Deuxième strophe tous les vers
commencent de la même manière.
Cela sonne comme un hommage à toutes
les victimes d’inégalités et de violences.
On sent la révolte, la colère du poète.
On peut voir ces vers comme des
dédicaces. Il dédie son poème à toutes ces
personnes.
« Pour ceux qui » + verbe
Anaphore (répétition en début de vers ou
de phrase d’un même mot ou groupe de
mots)
Pas de rimes, vers irréguliers
Ce poème est écrit en vers libres
Il se met à la place de ceux qui souffrent
« Qui vous frappe me frappe »
Il se sent concerné par les peines de tout le
monde, veut s’engager dans toutes les
causes.
Rôle particulier du poète qui a le pouvoir
de dénoncer les choses, qui se dresse
comme un porte-parole des faibles.
« J’y suis pour tout le monde »
Antithèse « je n’y suis pour personne »
-Le poète sera toujours là si on a besoin
d’aide, si on souffre
-On ne peut pas se cacher, ignorer ce qui se
passe dans le monde, toutes les atrocités
« Ne frappez pas avant d’entrer
Plusieurs interprétations
-Opposition entre ce qu’il a et ce que
d’autres n’ont pas : cela gâche son plaisir
de vivre.
« dormir tranquille » / « n’auront pas le
sommeil et l’abri »
« vivre de bon cœur » / « meurent »
Le poète refuse de fermer les yeux, d’ignorer les atrocités et considère que son rôle est de dénoncer, de donner la parole à toutes
les victimes faibles auxquelles on l’a retirée.