomes, soit 46 chromosomes, qui se
répartissent en 22 paires d'autosomes et une paire de chromosomes sexuels.
- Les femmes possèdent deux chromosomes sexuels X, morphologiquement identiques,
(caryotype 46, XX)
- Les hommes possèdent deux chromosomes sexuels morphologiquement dissemblables
X et Y (caryotype 46, XY).
- L'apparence sexuelle féminine est déterminée par l'absence de chromosome Y et en
présence d'au moins un chromosome X
- L'apparence sexuelle masculine est déterminée la présence du chromosome Y.
- Chaque paire de chromosomes étant formée d'un chromosome maternel et d'un
chromosome paternel, une femme hérite d'un chromosome X de chacun de ses parents
et un homme d'un chromosome Y provenant du père et d'un chromosome X de la mère.
Le sexe génétique est donc déterminé dès la fécondation.
I - LA DIFFERENCIATION SEXUELLE : UN PROCESSUS SE DEROULANT PAR ETAPES
A – La fécondation détermine le sexe génétique
B – Du sexe génétique au sexe gonadique (= Comment apparaissent testicules ou
ovaires ?)
1. Un embryon indifférencié pendant les 6 premières semaines
Appareil génital d’un embryon de 6 semaines
Appareil génital d’un embryon de 6 semaines
Embryon XX
Embryon XY
Appareil génital d’un embryon de 6 semaines
Tubercule génital
Sillon uro génital
Bourrelets génitaux
Appareil génital d’un embryon de 6 semaines
Embryon XX
M = Canaux de Müller
W = Canaux de Wolff
Embryon XY
I - LA DIFFERENCIATION SEXUELLE : UN PROCESSUS SE DEROULANT PAR ETAPES
A – La fécondation détermine le sexe génétique
B – Du sexe génétique au sexe gonadique (= Comment apparaissent testicules ou
ovaires ?)
1. Un embryon indifférencié pendant les 6 premières semaines
À 6 semaines, l'appareil génital est encore identique dans les deux sexes :
- Les organes internes sont formés de gonades indifférenciées (pas de distinction
entre ovaire et testicule) et d'un double système de canaux génitaux (canaux de
Müller et canaux de Wolff)
- Extérieurement, on distingue des bourrelets génitaux qui entourent le tubercule
génital et le sillon uro-génital.
I - LA DIFFERENCIATION SEXUELLE : UN PROCESSUS SE DEROULANT PAR ETAPES
A – La fécondation détermine le sexe génétique
B – Du sexe génétique au sexe gonadique (= Comment apparaissent testicules ou
ovaires ?)
1. Un embryon indifférencié pendant les 6 premières semaines
2. Le chromosome Y détermine le sexe gonadique (7eme semaine)
Sexe génétique
Y
Sexe gonadique
7eme semaine
I - LA DIFFERENCIATION SEXUELLE : UN PROCESSUS SE DEROULANT PAR ETAPES
A – La fécondation détermine le sexe génétique
B – Du sexe génétique au sexe gonadique (= Comment apparaissent testicules ou
ovaires ?)
1. Un embryon indifférencié pendant les 6 premières semaines
2. Le chromosome Y détermine le sexe gonadique (7eme semaine)
•Chez l’embryon mâle, le chromosome Y permet la différenciation des gonades
indifférenciées en testicules mais il n'y a pas encore production de gamètes.
•Chez l’embryon femelle, en l'absence de chromosome Y, les gonades
indifférenciées évoluent spontanément en ovaires vers la 9e semaine.
I - LA DIFFERENCIATION SEXUELLE : UN PROCESSUS SE DEROULANT PAR ETAPES
C – Du sexe gonadique au sexe phénotypique (= Comment les différences
observables à la naissance apparaissent-t-elles ?)
A partir de la 9eme
semaine
Chez la fille, le tubercule génital (T) évolue en clitoris (Cl) et
les bourrelets génitaux (BG) forment les lèvres (GL). La flèche
indique l'orifice génital distinct du méat urinaire (MU).
Chez le garçon, le tubercule génital (T) évolue en pénis (P) et les
bourrelets génitaux (BG) forment les bourses (Bo). La flèche
indique l'orifice uro-génital.
A partir de la 9eme
semaine
A partir de la 9eme semaine
chez le garçon
Produit 2
hormones
Testostérone
Testicule
AMH
A partir de la 9eme semaine
chez le garçon
Produit 2
hormones
Entraîne
Testostérone
Développement des canaux de
Wolff en épididyme, canal
déférent, vésicules séminales
et prostate
Testicule
AMH
dégénérescence des
canaux de Müller
A partir de la 9eme semaine
chez le garçon
Produit 2
hormones
Entraîne
Testostérone
Développement des canaux de
Wolff en épididyme, canal
déférent, vésicules séminales
et prostate
Testicule
AMH
dégénérescence des
canaux de Müller
dégénérescence des
canaux de Wolff
Absence de testicule donc
d’AMH et de testostérone
Développement des canaux
de Müller en trompes, utérus
et vagin
A partir de la 9eme semaine
chez la fille
La chanteuse de Jazz Eden ATWOOD
- Phénotype féminin
- Génotype XY
- Présence de testicules intraabdominaux
-Pas d’utérus. Vagin atrophié.
- Seins développés
La chanteuse de Jazz Eden ATWOOD
- Phénotype féminin
- Génotype XY
- Présence de testicules intraabdominaux
-Pas d’utérus. Vagin atrophié.
- Seins développés
Pathologie : syndrome d'insensibilité totale à la testostérone (produit
la testostérone mais elle est inefficace car les récepteurs à cette
hormone sont modifiés)
L'organisme transforme une partie des androgènes en oestrogènes, ce qui cause le
développement des seins et l'élargissement du bassin. Ainsi la silhouette devient celle
d'une femme.
I - LA DIFFERENCIATION SEXUELLE : UN PROCESSUS SE DEROULANT PAR ETAPES
C – Du sexe gonadique au sexe phénotypique (= Comment les différences
observables à la naissance apparaissent-t-elles ?)
Chez l’embryon mâle :
A partir de la 9eme semaine, le testicule immature produit deux hormones :
- l'hormone anti-müllerienne (AMH) qui provoque la dégénérescence des canaux de
Müller (l'AMH n'intervient plus après la naissance) ;
- la testostérone qui permet la différenciation des canaux de Wolff en voies génitales
internes masculines (épididyme, canal déférent et vésicules séminales, prostate) et
organes génitaux externes masculins (pénis).
Chez l’embryon femelle :
En l'absence d'hormones testiculaires, les canaux de Wolff disparaissent.
Les canaux de Müller se développent en voies génitales internes féminines (trompes,
utérus et partie haute du vagin)
Les organes génitaux externes féminins (clitoris, vulve) se différencient.
Les hormones ovariennes n'interviennent pas dans la mise en place de l'appareil génital
féminin.
I - LA DIFFERENCIATION SEXUELLE : UN PROCESSUS SE DEROULANT PAR ETAPES
C – Du sexe gonadique au sexe phénotypique (= Comment les différences
observables à la naissance apparaissent-t-elles ?)
D– La puberté marque le début du fonctionnement de l’appareil génital
La puberté
La puberté
I - LA DIFFERENCIATION SEXUELLE : UN PROCESSUS SE DEROULANT PAR ETAPES
C – Du sexe gonadique au sexe phénotypique (= Comment les différences
observables à la naissance apparaissent-t-elles ?)
D– La puberté marque le début du fonctionnement de l’appareil génital
La production d'hormones sexuelles, quasi inexistante chez l'enfant, débute généralement
entre 8 et 13 ans pour les filles et 10 et 14 ans pour les garçons (c'est à dire de manière
très décalée par rapport à la différenciation intra-utérine des organes génitaux). Elle
entraîne :
- l'acquisition des caractères sexuels secondaires
- l'apparition d'un comportement sexuel
- la production de gamètes.
Remarque : Le stock d'ovocytes est constitué avant la naissance pour l'ovaire alors que le
testicule ne produit des spermatozoïdes qu'à partir de la puberté.
Bilan
II - VIVRE SA SEXUALITE
A - Le comportement sexuel est sous contrôle hormonal
•Chez les mammifères non primates
Comportement reproducteur chez le bélier et variations du taux de testostérone
Effets d’injections de testostérone chez un mouton castré
Relation entre taux de LH et comportement reproducteur chez la chèvre
Effets d’injections d’oestradiol chez des rates castrées
Comportement de lordose
chez la rate
II - VIVRE SA SEXUALITE
A - Le comportement sexuel est sous contrôle hormonal
•Chez les mammifères non primates
Le comportement sexuel s’observe essentiellement pendant la période de fécondité. Ce
comportement est stéréotypé et souvent saisonnier. (oestrus ou période des
« chaleurs »)
Cette périodicité est déterminée par le cycle annuel des sécrétions d'hormones
sexuelles (œstrogènes ou testostérone). Ainsi les sécrétions hormonales sont est
déterminantes dans le comportement sexuel qui est strictement lié à la reproduction.
II - VIVRE SA SEXUALITE
A - Le comportement sexuel est sous contrôle hormonal
•Chez les mammifères non primates
•Chez les primates hominoïdes et l’Homme
Comportement reproducteur des bonobos
Le bonobo poursuit son activité sexuelle toute l’année, y
compris en dehors des périodes fécondité (même si une
influence hormonale intervient). Les relations sexuelles ont
également une fonction de réconciliation.
« Le Baiser » de
Rodin
Hormones et activité sexuelle
Hormones et activité sexuelle
L’activité sexuelle et l’ovulation sont induites par le
pic d’hormones (et en particulier par les
oestrogènes).
Hormones et activité sexuelle
L’activité sexuelle et l’ovulation sont induites par le
pic d’hormones (et en particulier par les
oestrogènes).
Une faible ose d’oestrogènes est suffisante, mais
nécessaire, pour induire l’activité sexuelle.
Hormones et activité sexuelle
L’activité sexuelle et l’ovulation sont induites par le
pic d’hormones (et en particulier par les
oestrogènes).
Une faible dose d’oestrogènes est suffisante, mais
nécessaire, pour induire l’activité sexuelle.
L’activité sexuelle commence à devenir indépendante
de la concentration hormonale
Hormones et activité sexuelle
L’activité sexuelle et l’ovulation sont induites par le
pic d’hormones (et en particulier par les
oestrogènes).
Une faible dose d’oestrogènes est suffisante, mais
nécessaire, pour induire l’activité sexuelle.
L’activité sexuelle commence à devenir indépendante
de la concentration hormonale
L’activité sexuelle ne dépend plus des variations
des taux d’hormones.
II - VIVRE SA SEXUALITE
A - Le comportement sexuel est sous contrôle hormonal
•Chez les mammifères non primates
•Chez les primates hominoïdes et l’Homme
Le comportement reproducteur s’observe en dehors des périodes de fécondité.
L'influence des hormones sexuelles dans le comportement de reproduction diminue.
Le comportement sexuel humain ne se limite pas au fonctionnement des organes
reproducteurs. Il fait intervenir des activités variées (caresses, baisers...) qui ne sont
pas directement liées à l'acte reproducteur mais qui ont pour but d'obtenir du plaisir.
II - VIVRE SA SEXUALITE
A - Le comportement sexuel est sous contrôle hormonal
B - Le circuit de récompense a un rôle prépondérant chez les primates hominoïdes
Le circuit de récompense
DOCUMENT 1
- Dispositif expérimental:
On implante dans une partie du
cerveau du rat, l’aire tégumentaire
ventrale, une électrode reliée à un
générateur électrique (de faible
intensité).
On relie la commande du générateur
électrique à une pédale, sur laquelle le
rat peut appuyer.
-Résultats:
Au début le rat appuie sur la pédale par hasard mais très vite il appuie à répétition. La fréquence des
appuis (jusqu'à 6000 fois par heure) est alors proportionnelle à l’intensité du courant. Le rat cesse
d’appuyer dès qu’aucun courant ne traverse l’électrode.
Chez un rat affamé qui a le choix entre 2 leviers, l’un fournissant de la nourriture et l’autre de l’électricité
dans l’hypothalamus, c’est le levier d’autostimulation qui est choisi au mépris parfois de la survie de
l’animal.
Le circuit de récompense
DOCUMENT 1
- Dispositif expérimental:
On implante dans une partie du
cerveau du rat, l’aire tégumentaire
ventrale, une électrode reliée à un
générateur électrique (de faible
intensité).
On relie la commande du générateur
électrique à une pédale, sur laquelle le
rat peut appuyer.
-Résultats:
Au début le rat appuie sur la pédale par hasard mais très vite il appuie à répétition. La fréquence des
appuis (jusqu'à 6000 fois par heure) est alors proportionnelle à l’intensité du courant. Le rat cesse
d’appuyer dès qu’aucun courant ne traverse l’électrode.
Chez un rat affamé qui a le choix entre 2 leviers, l’un fournissant de la nourriture et l’autre de l’électricité
dans l’hypothalamus, c’est le levier d’autostimulation qui est choisi au mépris parfois de la survie de
l’animal.
La stimulation de l’ATV (aire tégumentaire ventrale) est source de plaisir. Le comportement des
rats est motivé par une recherche du plaisir puisque ils préfèrent s'administrer ces décharges
plutôt que d'assurer leurs besoins vitaux : se nourrir par exemple
DOCUMENT 2
Le circuit de récompense
- On mesure chez des rats l’activité des neurones à dopamine de l’aire tégumentaire centrale (zone du
cerveau). Au temps 10, le rat consomme un aliment qui lui a été distribué.
DOCUMENT 3
- On observe la libération de dopamine dans le noyau accumbens (zone cérébrale) au cours d'un
protocole d'auto-stimulation
- L'orgasme chez le rat est associé à une libération de dopamine
- En cas de destruction des neurones libérateur de dopamine, le phénomène d'auto-stimulation n'est
plus observé.
DOCUMENT 2
Le circuit de récompense
- On mesure chez des rats l’activité des neurones à dopamine de l’aire tégumentaire centrale (zone du
cerveau). Au temps 10, le rat consomme un aliment qui lui a été distribué.
Les neurones de l’ATV sécrètent de la dopamine. La libération de dopamine est associée au
plaisir et semble donc intervenir dans le « circuit de récompense ».
DOCUMENT 3
- On observe la libération de dopamine dans le noyau accumbens (zone cérébrale) au cours d'un
protocole d'auto-stimulation
- L'orgasme chez le rat est associé à une libération de dopamine
- En cas de destruction des neurones libérateur de dopamine, le phénomène d'auto-stimulation n'est
plus observé.
La dopamine libérée par l’ATV agit sur le noyau accumbens. La stimulation du NA est à l’origine
de la sensation de plaisir.
ATV = aire tégumentaire centrale
NA = Noyau accumbens
Augmentation de la taille du cortex par rapport au reste de l'encéphale.
Cortex = processus de cognition (mémoire), du langage et de la pensée abstraite.
Cette évolution du cortex peut être mise en relation avec la prépondérance progressive du
circuit de récompense sur le déterminisme hormonal du comportement sexuel.
II - VIVRE SA SEXUALITE
A - Le comportement sexuel est sous contrôle hormonal
B - Le circuit de récompense a un rôle prépondérant chez les primates hominoïdes
Le système de récompense (ou circuit de récompense) met en jeu des régions
interconnectées du cerveau :
•L’aire tegmentale ventrale (ATV) reçoit diverses entrées sensorielles.
•Elle communique avec plusieurs autres régions du cerveau, dont le noyau accumbens
(NA), par des neurones à dopamine (neurotransmetteur « du plaisir »).
•La sécrétion de dopamine provoque la sensation de plaisir.
•Nous avons alors tendance à reproduire les actions qui s'accompagnent d'une
sensation de plaisir, notamment le comportement sexuel.
Chez l’Homme, le système de récompense devient prépondérant dans la sexualité.
Ainsi le comportement sexuel est dissocié de la reproduction, permanent et diversifié.
II - VIVRE SA SEXUALITE
C - Chez l’Homme, le comportement sexuel dépend aussi de facteurs cognitifs,
affectifs et culturels
« Les seins », Robert COMBAS,
1988
« Le couple », Pablo Picasso
Dans la société traditionnelle des Tonga (ou Batonga) en Afrique
du sud, la bouche, avec les dents, n'est faite que pour se nourrir, le
baiser est considéré comme anormal. Par ailleurs, dans beaucoup
de cultures, les seins ne sont pas considérés comme sexuels.
L’identité sexuelle
« Le Sorcier d’Hiva », Paul Gaugin
Dans la société polynésienne les mahus
(prononcer mahou) sont considérés ni
comme des hommes, ni comme des femmes,
mais comme un troisième sexe.
Historiquement ils devaient accomplir les
tâches dévolues aux femmes (ménage,
cuisine, s'occuper des enfants...) mais pas
celles des hommes (pêche, guerre...).
Ces garçons sont élevés comme des filles. Ils
peuvent être en couple avec un homme ou
une femme sans être considérés comme
homosexuels.
Certains peuvent se travestir mais ne font pas
l’objet de discriminations.
L’identité sexuelle
« Tootsie », avec Dustin Hoffman
« Chouchou »,
avec Gad
Elmaleh
« Ed Wood », avec Johnny Depp
« Victor, Victoria »,
avec Julie Andrews
Identité sexuelle : Fait de se reconnaître ou d'être reconnu socialement comme homme ou
femme ou ni l'un ni l'autre ou les deux.
Cette identité relève à la fois du sexe anatomique, de l'éducation et du contexte culturel.
 Appartient à la sphère publique.
Orientation sexuelle
Orientation sexuelle: Attirance affective et sexuelle envers une autre personne (de l'autre
sexe, du même sexe ou les deux)  Relève de l’intimité de la personne
II - VIVRE SA SEXUALITE
C - Chez l’Homme, le comportement sexuel dépend aussi de facteurs cognitifs,
affectifs et culturels
Dans l'espèce humaine, la biologie ne peut à elle seule expliquer complètement les
sentiments amoureux, de désir et de plaisir. Ceux-ci sont influencés par la mémoire, le
langage, la pensée abstraite, l'imagination ou le contexte culturel.
On appelle identité sexuelle le fait de se reconnaître ou d'être reconnu socialement
comme homme ou femme ou ni l'un ni l'autre ou les deux. Cette identité relève à la fois
du sexe anatomique, de l'éducation et du contexte culturel.
On appelle orientation sexuelle l’attirance affective et sexuelle envers une autre
personne (de l'autre sexe, du même sexe ou les deux). Si l’identité sexuelle et les rôles
sexuels dans la société, avec leurs stéréotypes, appartiennent à la sphère publique,
l’orientation sexuelle fait partie, elle, de la sphère privée.
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