PROCES-VERBAL DE LA REUNION DU CONSEIL COMMUNAL DU 10 novembre 2015. Présents : MM. B. JACQUEMIN, Président, P. ARNOULD, Bourgmestre; P. JEROUVILLE, P. LEJEUNE, E. GOFFIN, J. LEGRAND, Mme L. CRUCIFIX et Ch. MOUZON, Membres du Collège communal ; R. DEOM, J-M FRANCARD, Mme L. GALLET, E. de FIERLANT DORMER, R. DERMIENCE, Mme C. ARNOULD, Mme M-Cl. PIERRET, Mme C. JANSSENS, Mme Ch. WAUTHIER, D. LEDENT, A. THILMANT, F. URBAING et B. NIQUE, Conseillers. Mr Eddy JACQUEMIN, Directeur général. Mr Pol LEJEUNE est excusé. Mmes JANSSENS et WAUTHIER entre en séance au point 4 (Modification budgétaire n° 3) SEANCE PUBLIQUE 1. Approbation du PV de la séance du 14 octobre 2015. Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation et notamment son article L 1122-16; Vu le règlement d'ordre intérieur voté par le Conseil communal le 20 février 2013 et notamment ses articles 46 à 49 relatifs au contenu et à l'approbation du procès-verbal des réunions du Conseil communal ; Attendu que le procès-verbal de la réunion du 14 octobre 2015 a été déposé au secrétariat durant la période de consultation des dossiers et mis à la disposition des membres du Conseil communal qui souhaitaient en prendre connaissance; Attendu qu'à l'ouverture de la séance, à la question posée par le président de savoir s'il y avait des réclamations quant à la rédaction du procès-verbal, aucune observation n’a été soulevée; DECIDE, à l’unanimité , D’approuver le procès-verbal de la séance du 14 octobre 2015. 2. Approbation de la modification budgétaire 2 de l'ordinaire du CPAS. Attendu que le dossier relatif à la modification budgétaire n° 2 du service ordinaire 2015 a été remis au service Comptabilité de l'Administration communale en date du 9 octobre 2015; Vu la délibération du Conseil de l’Action sociale du 8 octobre telle que reprise ci-dessous : Extrait du registre aux délibérations du Conseil de l’Action Sociale Séance du 8 octobre 2015 Présents : MR MOUZON C. Président MRS NIQUE B., MONIOT M., MMES GRAVE M., LOUIS G., MARCHAND G., MATHIEU S., PIERRE S., PINSON V., Membres MME JEROUVILLE N. Générale Directrice MODIFICATION BUDGETAIRE n° 2 – SERVICE ORDINAIRE 2015 Le Conseil de l’Action Sociale, Vu l’article 88 § 2 de la loi organique des C.P.A.S. ; Vu la circulaire budgétaire relative à l’élaboration des budgets des communes et des C.P.A.S. de la Région Wallonne pour l’année 2015 ; Vu la circulaire relative aux mesures prises par l’union européenne dans le cadre du contrôle et de la publicité des données budgétaires et comptables ; Revu la délibération du Conseil de l’Action Sociale du 12 mars 2015 concernant la MB n°1 du service ordinaire ; Vu que le Comité de Direction a été concerté en date du 24 septembre 2015 sur ce projet de modification budgétaire ; Vu l’avis rendu par la Commission budgétaire du 24 septembre 2015 ; DECIDE à l’unanimité d’approuver la modification budgétaire n°2 du service ordinaire 2015 comme suit : Le budget ordinaire est modifié conformément aux indications portées au tableau 2 et le nouveau résultat du budget est arrêté aux chiffres figurant au tableau 1 ci-après : Tableau 1 : Balance des recettes et des dépenses PREVISION Recettes Budget Initial / M.B. précédente Dépenses CONSEIL Solde 2.969.683,75 2.969.683,75 Augmentation 242.188,16 112.520,67 129.667,49 Diminution 262.500,00 132.832,51 -129.667,49 2.949.371,91 2.949.371,91 Résultat Recettes Dépenses TUTELLE Solde Recettes Dépenses Certifié exact en ce qui concerne les excédents de recettes et les disponibles de dépenses Date : 10 décembre 2015 Le Directeur financier Pour extrait conforme, La Directrice Générale, N. JEROUVILLE MOUZON DECIDE à l’unanimité : Le Président, Ch. Solde D’approuver la modification budgétaire n° 2 de l’exercice ordinaire du CPAS telle que reprise ci-dessus. 3. Communication de décisions de la Tutelle. Vu le courrier du Ministre des Pouvoirs Locaux, de la Ville, du Logement et de l’Energie du 11/09/2015 approuvant les comptes annuels pour l’exercice 2014 arrêtés en séance du Conseil communal en date du 22 avril 2015 ; Vu le courrier du Ministre des Pouvoirs Locaux, de la Ville, du Logement et de l’Energie du 05/10/2015 relatif aux modifications budgétaires n° 2 pour l’exercice 2015 votées en séance du Conseil communal en date du 09 septembre 2015 ; Attendu que toute décision de l’Autorité de Tutelle, en application de l’article 4 du règlement général de la comptabilité communale, est communiquée par le Collège communal au Conseil communal ; Le Collège communal communique les décisions de l’Autorité de Tutelle telle que visées cidessus 4. Modification budgétaire communale 3 - Exercice 2015. Vu le projet de modification budgétaire n° 3 établi par le Collège communal; Vu la Constitution, les articles 41 et 162; Vu le Code de la Démocratie locale et de la Décentralisation, les articles L1122-23, L1122-26, L1122-30, et Première partie, livre III; Vu l’arrêté du Gouvernement wallon du 5 juillet 2007 portant le règlement général de la comptabilité communale, en exécution de l’article L1315-1 du Code de la Démocratie locale et de la Décentralisation; Vu le rapport favorable du 28 octobre 2015 de la Commission visée à l’article 12 du Règlement général de la Comptabilité communale; Vu l'accusé de réception de la demande d’avis adressée au directeur financier en date du 28 octobre 2015; Vu l’avis favorable du directeur financier rendu dans le délai prescrit à l’article L112440 du Code de la Démocratie locale et de la Décentralisation; avis annexé à la présente délibération; Attendu que la présente modification budgétaire a été analysée par le Comité de Direction; Attendu que le Collège veillera, en application de l’article L1122-23, § 2, du Code de la Démocratie locale et de la Décentralisation, à la communication de la présente modification budgétaire, dans les cinq jours de son adoption, aux organisations syndicales représentatives, ainsi qu’à l’organisation, sur demande desdites organisations syndicales et avant la transmission de la présente modification budgétaire aux autorités de tutelle, d’une séance d’information présentant et expliquant la présente modification budgétaire; Après en avoir délibéré en séance publique, DECIDE, Par 14 voix pour et 6 abstentions (R. DEOM, J-M. FRANCARD, L. GALLET, M-CL. PIERRET, D. LEDENT et A. THILMANT) Art. 1. D’approuver, comme suit, la modification budgétaire n° 3 de l’exercice 2015 : Service ordinaire Recettes totales exercice proprement dit 19.531.688,07 € Dépenses totales exercice proprement dit 18.981.516,67 € Boni / Mali exercice proprement dit 550.171,40 € Recettes exercices antérieurs 838.429,97 € Dépenses exercices antérieurs 1.275.082,13 € Prélèvements en recettes 0,00 € Prélèvements en dépenses 0,00 € Recettes globales 20.370.118,04 € Dépenses globales 20.256.598,80 € Boni global 113.519,24 € Art. 2. De transmettre la présente délibération aux autorités de tutelle via e-tutelle et au Directeur financier. 5. Octroi d'intervention communale - Circuit des Ardennes 2017. Vu le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation, et notamment les articles L3331-1 et suivants; Vu le décret du 31 janvier 2013 paru au Moniteur belge le 14 février 2013 et entré en vigueur le 01 juin 2013, remplaçant la circulaire du 14 février 2008; Vu la délibération du Conseil communal du 11 septembre 2013 décidant des modalités appliquées pour l'octroi de subventions; Vu la demande adressée par l'a.s.b.l. Commémoration du Circuit des Ardennes sollicitant une intervention communale pour l'organisation de la Commémoration du Circuit des Ardennes en 2017; Attendu que le Collège communal a fait parvenir à l'a.s.b.l. Commémoration du Circuit des Ardennes un formulaire de demande à remplir; document qui devait être signé et remis à l'Administration communale pour une date bien déterminée et complété par les noms et adresses des responsables, l'objet social du groupement, la nature de l'intervention sollicitée, les conditions d'utilisation de la subvention et les justifications qui seront fournies, le montant sollicité, la situation financière; Vu le formulaire parvenu à l'Administration et auquel a été annexé : le budget de l'évènement ou de l'investissement que la subvention finance ainsi que le budget de l'exercice auquel se rattache la subvention et les comptes annuels les plus récents dans le cas où le montant de la subvention est supérieur à 2.500,00 €; Attendu que cette manifestation permettra à tous les habitants de notre Commune d'assister à un programme historique et qu'un arrêt est prévu dans notre Commune afin que le public puisse admirer les "Ancêtres" et que les participants puissent faire une halte sur le parcours; Attendu que le circuit se déroule en plein cœur de l'Ardenne, et permet ainsi à tous les participants d'apprécier les paysages et découvrir le territoire de la Province de Luxembourg; Attendu qu’il y a lieu de soutenir ce type de manifestation qui est de nature à favoriser le développement du tourisme et la notoriété de la Commune, ce qui est d’intérêt général, et qu’à ce titre l’Office du tourisme de Libramont est associé à l’événement, étant chargé d’organiser l’étape à Libramont; Sur proposition du Collège communal; DECIDE, à l'unanimité, a) d'intervenir à concurrence d'un montant de 2.500,00 € dans les frais d'organisation de la Commémoration du Circuit des Ardennes en 2017; b) que la dépense sera imputée à charge du crédit inscrit à l'article 76301/332-02 du budget de l'exercice 2017; c) que cette intervention sera versée à l'a.s.b.l., sur production en deux exemplaires d'une déclaration de créance accompagnée d'une copie des factures et de la preuve de l'exécution du paiement (extrait de compte). 6. Règlement taxe sur la collecte et le traitement des déchets dans le cadre du service ordinaire de collecte. Le Conseil Communal, Vu la Constitution, les articles 41, 162 et 170 § 4 ; Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation, en particulier l’article L1122-30 ; Vu la nouvelle loi communale, en son article 135 § 2 ; Vu le décret du 27 juin 1996 relatif aux déchets, en particulier les articles 5ter et 21 ; Vu le décret fiscal favorisant la prévention et la valorisation des déchets du 22 mars 2007 et notamment son mécanisme de « prélèvement-sanction » ; Vu le Plan wallon des Déchets « Horizon 2010 » adopté par l’arrêté du Gouvernement wallon du 15 Janvier 1998 ; Vu la note du Gouvernement wallon du 30 mars 2006 sur la prévention et la gestion des déchets ; Vu l'arrêté du Gouvernement wallon du 13 décembre 2007 relatif au financement des installations de gestion des déchets ; Vu l’arrêté du Gouvernement wallon du 5 mars 2008 relatif à la gestion des déchets issus de l’activité usuelle des ménages et à la couverture des coûts y afférents et notamment les articles 7 et 10 ; Vu le règlement communal concernant la gestion des déchets du 16 octobre 2013; Vu les dispositions légales et réglementaires en vigueur en matière d’établissement et de recouvrement des taxes communales ; Attendu qu’en vertu de l’article 21§1er al.2 du décret du 27 juin 1996 relatif aux déchets, la commune se doit de répercuter directement les coûts de gestion des déchets résultant de l'activité usuelle des ménages sur les usagers, de manière progressive, sans être inférieure à 75 % en 2008, 80 % en 2009, 85 % en 2010, 90 % en 2011 et 95 % en 2012 des coûts à charge de la commune. Et ce, sans être supérieure à 110 % des coûts ; Attendu que la collecte et le traitement des déchets consistent en l’ensemble des services repris aux articles 6 et suivants du règlement communal concernant la gestion des déchets. Vu le calcul du taux de recouvrement des coûts en matière de gestion des déchets approuvé par le Conseil communal le 10 novembre 2015; Revu le règlement taxe sur l’enlèvement des déchets ménagers et assimilés dans le cadre du service ordinaire de collecte du 12 novembre 2014 ; Vu que le dossier a été transmis au Directeur Financier en date du 14 octobre 2015 ; Vu l’avis du Directeur Financier reçu en date du 13/10/2015 ; Sur proposition du Collège communal, DECIDE à l’unanimité, Article 1er – Principe Il est établi au profit de la Commune, pour l’exercice 2016, une taxe annuelle sur la gestion des déchets résultant de l’activité usuelle des ménages et des déchets y assimilés. Article 2 – Définitions 2.1. Par « usager », on entend le producteur de déchets bénéficiaire du service de gestion des déchets rendu par la commune. 2.2. Par « sacs Fraction Résiduelle », on entend sacs de collecte sélective de la fraction résiduelle, d’une capacité de 60 L, en PEBD de couleur rose translucide imprimé au nom de la commune, avec un liseret noir et conditionnés par rouleau de 10 sacs. 2.3. Par « sacs Matière Organique », on entend sacs de collecte sélective de la matière organique, d’une capacité de 20 L, en matière compostable, blanc imprimé au nom de la commune, conditionnés par rouleau de 10 sacs. 2.4. Par « sacs Matière Organique 30L », on entend sacs de collecte sélective de la matière organique, d’une capacité de 30 L, en matière compostable, blanc imprimé au nom de la commune, conditionné par rouleau de 20 sacs. Article 3 – Redevables §1. La taxe est due par le chef de ménage et solidairement par tous les membres du ménage qui, au 1er janvier de l’année d’imposition, est inscrit au Registre de la population ou au Registre des étrangers conformément aux dispositions de l’article 7 de l’arrêté royal du 16 juillet 1992. Par ménage, on entend un usager vivant seul ou la réunion de plusieurs usagers ayant une vie commune. §2. La taxe est aussi due par tout ménage second résident et solidairement par tous les copropriétaires recensés comme tel au premier janvier de l'exercice d'imposition. Par ménage second résident, on entend soit un usager vivant seul, soit la réunion de plusieurs usagers qui, pouvant occuper un logement sur le territoire de la commune, n’est/ne sont pas inscrit(s) pour ce logement au Registre de la Population ou au Registre des Etrangers. §3. Pour chaque unité d’établissement potentiellement desservie par le service de collecte en porte-à-porte, qu’il ai recours ou non au service d’enlèvement des immondices, en application de l’article 1.5 du règlement communal concernant la gestion des déchets, la taxe est également due par toute personne physique ou morale, exerçant, sur le territoire de la commune, dans le courant de l’exercice, une activité commerciale, industrielle, libérale, indépendante ou de service. Les gîtes, chambres d’hôtes et autres activités de ce type, sont assimilés à cette catégorie. Article 4 – Exemptions et réductions §1. La taxe n’est pas applicable aux ménages séjournant toute l’année dans un home, hôpital ou clinique sur production d’une attestation de l’institution. §2. La taxe annuelle forfaitaire (terme A) n’est pas dues par les contribuables s’enregistrant auprès de la commune après le 1er janvier de l’exercice d’imposition. Cependant, aucune réduction ne sera accordée en cas de déménagement hors du territoire communal, modification de composition de famille ou de cessation d’activité intervenant après le 1er janvier de l’exercice d’imposition §3. Lorsqu’une activité commerciale, industrielle, libérale, indépendante ou de service est exercée dans le même immeuble que celui de la résidence du ménage ou du gérant de l’activité, le redevable ne payera qu’une seule taxe au taux commerce, sans préjudice à l’application du point 3 §3. §4. La taxe forfaitaire n’est pas applicable aux ASBL à caractère social, culturel, sportif, philosophique ou religieux. §5. Les redevables pouvant se prévaloir au titre OMNIO, BIM ou anciennement dénommé « VIPO », au 1er janvier de l’exercice d’imposition, verront leur taxe annuelle forfaitaire (terme A) réduite de 50 %, tout document probant à l’appui. Toute demande devant être introduite auprès du Collège Communal, dans les trente jours de la date d’envoi de l’avertissement extrait de rôle et devant être renouvelée chaque année. Passé ce délai, toute demande sera considérée comme nulle et non avenue. Aucun effet rétroactif ne pourra être appliqué pour les années antérieures. Article 5 – Taux de taxation §1. La taxe est composée d’une partie forfaitaire (terme A) et d’une partie variable en fonction de la quantité de déchets produite (terme B) : TERME A : PARTIE FORFAITAIRE DE LA TAXE A.1 Pour les redevables visés à l’article 3 §1 : un forfait annuel de : 140 EUR pour les ménages d’une personne. 180 EUR pour les ménages de deux personnes et plus. A.2 Pour les redevables visés à l’article 3 §2 : un forfait annuel de 180 EUR. A.3 Pour les redevables visés à l’article 3 §3 : 180 EUR pour les redevables qui n’ont pas recours au service ordinaire de collecte. 180 EUR pour les redevables ayant effectivement recours au service ordinaire de collecte. TERME B : PARTIE VARIABLE EN FONCTION DE LA QUANTITE DE DECHE TS PRODUITE Un montant unitaire de : 20 EUR par rouleau de 10 sacs de 60 litres destinés à recevoir la fraction résiduelle. 15 EUR par rouleau de 10 sacs de 20 litres destinés à recevoir la matière organique. 10 EUR par rouleau de 20 sacs de 30 litres destinés à recevoir la matière organique. Les sacs fournis par la commune sont les seuls récipients de collecte autorisés à être présentés au service ordinaire de collecte. Les sacs de 30L destinés à recevoir la matière organique sont strictement réservés à l’usage des crèches et des gardiennes d’enfants. §2. Allocation de sacs gratuits A. Les redevables visés à l’article 3 §1 recevront gratuitement, en cours d’année : pour les ménages composés d’un seul usager : o 10 sacs de 60 litres destinés à recevoir de la fraction résiduelle pour les ménages de deux usagers et plus : o 15 sacs de 60 litres destinés à recevoir de la fraction résiduelle B. Les redevables visés à l’article 3 §2 recevront gratuitement, en cours d’année : o 10 sacs de 60 litres destinés à recevoir de la fraction résiduelle C. Les redevables visés à l’article 3 §3 recevront gratuitement en cours d’année : o 10 sacs de 60 litres destinés à recevoir de la fraction résiduelle Recevront les sacs gratuits, les personnes enrôlées en 2015 qui se sont acquittés de la taxe à la date de la distribution, ainsi que les personnes qui se sont domiciliés dans la commune dans le courant de l’année 2015. D. A l’achat d’un rouleau de sacs MO 30L, les usagers recevront un rouleau de sacs MO 30L gratuitement. Article 6 – Perception La partie forfaitaire de la taxe (terme A) est perçue par voie de rôle. La partie variable liée à la quantité de sacs utilisés (terme B) est payable au comptant au moment de l’achat des sacs. Article 7 Les clauses concernant l'établissement, le recouvrement et le contentieux sont celles des articles 3321-1 à 3321-12 du Code de la démocratie locale et de la décentralisation et de l'arrêté royal du 12 avril 1999, déterminant la procédure devant le Gouverneur ou devant le Collège communal en matière de réclamation contre une imposition provinciale ou communale. Article 8 Le présent règlement abroge toutes les délibérations précédentes concernant la collecte et le traitement des déchets dans le cadre de du service ordinaire de collecte. Article 9 La présente délibération sera transmise simultanément au Gouvernement Wallon et sera publiée conformément aux articles L1133-1 et L1133-2 du Code de la démocratie locale et de la décentralisation. 7. Prime d’encouragement à l’utilisation du parc à conteneurs Vu le Code Wallon de la démocratie locale et de la décentralisation, notamment l’article L 112230 ; Revu la délibération du 12 novembre 2014 concernant la prime d’encouragement à l’utilisation du parc à conteneurs pour l’exercice 2015 ; Attendu que le Collège propose la prolongation aux mêmes conditions ; Attendu qu’un parc à conteneurs sélectifs est installé dans notre commune et qu’il y a lieu de promouvoir l’utilisation de celui-ci, pour réaliser des économies de matières premières, d’énergie et de frais de traitement; Vu que le dossier a été transmis au Directeur Financier en date du 14/11/2015 ; Vu l’avis du Directeur Financier reçu en date du 13/10/2015 ; DECIDE à l’unanimité, d’accorder une prime d’encouragement à l’utilisation du parc à conteneurs sélectifs pour l’exercice 2016. - Bénéficiaires : les ménages et les commerces imposés à la taxe sur l’enlèvement des immondices. Une seule prime est accordée par année. - Montant : 12,5 € indivisibles pour, un minimum de 20 visites au parc à conteneurs en cours d’année. 6,25 € indivisibles pour, un minimum de 10 visites au parc à conteneurs en cours d’année. - Procédure : une carte de fréquentation est distribuée par la commune et comporte 20 cases. A chaque visite, une case est estampillée par le préposé du parc. La carte cachetée doit être rentrée à la commune, avant le 25 janvier de chaque exercice; La prime de 12,5 € ou 6,25 € est payée en échange. La présente délibération sera transmise au Gouvernement conformément à l'article L.1133-1 du code wallon de la démocratie locale et de la décentralisation. 8. Calcul du coût vérité budgétaire des déchets pour l'année 2016. Vu le décret du 27 juin 1996 relatif aux déchets tel que modifié ; Vu l’arrêté du gouvernement wallon du 5 mars 2008 relatif à la gestion des déchets issus de l’activité usuelle des ménages et à la couverture des coûts y afférents ; Vu la circulaire relative à la mise en œuvre de l’Arrêté du gouvernement du 5 mars 2008 relatif à la gestion des déchets issus de l’activité usuelle des ménages et à la couverture des coûts y afférents ; Vu la délibération 16 octobre 2013 relative au règlement communal concernant la gestion des déchets ; Vu la délibération du 10 novembre 2015 relative à la taxe sur la collecte et le traitement des déchets dans le cadre du service ordinaire de collecte ; Vu la délibération du 10 novembre 2015 relative à la prime d’encouragement à l’utilisation du parc à conteneurs ; Vu la délibération du 16 octobre 2013 concernant le règlement relatif au service de collecte à domicile des déchets recyclables triés destinés au parc à conteneurs pour les personnes dans l’incapacité de les acheminer au parc à conteneurs par leurs propres moyens ; Vu la délibération du 16 octobre 2013 concernant le règlement redevance pour l’utilisation du service de collecte des déchets recyclables triés pour les personnes dans l’incapacité de les acheminer au parc à conteneurs par leurs propres moyens ; Décide à l’unanimité D’approuver le calcul du taux de recouvrement des coûts en matière de gestion des déchets ménagers calculés sur base du budget 2016 égal à 106,13 % (voir document annexe qui fait partie intégrante de la présente délibération). 9. Remplacement des photocopieurs des écoles de Séviscourt, Ourt, Neuvillers, Laneuville, Sainte-Marie, Remagne et Flohimont. Vu le marché conjoint avec la Province de Luxembourg pour acquisition de photocopieurs; Attendu qu'il est nécessaire de remplacer les photocopieurs de plusieurs écoles; Vu le crédit disponible à l'article 722/742-52 20150006 du budget extraordinaire; Sur proposition du Collège communal; DECIDE, à l'unanimité, l'acquisition de nouveaux photocopieurs pour les écoles communales de Séviscourt, Ourt, Neuvillers, Laneuville, Sainte-Marie, Remagne et Flohimont suivant marché de la Province de Luxembourg; de choisir le modèle Multifonction RICOH MPC2554 au prix de 1.535,57 € H.T.V.A. + Reprobel (195,95 € H.T.V.A.), avec contrat entretien Omnium : Coût clic A4 noir et blanc : 0,0035 €; Coût clic A3 noir et blanc : 0,0035 €; que la dépense totale d'un montant de 14.665,98 € T.V.A. comprise sera imputée à l'article 722/742-52 20150006 du budget extraordinaire; de demander la livraison pour début du mois de décembre. 10. Centrale de marché relative à l'entretien et la fourniture d'extincteurs, de dévidoirs et d'hydrants pour les bâtiments - Adhésion à la centrale de la Province de Luxembourg. Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation et ses modifications ultérieures, notamment l'article L1222-3 relatif aux compétences du Conseil communal, et les articles L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ; Vu la loi du 12 novembre 1997 relative à la publicité de l'administration ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services et ses modifications ultérieures, notamment l'article 24, et notamment les articles 2, 4° et 15 qui dispense les pouvoirs adjudicateurs de l’obligation d’organiser eux-mêmes une procédure de passation lorsqu’ils recourent à une centrale d’achat ou de marchés ; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fournitures et de services ; Vu l'arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques et ses modifications ultérieures ; Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés publics et des concessions de travaux publics et ses modifications ultérieures ; Attendu que le recours à une centrale d’achat permet l’obtention de rabais significatifs et la simplification des procédures administratives ; Attendu que la Province de Luxembourg propose une centrale de marché relative à l’entretien et la fourniture d'extincteurs, de dévidoirs et d'hydrants ; Vu la fiche de la Province de Luxembourg du 5 novembre 2014 ; Considérant les termes et conditions du marché contracté avec Ansul SA, Avenue Louise 65 Bte 11 à 1050 Bruxelles ; Considérant que le crédit permettant cette dépense est inscrit au budget ordinaire des années 2015 et suivantes, article 351/124-12 ; DECIDE, à l’unanimité, Article 1er : De recourir à la centrale d’achat de la province de Luxembourg pour le marché ayant pour objet l’entretien et la fourniture d'extincteurs, de dévidoirs et d'hydrants et ce pour les différents produits et prestations repris sur la fiche du 5 novembre 2014 ; Article 2 : De financer cette dépense par le crédit inscrit au budget ordinaire des années 2015 et suivantes, article 351/124-12 ; Article 3 : Un courrier de notification sera adressé à la Ansul SA, Avenue Louise 65 Bte 11 à 1050 Bruxelles et à la Province de Luxembourg, Place Léopold 1 à 6700 ARLON. 11. Fournitures de bureau, de papier et enveloppes à en-tête et de papier pour photocopieurs pour l'année 2016 - Approbation des conditions et du mode de passation. Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation et ses modifications ultérieures, notamment l'article L1222-3 relatif aux compétences du Conseil communal, et les articles L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ; Vu la loi du 12 novembre 1997 relative à la publicité de l'administration ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services et ses modifications ultérieures, notamment l’article 26, § 1, 1° a (le montant du marché HTVA ne dépassant pas le seuil de 85.000,00 €) ; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fournitures et de services ; Vu l'arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques et ses modifications ultérieures, notamment l'article 105 ; Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés publics et des concessions de travaux publics et ses modifications ultérieures, notamment l'article 5, § 3 ; Considérant le cahier des charges relatif au marché ayant pour objet les fournitures de bureau, de papier et enveloppes à en-tête et de papier pour photocopieurs pour l'année 2016 établi par le service Travaux ; Considérant que ce marché est divisé en lots : * LOT n°1: FOURNITURE DE BUREAU POUR L'ADMINISTRATION COMMUNALE, estimé à 3.746,43 € hors TVA ou 4.533,18 €, 21% TVA comprise * LOT n°2 : FOURNITURE DE BUREAU POUR LE LIBR'ACCUEIL, estimé à 1.009,80 € hors TVA ou 1.221,86 €, 21% TVA comprise * LOT n°3: FOURNITURE DE PAPIER ET ENVELOPPES A EN-TETE COMMUNALE., estimé à 2.318,80 € hors TVA ou 2.805,75 €, 21% TVA comprise * LOT n°4: FOURNITURE DE PAPIER POUR PHOTOCOPIEURS, estimé à 8.320,00 € hors TVA ou 10.067,20 €, 21% TVA comprise * LOT n°5: FOURNITURE DE PAPIER ET ENVELOPPES A EN-TETE POUR LE LIBR'ACCUEIL, estimé à 180,00 € hors TVA ou 217,80 €, 21% TVA comprise ; Considérant que le montant global estimé de ce marché s'élève à 15.575,03 € hors TVA ou 18.845,79 €, 21% TVA comprise ; Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publicité ; Considérant que le crédit permettant cette dépense sera inscrit au budget ordinaire de l’exercice 2016, article 104/123-02 pour les lots 1, 3 et 4 ; Considérant que les dépenses liées aux lots 2 et 5 seront facturées directement au Libr’accueil ; Considérant que l’avis de légalité du directeur financier n’est pas exigé ; DECIDE, à l’unanimité, Article 1er : D'approuver le cahier des charges et le montant estimé du marché ayant pour objet les fournitures de bureau, de papier et enveloppes à en-tête et de papier pour photocopieurs pour l'année 2016, établis par le service travaux. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des charges et par les règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé s'élève à 15.575,03 € hors TVA ou 18.845,79 €, 21% TVA comprise. Article 2 : De choisir la procédure négociée sans publicité comme mode de passation du marché. Article 3 : De financer cette dépense par le crédit qui sera inscrit au budget ordinaire de l’exercice 2016, article 104/123-02 pour les lots 1, 3 et 4 (Les dépenses liées aux lots 2 et 5 seront facturées directement au Libr’accueil). 12. Fourniture de matériel de peinture pour les bâtiments communaux (01/02/2016 au 31/01/2017) - Approbation des conditions et du mode de passation. Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation et ses modifications ultérieures, notamment l'article L1222-3 relatif aux compétences du Conseil communal, et les articles L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ; Vu la loi du 12 novembre 1997 relative à la publicité de l'administration ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services et ses modifications ultérieures, notamment l’article 26, § 1, 1° a (le montant du marché HTVA ne dépassant pas le seuil de 85.000,00 €) ; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fournitures et de services ; Vu l'arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques et ses modifications ultérieures, notamment l'article 105 ; Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés publics et des concessions de travaux publics et ses modifications ultérieures, notamment l'article 5, § 3 ; Considérant le cahier des charges relatif au marché ayant pour objet la fourniture de matériel de peinture pour les bâtiments communaux (01/02/2016 au 31/01/2017) établi par le Service Travaux ; Considérant que le montant estimé de ce marché s'élève à 15.000,00 € hors TVA ou 18.150,00 €, 21% TVA comprise ; Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publicité ; Considérant qu'au moment de la rédaction des conditions du présent marché, l'administration n'est pas en mesure de définir avec précision les quantités de fournitures dont elle aura besoin ; Considérant que le crédit permettant cette dépense sera inscrit au budget ordinaire de l’exercice 2016, articles relatifs aux divers bâtiments communaux ; Considérant que l’avis de légalité du directeur financier n’est pas exigé ; Considérant la circulaire du 21 septembre 2015 relative aux compétences des organes communaux en matière de marchés publics et la gestion journalière ; DECIDE, à l’unanimité, Article 1er : D'approuver le cahier des charges et le montant estimé du marché ayant pour objet la fourniture de matériel de peinture pour les bâtiments communaux (01/02/2016 au 31/01/2017), établis par le Service Travaux. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des charges et par les règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé s'élève à 15.000,00 € hors TVA ou 18.150,00 €, 21% TVA comprise ; Article 2 : De choisir la procédure négociée sans publicité comme mode de passation du marché ; Article 3 : De financer cette dépense par le crédit qui sera inscrit au budget ordinaire de l’exercice 2016, articles relatifs aux divers bâtiments communaux. 13. Fourniture d'une solution AUS32 (Marque commerciale ""Adblue"" ou équivalent) pour 2016 et 2017 - Approbation des conditions et du mode de passation. Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation et ses modifications ultérieures, notamment l'article L1222-3 relatif aux compétences du Conseil communal, et les articles L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ; Vu la loi du 12 novembre 1997 relative à la publicité de l'administration ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services et ses modifications ultérieures, notamment l’article 26, § 1, 1° a (le montant du marché HTVA ne dépassant pas le seuil de 85.000,00 €) ; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fournitures et de services ; Vu l'arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques et ses modifications ultérieures, notamment l'article 105 ; Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés publics et des concessions de travaux publics et ses modifications ultérieures, notamment l'article 5, § 4 ; Considérant le cahier des charges relatif au marché ayant pour objet la fourniture d'une solution AUS32 (Marque commerciale "Adblue" ou équivalent) pour 2016 et 2017 établi par le Service Travaux ; Considérant que le montant estimé de ce marché s'élève à 2.600,00 € hors TVA ou 3.146,00 €, 21% TVA comprise ; Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publicité ; Considérant que le crédit permettant cette dépense sera inscrit au budget ordinaire 2016 et 2017, article 722/127-06 ; Considérant que l’avis de légalité du directeur financier n’est pas exigé ; DECIDE, à l’unanimité, Article 1er : D'approuver le cahier des charges et le montant estimé du marché ayant pour objet la fourniture d'une solution AUS32 (Marque commerciale "Adblue" ou équivalent) pour 2016 et 2017, établis par le Service Travaux. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des charges et par les règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé s'élève à 2.600,00 € hors TVA ou 3.146,00 €, 21% TVA comprise ; Article 2 : De choisir la procédure négociée sans publicité comme mode de passation du marché ; Article 3 : De financer cette dépense par le crédit qui sera inscrit au budget ordinaire 2016 et 2017, article 722/127-06. 14. Nettoyage des vitres et châssis + nettoyage de la halle aux foires en 2016 Approbation des conditions et du mode de passation. Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation et ses modifications ultérieures, notamment l'article L1222-3 relatif aux compétences du Conseil communal, et les articles L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ; Vu la loi du 12 novembre 1997 relative à la publicité de l'administration ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services et ses modifications ultérieures, notamment l’article 26, § 1, 1° a (le montant du marché HTVA ne dépassant pas le seuil de 85.000,00 €) ; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fournitures et de services ; Vu l'arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques et ses modifications ultérieures, notamment l'article 105 ; Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés publics et des concessions de travaux publics et ses modifications ultérieures, notamment l'article 5, § 3 ; Considérant le cahier des charges relatif au marché ayant pour objet le nettoyage des vitres et châssis + le nettoyage de la halle aux foires en 2016 établi par le Service Travaux ; Considérant que ce marché est divisé en lots : * Lot 1 (Nettoyage des vitres), estimé à 7.620,00 € hors TVA ou 9.094,20 €, TVA comprise * Lot 2 (Nettoyage de la halle aux foires), estimé à 2.575,00 € TVAC (0% TVA) ; Considérant que le montant global estimé de ce marché s'élève à 10.195,00 € hors TVA ou 11.669,20 €, TVA comprise ; Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publicité ; Considérant que les crédits permettant cette dépense seront inscrits au budget ordinaire de l’exercice 2016, articles suivants : Pour le lot 1 : Nettoyage des vitres et châssis, articles : - 104/125-02 (administration communale) ; - 734/125-02 (école de musique) ; - 722/125-02 (écoles communales) ; - 7623/125-02 (centre culturel) ; - 52101/125-02 (halle aux foires); - 12483/125-02 (Libraccueil); - 421/125-02 (hall des travaux); Pour le lot 2 : Nettoyage de la halle aux foires, article 52101/125-02. Considérant que l’avis de légalité du directeur financier n’est pas exigé ; DECIDE, à l’unanimité, Article 1er : D'approuver le cahier des charges et le montant estimé du marché ayant pourobjet le nettoyage des vitres et châssis + le nettoyage de la halle aux foires en 2016, établis par le Service Travaux. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des charges et par les règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé s'élève à 10.195,00 € hors TVA ou 11.669,20 €, TVA comprise. Article 2 : De choisir la procédure négociée sans publicité comme mode de passation du marché. Article 3 : De financer cette dépense par les crédits qui seront inscrits au budget ordinaire de l’exercice 2016, articles suivants : Pour le lot 1 : Nettoyage des vitres et châssis, articles : - 104/125-02 (administration communale) ; - 734/125-02 (école de musique) ; - 722/125-02 (écoles communales) ; - 7623/125-02 (centre culturel) ; - 52101/125-02 (halle aux foires); - 12483/125-02 (Libraccueil); - 421/125-02 (hall des travaux); Pour le lot 2 : Nettoyage de la halle aux foires, article 52101/125-02. 15. Travaux d'extension de réseaux de distribution d'eau, de raccordements particuliers sur ces réseaux et de travaux de terrassement pour réparation de fuites diverses sur réseaux de distribution d'eau (01/01/16 - 31/12/16) Approbation des conditions et du mode de passation. Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation et ses modifications ultérieures, notamment l'article L1222-3 relatif aux compétences du Conseil communal, et les articles L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ; Vu la loi du 12 novembre 1997 relative à la publicité de l'administration ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services et ses modifications ultérieures, notamment l’article 26, § 1, 1° a (le montant du marché HTVA ne dépassant pas le seuil de 85.000,00 €) ; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fournitures et de services ; Vu l'arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques et ses modifications ultérieures, notamment l'article 105 ; Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés publics et des concessions de travaux publics et ses modifications ultérieures, notamment l'article 5, § 2 ; Considérant le cahier des charges relatif au marché ayant pour objet les travaux d'extension de réseaux de distribution d'eau, de raccordements particuliers sur ces réseaux et de travaux de terrassement pour réparation de fuites diverses sur réseaux de distribution d'eau (01/01/16 - 31/12/16) ; Considérant que le montant estimé de ce marché s'élève à 45.000,00 € HTVA (TVA récupérable) ; Considérant que le marché sera conclu pour une durée de 365 jours de calendrier ; Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publicité ; Considérant qu'au moment de la rédaction des conditions du présent marché, l'administration n'est pas en mesure de définir avec précision les quantités de travaux dont elle aura besoin ; Considérant que le crédit permettant cette dépense sera inscrit au budget ordinaire 2016, article 87451/124-02 ; Considérant qu'une demande afin d’obtenir l'avis de légalité exigé a été soumise le 22 octobre 2015, un avis de légalité favorable a été accordé par le directeur financier le 26 octobre 2015 ; Considérant la circulaire du 21 septembre 2015 relative aux compétences des organes communaux en matière de marchés publics et la gestion journalière ; DECIDE, à l’unanimité, Article 1er : D'approuver le cahier des charges et le montant estimé du marché ayant pour objet les travaux d'extension de réseaux de distribution d'eau, de raccordements particuliers sur ces réseaux et de travaux de terrassement pour réparation de fuites diverses sur réseaux de distribution d'eau (01/01/16 - 31/12/16), établis par la Commune de Libramont-Chevigny. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des charges et par les règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé s'élève à 45.000,00 € HTVA (TVA récupérable) ; Article 2 : De choisir la procédure négociée sans publicité comme mode de passation du marché ; Article 3 : De financer cette dépense par le crédit inscrit au budget ordinaire 2016, article 87451/124-02. 16. Fourniture de divers matériaux pour travaux (01/02/2016 au 31/01/2017) Approbation des conditions et du mode de passation. Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation et ses modifications ultérieures, notamment l'article L1222-3 relatif aux compétences du Conseil communal, et les articles L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ; Vu la loi du 12 novembre 1997 relative à la publicité de l'administration ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services et ses modifications ultérieures, notamment l’article 26, § 1, 1° a (le montant du marché HTVA ne dépassant pas le seuil de 85.000,00 €) ; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fournitures et de services ; Vu l'arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques et ses modifications ultérieures, notamment l'article 105 ; Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés publics et des concessions de travaux publics et ses modifications ultérieures, notamment l'article 5, § 2 ; Considérant le cahier des charges relatif au marché ayant pour objet fourniture de divers matériaux pour travaux (01/02/2016 au 31/01/2017) établi par le Service Travaux ; Considérant que ce marché est divisé en lots : * LOT 1 : Divers matériaux, estimé à 45.000,00 € hors TVA ou 54.450,00 €, 21% TVA comprise * LOT 2 : Fers et métaux, estimé à 10.000,00 € hors TVA ou 12.100,00 €, 21% TVA comprise ; Considérant qu’en comparaison aux années antérieures, le montant global estimé de ce marché s'élève à 55.000,00 € hors TVA ou 66.550,00 €, 21% TVA comprise ; Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publicité ; Considérant qu'au moment de la rédaction des conditions du présent marché, l'administration n'est pas en mesure de définir avec précision les quantités de fournitures dont elle aura besoin ; Considérant que le crédit permettant cette dépense sera inscrit dans divers articles du budget ordinaire de l’exercice 2016; Considérant qu'une demande afin d’obtenir l'avis de légalité exigé a été soumise le 22 octobre 2015, un avis de légalité favorable a été accordé par le directeur financier le 22 octobre 2015 ; DECIDE, à l’unanimité, Article 1er : D'approuver le cahier des charges et le montant estimé du marché ayant pour objet la fourniture de divers matériaux pour travaux (01/02/2016 au 31/01/2017), établis par le Service Travaux. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des charges et par les règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé s'élève à 55.000,00 € hors TVA ou 66.550,00 €, 21% TVA comprise. Article 2 : De choisir la procédure négociée sans publicité comme mode de passation du marché. Article 3 : De financer cette dépense par le crédit qui sera inscrit dans divers articles du budget ordinaire 2016. 17. Fourniture de gasoil extra pour les tracteurs de voirie en 2016 (01/01/16 31/12/16) - Approbation des conditions et du mode de passation. Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation et ses modifications ultérieures, notamment l'article L1222-3 relatif aux compétences du Conseil communal, et les articles L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ; Vu la loi du 12 novembre 1997 relative à la publicité de l'administration ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services et ses modifications ultérieures, notamment l’article 26, § 1, 1° a (le montant du marché HTVA ne dépassant pas le seuil de 85.000,00 €) ; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fournitures et de services ; Vu l'arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques et ses modifications ultérieures, notamment l'article 105 ; Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés publics et des concessions de travaux publics et ses modifications ultérieures, notamment l'article 5, § 3 ; Considérant le cahier des charges relatif au marché ayant pour objet la fourniture de gasoil extra pour les tracteurs de voirie en 2016 établi par le Service Travaux ; Considérant que le montant estimé de ce marché s'élève à 10.000,00 € hors TVA ou 12.100,00 €, 21% TVA comprise ; Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publicité ; Considérant qu'au moment de la rédaction des conditions du présent marché, l'administration n'est pas en mesure de définir avec précision les quantités de fournitures dont elle aura besoin ; Considérant que le crédit permettant cette dépense sera inscrit à l’article 421/127-03 du budget ordinaire 2016; Considérant que l’avis de légalité du directeur financier n’est pas exigé ; DECIDE, à l’unanimité, Article 1er : D'approuver le cahier des charges et le montant estimé du marché ayant pour objet la fourniture de gasoil extra pour les tracteurs de voirie en 2016, établis par le Service Travaux. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des charges et par les règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé s'élève à 10.000,00 € hors TVA ou 12.100,00 €, 21% TVA comprise. Article 2 : De choisir la procédure négociée sans publicité comme mode de passation du marché. Article 3 : De financer cette dépense par le crédit qui sera inscrit au budget ordinaire de l’exercice 2016, article 421/127-03. 18. Fourniture de 150.000 sacs fraction résiduelle, 20.000 sacs biodégradables (30L) et 10.000 sacs pour la voirie - Approbation des conditions et du mode de passation. Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation et ses modifications ultérieures, notamment l'article L1222-3 relatif aux compétences du Conseil communal, et les articles L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ; Vu la loi du 12 novembre 1997 relative à la publicité de l'administration ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services et ses modifications ultérieures, notamment l’article 26, § 1, 1° a (le montant du marché HTVA ne dépassant pas le seuil de 85.000,00 €) ; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fournitures et de services ; Vu l'arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques et ses modifications ultérieures, notamment l'article 105 ; Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés publics et des concessions de travaux publics et ses modifications ultérieures, notamment l'article 5, § 3 ; Considérant le cahier des charges relatif au marché ayant pour objet la fourniture de 150.000 sacs fraction résiduelle, 20.000 sacs biodégradables (30L) et 10.000 sacs pour la voirie établi par le Service environnement ; Considérant que ce marché est divisé en lots : * Lot 1 (Sacs fraction résiduelle), estimé à 18.000,00 € hors TVA ou 21.780,00 €, 21% TVA comprise * Lot 2 (Sacs biodégradables 30L), estimé à 3.720,00 € hors TVA ou 4.501,20 €, 21% TVA comprise * Lot 3 (Sacs pour la voirie), estimé à 1.860,00 € hors TVA ou 2.250,60 €, 21% TVA comprise ; Considérant que le montant global estimé de ce marché s'élève à 23.580,00 € hors TVA ou 28.531,80 €, 21% TVA comprise ; Considérant qu'il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publicité ; Considérant que le crédit permettant cette dépense sera inscrit au budget ordinaire de l’exercice 2016, article 876/124-04 ; Considérant qu'une demande afin d’obtenir l'avis de légalité exigé a été soumise le 22 octobre 2015, un avis de légalité favorable a été accordé par le directeur financier le 22 octobre 2015. DECIDE, à l’unanimité, Article 1er : D'approuver le cahier des charges et le montant estimé du marché ayant pour objet la fourniture de 150.000 sacs fraction résiduelle, 20.000 sacs biodégradables (30L) et 10.000 sacs pour la voirie, établis par le Service environnement. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des charges et par les règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé s'élève à 23.580,00 € hors TVA ou 28.531,80 €, 21% TVA comprise. Article 2 : De choisir la procédure négociée sans publicité comme mode de passation du marché. Article 3 : De financer cette dépense par le crédit qui sera inscrit au budget ordinaire de l’exercice 2016, article 876/124-04. 19. Tonte de pelouses et entretien de divers espaces verts en 2016 Approbation des conditions et du mode de passation. Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation et ses modifications ultérieures, notamment l'article L1222-3 relatif aux compétences du Conseil communal, et les articles L3111-1 et suivants relatifs à la tutelle ; Vu la loi du 12 novembre 1997 relative à la publicité de l'administration ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services et ses modifications ultérieures, notamment l'article 24 ; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l'information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fournitures et de services ; Vu l'arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques et ses modifications ultérieures ; Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés publics et des concessions de travaux publics et ses modifications ultérieures, notamment l'article 5, § 2 ; Considérant le cahier des charges relatif au marché ayant pour objet la tonte de pelouses et l’entretien de divers espaces verts en 2016 établi par le Service environnement ; Considérant que ce marché est divisé en lots : * Lot 1 (LIBRAMONT), estimé à 32.785,00 € hors TVA ou 39.669,85 €, 21% TVA comprise * Lot 2 (SEVISCOURT ET BRAS), estimé à 6.435,00 € hors TVA ou 7.786,35 €, 21% TVA comprise * Lot 3 (FREUX ET BOUGNIMONT), estimé à 10.726,00 € hors TVA ou 12.978,46 €, 21% TVA comprise * Lot 4 (MOIRCY ET BONNERUE), estimé à 7.795,00 € hors TVA ou 9.431,95 €, 21% TVA comprise * Lot 5 (REMAGNE - NIMBERMONT - RONDU ET CHENET), estimé à 7.310,00 € hors TVA ou 8.845,10 €, 21% TVA comprise * Lot 6 (LANEUVILLE ET WIDEUMONT), estimé à 4.180,00 € hors TVA ou 5.057,80 €, 21% TVA comprise * Lot 7 (RENAUMONT - SAINTE-MARIE ET BERNIMONT), estimé à 6.780,00 € hors TVA ou 8.203,80 €, 21% TVA comprise * Lot 8 (OURT ET PRESSEUX), estimé à 3.810,00 € hors TVA ou 4.610,10 €, 21% TVA comprise * Lot 9 (FLOHIMONT ET SAINT-PIERRE), estimé à 4.539,00 € hors TVA ou 5.492,19 €, 21% TVA comprise * Lot 10 (NEUVILLERS ET RECOGNE), estimé à 5.795,00 € hors TVA ou 7.011,95 €, 21% TVA comprise ; Considérant que le montant global estimé de ce marché s'élève à 90.155,00 € hors TVA ou 109.087,55 €, 21% TVA comprise ; Considérant qu'il est proposé de passer le marché par adjudication ouverte ; Considérant que le crédit permettant cette dépense sera inscrit au budget ordinaire de l’exercice 2016, article 76601/124-02; Considérant qu'une demande afin d’obtenir l'avis de légalité exigé a été soumise le 20 octobre 2015, un avis de légalité favorable a été accordé par le directeur financier le 20 octobre 2015. DECIDE, à l’unanimité, Article 1er : D'approuver le cahier des charges et le montant estimé du marché ayant pour objet la tonte de pelouses et l’entretien de divers espaces verts en 2016, établis par le Service environnement. Les conditions sont fixées comme prévu au cahier des charges et par les règles générales d'exécution des marchés publics. Le montant estimé s'élève à 90.155,00 € hors TVA ou 109.087,55 €, 21% TVA comprise. Article 2 : De choisir l'adjudication ouverte comme mode de passation du marché. Article 3 : De compléter et d'envoyer le formulaire standard de publication au niveau national. Article 4 : De financer cette dépense par le crédit qui sera inscrit au budget ordinaire de l’exercice 2016, article 76601/124-02. 20. Motion concernant le projet de partenariat transatlantique sur le commerce et l'investissement entre l'union européenne et les Etats Unis (TTIP). Vu le mandat relatif à la conclusion avec les Etats-Unis d'un accord appelé "Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement", donné par le Conseil des ministres européens des affaires étrangères et du commerce le 14 juin 2013; Vu la résolution du Parlement européen du 25 novembre 2010 sur les droits de l’Homme et les normes sociales et environnementales dans les accords commerciaux internationaux ; Considérant que l’UE et les USA négocient un vaste accord de libre-échange (TTIP) ; Considérant que sur le principe, le TTIP est destiné à contribuer à réduire les coûts supportés par les entreprises européennes en luttant contre les formalités administratives inutiles et à mettre en place de nouvelles règles permettant d’exporter, d’importer et d’investir outre-Atlantique dans des conditions plus simples et plus équitables. Considérant qu’en Belgique il fait l’objet d’un soutien de la FEB, l’UWE, de l’UNIZO, du VOKA, du BECI, du Boerenbond comme étant un accord levant des obstacles,simplifiant les échanges. Considérant cependant que la Belgique ne doit faire aucune concession sur le principe de l’exception culturelle et doit assurer le respect absolu de la Convention de l’UNESCO sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, adoptée à Paris, le 20 octobre 2005 ; Considérant l’importance de préserver le niveau de protection des normes sociales, sanitaires, de sécurité alimentaire et environnementales, les normes de santé et de bien-être en vigueur dans notre pays et au sein de l’UE, et l’absolue nécessité d’assurer leur respect par les entreprises européennes et étrangères opérant sur le marché unique européen ; Considérant que les accords de libre-échange ne doivent pas se révéler comme des outils utilisés pour assouplir ou abroger, les législations européennes, nationales, régionales ou communales ; Considérant que les accords ne doivent pas diminuer la capacité des autorités publiques de maintenir des services publics (éducation, santé…), de protéger les droits sociaux, de garantir la protection sociale, de maintenir des activités associatives, sociales, culturelles ; Vu le risque pour la commune que le TTIP produise des effets directs ou indirects sur ses missions et sur la gestion des services publics ; Considérant que si le renforcement du système multilatéral du commerce international est un objectif important, et qu'il est nécessaire de favoriser des approches plurilatérales de convergence des normes et standards et d'ouverture des marchés publics, fondées sur la réciprocité des pays participants, un tel accord doit être contenu dans des balises : respect des normes humaines, sanitaires, sociales, alimentaires et environnementales européennes et faire l’objet de la plus grande transparence ; Considérant qu’il est nécessaire d’intégrer dans ces négociations la mise en œuvre des normes BEPS mises au point par l’OCDE afin d’assurer une justice fiscale ; Le Conseil communal de LIBRAMONT-CHEVIGNY, par 14 voix pour 0 contre et 6 abstentions (R. DEOM, J-M FRANCARD, L. GALLET, M-Cl PIERRET, D. LEDENT, A. THILMANT) - Appelle le Gouvernement fédéral, la Commission, le Conseil et le Parlement européens, à un engagement fort pour aboutir à un accord ambitieux et équilibré qui vise à l’émergence d’un nouveau modèle de développement axé sur l’amélioration de la qualité de la vie de tous les citoyens ; - Refuse toute tentative d’affaiblir le cadre communal, régional, national ou européen notamment en matière sociale, de santé, d’agriculture, d’environnement, de protection des travailleurs, des consommateurs, des entreprises petites ou grandes et des petits producteurs de notre région ; - Demande aux autorités belges d’exiger que les négociations concernant le projet de Partenariat transatlantique sur le Commerce et l’Investissement entre l’Union européenne et les Etats-Unis d’Amérique visent absolument une harmonisation vers le haut, c’est à dire, intégrant les normes les plus élevées, que cela concerne les droits sociaux et à la santé, les droits humains, les dispositifs de protection de l’environnement, de l’alimentation ou encore la protection des travailleurs et des consommateurs ; - Demande aux autorités belges compétentes que les services publics et d’intérêt général soient absolument préservés du projet de traité ; - Déclare ne pas accepter que des dispositions du règlement des différends entre investisseurs et Etats puissent permettre à des investisseurs privés de remettre en cause des décisions des autorités locales ; -Demande que soient intégrées dans la négociation les normes visant à assurer une justice fiscale ; - Demande aux autorités belges de faire pression afin que les négociations se fassent dans la plus grande transparence à l’égard des consommateurs et des citoyens ; -Déclare qu’en l’absence du respect des orientations contenues dans la présente motion, « Libramont-Chevigny » se déclarera « hors TTIP » ; - Demande de transmettre la présente motion aux instances européennes, au Gouvernement fédéral ainsi qu’aux gouvernements de la RW et la FWB. Justification de l'abstention: Motivation: En raison de la position défendue par le Collège à savoir que ce traité constitue une opportunité d'ouverture pour l'Europe alors que pour nous, il constitue une menace réelle pour le pouvoir décisionnel communal, le tissu économique de proximité (PME, petits indépendants,…) de même qu'il présente des risques pour le sécurité alimentaire et pourrait générer des conséquences sociales. 21. Point dont l'inscription est sollicitée par un conseiller communal: motion contre le traité de partenariat transatlantique de commerce et d'investissement (PTCI-TTIP): amendement. Préambule Le 14 juin 2013, les 27 gouvernements de l’Union européenne, dont la Belgique, ont approuvé le mandat donné à la Commission européenne pour négocier un accord de libre-échange avec les États-Unis. Le 18 octobre 2013, l’ancien président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, et le premier ministre canadien, Stephen Harper, ont conclu ce que la Commission appelle un « accord politique » sur les éléments essentiels d’un Accord économique et commercial global (AÉCG soit Comprehensive Trade and Economic Agreement – CETA) entre l’Union européenne et le Canada. Ces accords, négociés dans le plus grand secret, visent à créer un vaste marché transatlantique en supprimant un maximum d’obstacles au commerce et en « harmonisant » les législations en vigueur des deux côtés de l’Atlantique. Avec ces accords tels qu’on nous les présente aujourd’hui, sous le couvert de mesures dites « non tarifaires », les normes sociales, sanitaires et environnementales, culturelles, de service public, de protection des consommateurs et des entreprises, propres à l’Europe, à un Etat, une Région ou à une Commune, seraient menacées d’interdiction (ou de fortes amendes au profit des entreprises s’estimant flouées) si elles sont jugées « déraisonnables, arbitraires ou discriminatoires ». Nos acquis communautaires, régionaux ou nationaux risquent de voler en éclat : certaines protections sanitaires pourraient être interdites, les investissements en faveur d’une transition vers les énergies renouvelables deviendraient illégaux, les services publics pourraient être ouverts à la concurrence américaine et canadienne (écoles, logement sociaux, hôpitaux, traitement de déchets…). Par ailleurs, en accueillant 50 Etats américains ou 10 provinces et trois territoires canadiens dans un espace de « libre-échange » où les investissements et les marchandises pourraient circuler sans contrainte, le renforcement du dumping social et fiscal accroîtrait les difficultés budgétaires tant des citoyens que des pouvoirs publics, aggravant ainsi une fracture sociale déjà problématique. Si de tels accords étaient signés en y incluant une clause Règlement des Différends Investisseurs Etats, les multinationales auraient la possibilité d’attaquer les États auprès d’un Tribunal arbitral – composé de personnes non élues – lorsqu’elles considèrent que leurs profits sont menacés ou revus à la baisse par l’adoption d’une nouvelle loi. Cela se traduirait par des sanctions commerciales pour le pays contrevenant, ou par une réparation pouvant représenter plusieurs millions d’euros à charge des pouvoirs publics. En réalité, ces accords seraient un moyen pour les multinationales d’éliminer toute décision publique qu’elles considèreraient comme entraves à l’expansion de leurs parts de marché. L’Article 27 du projet de Traité Transatlantique prévoit que « l’Accord sera obligatoire pour toutes les institutions ayant un pouvoir de régulation et les autres autorités compétentes des deux parties ». L’Article 4 prévoit que «Les obligations de l’Accord engageront tous les niveaux de gouvernement ». Selon l’Article 23, « Toutes les autorités et entités infranationales (comme les États ou les municipalités) devraient se conformer efficacement aux dispositions du chapitre de protection des investissements du présent Accord. » Quant à l’Article 24, il précise ceci : « L’Accord visera à accroître l’accès mutuel aux marchés publics à tous les niveaux administratifs (national, régional et local), et dans le secteur des services publics, couvrant les opérations pertinentes d’entreprises opérant dans ce domaine et assurant un traitement non moins favorable que celui accordé aux fournisseurs établis localement ». Les alinéas 1-b et 1-c de l’article X-5 du CETA relatif aux « exigences de performance » que pourrait fixer l’une ou l’autre des parties à un investisseur sont également problématiques : elles interdisent en effet à une collectivité publique de fixer des seuils minimaux de contenu local à un investisseur, de même que de donner préférence à des produits ou des services locaux dans leurs commandes publiques. Ceci implique que les Communes seront concernées et directement impactées. Si ces Traités étaient signés, et selon l’étendue des accords négociés sans débat public ni transparence suffisante, il deviendrait ainsi risqué d’imposer des objectifs en matière d’alimentation de qualité et issue de circuits courts dans les restaurants scolaires, de décider de l’abandon de pesticides dans l’entretien des espaces verts, de subsidier l’enseignement communal ou des évènements culturels locaux…. Ces biens seraient en effet privatisables et toute norme publique locale à leur propos pourrait être considérée comme « obstacle non tarifaire » à la concurrence, soumis à sanction. Toute politique communale, marquant des préférences écologiques ou sociales, pourrait être accusée d’entrave à la liberté du commerce. Enfin, ajoutons que le TTIP et très probablement le CETA prévoient aussi la mise en place d’institutions transatlantiques pouvant interférer dans les processus de décision politique (via une procédure incluant les autorités politiques européennes et américaines ou canadiennes mais aussi, éventuellement, des représentants d’entreprises multinationales). Il s’agit donc d’accords « vivants », dont la portée et l’étendue est susceptible d’évoluer au fil du temps. Il est important de comprendre que le CETA n’est pas seulement un accord de libre-échange. Il doit être compris pour ce qu’il est, un précurseur politique de l’accord UE/Etats-Unis. En considérant, en outre, qu’il suffit qu’une entreprise ait une filiale au Canada pour que le TTIP ne soit même plus nécessaire, il est primordial d’y mettre fin d’urgence. Début 2012, 23 membres (en comptant l’UE comme un seul) de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) ont lancé des discussions secrètes et non officielles en vue de mettre en œuvre un traité qui allait libéraliser encore davantage le commerce et l’investissement dans les services, et étendre les « disciplines régulatrices » à tous les secteurs des services, parmi lesquels un très grand nombre de services publics. Mandatée officiellement en 2013, la Commission négocie désormais un traité (TiSA – Trade in Services Agreement – ACS – Accord sur le Commerce des Services) dont les règles donneraient aux fournisseurs de services étrangers le libre accès au marché intérieur à des conditions « non moins favorables » que celles accordées aux fournisseurs nationaux et elles restreindraient la capacité des gouvernements de réguler les services. Ceci changerait fondamentalement la régulation de beaucoup de services, tant publics que privés qui, au lieu de servir l’intérêt public, serviraient les intérêts des entreprises privées. Cet accord est le résultat direct d’une pression systématique des multinationales dans les secteurs bancaires, des télécommunications, de l’énergie, de l’assurance, du transport, de l’eau et d’autres secteurs de services par le biais de lobbies tels que la Coalition des Industries de Services des Etats-Unis (USCSI) et le Forum européen des services (ESF). Leur but, à travers ces négociations en marge des cénacles officiels de l’OMC, est que cette libéralisation étendue des services s’étende, à terme, à l’ensemble des membres de l’OMC, via une actualisation des négociations de l’AGCS (Accord général sur le Commerce des Services ou GATS, datant de 1995). Mais alors que le GATS permettait aux pays de choisir les services qu’ils souhaitaient libéraliser, et voir soumis aux règles de l’accord (système de liste positive), avec le TiSA, les pays devront libéraliser les services dans pratiquement tous les modes et secteurs et ce, via une liste négative : seuls les services ayant explicitement été signalés par les Etats comme devant figurer hors du champ de libéralisation en seront exclus. Les clauses du « statut quo » et de l’ « effet cliquet » impliquent respectivement une pérennisation de toute mesure actuellement en cours de dérégulation et une irréversibilité de toute libéralisation future. Plus question de relocaliser un service après avoir constaté l’inefficacité de sa libéralisation. De plus, toute introduction future de mesures régulatrices pourrait être considérée comme discriminatoire et tout nouveau service créé serait automatiquement soumis au cadre de l’accord. Les types de services qui seraient inclus dans le TiSA couvrent un large champ de secteurs qui s’étend des transports aux (télé)communications, la construction, le commerce de détail, les services d’ingénierie, la fourniture d’énergie, la distribution d’eau, la comptabilité, le marketing, la publicité, les services bancaires et d’assurance, la protection de l’environnement, les loisirs, les musées, l’éducation, les services funéraires et beaucoup d’autres… Inutile de dire que les communes seront forcément directement impactées par cet accord. Motion Le Conseil communal LIBRAMONT CHEVIGNY en sa séance du 10 NOVEMBRE 2015 Vu la résolution du Parlement européen du 25 novembre 2010 sur les droits de l’Homme et les normes sociales et environnementales dans les accords commerciaux internationaux ; Vu le mandat de négociations adopté le 14 juin 2013 par le Conseil de l’Union européenne autorisant l’ouverture de négociations pour constituer, avec les Etats-Unis, un vaste accord de libre-échange (TTIP) ; Vu l’accord politique conclu le 18 octobre 2013 entre l’ancien président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, et le premier ministre Canadien, Stephen Harper, sur le CETA ; Vu le mandat de négociations adopté en mars 2013 par le Conseil de l’Union européenne ouvrant officiellement les négociations entre 23 membres de l’OMC (Union européenne, Australie, Canada, Chili, Hong Kong (Chine), Colombie, Corée, Costa Rica, États-Unis d’Amérique, Islande, Israël, Japon, Liechtenstein, Mexique, Norvège, Nouvelle-Zélande, Pakistan, Panama, Paraguay, Pérou, Suisse, Taipei chinois et Turquie) ; Considérant que les Etats-Unis n’ont ratifié que deux des huit conventions fondamentales de l’OIT ; Constatant le manque de transparence des négociations menées dans le cadre du TTIP, CETA et TiSA et considérant leurs probables conséquences inquiétantes – notamment dans la mise en concurrence des normes sociales, environnementales, sanitaires, agricoles mais aussi le risque de porter atteinte à l’autonomie politique locale au profit d’une logique juridique et institutionnelle décidée à l’échelle internationale, sans garde-fous démocratiques ; Considérant que la Belgique ne doit faire aucune concession sur le principe de l’exception culturelle et doit assurer le respect absolu de la Convention de l’UNESCO sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, adoptée à Paris, le 20 octobre 2005 ; Considérant que cet accord menacerait l’acquis communautaire européen et belge en matière de normes sociales, environnementales, de santé, de protection des services publics et des consommateurs, ou encore de sauvegarde de l’industrie européenne ; Considérant que les accords de libre-échange ne doivent pas se révéler comme des outils utilisés par certains pour assouplir, mettre en concurrence, voire abroger, les législations européennes, nationales, régionales, provinciales ou communales ; Considérant que le mécanisme de Règlement des Différends entre Investisseurs et Etats (RDIE – ISDS), actuellement défendu par les négociateurs, créerait une cour arbitrale composée d’experts non élus, devant laquelle les politiques communales, livrées aux avocats d’affaires, pourraient être directement attaquées par une firme privée. Ce qui signifie que toute espèce de norme – sociale, sanitaire, alimentaire, environnementale ou technique adoptée par un Etat, une Région, une commune, dès lors qu’elle contrarie une firme privée, pourrait être attaquée devant un mécanisme d’arbitrage privé ; Considérant que la consultation officielle lancée par la Commission européenne a montré un rejet très majoritaire des citoyens européens par rapport au mécanisme de règlement des différents ; Considérant qu’un tel montage juridique limiterait la capacité des autorités publiques de maintenir des services publics (éducation, santé…), de protéger les droits sociaux, de garantir la protection sociale, de maintenir des activités associatives, sociales, culturelles préservées du marché, y compris le cas spécifique de la coopération au développement (menaçant par-là la diversité culturelle et linguistique) ; Considérant que la Commission européenne propose également un mécanisme de coopération réglementaire, obligeant les autorités publiques européennes à consulter un conseil transatlantique avant l’adoption de toute réglementation pouvant avoir un effet sur le commerce transatlantique, qu’un tel mécanisme est de nature à donner un accès privilégié aux grandes entreprises multinationales au marché européen. Considérant également le risque de voir de nouvelles fusions-acquisitions d’entreprises accroître les déséquilibres existants, sur les marchés, entre firmes multinationales aux logique globales et PME aux moyens d’actions plus modestes ; Considérant que ces accords imposeraient la mise en concurrence (et donc la privatisation à terme) de la production et de la distribution de toutes les formes d’énergie, et ouvriraient la porte à la contestation de lois limitant ou interdisant l’usage de certaines d’entre elles, ce qui aboutirait à la perte de la maîtrise par les pouvoirs publics de toute politique énergétique ; Considérant le rapport de Jeronim Capaldo – Tufts University, basé sur le « Global Policy Model » – Modèle des politiques publiques mondiales, développé par les Nations Unies, qui simule les effets du TTIP et estime à 600 000 les pertes d’emploi potentielles en Europe, une baisse des exportations, une perte annuelle des revenus (de 3.400€ à 5.500€ par travailleurs) et place la Belgique au rang des pays les plus sévèrement touchés par les effets du TTIP ; Considérant que le lait, la viande avec usage d’hormones, la volaille à l’eau de javel, les semences OGM et bien d’autres substances agricoles commercialisées pourraient arriver sur le marché européen et belge, à des prix très bas (induits par les économies d’échelle des fermes industrielles américaines) et aux dépends de la production locale, des circuits courts et durables belges et européens ; Considérant qu’un marché unifié à l’échelle transatlantique/internationale menacerait la relocalisation des activités et le soutien au développement de l’emploi, en ravalant la protection des travailleurs et le modèle social belge comme autant d’entraves à un marché pleinement compétitif ; Considérant que, dans le cadre du TiSA, excepté les secteurs spécifiés sur la liste négative, tous les fournisseurs de service étrangers et leurs produits seront traités sous l’égide du « traitement national », y compris les secteurs éventuellement oubliés ainsi que ceux à venir (tout nouveau service créé étant par nature exclu de la liste et donc d’emblée libéralisable) ; Considérant la (quasi) impossibilité de retour en arrière en cas de ratification de Traités de cet acabit; Considérant le risque pour la commune que le TTIP, le CETA et le TiSA produisent des effets directs ou indirects sur ses missions et sur la gestion des services publics, que si ces Traités étaient signés, il deviendrait ainsi risqué d’imposer des objectifs en matière d’alimentation de qualité et issue de circuits courts dans les restaurants scolaires, de décider de l’abandon de pesticides dans l’entretien des espaces verts, de subsidier l’enseignement communal ou des événements culturels locaux… ; que ces biens seraient en effet privatisables et que toute norme publique locale à leur propos serait considérée comme « obstacle non tarifaire » à la concurrence, soumis à sanction ; que toute politique communale pourrait être accusée d’entrave à la liberté de commerce ; Le Conseil Communal, décide par 6 voix pour et 14 contre (B. JACQUEMIN, P. ARNOULD, P. JEROUVILLE, E. GOFFIN, J. LEGRAND, L. CRUCIFIX, Ch. MOUZON, E. de FIERLANT DORMER, R. DERMIENCE, C. ARNOULD, C. JANSSENS, Ch. WAUTHIER, F. URBAING et B. NIQUE) de ne pas adopter la motion présentée et reprise ci-dessous : Affirme que les projets de traités de Partenariat Transatlantique de Commerce et d’Investissement (PTCI – TTIP), d’Accord Économique et Commercial Global (AÉCG – CETA) et d’Accord sur le Commerce des Services (ACS – TiSA) constituent des menaces graves pour nos démocraties communales, en matière économique, sociale, sanitaire, environnementale, culturelle ; Refuse toute tentative de dérégulation (ou de mise en concurrence) de nos normes et toute tentative d’affaiblir le cadre communal, régional, national ou européen notamment en matière sociale, de santé, d’environnement, des travailleurs, des consommateurs et des entreprises ; Marque sa ferme opposition à toute clause de Règlement des Différends entre les Investisseurs et les autorités publiques par un mécanisme d’arbitrage privé qui renforcerait, de manière inacceptable, les pouvoirs des investisseurs y compris vis-à-vis des communes ; Demande aux autorités belges compétentes qu’un large débat sur l’ensemble des accords de libre-échange – impliquant la participation de tous les niveaux de pouvoir dont les autorités communales mais aussi les organisations syndicales et associatives représentatives, les organisations socio-professionnelles et les citoyens – soit organisé ; Demande au Gouvernement fédéral et aux institutions européennes l’arrêt d’urgence du processus de ratification du CETA, ainsi que l’arrêt immédiat et définitif des négociations concernant le TTIP et le TiSA ; du fait de l’absence de contrôle démocratique et de débat public sur les négociations. Se déclare en vigilance par rapport à tout autre traité qui réaliserait les mêmes objectifs ; Déclare qu’en cas de ratification de ces traités, la Commune de … introduira un recours à la Cour européenne des droits de l’homme, notamment en raison du caractère non démocratique de ces traités. Ces traités recèlent des atteintes à l’impérium de l’Etat, et à la souveraineté assumée au niveau national, régional, communautaire, provincial et communal. Pour cette raison le CONSEIL COMMUNAL DE LIBRAMONT CHEVIGNY , se déclare commune hors zone TTIP – CETA – TiSA. 22. Point dont l'inscription est sollicitée par un conseiller communal: la protection civile de Libramont menacée: motion de soutien pour son maintien. Depuis de très nombreuses années , la Protection Civile de Libramont , s’est développée , les équipes ont été formées et spécialisées . Toujours, lors d' accidents et de catastrophes, son personnel est intervenu avec efficience et de manière très professionnelle. Le professionnalisme de ces hommes , au côté de celui des services de secours, en particulier des pompiers , rassure la population . Malheureusement , l’avenir de ce service semble bien incertain . Alors qu'en 2005 , près de 4,5 M d’euros ont été investis pour l’aménagement et la construction d’une nouvelle caserne sur le plateau de Libramont , on ne peut que constater et regretter le manque de moyens humains et financiers mis a disposition . En effet , Entre 2008 et 2015 , les effectifs humains ont fondu comme neige au soleil et sont passés de 80 agents permanents à 62 ( - 20 % )et de 100 volontaires à 70 ( - 30 % ) Les moyens financiers de fonctionnement ,mis à disposition sont passés de 235.000 euros annuels a 133.800 euros ( - 43 % ) . Quant aux investissements en matériel, de 484.000 euros en 2008 , on est passé depuis 2012 à 35.000 euros , soit moins de 93% Cette situation est dramatique , ne permet plus d’acheter du matériel et pire encore , ne permet même plus les réparations des véhicules . Pendant ce temps là , le Gouvernement Fédéral par l’intermédiaire de son Ministre de l’Intérieur , annonce sa volonté de réorganiser les casernes et de revaloriser le statut des agents , dans le but de tendre vers le même statut que celui des hommes du feu . Si on peut se réjouir sur le principe de cette revalorisation , le même Ministre annonce , qu’il n’y aura pas de licenciement sec , mais que la Protection Civile agira plus en seconde ligne , en fonction de ses spécialisations ( risques chimiques , biologiques , nucléaires ,…..), une partie du personnel pouvant être transféré vers les services pompiers de la zone de secours . Une telle réorganisation pose nombre de questions . En terme de sécurité pour la population, une intervention en deuxième ligne ne va-t-elle engendrer perte d’efficience et risques supplémentaires pour la sécurité . Comment pourra-t-on financer la revalorisation du statut des agents , alors que aucun moyen financier complémentaire n’a été prévu pour l’instant . Si une partie des agents migrent vers la zone de secours , qui va payer ce surcoût ? Ne risque-ton pas d’ajouter l’enveloppe budgétaire nécessaire au fonctionnement des zones de secours et donc à charge des Communes , déjà exsangues et anormalement sollicitées pour le financement de leur zone de secours et des services de police ? Quand on parle de réorganisation des casernes , considérant les 3 casernes actuellement en place en Wallonie à savoir : Ghlin ( caserne actuellement vétuste , mais située en Hainaut où il y a le plus d’entreprises dangereuses type Seveso ) , Crisnée ( en région Liégeoise où de très importants investissements sont en voie d’achèvement ) et Libramont( caserne trop exiguë que pour accueillir de nouvelles activités supplémentaires ) , on ne peut qu’être inquiet . En effet, et même si rien n’est actuellement décidé , certains évoquent déjà l’idée qu' à terme , il ne pourrait plus exister qu'une en Wallonie et une en Flandre ( comment pouvoir garantir dans ce cas des interventions urgentes en cas de catastrophe ) Sur ces constats , le Conseil Communal de Libramont Chevigny se dit très inquiet et demande : Au gouvernement Fédéral et en particulier à son Ministre de l’Intérieur de nous rassurer quant au maintien d’un service de qualité , correctement équipé , dans la récente caserne de Libramont De revoir à la hausse les dotations financières nécessaires en matière de fonctionnement et d’investissement de manière à assurer le fonctionnement efficace des services actuels . D’être rassuré quant aux capacités du pouvoir Fédéral de pouvoir financer lui-même l’opération de revalorisation statutaire du personnel de la Protection Civile . Qu'en aucun cas , d’éventuels transferts d’agents vers les zones de secours , ne viendront alourdir les dotations déjà importantes de ces zones de secours , actuellement réclamées aux Communes . VOTE, à l’unanimité, PAR LE CONSEIL COMMUNAL DE LIBRAMONT CHEVIGNY LE 10 NOVEMBRE 2015. Envoyé : - Au Premier Ministre Au Ministre de l’Intérieur Au Ministre Président de la Région Wallonne Au Ministre en charge des pouvoirs locaux Au Gouverneur de la Province Au Président du Collège Provincial 23. Interpellation des habitants (articles 67 et suivants du ROI): problématique du logement social et application concrète des décisions de l'ancrage communal. Interpellation au Conseil communal du mardi 10 novembre 2015 de Monsieur DAZY. Ma 3ème interpellation citoyenne de cette année portera, e.a, sur le logement social et la réalisation ou non des projets de l’ancrage communal 2014-2016 en matière de logements sociaux. Sachez d’abord que notre commune compte quelque 175 logements sociaux soit 4,25% des logements totaux. Pour les autres communes faisant partie du giron du Foyer Centre Ardenne, Neufchâteau: 3,68% ; Bertrix: 5,49% ; Herbeumont: 1,49% ; Léglise: 0,23% ; Paliseul: 2,42% et Bouillon: 5,28%. Par comparaison : Arlon: 7,2% ; Bastogne: 7% et Marche-en-Famenne: 15%. Lors de l’inauguration des 18 nouveaux appartements sociaux, en juillet, rue Arthur Lefèbvre qui, soit-dit en passant, a montré là encore un manque de correction du FCA qui n’a même pas invité les Membres libramontois du CCLP (Comité Consultatif des Locataires), dont je fais aussi partie, mais a invité la presse pour se mettre en valeur, le directeur-gérant du FCA, Mr Frédéric DENIS (habitant de la commune de Marche-en-Famenne) a annoncé que seuls 8 des 36 logements de l’ancrage communal avaient obtenu l’aval de la Région Wallonne et, en plus, à ce jour, rien n’a démarré ! 10 logements étaient prévus à Bonance et un bloc de 24 appartements rue des Alliés, sur le terrain communal, derrière les garages des appartements « TOUSSAINT ». Le rez-dechaussée étant conservé par la commune pour un potentiel transfert là de la « Maison médicale ». Quant à ces nouveaux appartements rue Arthur Lefèbvre, ahurissant que le FCA n’ait même pas songé à un « coin débarras » pour ces appartements ce qui fait que (sans cave et sans garage), les locataires devront condamner 1 des 2 chambres pour servir de débarras et y mettre leurs cartons, VTT, vélos, etc. Encore une aberration du FCA que j’ai dénoncé avant ces travaux, en vain, au FCA lors d’une réunion trimestrielle de l’époque entre le FCA et le CCLP des locataires sociaux. Comment peut-on encore construire des logements sans, au moins, un « coin débarras » ou une cave ? C’est assez insensé… Je pense que la Région Wallonne n’est pas responsable de TOUT mais que le FCA ne défend pas assez ses dossiers et surtout notre commune ! Dommage que notre Président du CPAS et des affaires sociales, Monsieur Christophe MOUZON, ne puisse aussi être Président du C.A. du FCA ou directeur-gérant car cela irait beaucoup mieux ! En quasi 1 an, il a créé un nouveau logement d’urgence, rue de l’Ancienne gare ; alors que le FCA met parfois 10 ans pour créer ou pour perdre de l’argent. Ex: Je dénonce que pour le presbytère de Saint-Pierre et le projet partenariat public-privé pour des maisons derrière celui-ci, le FCA a non seulement fait perdre 10 ans à notre commune et une dégradation du presbytère (avec la participation de l’opposition à ce projet des élus PSC de l’époque et la pétition orchestrée de citoyens) mais sachez que les administrateurs du FCA ont voté, il y a moins d’1 an, une somme de 100 000€ (quasi le prix d’un appartement social) gaspillée pour des frais d’études… pour cette absence de travaux en la faisant passer comme « frais d’investissements » je crois ? Quel investissement à Saint-Pierre ? Un scandale de plus… ou un dysfonctionnement comme on dit par euphémisme. Quel membre du C.A. va examiner les dossiers avant les C.A. ? Quel membre du C.A. contrôle le travail du directeur-gérant et du responsable technique du FCA tant critiqué ? « Personne » A la rue de la Fontaine, beaucoup de locataires critiquent le fait d’avoir imposé une coûteuse installation de chaudière à pellets justement lorsque le prix du mazout a baissé de 50% et que les locataires sociaux perdent en plus l’allocation chauffage mazout car ils n’ont rien avec les pellets. Je demande aux administrateurs de notre commune auprès du FCA d’insister, sans cesse, lors de leurs réunions mensuelles afin de faire créer des logements sociaux dans notre commune car, vu l’explosion de nouveaux logements privés sur notre territoire, un bien en soit aussi pour les finances communales et nos commerçants. Il y a de l’argent pour certaines dépenses mais RIEN, e.a., non plus pour l’isolation des 5 carports de la rue de la Fontaine qui traîne depuis des années et pénalise financièrement les 10 appartements sociaux concernés en frais de chauffage. Pourtant plus qu’avec l’installation pellets, certains locataires sont chauffés, eux, gratuitement. C’est de la discrimination ! Idem avec des calorimètres « mercure » qui consomment même quand ils sont fermés. Près de 350€ par an à payer pour « rien » ! C’est honteux… Pourquoi ne pas mettre des calorimètres électriques qui consomment uniquement lorsque l’on chauffe et le placement d’intégrateurs qui est comme le monstre du Loch Ness ? Le FCA en parle depuis longtemps mais rien ne bouge ! Pourquoi donc cette opacité absolue sur les décisions du C.A. alors que la Région Wallonne devrait rendre cela « publique » puisqu’il s’agit surtout de travaux et d’attributions de marchés (comme à 1 Conseil communal) ? Les questions de personnes dépendent du « Comité d’attribution des logements ». Les communes affichent bien l’ordre du jour des zones de police mais elles ne peuvent afficher celui des sociétés de logements sociaux. En fait, parlant toujours sans ambages, je dirai que cette opacité voulue sert à geler des dossiers et ne tenir les locataires sociaux et même le CCLP au courant de « rien » et sert un laxisme social. (Les locataires comptent en fait pour du beurre). Pourtant, le « Code des logements publics et de l’habitat durable » stipule qu’au moins 1 fois l’an, la société de logements sociaux doit informer tous ses locataires des travaux programmés… Je tiens aussi à mettre en exergue le fait que quasi tout le personnel du FCA vient, comme par hasard, de la région de Bouillon ou alentours. Ecœurés de n’être pas entendus dans leurs légitimes revendications, assez récemment, les Membres du CCLP ont jeté l’éponge mais cela laisse indifférent le FCA qui a un sens social assez atrophié ! Le dialogue est un leurre. Seul, par principe, j’ai refusé de démissionner afin de ne pas leur faire ce cadeau mais, en vain, car +/- « jamais » le FCA ne répond aux courriers des locataires sociaux, même à ceux du CCLP. Le CA du FCA est beaucoup trop souvent une « chambre d’entérinement» des décisions du directeur-gérant qui est, en fait, le patron absolu du FCA. Remarque : Pendant des années, des locataires sociaux de Lirbamont ont dû payer des heures de nettoyage non prestées en fait car la femme d’ouvrage attitrée travaillait maximum 10 minutes pour laver des escaliers et payée 1 heure chaque semaine soit, 150h à 13€ par « point de chauffe » alors que 50 semaines x 10 minutes prestées= 500 minutes/an ou 10heures maximum de prestations effectives payées donc 150heures ! Le tout couvert pendant des années par le Foyer libramontois et par le FCA malgré mes requêtes et de notre défunt CCLP avant que de « licencier » ce cas. Avant que de terminer par mes questions au Collège, je me permets, au nom des locataires sociaux, de solliciter la bienveillance de Monsieur Paul JEROUVILLE, échevin des travaux, afin de bien vouloir faire dégager, en hiver, aussi les lieux sociaux à savoir : les parkings des nouveaux appartements rue Arthur Lebfèvre, derrière nos carports rue de la Fontaine et près des logements d’urgence rue de l’Ancienne Gare… Questions au Collège : 1. La commune va-t-elle favoriser des logements sociaux, e.a., dans la « zone ZAC du Serpont » avec la soc. Wallonne du logement et +/- en quelle quantité effective ? 2. Quelle est la situation actuelle pour les 36 logements approuvés par le Conseil communal pour l’ancrage communal 2014-2016 ? 3. La commune compte-t-elle remonter au seuil minimum de 5% de logements sociaux sur son territoire et à quelle échéance ? 4. Madame Laurence CRUCIFIX, échevine du logement, va-t-elle insister auprès du FCA afin que Libramont soit plus soutenu dans une création concrète de logements sociaux en n’acceptant pas « l’excuse » de la faute de le Région Wallonne ou de la Soc. Wallonne du logement. 5. Les administrateurs communaux auprès du FCA vont-ils recevoir l’injonction du Collège (dt 2 membres font partie du C.A.) de défendre plus ardemment notre commune et mieux contrôler la direction du FCA… ? 6. La commune a-t-elle aussi 1 plan pour fournir des logements aux demandeurs d’asile ? Je vous remercie de votre bienveillante attention. Alain DAZY Réponse de Paul JEROUVILLE Je prends la parole à la place de Monsieur Pol Lejeune qui est souffrant. Sinon c’est lui qui vous aurait répondu 1. Logements sociaux dans la zone ZACC du Serpont Oui bien sûr, il y aura des logements sociaux. Il faut savoir que ce dossier se fait en partenariat avec la SMDI, et que c’est probablement dans leur partie que nous trouverons des logements sociaux ou appartements. A ce jour, rien n’est encore défini. Nous espérons recevoir le permis d’urbanisation pour la mi 2016 2. Situation de logements A ce jour, 6 logements sont prévus et les travaux pourraient débuter début 2016. Pour le reste, les logements sur le terrain Belgacom ne pourront être réalisés tant que le problème de la pollution du sol ne sera pas résolu. Pour contre pour les 8 logements de Bonance, on attend la promesse de subsides. 3. Seuil de 5% de logements sociaux A la vitesse à laquelle nous recevons les subsides et que nous construisons les logements, et étant donné que sur Libramont, on construit entre 100 et 150 habitations par an, on aura du mal à atteindre les 5% 4. 5. Réponse de Mr Christoph Mouzon Réponse de Mr Christoph Mouzon 6. Logements pour demandeurs d’asile A ce jour, il n’y a pas de bâtiment disponible et assez grand pour être mis à la disposition des autorités fédérales. Réponse de Christoph MOUZON Dans le cadre du plan d'ancrage communal rentré auprès de la RW, le CPAS et la commune de Libramont-Chevigny vont signer une convention de gestion de 3 logements de transits à construire en 2016 par le FCA à la rue de l'Ancienne Gare pour un maximum de 100000 € par appartement. Dès lors, la commune disposera avec le CPAS de 4 logements d'urgence et trois logements de transit. L'obligation était de disposer de 1 logement de transit en 2016, 2 en 2017, 3 en 2018 et ainsi de suite. Nous constatons que nous serons donc en avance sur les prescriptions en la matière. Nous pouvons estimer que cela contre-balancera le fait, qu'au niveau des logements sociaux existants nous soyons un rien en dessous des 5 % imposés. Il faut également tenir en compte le fait que beaucoup de nouveaux logements traditionnels ( maisons et appartements ) sont construits chaque année sur notre territoire. Cet état des choses fait que de facto le ratio de 5 % à atteindre s'amenuise au fur et à mesure de la finalisation de ces nouvelles constructions. HUIS-CLOS 1. Personnel communal : engagement de contractuels. Ratifie, à l’unanimité, les délibérations suivantes : AGENT LIEU DE TRAVAIL/SERVICE OBJET DU CONTRAT Pauline FRASELLE Service accueil extrascolaire Amélie DOMINIQUE Ecole de Bras Françoise ARNOULD Ecole de Bras Martin HANSEN Ecole Flohimont-SaintPierre Remplacement de Madame Gaëtane Duplicy, à mi-temps, du 5 octobre 2015 jusqu’à la fin du congé de maladie de Madame DUPLICY Surveillance du temps de midi du 1 octobre 2015 jusqu’à la fin du remplacement de Madame DESIROTTE en tant qu’institutrice maternelle à raison de 1h45 minutes de prestations le lundi, mardi, jeudi et vendredi de chaque semaine en périodes scolaires. Garderie du soir du 1 octobre 2015 jusqu’à la fin du remplacement de Madame DESIROTTE en tant qu’institutrice maternelle à raison de 2h de prestations le lundi, mardi, jeudi et vendredi de chaque semaine en périodes scolaires. Désignation en tant que maître-nageur du 9 octobre 2015 au 30 juin 2016 à raison de 2 heures chaque vendredi en périodes scolaires (remplacement de Madame Céline GOOSSE) 2. Personnel enseignant : Ratification de délibérations. Ratifie, les différentes délibérations, à l'unanimité; Enseignement communal. Année scolaire 2015-2016. Désignation de Madame LALOUX Véronique, maître de religion, 2 périodes semaine, à titre temporaire, dans l'école communale de Séviscourt. Enseignement communal. Année scolaire 2015-2016. Primaire. Ecole de OURT-SEVISCOURT (implantation de Ourt) : désignation de Melle THIRY Sarah , institutrice primaire, à titre temporaire, 6 périodes, à partir du 15/10/2015. Enseignement communal. Année scolaire 2015-2016. Primaire. Ecole de Laneuville-Remagne-Moircy: remplacement de Madame COLLIGNON Marie-Madeleine, Directrice d'école pour Laneuville-Remagne-Moircy, par Madame MAZIERS Nathalie, prolongation, Enseignement communal. Année scolaire 2015-2016. Primaire. Ecole de LANEUVILLE-REMAGNE-MOIRCY : désignation de Melle GOOSSE Inès, institutrice primaire, à titre temporaire, temps plein, du 19/10 au 19/11/2015. Enseignement communal. Année scolaire 2015-2016. Ecole de BRAS-FREUX : demande de mi-temps médical du 31/10 au 29/11/2015 : Mme LECOQ Marie-Claire, institutrice primaire, à temps plein, à titre définitif. Enseignement communal. Année scolaire 2015-2016. Primaire. Ecole de OURT-SEVISCOURT (implantation de Ourt) : désignation de Melle CRUCIFIX Hélène , institutrice primaire, à titre temporaire, 1/2 temps, fin de la désignation au 13/10/2015 à 16 heures. L. CRUCIFIX se retire. Enseignement communal. Année scolaire 2015-2016. Primaire. Ecole de BRAS-FREUX (implantation de FREUX) : désignation de Melle CRUCIFIX Hélène , institutrice primaire, à titre temporaire, 1/2 temps, du 14/10/2015 au 09/11/2015, en remplacement de Melle LECOQ, en congé de maladie. L. CRUCIFIX se retire. Enseignement communal. Année scolaire 2015-2016. Primaire. Ecole de BRAS-FREUX (implantation de FREUX) : désignation de Melle CRUCIFIX Hélène, institutrice primaire, à titre temporaire, ½ temps, du 31/10 au 29/11/2015, en remplacement de Melle LECOQ, en 1/2 temps médical. L. CRUCIFIX se retire. Enseignement communal. Année scolaire 2015-2016. Primaire. Ecole de OURT-SEVISCOURT (implantation de Ourt) : désignation de Melle THIRY Sarah , institutrice primaire, à titre temporaire, 2 périodes, du 26/10 au 09/11/2015. Enseignement communal. Année scolaire 2015-2016. Primaire. Ecole de OURT-SEVISCOURT (implantation de Ourt) : désignation de Melle CRUCIFIX Hélène , institutrice primaire, à titre temporaire, 1/2 temps, du 10/11/2015 au 30/06/2016. L. CRUCIFIX se retire. Enseignement communal. Année scolaire 2015-2016. Désignation d'un maître spécial en morale : Melle GOOSSE Céline, 2 périodes semaine, à titre temporaire, au profit des écoles primaires communales de Libramont-Chevigny - MODIFICATION DELIBERATION. Enseignement communal. Année scolaire 2015-2016. Primaire. Ecoles de Bras-Freux (implantation de Bras) : désignation de Melle DEGLIN Coraline, institutrice primaire, à titre temporaire, 18 périodes, du 01/11/2015 au 30/11/2015, en remplacement de Mme REMY Marie-Christine, en congé de maladie. En séance à Libramont-Chevigny, date que dessus. PAR LE CONSEIL, Le Directeur général, Le Bourgmestre,