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Remerciements
Je tiens ici à remercier ceux qui ont participé au processus, encore inachevé de
ma formation.
Je remercie d’abord, chaleureusement les membres du jury.
Revenant au début, je commence en remerciant Claudia Amigo Pino, qui a
accueilli mes recherches mallarméennes, et Philippe Willemart, les premiers professeurs
à m’avoir présenté la critique littéraire française, ainsi que les membres du groupe
Criação e Crítica de l’Université de São Paulo pour les discussions menées et les
divergences exposées. Je tiens aussi à remercier Vicinicus Pastorelli, témoin de mes
difficultés à trouver une place au sein des débats difficiles et acharnés qui divisent cette
Université, surtout dans le domaine des Lettres, débats qui nous ont rapprochés malgré
nos différences.
Je remercie spécialement Bertrand Marchal pour la générosité et la patience avec
lesquelles il m’a accueillie dans une terre, pour moi, étrangère.
Je remercie aussi Bruno Haas, par sa générosité exceptionnelle, sans laquelle je
n’aurais jamais accompli mon deuxième master, et aussi pour m’avoir encouragée à
découvrir un autre terrain inconnu et étranger à une littéraire, mais fascinant, la
philosophie dans ce qu’elle a de plus pur, la logique et la métaphysique.
Je remercie mes amis Patrick Boivin, Alexandros Daskalaskis et Felipe
Shimabukuro, des interlocuteurs de plus en plus importants.
Je remercie ma mère et mon père, Maria Ogécia et Avelino, qui m’ont toujours
encouragée en finançant même mes aventures et voyages intellectuels.
Enfin, je remercie Vladimir, qui a influencé mon histoire, cette thèse y compris, à
tel point qu’elle ne pourrait être dédiée qu’à lui. Je voudrais aussi dédier cette thèse à
tous les amis rencontrés au fil de ces années, c’est grâce à vous qu’aujourd’hui je peux
dire que tout a valu la peine.