Découvrir comment les relations à long terme entre les organismes peuvent les aider ou leur nuire. Reconnaître que certains micro-organismes sont utiles et d’autres nuisibles. Relation étroite et durable entre deux espèces Symbiose Un organisme qui vit sur ou dans un autre organisme (l’hôte) et s’en nourrit. Hôte Parasite Un organisme sur lequel vit et se nourrit un parasite. Relation symbiotique dans laquelle un des partenaires obtient des avantages alors que l’autre subit des effets négatifs.(+,-) Une relation entre deux organismes où chacun des partenaires en tire avantage.(+,+) Une relation symbiotique profitable à un des partenaires et qui ne semble ni nuire ni profitable à l’autre.(+,Ø) Commensalisme Mutualisme (+,+) L’estomac de la vache renferme une sorte de bactéries qui digèrent le fourrage qu’elle consomme. Morrison, E. S. (1989). Sciences Plus 8. Montréal : Éditions Chenelière/McGraw-Hill. Un poisson, le rémora, se fixe au requin à l’aide d’une ventouse. Il profite d’un moyen de transport et des restes de nourriture des requins. Morrison, E. S. (1989). Sciences Plus 8. Montréal : Éditions Chenelière/McGraw-Hill. Commensalisme (+,∅) Les orchidées croissent sur d’autres plantes qu’elles utilisent uniquement comme support. Morrison, E. S. (1989). Sciences Plus 8. Montréal : Éditions Chenelière/McGraw-Hill. parasitisme (+,-) Les vers pulmonaires prospèrent aux dépens de la chèvre de montagne du Parc National de Jasper. Morrison, E. S. (1989). Sciences Plus 8. Montréal : Éditions Chenelière/McGraw-Hill. parasitisme (+,-) Le gui pousse sur des arbres comme le chêne. Il obtient à la fois support et Morrison , E. S. en (1989).affaiblissant Sciences Plus 8. Montréal Chenelière/McGraw-Hill. nourriture tout le: Éditions chêne. Commensalisme (+,∅) Les graines de barbane s’agrippent aux vêtements des promeneurs qui traversent des buissons. Ces graines se détachent ultérieurement seSciences déposent ailleurs. Morrison, E. S. et (1989). Plus 8. Montréal : Éditions Chenelière/McGraw-Hill. mutualisme (+,+) Certains petits organismes appelés protozoaires, vivent dans le corps des termites et digèrent le bois qu’ils mangent au bénéfice des deux. Morrison, E. S. (1989). Sciences Plus 8. Montréal : Éditions Chenelière/McGraw-Hill. parasitisme (+,-) La cuscute est une plante dépourvue de feuilles qui forme des fleurs d’un rose pâle. Elle s’enroule autour d’autres plantes, comme le blé, et les Morrison, E. S. (1989). Sciences Plus 8. Montréal : Éditions Chenelière/McGraw-Hill. utilise comme source de nourriture. parasitisme (+,-) L’ichneumon perce les œufs ou les larves d’autres insectes, comme la piéride du chou pour y déposer ses propres œufs. Les larves de l’ichneumon se nourrissent ensuite des œufs ou , E. S.lesquels (1989). Sciences Plus 8.ont Montréal : Éditions Chenelière/McGraw-Hill. des larvesMorrison dans elles été pondues. mutualisme (+,+) Certaines bactéries s’installent dans le gros intestin humain. Elles participent à la déshydratation des matériaux non digestibles. De plus, elles produisent de la vitamine K, une substance importante qui intervient dans le processusMorrison de ,la E. S.coagulation (1989). Sciences Plus 8.sanguine. Montréal : Éditions Chenelière/McGraw-Hill. commensalisme (+,∅) Les balanes utilisent souvent les baleines pour leur déplacement et se retrouvent dans diverses parties des océans. Morrison, E. S. (1989). Sciences Plus 8. Montréal : Éditions Chenelière/McGraw-Hill. mutualisme (+,+) Certaines fourmis, dites champignonnières, cultivent des champignons. Elles capturent aussi des pucerons qui se nourrissent de ces champignons. Les pucerons produisent un liquide sucré (parfois appelé la miellée) Morrison, E. S. (1989). Sciences Plus 8. Montréal : Éditions Chenelière/McGraw-Hill. qu’ils sécrètent pour les fourmis.