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36. Le crédit documentaire est le principal moyen de
paiement utilisé dans les transactions internatio-
nales qui permet, à des degrés variables selon le
type de crédit documentaire ouvert par lexpor-
tateur auprès de sa banque, dassurer la double
curité par un système d’échange de documents
(curité du paiement pour le vendeur, sécurité
de la livraison attendue pour l’acheteur).
37. Lemaire J.-P., Stratégies d’internationalisation,
3e édition, Dunod, 2013.
38. « Tous avantages, faveurs, privilèges ou immu-
nités accordés par une partie contractante à un
produit originaire ou à destination de tous autres
pays, seront immédiatement et sans condition
étendus à tous produits similaires originaires ou
à destination de toutes les parties contractantes. »
39. Les principaux secteurs des services concernés
sont : la distribution et le commerce de gros et de
détail ; le bâtiment et les travaux publics, larchi-
tecture, la décoration, lentretien ; le génie civil et
lingénierie ; les services nanciers, bancaires et
dassurances ; la recherche et développement ; les
services immobiliers et le crédit-bail location ;
les services de communication, les postes, les
télécoms, l’audiovisuel, les technologies de l’in-
formation ; le tourisme et les voyages, les hôtels
et les restaurants ; les services de lenvironne-
ment dont la voirie, lenlèvement des ordures,
lassainissement, la protection du paysage et
de l’aménagement urbain ; les services récréa-
tifs, culturels et sportifs, dont les spectacles, les
bibliothèques, les archives et les musées ; lédi-
tion, limprimerie et la publicité ; les transports
par toutes les voies imaginables, y compris
spatiales ; l’éducation primaire, secondaire,
supérieure et la formation permanente ; la santé
animale et humaine.
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62. En comptabilité nationale comme dans la balance
des paiements, le domaine des « services » associe
les revenus dactivités traditionnelles comme le
tourisme, l’assurance ou le fret, les services liés
aux transferts de technologie, les revenus des
capitaux plas, prêtés ou investis à létranger à
court et à long terme, et les transferts de fonds
des travailleurs émigrés.
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72. Lecience des marchés exprime l’idée que les
prix reètent à chaque instant toute linforma-
tion disponible. Or, dans le monde des 20/80 (loi
de Pareto, et non pas loi de la moyenne), les inter-
venants n’ont évidemment pas un accès égal à
linformation. Les « eets de mémoire » génèrent
une dynamique intrinsèque aux marchés nan-
ciers (la hausse suit la hausse, la baisse suit la
baisse) qui n’est pas réductible à larrivée ou
non de nouvelles informations extérieures au
marché. De plus, « les effets dinteractions »
entre les diérents acteurs créent des tendances
autonomes et du mimétisme qui entraînent des
bulles.
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76. Toute opération dachat ou de vente d’une
marchandise est sculative dès lors qu’elle
est motivée par l’anticipation d’une varia-
tion imminente du prix et non par lemploi
ou la transformation de ladite marchandise.
Appliquée à la nance, la spéculation consiste à
acquérir ou à céder un titre non pas en raison de
son rendement (le taux d’intérêt des obligations,
les dividendes d’une action), mais parce que l’on
entend profiter d’une variation prochaine du
cours des titres.
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partout ailleurs, Flammarion, coll. « Champs »,
2007.
132. Hessel S., Indignez-vous !, Indigène Éditions,
2010.
133. Dortier J.-F., « L’abîme ou la métamorphose ?
Rencontre avec Edgar Morin », Sciences
humaines, no 201, 2009, p. 30-33.
134. http://ec.europa.eu/enterprise/policies/sustai-
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135. http://www.marketingdurable.net/.
136. Laville E., L’Entreprise verte, 3e édition, Pearson
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137. Yunus M., Vers un monde sans pauvreté, JC Lattès
/ Le Livre de Poche, 1997.
138. Chouinard Y., « Il faut consommer autrement »,
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139. Ardouin J.-L. et Faivre-Tavignot B.,
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rupture ? », LArt du management / Les Échos, 29
mai 2008, p. 4-5.
140. Lisicki, O. et Prime, N. (2014), « Le BoP comme
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management », KC, n° 3, 1/2014, p. 159-171.
141. Par exemple pour une approche très péda-
gogique, Leonard A., The Story of Stuff : The
Impact of Overconsumption on the Planet, Our
Communities, and Our Health-and How We Can
Make It Better, Free Press, 2009.
142. Si tout le monde consommait comme des
Fraais, il faudrait trois planètes pour satisfaire
la consommation mondiale, mais il en faudrait
neuf pour une consommation à la californienne
contre seulement un dixme de plate pour un
mode de vie malien (propos recueillis par Her
Kempf, Le Monde du 26 mai 2005, supplément
« Développement du râble »).
143. Bascoul G. et Moutot J.-M., Marketing et déve-
loppement durable, stratégie de la valeur étendue,
Dunod, 2009.
144. Sele K., « Marketing ethics in emerging markets
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Management Review, 2006, p. 95-103.
Chapitre 2
1. « Risques et opportunités 2010 », Le Moci,
no 1858, 21 janvier 2010, p. 6-14.
2. Vadcar C., « Les prochains marchés porteurs à
lhorizon 2015-2020 », Prospective et entreprise,
chambre de commerce et dindustrie de Paris,
2009.
3. Dunning, John H. (2000). The eclectic para-
digm as an envelope for economic and business
theories of MNE activity. International Business
Review, vol. 9 : 2, pp. 163-190. / Chen, Tain-Jy,
Chen, Homin & Ku, Ying-Hua (2004). Foreign
direct investments and local linkages. Journal
of International Business Studies, vol. 35 : 4,
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