1.3. Le rayon atomique de l’atome Cl
35
17 est : rat Cl = 127 pm.
1.3.1. Exprimer littéralement l’intensité de la force de gravitation s’exerçant entre un électron de l’atome et le
noyau atomique, supposés ponctuels et distants de 2
rClat l’un de l’autre. Faire l’application numérique.
1.3.2. Reprendre la question précédente en considérant la force électrique.
1.3.3. Proposer une conclusion aux résultats obtenus en 1.3.1. et 1.3.2.
2. Dans un cristal de chlorure de sodium, (Na+, Cl–)(s), les ions Na
23
11 + et Cl
35
17 – sont régulièrement empilés. La
distance moyenne entre eux est de 276 nm.
2.1. Quelles sont les masses de chaque ion ?
2.2. Représenter schématiquement un ensemble plan de 12 ions, supposés ponctuels.
2.3. Expliquer pourquoi le cristal de chlorure de sodium, qui fond à 801°C, est aussi stable.
3. Équigravité Terre – Lune.
Soient ML et MT les masses respectives de la Lune et de la Terre, telles que : MT = 81 ML. Ces deux astres, qui se
comportent comme si leur masse était concentrée en leur centre, sont distants de : dTL = 3,84.105 km.
Il existe un point unique M tel que les forces de gravitation exercées par les deux astres sur toute masse m placée
en M se compensent (point d’équigravité).
3.1. Montrer que le point M est nécessairement situé sur le segment joignant les centres des deux astres.
3.2. Déterminer la position exacte de ce point M, sans utiliser la calculatrice.
Données : Constantes : k = 9,00.109 uSI ; G
GG
G = 6,67.10-11 uSI.
Nombre d’Avogadro : N
NN
N = 6,02.1023 mol-1. Charge élémentaire : e = 1,60.10-19 C.
Masses molaires atomiques : Na = 23,0 ; Cl = 35,5 g.mol-1.
Masse de l’électron : me = 9,11.10-31 kg. Masse du nucléon : m = 1,67.10-27 kg.
III ] PHYSIQUE : sur 4 points. MOUVEMENT D’UN SYSTÈ
MOUVEMENT D’UN SYSTÈMOUVEMENT D’UN SYSTÈ
MOUVEMENT D’UN SYSTÈME DE SOLIDES
ME DE SOLIDESME DE SOLIDES
ME DE SOLIDES
Deux mobiles autoporteurs, reliés par un ressort de masse négligeable, sont placés sur une table horizontale. Le
mobile 2 est lesté d’une surcharge qui le rend deux fois plus lourd que le mobile 1 (m2 = 2 m1), tout en laissant la position
de son centre d’inertie G2 inchangée. L’axe du ressort est horizontal et, au cours du mouvement, il reste confondu avec la
droite G1G2 liant les centres d’inertie des mobiles. En écartant les mobiles l’un de l’autre, on étire le ressort, et à l’instant t
= 0, on les abandonne en communiquant à leurs centres d’inertie les vitesses
0A et
0B.
Le document en annexe, qui sera à rendre avec la copie, est l’enregistrement obtenu à l’échelle 1/2.
Les points Ai représentent les positions de A, projeté de G1 sur la table, et les points Bi les positions de B, projeté
de G2 sur la table. Entre deux étincelages, il s’écoule la durée : τ
ττ
τ = 40,0 ms.
1. Quelle est la nature du mouvement du point G1 ? Justifier la réponse.
2. Numéroter sur le document les positions de A, de A0 jusqu’à A20. Faire de même pour les positions de B.
3. 3.1. Déterminer les intensités des vecteurs vitesse de A aux points A3 et A10, soient
3A et
10A.
Représenter chacun de ces vecteurs, à une échelle de représentation que l’on précisera, sur le document en
annexe.
Faire de même pour les points B3 et B10 et les vecteurs
3B et
10B.
3.2. Pourquoi a-t-on choisi ces couples de vecteurs vitesse plutôt que les couples
7A et
7B par exemple ?
4. On se propose de déterminer le centre d’inertie G du système (S) composé des deux mobiles et du ressort.
Ce système est pseudo-isolé et, d’après le principe d’inertie, le mouvement de son centre d’inertie G doit être
rectiligne et uniforme. On considère trois points du segment G1G2, dont les projetés orthogonaux sur la table sont :
D (milieu de [AB]), C (situé au tiers de [AB] en partant de A) et E (situé au tiers de [AB] en partant de B).
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