Sujet n°2 : En quoi l’économie peut-elle se maintenir en situation de sous-emploi selon
Keynes et Kalecki ?
Septembre 2009
Sujet n°1 : En quoi les conflits de répartition entre salaire et profit permettent-elles
d’expliquer les crises ?
Sujet n°2 : Comment Keynes analyse-t-il le rôle des marchés financiers ? En quoi la crise
remet-elle au goût du jour ses analyses ?
Janvier 2009
Sujet n°1 : Le rôle de l’investissement dans la croissance et les crises.
Sujet n°2 : En quoi la crise actuelle remet-elle l’analyse keynésienne au goût du jour ?
Septembre 2008
Sujet n°1 : La relation entre salaire et profit chez Ricardo et Marx
Sujet n°2 : « Le risque d'une prédominance de la spéculation tend à grandir à mesure que le
[développement] des marchés financiers progresse » (J.-M. Keynes, Théorie Générale de
l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie, 1936, Chapitre XII).
Explicitez le sens de cette phrase pour Keynes. Dans quelle mesure vous semble-t-elle
pertinente pour éclairer les réalités contemporaines ?
Février 2008
Sujet n°1 : Deux lectures de la crise actuelle s’opposent : la première suggère qu’elle est le
produit d’une politique économique trop laxiste conduisant à un excès de liquidité et à un
excès de consommation (en particulier aux Etats-Unis) ; la seconde insiste, au contraire, sur
l’excès d’épargne (notamment en Asie). En quoi ces deux lectures renvoient-elles aux
controverses théoriques entre les classiques et Keynes ?
Sujet n°2 : « On attache trop peu d’importance au fait que le capital n’est pas une entité se
suffisant à elle-même et qu’il ne peut exister indépendamment de la consommation » (Keynes,
Théorie générale, Livre III, Chap. 8). Marx, de son côté, indique que la croissance du capital
constant par rapport au capital variable est source de crise. Confrontez ces thèses.