Le code verbal fait appel à des registres de langues à savoir :
le registre de langue courant ou commun : compréhensible par tous, il est le plus
utilisé. Exemple : « J’ai un RDV chez le médecin cet après-midi » Dans votre
activité professionnelle, vous aurez le plus souvent à utiliser ce registre,
le registre de langue familier : c’est un vocabulaire imagé, utilisé dans un cadre
familier. Exemple : « J’ai rencart avec le toubib »,
le registre de langue soutenu : le vocabulaire est riche et varié. La personne utilise le
vouvoiement et la structure des phrases est travaillée. Exemple « Je consulte mon
praticien cet après-midi ».
2. La communication non verbale
Lorsque l’information n’est pas transmise par le langage verbal, on parle de langage non
verbal. On utilise alors un ensemble de signes non verbaux (regard, mimiques, gestes,
postures, présentation…) appelés paralangage.
Les éléments du langage non verbal sont constitués :
du regard : il peut être vif, absent, mobile, fuyant…
des mimiques : ce sont les expressions du visage (sourires, grimaces…),
les gestes : mouvements de bras, épaules, jambes, tête…
l’apparence : sensations psychologiques (rougeur, pâleur, tremblements…),
les bruits : la toux, soupirs, raclements de la gorge.
Le plus souvent les éléments du langage non verbal sont indissociables du langage verbal et
en général renforcent les paroles.
Ils peuvent parfois les contredire et dans ce cas c’est généralement le langage non verbal qui
est perçu comme vrai (par exemple : si on dit « tout va bien » avec un air triste, on ne sera
pas cru).
3. La communication écrite
Dans votre secteur d’activité, elle concerne les différents écrits professionnels, ce qui fait
l’objet de la 2ème partie du livre.