Le système de change flottant: On va entreprendre un politique expensive fondée sur une hausse des dépenses publiques. On passe de IS à IS'. L'équilibre va se fixer en M où i>i niveau national. Le résultat est une modification de la valeur des devises sur le marché des changes car il y a une offre abondante de devises. Ainsi les devises vont perdre de leur valeur enpassant de C1 à C3. Ce changement de parité va entrainer une réaction des variables internationales. Les X vont baisser car le produit national est plus chers sur le marché international tandis que les M elles augmentent fortement car le produit ntional exprimé en devise est vendu mons chers sur le marché national. Ainsi, la baisse des X et la hausse des M provoqu une contraction de la courbe I'S' qui va enfaite revenir sur la courbe IS. En situation de chage flottant la politique budgétaire devient innéficace car hausse PN et hausse DG. En revanche la politique monétaire représentée pr le déplacement de LM va surement être efficace. On un équilibre qui se fait cette fois en G avc i< au taux i international. Cela netraine une réaction du marché des changes cr les capitaux étant moins bien rémunérés qu'a l'extérieur, il y a une demande massive de devises pour placer ls capitax à l'extérieur, ainsi la valeur des devises augmentent sur le marché des changes, personne n'étant là pour équilibrer le marché des changes. Il y a donc un double résultat: La BC n fournissant pas de devises, il n'y a pas de contraction de la masse monétaire, donc M' inchangé. La valeur des devises à augmentée donc M des produits étrangers exprimés en devises deviennent plus chers à 'extérieur des pays et inversement les produits national deviennent moins chers à l'étrangers donc hausse des X. La courbe IS se déplace jusqu'à I'S' et l'équilibre va se faire au point H qui manifeste une expention importante du produit national. Le modèl flemming: En situation de change flexible, politique monétaire est efficace pour agir sur le produit national, alors que politique budgétaire innéficace sur produit national. Ce modèle est très simple. La principale critique est l'insuffisance de ces variables références dans le cadre des changes flottant. Même en admettant une assez forte parité des taux d'intérêts dans un modèle ou les capitaux donne les taux de change, cette parité ne sera pas simple car la rémunération de ces capitaux placé à l'étrangers.....mais également aux perspectives d'évolutions des taux de change. Si placemetn en $, la somme reçu à la fin dépendra: du taux d'intérêt sur le $ la variation du taux de change entre le $ et € ceux qui cherchent l meilleur placement diovent tenir compte de l'impacte des parités sur le rendements des placements. Parité de rendement: (C*-C) / C i = ie (mo nat) + (mo étrang) (taux de change) Or, à l'évidence les mouvement s de taux de change que provoque les politique monétaire ou budgétaire entrainent des modifications dans l'anticipation des agents sur le taux de change futur, et ceci venant modifier les conditions de la parité des taux d'i. On à tenter de le prendre en compte mais cela est très compliqué. Section 3: La formation de la DG sans cadre d'équilibre. Le constat pour évaluer l'évolution de la DG: On recherche plus un équilibre unique qui résulterai de l'interaction entre les variables autonomes et induites à travers des coefficiants de transmission (c). On considère souvent que formation de la DG pour une période résulte de sommations de variables différentes, dont chacune contribue à la détermination de la DG sans qu'on puisse parler précisémment d'interelation de la DG entre elles. Toutefois le deuxième aspect est opposé au premier à savoir ces tentatives de situer évolution de la DG dans un mouvement permanent d'évolution. Les tentions dans chaque périodes entre ce qui sont attendus et les résultats effectifs aboutissant à modifier les variables déterminentes dans les périodes suivantes. Cette vision à débouchée sur la "théorie de la croissance" ou "formalisation de la croissance". Dans ces deux cas , la DG est toujours déterminentes, mais la formation même de la DG est nettement différente que dans le cadre de la théorie générale qui croyée pouvoir se référer à un équilibre en principe unique pour chaque période. I/ La dg comme addition de variables "indépendantes" sur la période. POur comprendre la dominence de cette approche, actuellement il suffit de se référer au point de conjoncture de l'INSEE qui s'intitule "vent d'ouest": Dans cette étude, le thème principal est la réparition d'une demande intérieur plus dynamique dans les pays dévellopé, ce qui tranche avec la période antérieur ou l'évolution économique dévellopée épendait avant tout de leur X vers les nouveaux pays inclus. A l'intérieur de cette D intérieur, c'est d'abord la consommation des mnages qui montre une certaine croissance; croissance dû au relèvement du PA, à la hausse des salaires, à la baisse partielle du sous emploi, à la modération des prix qui laisse un gain au PA. La consommation des énages apparaît comme déterminante. La consommation est déterminée à son tour par l'évolution des revenus , mais cette évolution des revenus n'est pas reliée à d'autres variables determinantes de la période. La consommation peut ainsi être considérée comme autonome comme l'I (hausse I 2009, hausse croissance). L'investissement des ménages en logement connaissent eux aussi une reprise par rapport à 2009, donc il s'agit aussi d'une autre déterminente de la DG. Les X qui avaient augmentés grace à la demande des NPI tentent à ralentir: une des préoccupation est le ralentissement de la production US qui est un frein à ses exports. La DG dans ces temps à venir est expliquée par l'effort de désendettement des ménages ,pour réduire l'endettement ils réduisent leurs consommations et ce désendettement n'apparait ps comme une variabl explicative de la DG, elle influe pourtant sur la décision de consommation. La question principale est: Ll'impact du ralentissement américain va-t-il être important sur l'économie européene? Bourse baisse car en sont convaincus INSEE voit deux motifs qui pensent que sera pas trop grave: - Maintien de la consommation des ménages en europe - espoir que les entreprises vont reconstruire leurs stocks (choc de 88), espoir qui l'opinion des entrepreneurs jugeant leurs stocks trop bas (dimension psycologique complexe). vient de Pour prévoir l'avenir prévision de : la consommation des ménages I y compris en évolution des X estimées Paris sur évolution des stocks immeuble de ménage On ne voit nul part la perspective d'établir un mécanisme d'équilibrage entre ces variables car aucune interdépendance formelle, i est établie entre ces dernières. On à l'mpression que le système de prévision à court terme repose sur système simpliste mais plus réaliste. Yd DG > Yo PN Yd = C+I+G+variation des stocks+X Sorte de demande générale qui regroupe tout les éléments auxquel les producteurs doivent répondre sinon appel aux producteurs étrangers Yd= Yo+M alors Yd-M=Yo ressources disponibles Exemple: 2009 Yo= 1907,1MILLIARD € stock=-30,5 M= 4761,6 milliard € Yd=2383,8 C=1418,6 variation de X=439,6 G=164 I=392,1 (entreprise=204,3) Yd=C+I+G+variation de stock+(X-M)=Yo Demande globale adressée aux producteurs étrangers = montant produit offert Cette simple formulation permet de suivre en permanance l'évolution de l'économie nationale en particuliers au travers des enquêtes d'opinions es ménages et des producteur. En france les ménages sont assez pessimistes , toutefois cela n'a pas une portée considérable sur la consommation, neanmoins quand le pessimisme augmente on peut prévoir une augmentation de l'épargne à titre de précaution. Or pour les ménages ce qui est avant tout déterminant, c'est l'évolution du PA que l'on peu évaluer auprès de données des entreprises. En ce qi concerne les entrepreneurs, leurs opinions sur le futur jout un grand rôle dans leur décision d'I. Là aussi il a des modulation à importer à partir d'autres variables comme le revenu disponible, coût du crédit, l'évolution économique étrangère qui influent à terme sur l'attitude des entreprise nationale. Cette facon un peu primitive d'envisager l'évolution est actuellement complétée par un modèle plus évolué qui cherche à rendre compte du comportemetn des agents et de leurs réactions dans les différentes situations conjoncturelles. Ces modèles sont très différent des modèles macroéconomique keynésiens traditionnel qui s'intéressent aux variations et non aux agents mais avec comme point commun de considérer que la DG est déterminée par Yn. Ces modèles perdent de leurs signifiactions en période de crise intense quand les entrepreneurs réagissent en liquidant leurs stock et en arrétant leur production. II. Les modèles de Harrod Il écrit en 1939 un essaie dynamique économique qui prétend prolonger la théorie générale de Keynes mais d'une anièr que se derniers va désapprouver car: L'approche de l'I par Keynes est une approche par la rentabilité. C'est la confrontation entre l'efficacité marginale du capital telle que la concoit l'investisseur et le taux d'i de marché qui détermine le montant de l'I. Du point de vue de Keynes ceci donne à l'I le statut de variable indépendante ou autonome par rapport à la DG ou au produit national. Le mécanisme de Hicks modifie un peu se point de vue dans le cadre ISLM. Toutefois Keynes tenait à cette autonomie de l'I. En revanche Harrod propose une fonction d'I fondée sur la théorie de l'accélérateur, cad lieu entre variation de la DG et décision d'I. Cette approche parait naturelle car si les investisseurs ont des capacités de production inemployé, ils n'ont pas besoins d'investir pour répondre à une variation de la demande. En revanch si on suppose que les capacités de production sont pleinement employées, les entrepreneurs vont donc ressentir le besoin d'investir pour répondre à l'accroissement de la demande afin d'en tirer un profit. Par ce biais il y a une liaison entre l'optique de la rentabilité et celle de l'accélérateur. L'accélérateur vient de l'époque de Keynes où on s'interroge sur les cycles de ces mouvements cycliques correspondant notamment au cycles de Jouglar = mouvement innatendus de fluctuation des grandeurs macroéconomique qui fait passé d'une période de reprise à une prériode de croissance affirmée puis à une période de décélération puis de crise et enfin de reprise etc... A l'époque, l'éonomie est décentralisée ce qui est conforme à la vision classique car animée par la libre concurrence mais malgrès souplesse l'économie est marquée de mouvements innatendu de croissance plus rapide, de déclération avec es crises plus ou moins graves (cycles de juglar). Explication du phénomène d'accélération: on constate que dans l'économie il y a un besoin d'investissement lorsque l'économie doit répondr à une hausse de la demande qui ne peut plus être satifaite à partir des facultés de production disponibles. A ce stade, même pour une petite hausse de la demande supplémentaire, il faut une hausse du stock de capital qui est un multiple important. L'exemple type est celui des chemins de fer car qand il n'y a plus de place, pour seulement quelques passagers il faut un wagon supplémentaire. L'I dépend de l'accroissement de la demande à traver le coefficiant de capital. It=variationYdt x g (g étant le coefficiant de l'accélérateur qui varit de 3 à 5 généralement) Quand on passe dans une période de croissance rapide les capacités sont saturées et les entrepreneurs commande de nouveaux biens d'I pour faire face aux accroissement de la demande. Ils ajoutent à l'accroissement de la demande de bien d'I, un accroissement supplémentaire et cette delande accélère le rythme d'accroissement de la DG, c'est le mécanisme d'accélérateur. On doit créer une notion d'accélérateur flexible qui permet de conserver la relation entre I et variation de la DG sans créer des chocs aussi brutaux sur l'évolution de la demande elle même. Harrod propose un mécanisme d'accélération mais croyant suivre keynes il se situe dans théorie des investisseurs et pense que la décision d'Iva dépendre du niveau de la DG donc du produit national anticipé par les investisseurs. Nous avons un accélérateur à base psychologique, les investisseurs se fesant une idée de la rentbilité comme chez Keynes eux se font une idée du montant du PN que l'on va constater en fin de période. Ceci à deux implications: on va trouver un niveau d'I dans une période bien déterminée et qui est autonome par rapport au produit ..... mais qui dépend de l'idée que se font les investisseurs sur se produit national et donc il vont être amené à réagir lorsqu'ils seront mis en face du produit national effectif de la période. Si le produit réalisé de la période est supérieur à leur attentes, alors ils réviseront à la hausse leurs hypothèses pour le produit national de t+1 et c'est le paradoxe du modèle car si font cela vont provoquer une augmentation plus forte de produit national et ce qui entrainera une course senstionnelle entre des estimations en hausse mais toujours trop faibles car les réalisations éxedent toujours les anticipations. Le modèle d'Haarod se prolonge aussi de période en période selon des mouvements sensationnel ou d'effondrement. La doctrine de la théorie générale de Keynes: l'économie n peut se maintenir au plein emploi sns une politique active de gestion de la DG. Ct=cYt(=revenu national effectif) It=g(Xt-Yt-1) Yt=Ct+It Yt=cYt+g(Xt-Yt-1) (1-c)Yt=g(Xt-Yt-1) Yt=g/s(Xt-Yt-1) Yt=g/s(xt-Yt-1) Yt=(I/s)t 1/s=k L'investissement se fait en fonction de l'écart de Xt et Yt. L'équilibre de la période qui correspond à celui keynésien dissimule une tension éventuelle (Yt différent Xt) qui va provoquer un changement de X (Xt+1 différent Xt). Cas particuliers: celui où on a produit effectif=produit anticipé cad Yt=Xt. On remplace Yt par Xt: Yt=Xt donc Xt= (g/s)(Xt-Yt-1) .......... La question étant donné qu'il n'y a aucune chance que les investisseurs prévoient une croissance de s/g, que se passerai-t-il s'ils prévoyaient moins? Si y*t<>s/g alors y^(effective)<>y*t ? (yt=(yt-yt-1)/yt On va établir le lien entr y^t et y*t: voir feuille Si y*t par les investisseurs est égal à s/g, le taux de croissance constaté en fin de période sera égal au taux de croissance anticipé, mais aucune raison que les investisseurs anticipent une valeur s/g, donc ils anticipent une croissance > s/g, l taux de croissance réalisé en fin de période se trouvera > au taux de croissance qui était anticipé. Inversement si ils anticipent une taux inférieur à s/g alors e taux de croissance constté en fin de période se trouvera < à celui anticipé. Il faut rappeler que nous sommes dans le cadre de la croissance d'une croissance de la DG, donc la croissance constaté est celle de la DG et pas nécessairement du produit national. C'est un ju de rapport entre la DG dont la croissance est anticipée et la DG dont la croissance est constatée. Le problème est que la décision d'investir était liée à une anticipation de la croissance sur la demande; les investisseurs pensaient répondre à cette variation par l'I selon le principe de l'accélérateur. Ils vont constater en fin de période un décalage entre leur prévision et la demande effective et vont donc modifier leur option sur l'évolution de la DG sur la période en fonction de leur expérience de cette période. On peut penser qu'ils ont aligner leurs prévisions sur ce qui est constaté ou prendre en compte seulement une partie: y*t=y*t-1+alpha(y^t-1 - y*t-1) y>0 Même si ce mécanisme d'ajustement n'est pas intégral, cela signifie que le mouvement amorcé dans la période antérieur va se poursuivre. Si dans la période antérieur l'anticipation s'est faite sur une valeure>à s/g, la croissance rélaisée avait été > à la croissance anticipée puisque les investisseurs vont réaliser à la hausse la valeur escomptée donc ils vont réviser à la heusse s/g ce qui fait que y^t sera > y*t. PLus ils anticiperont un niveau de croissance plus y^ sera >y*. Si les investisseurs sont plutôt pessimistes, anticipent un taux de croissance < à s/g, le taux de croissance constaté sera < à celui envisagé et ils vont réduire le taux anticipé et il sera encore inférieur à la valeur réduite. Taux de garantie: si par hasard, y*= s/g, on a la garantie que le taux effectif lui sera égal. Le taux de garantie n'assure pas à priori un croissance de plein emploi car il faudrait que la croissance de a DG soit égal à la croissance de la force de T dan l'économie composé de 2 éléments: - acrroissement ou décroissement de la population - ... POur Harrod, la conclusion est évidente, l'économie qui évolue spontanément est soumise à des déséquilibres inévitables. En taux de croissance excessif ou négatif, et même si on arrive au taux de garantie, cela n'amène pas le plein emploi. Donc il est nécessaire qu'une autorité économique surveille cette évolution et par des oyens budgétaires et non agissent sur letaux de croissance de la DG afin de suivre le taux de corissance de la force de travail, sachant que cette évolution ne se fera jamais spontanément et Harrod pense que l'économie est très instable. Il faut donc l'intervention d'un pouvoir stabilisateur pour fonctionner dans la durée. Cette aspect est hyper-keynésien, car chez Keynes dans chaque période un équilibre s'établit de sous emploi, mais ne voit pas pourquoi se sous emploi s'aggraverait de période en période. Pour lui, l'erreur de Harrod c'est d'introduire l'accélérateur comme déterminent de l'I. En revanche, les analystes ont été frappé de l'originaité de ce modèle qui pour la première fois passe de l'équilibre statique de la période à une évolution dynamique de croissance avec une condition exprimée sous forme de taux de croissance garantie qui assure cet équilibre. Le problème que pose ce modèle c'est le lien entre l'évolution de la DG et l'évolution du produit réel. Suite cour lundi 11/10: cf feuilles Suite cour: On peut symboliser cette situation en partant d'un graphique : A ce niveau on supose que l'inflation est trop élevé et on va essayer de provoquer un retour en arrière où il faudra succéssivement provoquer des baisses du produit national sur de très longue période. Il y aura sur quatre période niveau du produit natioanl supérieur au produit potentiel et vingt période ou produit national devra rester en dessous du produit potentielle pour permettre de faire baisser PN et résourdre l'inflation. Cela à toujours été l'avis des monétariste qui ont démontrer que l'on pou... mais qu'il faudrait une très longue période pour réprimer cette inflation. ceci explique qu'apres avoir critiquer mécanisme de phiips les onétarste se sont rallier et l'ont intéger come instrument de leur modèle. Ce jeu de l'assymétrie cette mlenteur du retour à une inflation nulle repose d'une part sur l'assymétrid e de la courbe de phillps mais aussi du jeu déterminenet de l'antiipation de s agent cad sur l'existance d'une anticipation des noyau intégrer au calcul des agent et ui tend a se perpétuer de période en périod exprimant donc une anticipation rigide de la part de ces agents. Supposson maintenn qu'au lieu de peser lourdement sur la DG, on s'adressed irectement aux agent et q'on leur déclare que dasn période suivante l'inflation va revenir à zér. Si l'on parvenée à les convaincre ils réviseraient leur anticipation, leur contrat seraient basée sur une base d'inflation zéro et on purrait concilier le maintien du prodit réel au niveau du produit potentiel et un taux d'inflation nul cad qu'on ne subirait pas ces longue périodes de ontractions du prdt réel et du sous emploi, mais on parviendrai en une seule période sans provoquer de baisse du produit réel à cet objectif d'inflation zéro. Ce résultat est consevable puisque le noyau d'inflation est dans la psycologie des agents éconoique, en modifiant cette psycologie ont peut réduire directelentà zéeo ce noyau d'inflation. La question est de savoir si il est possible de modifier la psycologie des agent à savoir l'évoltuion de leur anticipation des prix pour la période donnée? La réponse n'est pas évidente et on constate qu l'attitude des analystes varient ou se répartie entre deux positions extrèmes, une position qui affirme que anticipations des agents sont rigide et ne peuvent donc qu'être modifier que progressivement et une autre position qui affirme que les anticipation sont u contraire très souple et peuvent être modifiée très rapidement. Ces posiitiions extrème peuvet être recituée à partir du contexteet on peut admettre aors que dans certain contecxte les anitiparion sont rigides te dans d'autres contexte elle sont très souples. IV/ Les anticipations et l'équilibre maroéconomique. A. Les anticipations rigides chez keynes et les keynesiens Traditionnellment les keynesiens considèrent que les anticipations des agents sont rigides: noyau d'inflation qui tente à se perpétuer de période en période mais ceci est assez général et s'applique à de nombraux domaines. En revanche la position de Keyne est bcp plus complexe: il y chez keynes des anticipations plutôt rigides mais donc le mécanisme est dfféerent selon les opérateur conceréné. Rappelons que ceux qui decide du montant de l' I réel de la période manquant de base pour leur calcu car la rentabilité a LT n'est pas calculable pour Keynes, sont ammener à prendre des positions d'optimisme sur une période puis pessimiste sur une autre période mais à priori ces anticipations sont des données non révisables sur la période et en se sens son des anticipation rigides mais très instables et qui d'ailleur dans le cas de Keynes ne tiennent pas compte d ela réalité économique immmédite. Il y a uen autre catégori d'anticipation chez Keyne qui est celle de l'anticipatio des salarié quant au niveau normal de leur saliere ou les salarié considée que le salaire nominal dont il ont l'eexpérience va se maintenir dans la période à venir, qui constitue la norme de fixation de leur salaire et ou ces salarié vont s'oppposé de manière radicale à toute réducution de ces salaires nominaux. Il peut arriver que la situation économique exige un baisse du salire réel pour rétablir le plein emploi, il est totalament inéfficace d'essayer d'abessaer le salaire nominal car ceci provoquera des ouvement de grèves important, un blocage de l'économie. Si on poursuivait cette volonté de réduction des salaires nominaux alors l'atmosphère social serai tellment dégrader que les chef d'entreprise eux même prndraient peur , renoncerait à nverstir et l'équilibre macroéconoqmie se ferai très en dessous de l'équilibre de souss emploi antérieur.POur keynes s'il faut baisser salaire réel il faut provoquer une hausse des prix qui aura le même résultat sans provoquer de manifestation des salariés.On a contester cette affirmation de keynes en disant que fnalement les mécanisme de marché pouvait finalement jourer à la baisse ou a la hausse sur les salaire nominaux mais finalement il s'agit d'un phénomène accepeter par les ....et ceci permettra l'ajustemetn relatif des valeur réelles. Autreent di les salarié chey keynes ont une anticipation rigde sur les saleire nominaux mais ne l'ont pas pour les salaires réels. Compte tenue de l'inflation de l'après guerre les salariés ont aqcuis une cetaine rigidité d'anticipation quant à leur salaire réelle mais cette rigidité demeure moinddre que celle qui concerne leur salaire nominaux. Cependantla position la plus originale de Keynes cocerne ll'attitude spéculative qui repose chez lui sur une rigidité d'anticipation des spéculateurs quant au taux d'intérêt. Le princiepe c'est que pour les spéculateur sont spéculateur sur des titres de LT considèrent que le taux d'intérêts qui était pratiqué dasn les périodes antérieur va s'imposer dans la période à venir et c'est sur la base de cette anticipation qu'il ont prendre positon sur le marché financier. En effet les titrequ'il appel à LT ont une valeur en capital qui est très sensible au niveau et aux variations d'intérêt, ce qui les rapprochent des titres perpétuels comme la rente de l'éat qui existait encore àl'époque de keynes. POur une période donnée on à en fait une position que doivent prendre les spécuateur à partir de deux élément: - le taux d'intérêt effectif -le taux d'intérêt qu'ils antciipent devant se maintenir durablement A un moment donnée ces spéculateur possédent des stock de titres à LT et en comarant le taux I effettif au taux d'i qu'il anticpent ils vont prendre positon comme offreurs ou demandeurs de titres. Le cas envisager ar keuynes est celui d'un tx i de marché effecti qui passe en dessous du tx d'i anticipé considéer comme normal par les spéculateur qui sont donc convaincu que cette période ets provisoire et que i va remonetr à son niveau antériur dont ils anticpent le maintien pour l'avenir. Si c'est le acs il vont offrir massivement les titres qu"ils possèdent afin de le converyir en monnaie pour profiter de la vaorisation jugée proviqoire de ces titres. En effet la baisse de i provoque une hausse de la valeur en capital de ces titres donc en les vendant mantenant les spéculateur vont accuuker une encaisse mo imoprtantn qu"il vont conserver jusqu'au moment qu'il estme le plus proche ou les taux d'i sera remontée au taux anticipé et ou il pourront racheter à bon marché les titres qu'il avaient vendu cher, ils auont donc une lus grande quantité de titre et le revenu périodique sera également plus élévé. Voila la véritable encaisse spéculative de Keyne qui jou sur la valorisation du capital. Le problème est que cette démarche collective des spéculateurs qui se précipent pour vendre tous ensmble leurs stocks de titres fait baisser la valeur de ces titres et donc fait remontert le taux d'i du marché et le résulat st donc evident pour Keu=yne: en réaité le début de baisse du tx i va demeurer virtuelle cad qu'a peine la baisse amorecer le tax i de marché remontera au niveau anticipé par les spculateur. Or naturellment cett eabisse de staux i constituer l'effort de la baiise de la po mo pour relancer l'économie, cte relance va donc echouer car tx i ne baissera pas. Il faudra donc recourir à d'aiutre instrument de po économique a savoir la po budgétaire. Remarqu'on simplement la notion de trappe de liquidité dév ultérieurement par les keynesien comme niveau minimum du taux d'i, ctte trappe existe bien chez keynes mais son niveau est fixé au niveau du taux i anticipé par les spéculaturs dans l'exmple donné la trappe de liquidité est considérable pour un niveau de tx i sans doue assez éléve mais qui est celui qu'anticipe les spéculateurs. Crependant keynes rappele que cete politique pourrait être efficace si les banque centrles étaient crédibles vis a vis des spéculateur cad si disposaint de moyens d'actions jugeaient convainquant par ces spéculateurs. Ces moyens d'actions ne disposaient pas à l'époque des BC car celles ci ne voulaient pas risuqait de perte de capiatl à leur client, ces moyens d'acions consistent à déclarer qu"elles achéteront tout les titres à LT qui leurs seront présentée au tx i qu'elles annoncent: si on suppose que i étaient de 10% si on souhaite que passe à 5%.... Les BC à cette époque sont des banques privée disposant d'un monopole d'eission et elles estiment ne pas pouvoir prendre de risque de perte de valeur de leurs actifs. Suppososn qu'elles prennent ce risques, selon keyns ellles n'achetera aucun titre et que ce taux i se fixera effectivement à 5%. L'explication est que en prnant cette position de manière crédibl elle aura convaincu les spéculateurs que le taux i durables pour les période a venir est mainetenant de 5% et ils vont donc éviter de vendre leur titre, en effet s'il les vendaient il serait obliger pour se procurer un revenu de les racheter, et de les racheter au même prix, ce qui les ferait subir des coup de transaction est une pere temporaire de revenu. Donc la position de keynes est un peu ambigu en ce quia concerne les spéculateur. les spéculateur en situation normal mais les banque centrale peuvenet grace à une positon extremement faible et bien ennocée modifier ces anticipations dans le sens recherché. Cependant pour keynes il s'agit dun cas d'école car la strctre privée des BC interdit une telle politique et c'est d'ailleur ce qui explique le phénomène génerél ap 2GM de nationalisation des Bc qui sont quasiment oute devenu des oragnisme publqiue pouvant prndre téoriquement un risque de capital. Ce n'est pouratnt pas tout à fait certain, car elles risuqient de ce trouvaient avec un compte déficitair. B. Les anticipations rigides des monétaristes Fridmaniens Middle fridmann à proposé une fonction de consommation particulière fondée sur la notion de revenu permanent,en s'opposant en principe à la formule de keynes qui rattché à la consommation des ménages, le rvenu effectif. Fridaman lui proposeune interprétation différente en ratcatnt la consommation des ménage à... non pas percu mais anticipé par les consommateurs. Ce revenu anticipé serait une sorte de revenu jugé comme normal par ces consommateurs pour la période atcuelle et c'est sur la base de ce revenu jugeait normal que les consommateur décideraient de leur niveau de consommation, le problème pincipale étant que ce revenu anticpé n'est pas anticipabbel par la comptabilité nationale car il est difféerent du revenu percut. Cette idée de friedman vient d'une étude sur la consommation des non salarié ou ces profession connaisent en général des revenu fluctant au cour d'une périod anuel, or leur consommation se révèle rlativement régulière ce qui revient à dir eque pour décider de leur consommation mensuel il s calcul une sorte de revnu moyen mensuel qui est eidemment différent du revenu effctif percu de chaque mois, revenu qui est tantôt supérieur, tantôt inférieur. Fridmann étant ce constat en posant comme hypothèse que l'ensemble de sménga y copris salarié, ce référe à cette notion de revnu permanent. Ce revenu permannent doit être calculé ou fridman propose une manièer théorique de le claculer: le revenu permannet dépend d la valeur actualisée des revenus futurs de chaque ménage et cette valeur actualisée est multipliée par le taux d'i de marché pour calculer le taux i permanent. Yp=iV Cette estimation du revenu futur d dépend de leur état sur leur avis futur et il est surtout prospectif cead qu'il dépend d'une vision du futur et non pas de la situation actuelle ellem me^me. Cette situato devrait fluctuer cosnidérablement selon optimisme ou pessimisme des consommateurs, il s'agirait alors d'une variable ou la polituqe éonomique qui peu convaincre les consommateurs que leurs revenu va augmenter ce qui les amérai à augmenter leur consommation. Cp=kYp (Y différent de Yp) (Y=Yp+Yti ou Yti<>o) C=Cp+Cti C'est fondamentalement une anticpationo sur le futtue et on a tendance à penser que es consommateur modifie ce revenue en hausse quand optimistes et en baisse quand pesssimiste du fait d'études faites sur les consommateurs. La difficuté soulignée par fridmann est que l'on ne peut se faire aucune idée sérieus ed'une telle notion du revenu permanent car nous somme à une époque ou nous cherchons toujours des modèle économétrique. Ainsi fridmann va inventer une formule pour estimer revenu peranent à partir de donnée de comptabilité nationalel. Or ceci nécessite une hypothèse bouleversant le principe du revenu permanent qui est que les ménages consommateurs se réfent non pas à l'avenir mais aux revenus percu dans le passé. Cette aproche avait cependant été traité sur le plan de la théorie de l'I par Kogck. Yp=(1-landa)(Yt+langdaYt-1+langda au carré Yt-2+langda au cube Yt-3+...) Yp= revenu permnent Yt= revenu effectif Ct=kYpt=k(1-langda)(Yt+langdaYt-1+....) Ct-1=kYpt-1=k(1-Y)(.....) Ct-langda Fridman affirme que l'on peut pratiqueemtn utiliser cette notion de revenu prmnent dans les estimation de la detrmaintion de la consommation et dans le smodèlede consommaton macroéconomique. Toutefois il repose sur l'extrême rigidité des anticipations des consommateur s car le revnupermannent qui'il anticipent sur la période déend des revenu effecti f antérieru sur une durée virtuellemtn infinie. Autrement dit le revenu permanent est rigide et on ne peut plus se permettre de dire que ...va modifier, on peut même dire que les cnsommateur ne sont plus ni optimiste ni pessimiste ils ont en fait une étt psycologiqe formé par une longue xpérience antérieur. Fridman va considérer que toutes les variables d'anticiption(inflation, Yréelle)et ne peuvent être modifier pas la politique économqieu sauf d'une manière progresssite en fonction de l'évolution effective ici c'est l'évolution regressive du revnu effcti f d'une période à l'autre qui peut odifier le revenu perannent et donc la décision de consommmation et en matière d'uinflation les monétarite adhère totalement à a notion e noyau d'inflation comme les anticipation rigides des agent qui s'opose à une baisse rapide des prix même quant il y a une politique monétatire actuve mise en jeux pur obtenir cette baisse de prix. Donc les monétariste fridmanien rejoignentn les téoriste keynesiens sur ce point. cETTE conceptio à crée un chisme à l'intérieur des monétariste car une partie de l'ecole à cosnidéer que la thée de friedman anéantissetr toute...alors qu'au contraire selon ces théoricien il etait possible d'obenir rapidement un arret de l'inflation grace à une politique moétaire annoncée clairement. La pert e de PN réel devait restée faible dans la mesure ou les anticipations des agents se trouverait modifié. Cette argulentation se fonde sur un retour d'intérêt pour les expérience de stabilisation dans les années 20 qui avait vu le passage d'une hyper iflation à une inflation nul sur une épriode très restreinte et sans perturbation importante dans l'activité économique. C. les anticipations souples et les poltiques qui en résultent La thèse des anticipations souples ou rationnelle à était développée par John Muth en 1961 dans des étude à caractère économétrique il présente la thèse que les agent économque en réalité les entrepreneurs sont directemetn intéressé à connaitre l'évolution d leur secteur d production? Ils observent donc les circonstances persistante et font des prévisions sur cette bases. Ces prévisions peuvent être innexacte, mais l'imoirtant est qu'il n'y a pas d baisi dans ces prvisions, ainsi s'ils se trompent on constate que la moyenne de ces prévisions correspond d'une manière satisfesante à l'évolution effective. Il en résulte selon Muth que les chef d'entreprise sont ceux qui font les meilleurs prévisions et que aucun modèle économétrique ne les égales. Cett thèse à été longuement débattue et à attiré l'attention sur le fait que tout les agent économique se font une idée d l'avenir à partir des informations disponibles et parce qu'il y on intérêt pour diriger leurs ativité. Cette prévision est plutôt rationnelle, ainsi si les donnée changes les agents changeront leur décsions. Ainsi ne projette pas le passé sur l'avenr sans dicerner les élément présent comme le diait friedman. Ainsi ces agent vont comprendre quelle est l poltique qui est ménée à condition qu'elle soit annoncé. S'ils 'estiment crédible, ils réviseront alors leurs anticipation pour s'adapter à l'évolution qe doit déterminer cette politque. Keynes lui même avait admis cette possibilité en ce qui concerne l'attitude des spéculateurs, car il avait affiré que si une poltique crédible était mise en place alors on pourrait assister à un changement des niveaux de i pratiquement sans changement de niveau du marché. Cette thèse va parfois très loin car elle inclue le principe d'invariance de la politque économique. Ce principe affirme que si une politique monétaire est annoncée alors les agents vont s'adaptée à cette politique et ainsi elle n'aura aucune incidence sur l'économie réelle. Pour qu'une politque monétaire est un effet stimulant sur l'écnomie réelle, il faut pratiquer une politque inverse de la politique annoncée. Cete aspect n'a pas un grand intérêt. L'un des effets des plus remarquable de la théorie des anticipations est le développement à partir des années 80 des enquêtes sur l'opinion des consommateurs d'une part et sur celle des chefs d'entreprises d'autre part quant à la conjoncture de leur secteur. Au départ on pensait qe l'évoltuion du moral des ménages influencé directemetn sur leur décision de consommation, or sur ce plan le résultat n'est pas évident. Néanmoins quand leur moral se dégrade cela en génaral indique qu'il vont s'efforcer d'augmenter leur épargne freinnant ainsiconsommation. En revanche les prévision sur les chef d'entreprise sont assez fiable notmament sur les projet d'investissemnt srévaluer en début de période avec ainsi une néssécité de filtrage des données. Néanmoins la connaissance de l'économie de l'investissemnt ne peut se fonder que sur des enquete car aucune fonction d'investiissemtn satisfesant. Les anticipations sur un phénomène prit au sérieux.....et montre que ceci adaptent leurs anticipations aux objectifs annoncés. Dans l'analyse macroéconomique on à tendance à admettr que les anticipations des agents sont révisables et qu'ils peuvent rapidement modifier leurs anticipations contrairement à la tendance manifesté des théoiceien keynesiens traditionnele ou les monétaristes friedmaniens. Il faut souligner que ces retournenment d'anticipation n'ont pas qu'un effet positif. En autonme 2008 cad après la chute de lehman brthet les agents éonomique dns le monde entiers se sont convaincut que l'effondremetn de la demande allée s'établir et ont donc pratiqué une politique de liquidement massif ce qui à provoqué un arrêt brutl de la production et une chute du PN des différents pays. V/ La loi d'Okun A approfondit sur le concept de produit potentiel cad ce produit réel qui correspond à la capacité normale de production del'économie à un moment donné. Cette notion parait assez banal qui à été introduite par les keynesien pour essayer de situer l'équilibre national par rapport au capacité d prodution de l'économie qui selon le niveau donne un équilibre déflationiste ou inflationiste. Cette question est traité dans l'article "le produit potentiel, sa mesure et sa signification". A cette occasion il propose une loi qui assure la liaison entre l'évoltuion du sous emploi et 'évolution du produit réel et l'évolution du produit potentiel. L'intéret de cette approche est de permettre de passer à une notion d'équilibre statique à une notion de l'équilibre dynanmqiue non pas sur un plan abstrait comme dans le modèe de Harrod mais dans l'éconmie complèteavec ue possibilité de chiffrage simple décomposant de cette loi. Le principe est que das chaque période il y a une évolution des capacité de produciton du fait de l'accroissemtnd de la force de travail d'une part, mais surtout du fait de la croissance relativemetn régulière de la productivité par travailleur. Nous avons un élément qui à tendance à croitre régulièrement et en face une évolution effective réelle sous l'influence de la DG. Supponsons qu la DG n'augmente pas dans la période, le produit réel n'augmentera pas et donc le sous emploi va augmenter dans cett période puisque on peut désormais répondre à une dmande constante par l'emploi d'un nombre moin imoprtant de trvilleur la productivité des travilleur ayant augmenté. Pour rester en équilibre on ne peut pas se contenter de rester sur place , il faut courir. La loi d'Okun cherche à rendre compte de ce phénomène mais elle le fait d'une manière plsu ou moin orienté. Elle à été initialement interprétée au EU comme une loi optimiste qui montre que l'on peut augmenter massivement le produit ntional réel en réduisant le taux de chomage. Depuis les années 70, la loi d'Okun s'interprète très différemetn car elle indiqiue qu'une croissance inssufisate de la DG va provoquer uen extension du chômage et elle permet de calculer de manière précise cette extension. La loi d'Okun peut être interprétée par: delta u= alpha+beta g ou g= variation Yt/Yt Le coefficiant d'Okun beta est exprimé < 0 Si delta u=0 alors g* potentiel=-alpha/beta g= tx crss ainsi alpha=-beta g * donc delta u=betag-betag*=beta(g-g*) delta u= beta(g-g*) La loi d'Okun malgrès ses défault est la loi la mieux vérifiée de la macroéconomie. En france et dans tout les pays on remarque une baisse ... calculé sur ne base annuel, aucun estimait que son coefficiant ... a envisager ue reconstruution d léquilibre macroéconomqiue dans le cadre davantage tradiionnel qui est celui du cadre de l'offre et de la demande. 6/ La contrainte de l' offre dans uen dynamique de demaknde globale Pour des raisons les macroenonmisutes étaient génés de ne pas disposé d'un modèle similiaire à celle de l amacro qui correspond à une confrontationde l'offre et de la dende à l'intérieur d'une zone définti par deux axes les prix et les quantités. Au prix d'une eptite adaptation, il est possible en combinant la loi 'okun et la loi de phillips d'obtenir une courbe d'OG croissante en fonction du prix, il s'gaire après d'établir une courbe e demande décroissante en fonction du prix pour montere un équilibre du même genre qu'en maroéconomie. SCHEMA? Il semble possible d'établir une courbe d'offre globale qui ressemble à celle microéconomique car grace au eux des ... décroissant, l'augmentation de la production exigera des prix de plus en plus élevé. Ce que va exprimer cette courbe c'est avnt tout la résistance d ela capacité d'offre disponisble à un accroissemnet importnt de la demande qui va sollicité fortement ces capacité de production et provoquer des hausses de prix de plus en plsu importante. Schéma? Néanmoins cette associaton des deux courbes reste dans le cadre de la dynamique dela DG, car c'est le niveau de la demande dans l'espace graphique qui va détreminer la quantité produite et les prix sur la courte période, donc c'est avant tout le déplacement de la courbe AD qui va réguler l'équilibre macroéconomiue. Cette approche permet d'expliciter les phénomène de choc de l'offre qui peuvent se produire, en effet en cas de choc pétrolier, il va y avoir une rétarction de l'OG exprimant que pour avoir les même quantité il faudra des prix plus élévé. A LT les choses sont davantages brouiller ar le potentiel d'offre va augmenter sous l'effet de la productivité. La aussi l'évolution de la DG va jouer un rôle important dans le résultat . CONCLUSION G: NOus avons donc vu sous différents aspect une approche macroéconomique qui consiste à mettre l'accent sur le role de la DG pour la fixtion du produit global. Cette détermination peut etre complexe selon les différent modèle. les approches les plus récentes de la cononcture ont tendance à présenter l'évolution de la demande globle comme l'addition de la consommation des ménage de l' I, de la variation de stock. Le résultat de ces comprosantes peut aboutir à une augmentation sur la période du PN au maintient de celui ci ou alors a la baisse de ce PN car la demande lui est sensiblement inférieur. Dire cela c'est dire la Dmnande def le montant du PN, mais il y a enfaite deux type de période: en période normale, la DG progresse spontanément d'une période à l'autre du fait de l'acccroissement de la conommation et surtout du fait de l'accroissemnt de l' I. On a une roissance dite spontanée. La réponse des théoricien de l'offre est que la capacité de production augmentant la DG augment e en suivant cette augmentation de capacité. Le problème est que loriq cette croissance spontanée ne se reproduit plsu il aparrait une inssuficiae de DG malgrès qu'elle soit stable, on se rend compte alors que l'élèment limitant de... c'est bien le montant de la DG. Dès ue la DG s'arrète ou baisse n déclare qu'elle est déterminente er qu'il faut la renforcer. Pour la renforcer il y a une théorie qui consiste à ajoutée à la demande globale spontanté un élément supp provenant de la DP et qui à l'idéal permet de rétablir la croissance d ela Demande. Immédiatement pratiqué par les pouvoir publique mais se heurt eà la difficulté qu'u bout d'un certain temps on s heurte à un gonflement de la dette publiuque et il apparit alors nécessaire darréter cete ajout de la dépense publique pour que la dette ne continu pas à augmenter. Si la delande privée à repris son rytme spontanée de hausse tout ce passe bien, sinon les choses deviennent préocuppante car la DG sera inssufisante face à l'OG. En principe on pourrait se prémunir contre cela en équilibrant les dépense s pulique dans les période ou la demnde privée croit spontan"ément, mais il se trouve que même pendant ces p&riode la dépense publqiue tente à exeder la dettte publqiue ou lus dette imprtante moins on ourra jouter dans la duré ....