Violence et religion dans l`histoire

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CONFÉRENCE PHILOSOPHIQUE
“Plus l’être humain sera éclairé, plus il sera libre.”
Voltaire
VIOLENCE ET RELIGION DANS L’HISTOIRE
De la violence dans la condition humaine
aux religions comme source de violence
CONFÉRENCE PAR ÉRIC LOWEN
Association ALDÉRAN Toulouse
pour la promotion de la Philosophie
MAISON DE LA PHILOSOPHIE
29 rue de la digue, 31300 Toulouse
Tél : 05.61.42.14.40
Email : [email protected]
Site : www.alderan-philo.org
conférence N°1600-028
VIOLENCE ET RELIGION
De la violence dans la condition humaine
aux religions comme source de violence
Conférence par Éric Lowen donnée à la Maison de la philosophie
le 04/10/2012 à Toulouse
Les religions sont présentées souvent comme pacifistes, civilisatrices et opposées à la
violence, mais le constat des religions dans l’histoire est inverse : elles sont à l’origine
d’innombrables formes de violence. Quelles sont les relations entre la religion et la violence ?
Quelles sont les principales formes de violence ? Cette conférence tentera de faire le point sur
ces questions, notamment en essayant de répondre à la question suivante : est-ce la
conséquence de la nature violente de l’Homme ou bien est-ce une violence proprement
religieuse, provoquée par les croyances religieuses ?
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VIOLENCE ET RELIGION DANS L’HISTOIRE
De la violence dans la condition humaine
aux religions comme source de violence
PLAN DE LA CONFÉRENCE PAR ÉRIC LOWEN
La guerre est naturelle à l’homme, aucune nation, aucune génération
n’y échappe. Le désir de se venger a ordinairement pour motif
la rivalité d’intérêts et la jalousie, ou bien l’inimitié,
ou bien la colère au service de Dieu et de la religion, ou bien encore celle
que l’on met à défendre la souveraineté et à en étendre la puissance.
Ibn Khaldoun (1332-1406)
La Muqaddima - Les Prolégomènes
I
RELIGION ET VIOLENCE, UNE RELATION OMNIPRÉSENTE DANS L’HISTOIRE
1 - Un aspect sous-estimé de l’histoire des religions : la violence
2 - Le constat de l’omniprésence des formes de violence liées aux religions
3 - L’histoire temporelle des religions est aussi une histoire de violence et de mort
4 - Un fait général et transversal dans l’histoire des religions
5 - Une telle récurrence ne relève plus des aléas historiques, elle indique un lien de causalité
6 - Un aspect de l’histoire noire des religions
II
PARADOXALEMENT, UNE SORTE DE TABOU
1 - Mais paradoxalement, une relation qui est une sorte de tabou
2 - Les religions ne s’interrogent pas sur les causes réelles de ces violences, sur leurs violences
3 - Il y a même des révisionnistes en la matière, qui disent que la violence des religions est un
mythe antireligieux moderne
4 - Un rapprochement et une analyse rendus difficiles par le poids culturel de la religion
5 - Le mythe religieux de la nature pacifiste de la religion
6 - La défense par les œuvres artistiques et de l’esprit
7 - Les explications déresponsabilisantes : déviation, incompréhension, perversion...
8 - Une religion ne s’évalue pas à ses textes religieux fondateurs mais à ses fruits historiques
9 - La minimisation de la part religieuse des conflits par les grandes idéologies de gauche
10 - À cela s’ajoute la nouveauté conceptuelle de la notion de violence pour analyser les
comportements humains
III
LA VIOLENCE DANS LA NATURE HUMAINE
1 - Toute violence n’est pas forcément religieuse
2 - La complexité et la diversité des processus de violence
3 - La nécessité de distinguer violence primaire, violence socialisée, violence religieuse
4 - La violence est une dimension normale et constitutive de la nature humaine
5 - La violence fait partie des comportements humains
6 - Cette dimension est première et fondamentale, universelle à tous les hommes
7 - Ensuite cette dimension interagit avec le cadre culturel et social et s’exprime dedans
8 - Le cadre culturel et social vient réguler, moduler et organiser l’essentiel des expressions de
violence
9 - La distinction entre la violence primaire et la violence socialisée
10 - La violence primaire : spontanée, brève, irruptive et asociale
11 - La violence socialisée : structurée, codifiée, normée, pensée, légitimée par l’ordre social
12 - Les violences religieuses appartiennent à l’ordre des violences sociales
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IV
LA RELIGION COMME SOURCE DE VIOLENCE
1 - Une catégorie de violence à part entière : la violence religieuse
2 - Des formes de violence qui n’existent qu’en vertu de la religion et pour la religion
3 - Des violences qui n’ont pas de relation avec la violence spontanée et primaire de l’homme
4 - Une responsabilité qui incombe aux religions et non à l’homme
5 - Une violence religieuse qui n’est pas liée à la religion en soi, mais à des religions
6 - Des violences religieuses très diverses et spécifiques en fonction des religions
7 - En plus, des formes de violences religieuses totalement absentes d’autres religions
8 - Les violences religieuses sont donc liées à l’individualité religieuse des religions concernées
9 - Ce ne sont ni des dérives de fidèles, ni des incompréhensions de ces religions
10 - Des violences religieuses qui sont l’expression des convictions prônées et des principes
exemplarisés de ces religions
11 - La cause première des violences religieuses incombe aux structures internes des religions
concernées
12 - Les “fanatiques” ne sont donc pas des fanatiques mais de vrais fidèles de leur religion
13 - Les “fanatiques” sont donc la conséquence de religions violentes et non pas la cause
14 - Les fanatiques ne sont que des acteurs épigénétiques de la violence religieuse fondamentale et
interne de leur religion
15 - Ils ne font qu’exprimer, actualiser et contextualiser les principes structurels de violence de
ces religions
V
LES DIFFÉRENTES CATÉGORIES DE VIOLENCES RELIGIEUSES
- Violences divines, les exemples divins de violence, modèles divins de violence
- Violences théologiques, les justifications théologiques de la violence
- Violences sacerdotales, les appels sacerdotaux au meurtre et à la violence
- Violences physiques, violences contre les corps, les personnes et les biens
- Violences morales et psychiques (par opposition aux violences physiques)
- Violences statutaires, violences en raison du statut personnel
- Violences identitaires, violence en raison des identités collectives liée à la religion
- Violences d’imposition d’un ordre moral, le puritanisme
- Violences culturelles et ignorantistes, l’obscurantisme
- Les violences cultuelles (profanation, destruction, iconoclastisme...)
- Les violences blasphémiques, les violences pour punir les blasphèmes
- Les violences renforcées, des violences non-religieuses mais justifiées religieusement
- L’autoviolence, la violence retournée contre soi
- Les sacrifices animaux
- Les sacrifices humains
- Les meurtres rituels
- Les violences purificatrices, des violences terrestres comme châtiment divin ou religieux
terrestre
- Sacralisation de la guerre (la guerre considérée comme sacrée en soi)
- L’hérétisme (pour quelque motif que ce soit)
- Inquisitions, institutions de type inquisitoriales de répression de l’hérésie
- Guerres de religion : guerres saintes et guerres de religions
- Les guerres d’imposition religieuse, guerres pour imposer sa religion
- Dans les guerres de religions, violences militaires d’armées à armées
- Dans les guerres de religions, violences civiles et populaires
- Les assassinats religieux
- L’esclavage religieux
- Le terrorisme
- Le religiocide, stade ultime des guerres de religion
- Et toutes les formes de violence religieuse non citées dans cette liste (cannibalisme religieux,
tortures religieuses, pogroms, chasse aux sorcières...)
VI
CONCLUSION
1 - Les violences religieuses ont une origine sui generis, elles ne sont pas un épiphénomène
secondaire
2 - Les conférences de ce cycle seront une démonstration de l’importance des violences
religieuses
3 - Des conférences qui permettront d’éclairer les différentes catégories de violences religieuses
ORA ET LABORA
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Document 1 : Un des premiers philosophes contemporains à s’être interrogé sur la place naturelle de la
violence dans la condition humaine et dans le fait social, y compris les violences religieuses, fut Thomas
Hobbes. Son importance historique vient de ce qu'il fut le premier à placer son analyse de la nature humaine
et par conséquent de la société, en dehors de toute perspective théologique et de toute idée de finalité. Pour
ce philosophe anglais du 17ème, ce qui crée le malheur dans l'état de nature, c'est paradoxalement...
l'égalité naturelle de tous les hommes : car l'homme étant animé par ses envies, le désir d'accroissement de
soi-même (endeavour) et nul ne pouvant l'emporter définitivement sur personne, la vie est une guerre
perpétuelle. De ce point de départ « Homo homini lupus », l'homme est un loup pour l'homme, « Bellum
omnium contra omnes », la guerre de tous contre tous), Hobbes conclut à une légitimation du despotisme.
C'est le renoncement effrayé des hommes devant leur propre pouvoir de mort qui engendre le Léviathan,
l'état totalitaire prôné par Hobbes, comme seul garant de l'ordre social. Il est certain que les conclusions de
Hobbes semblent aujourd'hui paradoxales et bien pessimistes : en ayant posé qu'égalité est synonyme de
mort et d'anarchie, il légitime l'inégalité et la tyrannie comme nécessaires à la conservation du corps social
et de la vie. Car seul un pouvoir fort peut assurer le passage de la violence primaire, chaotique, incessante
et destructrice à une violence socialisée, régulée, canalisée et orientée pour le service de la société. Pour
comprendre les raisons profondes de ce pessimisme, ainsi que de l'exaltation d'un pouvoir fort pour mettre
fin aux violences inter-individuelles, il faut se souvenir de l'époque troublée où Hobbes écrivit son
Léviathan : en Angleterre, la guerre civile et de la république de Cromwell (qui furent aussi des guerres
religieuses entre églises protestantes et anglicanes) et en France où il vivra en exil, la Fronde.
De cette égalité des aptitudes découle une égalité dans l'espoir d'atteindre nos fins. C'est
pourquoi, si deux hommes désirent la même chose alors qu'il n'est pas possible qu'ils en
jouissent tous les deux, ils deviennent ennemis : et dans leur poursuite de cette fin (qui
est, principalement, leur propre conservation, mais parfois seulement leur agrément),
chacun s'efforce de détruire ou de dominer l'autre. Et de là vient que, là où l'agresseur n'a
rien de plus à craindre que la puissance individuelle d'un autre homme, on peut
s'attendre avec vraisemblance, si quelqu'un plante, sème, bâtit, ou occupe un
emplacement commode, à ce que d'autres arrivent tout équipés, ayant uni leurs forces,
pour le déposséder et lui enlever non seulement le fruit de son travail, mais aussi la vie
ou la liberté. Et l'agresseur à son tour court le même risque à l'égard d'un nouvel
agresseur.
Du fait de cette défiance de l'un à l'égard de l'autre, il n'existe pour nul homme aucun
moyen de se garantir qui soit aussi raisonnable que le fait de prendre les devants,
autrement dit, de se rendre maître, par la violence ou par la ruse, de la personne de tous
les hommes pour lesquels cela est possible, jusqu'à ce qu'il n'aperçoive plus d'autre
puissance assez forte pour le mettre en danger. Il n'y a rien là de plus que n'en exige la
conservation de soi-même, et en général on estime cela permis. [...]
De la sorte, nous pouvons trouver dans la nature humaine trois causes principales de
querelle : premièrement, la rivalité ; deuxièmement, la méfiance; troisièmement, la fierté.
La première de ces choses fait prendre l'offensive aux hommes en vue de leur profit. La
seconde, en vue de leur sécurité. La troisième, en vue de leur réputation. Dans le premier
cas, ils usent de violence pour se rendre maîtres de la personne d'autres hommes, de
leurs femmes, de leurs enfants, de leurs biens. Dans le second cas, pour défendre ces
choses. Dans le troisième cas, pour des bagatelles, par exemple pour un mot, un sourire,
une opinion qui diffère de la leur, ou quelque autre signe de mésestime, que celle-ci porte
directement sur eux-mêmes, ou qu'elle rejaillisse sur eux, étant adressée à leur parenté,
à leurs amis, à leur nation, à leur profession, à leur nom.
Il apparaît clairement par là qu'aussi longtemps que les hommes vivent sans un pouvoir
commun qui les tienne tous en respect, ils sont dans cette condition qui se nomme
guerre, et cette guerre est guerre de chacun contre chacun (...)
Dans un tel état, il n'y a pas de place pour une activité industrieuse, parce que le fruit
n'en est pas assuré et conséquemment il ne s'y trouve ni agriculture, ni navigation, ni
usage des richesses qui peuvent être importées par mer ; pas de constructions
commodes ; pas d'appareils capables de mouvoir et d'enlever les choses qui pour ce
faire exigent beaucoup de force ; pas de connaissances de la face de la terre ; pas de
computation du temps ; pas d'arts; pas de lettres ; pas de société, et ce qui est le pire de
tout, la crainte et le risque continuels d'une mort violente ; la vie de l'homme est alors
solitaire, besogneuse, pénible, quasi animale, et brève. [...]
Cette guerre de chacun contre chacun a une autre conséquence: à savoir, que rien ne
peut être injuste, les notions de légitime et d'illégitime, de justice et d'injustice, n'ont pas
ici leur place. Là où il n'est pas de pouvoir commun, il n'est pas de loi ; là où il n'est pas
de loi, il n'est pas d'injustice. La violence et la ruse sont en temps de guerre les deux
vertus cardinales. Justice et injustice ne sont en rien des facultés du corps ou de l'esprit.
Si elles l'étaient, elles pourraient appartenir à un homme qui serait seul au monde, aussi
bien que ses sensations et ses passions. Ce sont des qualités relatives à l'homme en
société, et non à l'homme solitaire. Enfin cet état a une dernière conséquence : qu'il n'y
existe pas de propriété, pas d'empire sur quoi que ce soit [no dominion], pas de
distinction du mien et du tien ; cela seul dont il peut se saisir appartient à chaque homme,
Association ALDÉRAN © - Conférence 1600-028 : “Religion et violence dans l’histoire“ - 21/09/2012 - page 5
et seulement pour aussi longtemps qu'il peut le garder. Cela suffit comme description de
la triste condition où l'homme est effectivement placé par la pure nature.
Thomas Hobbes (1588-1679)
Léviathan, ch. XIII, «De la condition naturelle des hommes en ce qui concerne
leur félicité et leur misère», 1651, (trad. F. Tricaux, Sirey, 1971)
Document 2 : Un des rôles des sociétés sociétales et de leur représentation organique, l’état, est la
neutralisation de la violence primaire. La violence socialisée s’oppose à la violence primaire.
S’il n’existait que des structures sociales d’où toute violence serait absente, le concept
d’État aurait alors disparu et il ne subsisterait que ce qu’on appelle au sens propre
l’“anarchie”. La violence n’est évidemment pas l’unique moyen normal de l’État, - cela ne
fait aucun doute - mais elle est son moyen spécifique. De nos jours la relation entre État
et violence est tout particulièrement intime. Depuis toujours les groupements politiques
les plus divers - à commencer par la parentèle (1) - ont tous tenu la violence physique
pour le moyen normal du pouvoir. Par contre, il faut concevoir l’État contemporain comme
une communauté humaine qui, dans les limites d’un territoire déterminé - la notion de
territoire étant une de ses caractéristiques - revendique avec succès pour son propre
compte le monopole de la violence physique légitime. Ce qui est en effet le propre de
notre époque, c’est qu’elle n’accorde à tous les autres groupements, ou aux individus, le
droit de faire appel à la violence que dans la mesure où l’État le tolère : celui-ci passe
donc pour l’unique source du “droit” à la violence.
Max Weber (1864-1920)
“Le métier et la vocation de l’homme politique”, Le savant et le politique, 1919
1. Ensemble de personnalités liés par consanguinité.
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- Les religions meurtrières, Élie Barnavi, Flammarion, 2008
- La bible contre Darwin, Dossier spécial, Le nouvel Observateur, Hors-série, Décembre 2005-janvier 2006
- La nature de la violence, Joëlle Proust, Gallimard, 2005
- Au nom de Dieu ! Les guerres de religion d’aujourd’hui et de demain, Joseph Yacoub, JC. Lattès, 2002
- Dieu en guerre. La violence au cœur des trois monothéismes, Michel Douss, Albin michel, 2002
- Les Racines de la violence, réflexion d’un neurobiologiste, Pierre Karli, Odile Jacob, 2002
- De l'inhumanité de la religion, Raoul Vaneigem, Denoël, 2000
- Histoire de la guerre sainte, Jacques. G. Ruelland, PUF, 1993
- La religion et la guerre, Pierre Crépon, Albin Michel, 1991
- La violence et sacré, René Girard, Grasset, 1985
- Histoire de la violence en Occident de 1800 à nos jours, Jean-Claude Chesnais, Robert Laffont, 1982
- Les guerres de Religion, Pierre Miquel, Fayard, 1980
- Le rôle de la violence dans l’histoire, Friedrich Engels (1878), Éditions Sociales, 1962
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