Le rôle du droit dans le développement économique

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INSTITUT INTERNATIONAL DE DROIT D’EXPRESSION ET D’INSPIRATION FRANÇAISES
Siège social : 27, rue Oudinot, 75007 Paris
Téléphone : 01 53 69 20 28 - Télécopieur : 01 53 69 20 30
http://www.institut-idef.org
Courriel : [email protected]
XXXIème congrès de l’IDEF (*)
(Institut international de droit d’expression et d’inspiration françaises)
Sous le haut patronage sollicité de
S.E. M. Faure Essozimna GNASSINGBE
Président de la République togolaise
S.E. M. Nicolas SARKOZY
Président de la République Française
Le rôle du droit dans le développement
économique
17-18-19 novembre 2008
Lomé – Togo
(*) NB – Projet de programme qui sera confirmé en fonction des personnalités et
des intervenants sollicités.
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PROJET DE PROGRAMME
Le rôle du droit dans le développement économique
Structure des travaux
(Tous les travaux sont prévus en séance plénière)
Thématique du congrès
Par Barthélemy Mercadal
Vice-président, secrétaire général de l’IDEF
« ubi societas , ibi jus » ; « ubi jus , ibi societas »
« Là où il y a une société, il y a du droit »
« Là où il y a du droit, il y a une société ».
Autrement dit, le droit est essentiel. Mais le droit, aujourd’hui élément-clé de la bonne
gouvernance selon les critères de la banque mondiale, donne-t-il partout les résultats
attendus par les populations ?
Légitimement, celles-ci aspirent au bien-être, au minimum à sortir du seuil de pauvreté fixé à
1 dollar par jour pour celles qui souffrent d’un manque de développement économique.
Si l’adage latin perdure et même s’enrichit d’un effet réciproque, c’est parce que l’on prête
au droit des vertus. Il aurait été, selon le prix Nobel d’économie Douglas North, un facteur de
développement de l’Occident et il expliquerait l’avance économique prise par lui à partir des
XII et XIIIèmes siècles. Aussi les sciences juridique et économique sont-elles tendues, depuis
les rapports de la banque mondiale « Doing Business », vers l’efficience économique du droit.
Cet effet attendu du droit mérite donc un examen que se propose de conduire le XXXIème
congrès de l’institut.
Le droit à l’époque contemporaine a-t-il contribué à changer les données économiques ?
L’exemple européen de l’intégration par le droit (traités, règlements, directives, décisions de
justice) confirme-t-il la contribution du droit au progrès économique ? Si la réponse est
positive, peut-elle être vérifiée par une contre-épreuve : d’autres sociétés permettent-elles
de considérer qu’une carence ou une désaffection, voire un mépris du droit handicaperait le
développement économique ?
Pour que le droit apporte les satisfactions économiques attendues doit-il être un droit
intégré, unique ou unifié, ou l’économie peut-elle s’accommoder de la coexistence de
régimes juridiques différents ? Trois exemples de coexistences méritent à cet égard
attention : la coexistence des droits de tradition civiliste et de common law au Canada, à l’île
Maurice et au Cameroun.
2
Ces constatations sur les effets de la présence comme de l’absence du droit et sur les
pratiques juridiques diverses sur un même territoire incitent, naturellement, à tenter de
promouvoir le droit. Elles font néanmoins apparaître que le droit ne reçoit pas partout le
même accueil. Il y a ainsi lieu de s’interroger sur l’attitude à l’égard du droit selon les
sociétés appelées à le vivre.
Pourquoi la société européenne du Moyen-âge y a-t-elle eu recours dès les X-XIèmes siècles en
se plaçant sous l’autorité de la loi et de la justice et en renonçant à l’usage de la force ? Cet
enseignement européen peut-il être transposé ailleurs, et notamment en Afrique ? Cela pose
la question de savoir quelle est l’attitude de la société africaine à l’égard du droit.
-
Est-elle psychologiquement et sociologiquement réceptive au droit ?
Est-elle dans sa conduite pratique, notamment dans sa gestion des activités
économiques portée à invoquer et à faire appliquer la règle de droit ?
Le droit aujourd’hui présent en Afrique est-il un facteur qui peut aider à la prise
de conscience de l’efficacité du droit en matière économique ?
Le droit de l’intégration économique est-il vécu comme une législation effective
et potentiellement génératrice de conséquences économiques favorables ?
- Le droit des affaires, sous sa forme uniformisée et connue sous le nom de législation de
l’OHADA est-il lui aussi un droit effectif et producteur de résultats concrets, mérite-t-il une
consolidation et quels moyens peut-on développer pour l’aider à s’affermir ?
Toutefois, quel que soit le droit positif en vigueur et la faveur que ses sujets peuvent lui
porter, il ne peut prendre corps et effet que par l’action de la justice. Il incombe alors à
l’Etat, en définitive, de mettre en mouvement les actions qui sont susceptibles de permettre
au droit de jouer pleinement son rôle. à la justice de devenir un véritable instrument de la
régulation sociale. Cela implique que l’Etat se donne les moyens d’une lutte contre la
criminalité, adopte des procédés juridiques propres à favoriser son action économique,
notamment des outils appropriés à l’exploitation de ses richesses à travers le régime des
concessions et des partenariats privé-public. Par dessus tout, l’Etat doit s’affirmer en garant
de la justice.
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1er jour : Ouverture et Introduction du congrès
8h – 13h : Matinée
Séance inaugurale
8h :
- Arrivée et installation des invités et des congressistes
- Animation culturelle
Présidence : (à déterminer)
8h30 :
- Arrivée et installation du chef de l’Etat et des corps constitués
- Discours d’accueil de M. le professeur Akouété Pedro Santos, Président de IDEF-Togo
- Discours du Dr Ahmed Fathi Sorour, Président de l’Assemblée du Peuple d’Egypte,
Président de l’IDEF
- Discours au nom de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF)
- Discours au nom de l’Union Africaine (UA)
- Discours d’ouverture de S.E. Monsieur Faure Essozimna Gnassingbe, Président de la
République togolaise.
10h : pause
10 h 15 : reprise des travaux
Allocutions introductives de la thématique du congrès
Orientation : Le rôle du droit dans la construction d’un même espace économique
Présidence : (à déterminer)
10h 15 : Influence du droit sur l’économie (dans le sens des études de l’économiste Douglas
North, prix Nobel d’économie, selon qui l’Occident a dû son développement économique à sa
conversion au droit)
¾ M. Eric Brousseau (Professeur à l’Université de Paris X – Membre de l’Institut universitaire
de France)
10h 45 : Le rôle du droit dans la construction d’un espace économique
¾ M. Patrick de Fontbressin (Avocat à la Cour, Maître de conférences à l’Université de
Paris XI)
11h 15 : Les conséquences du non droit
Présentation du concept de non droit :
¾ M. Etienne Cerexhe, (Professeur à l’Université catholique de Louvain, Consul honoraire du
Burkina Faso, sénateur honoraire).
-
Deux exemples d’insuffisance du droit :
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11h 30 : L’exemple russe : désaffection du peuple russe à l’égard du droit
¾ M. Antoine Kuruneri-Millet ou M. Yves Zlotowski, (auteurs de : « Le droit dans
l’économie russe, une présence ambivalente », étude parue dans la Revue française de
Géoéconomie – n° 13, printemps 2000, p. 81 s …)
12h : L’exemple des pays en développement : l’inorganisation du droit de propriété dans ces
pays
¾ M. Hernando de Soto, (économiste, fondateur de l’Institut Liberté et Démocratie de Lima,
auteur de : « Le mystère du capital : Pourquoi le capitalisme triomphe en Occident et échoue
partout ailleurs ? ») ou
¾ M. Alain Rochegude, (Maître de conférences à l’Université Paris I, consultant
international)
12h 30 : Débats …
13h : Déjeuner
14h 30 – 18h : Après-midi
Regards sur le droit
Bilan historique et comparatif
Présidence : à déterminer
La coexistence des droits dans un même espace économique
14h 30 : L’expérience du Canada
¾ M. L’honorable Jean-Louis Baudouin, (juge à la Cour d’appel du Québec) ou
¾ M. le doyen Michel Doucet, (Professeur titulaire à la Faculté de droit – Université de
Moncton – Canada)
15h : L’expérience de l’Océan Indien
¾ M. le professeur Jean-Baptiste Seube, (doyen de la Faculté de droit de l’Université de La
Réunion)
15h 30 : L’expérience du Cameroun
¾ Mme Lucy Asuagbor (Présidente de la Cour d’appel de BUEA, Cameroun)
16h30 – 17h : Débats
17h – 17h 15 : Pause
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L’acceptation de l’idée de droit
Présidence : à déterminer
17h 15 : L’attitude occidentale à l’égard du droit : comment la société occidentale s’est- elle
convertie au droit ?
¾ M. Gilles Cuniberti, Maître de conférences à l’Université de Paris XII et enseignant dans
une université des Etats-Unis
17h 45 : L’attitude psycho-sociologique africaine au regard du droit : comment le droit est-il
perçu en Afrique ?
¾ Mme Mariame Coulibaly, Directrice du Centre d’Informations Juridiques de Dakar (Réseau
Africain pour le Développement Intégré).
18h15 - 18h 45 : Débats
19h : Clôture
20h : Dîner d’ouverture
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2ème jour : La portée du droit
9h – 12h 30 : Matinée
L’appréhension citoyenne du droit et de la justice
Présidence : à déterminer
9h : Réflexions sur la réception du droit à travers la justice par les citoyens
¾ M. Barthélemy Mercadal, (agrégé des facultés de droit, professeur honoraire du
Conservatoire National des Arts et Métiers, Chaire de droit des affaires)
9h15 :
Une application : la réception du droit en Afrique
Table ronde
Animateur : Me Fénéon
(Avocat au barreau de Paris, spécialisé en droit des affaires africain)
¾
M. Yawovi Madji Agboyibo (Avocat, ancien premier ministre de la République
Togolaise)
¾ Mme Heddy Amorin (Notaire) (Togo)
¾ M. Abdellah Boudahrain (Professeur et avocat) (Maroc)
¾
M. Alain Rochegude (Maître de conférences associé à l’Université de Paris I)
¾ M. Constantin Tohon (Docteur en droit ; chercheur au Laboratoire d’Anthropologie
Juridique de Paris I)
¾ M. Zinzindohoué (Président de la Cour de Justice de l’UEMOA, ancien président de la
Cour de cassation du Bénin)
¾
M. Raymond Verdier (Directeur de recherches au CNRS)
Il est envisagé de tenter une enquête auprès d’un échantillon de population au Burkina-Faso
et au Togo sur les sujets ci-après soumis au débat interne de la table ronde.
- La justice africaine : statistiques judiciaires ; la proximité ; le fonctionnement ; la
jurisprudence ; le juge (recrutement, la motivation, la publicité médiatique).
- Le justiciable africain : la processivité ; la confiance ; le jugement ; l’éducation au
jugement ; degré de connaissance de l’OHADA ; la conscience de l’acte de juger.
10h : Débats …
10h 30 : Pause
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L’apport du droit de l’intégration économique
Traités multilatéraux africains
Présidence : à déterminer
11h : L’apport des traités africains économico-monétaires
UEOMA – CEDAO – CEMAC
M. Augustin Loada, Professeur à la Faculté des sciences juridiques et politiques –
Université de Ouagadougou (Burkina Faso)
11h20 : L’apport des traités africains relatifs à la propriété intellectuelle et des assurances
L’intégration du droit de la propriété intellectuelle (OAPI) et des assurances (CIMA)
¾ M. Diango Cissoko, (Ancien ministre, Secrétaire général de la présidence de la
République) ou M. Amidou Dembélé (Chargé de mission à la primature, assistant à la faculté
de droit de Bamako)
11h40 : L’apport du traité africain de droit des affaires : l’effectivité de la législation de
l’Ohada
. Le bilan jurisprudentiel
¾ M. Joseph Issa Sayegh, Pr agrégé de droit à l’Université de Nice, Dakar et d’Abidjan ou
¾ Un représentant de l’UNIDA et un représentant de la Cour commune de justice et
d’arbitrage -CCJA)
. L’action des associations clubs OHADA et autres
¾ M. Michel Akouété Akué (Fondateur du Forum en cours de constitution des Clubs Ohada)
et
¾ Mme Axelle de Borger, (Présidente de l’Organisation des juristes d’affaires francophones)
12h - 12h30 : Débats
12h30 – 14h : Déjeuner
14h – 18h : Après-midi
La consolidation du droit
Présidence : à déterminer
14h : La consolidation par l’information sur le droit
-
1er exposé : L’apport des moyens numériques
¾ M. le professeur Yann Tanguy, (ancien président de l’Université de Nantes ; chargé de
mission pour l’installation du campus de l’Université numérique juridique francophone).
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14h 30 : 2ème exposé : L’information numérique sur la législation Ohada et son impact :
l’apport de l’IDEF
¾ M. le professeur Georges Decocq, (directeur adjoint du site http://www.institut-idef.org,
avec la collaboration de M. Jimmy Kodo, collaborateur aux travaux rédactionnels de l’IDEF)
15h : Débats
15h 30 : Pause
16h : La consolidation par la jurisprudence
-
1er exposé : Le rôle économique du juge par sa légitimité
¾ M. Taïmour Mostafa-Kamel, (Conseiller juridique au ministère des Finances – Bahrein)
16h 30 : L’apport par la circulation des jurisprudences : comparaison de diverses
jurisprudences
- 2ème exposé : Comparaison des jurisprudences civilistes et non civilistes
¾ M. Martin Lamoureux, (auteur de « Aperçu sur le droit du contrat ghanéen) et
¾ M. Barthélemy Mercadal, (agrégé des facultés de droit, professeur honoraire du
Conservatoire National des Arts et Métiers, Chaire de droit des affaires)
17h
-
3ème exposé : Comparaison des jurisprudences civilistes d’Amérique
¾ M. Henry Saint-Dahl, (avocat et secrétaire général adjoint de la Fédération interaméricaine des avocats)
17h 30 : Débats
18h
: Clôture
20h
: Dîner offert par IDEF-Togo avec soirée culturelle
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3ème jour matin : Le rôle de l’Etat dans la consolidation du droit
L’action juridique en faveur de l’économie
Présidence : à déterminer
9h : Un nouvel outil pour l’investissement : le régime du partenariat public – privé
¾ M. Marc Frilet, (avocat au barreau de Paris, spécialiste des contrats public-privé)
9h30 : L’action en faveur de la bonne gouvernance : la lutte contre la corruption, le
blanchiment d’argent, la criminalité de droit commun
¾
M. Ali Azmayesh, (professeur à la faculté de droit de l’Université de Téhéran) ou
¾ M. Howard Whitton, (Directeur général de Ethicos consulting organisation de l’Ethicos
group
10h : Débats
10h 30 : Pause
La lutte pour le respect du droit
11h : L’action en faveur de la sécurité juridique
¾ M. Jacques Frémont, (Provost et vice-recteur – affaires académiques, responsable des
études supérieures à l’Université de Montréal)
11h 30 : L’Etat garant de l’Etat de droit
¾ Me François-Charles Bernard, (Avocat au barreau de Paris)
12h : Débats
12h 30- 14h : Déjeuner
après-midi – CLOTURE
Présidence : à déterminer
14h 30 : Rapport général
¾ M. Gaston Kenfack-Douajni, (Magistrat, sous-directeur de la législation civile,
commerciale, sociale et traditionnelle au ministère de la Justice de la République du
Cameroun)
- Présentation des recommandations
¾ M. Alain Plantey, (Président d’honneur de l’IDEF)
- Discours de clôture
¾ M. Alain Johandet, (Secrétaire d’Etat chargé de la Coopération et de la Francophonie
auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes)
¾ M. Mally Komlan, (Premier ministre de la République togolaise).
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ORGANISATION DU CONGRES
Comité d’organisation
La préparation du congrès est assuré par le secrétariat général assisté :
à Paris, par Mme Hélène Gadriot-Renard,conseiller-maître à la Cour des
comptes ; Me Alain Fénéon, avocat ; Me Maryse Caussin-Zante, avocate ; Mme Axelle de
Borger, Présidente de Organisation des juristes d’affaires francophones (OJAF), Mme Arlette
Mensah-Boccovi, juriste ; M. Jimmy Kodo, collaborateur aux travaux rédactionnels de l’IDEF.
à Lomé, par la section togolaise de l’IDEF, Me Sylvain Mensah-Attoh, avocat au
barreau du Togo étant son porte-parole.
Comité scientifique
Pr Théophile Ahadji, Président de l’Université de Lomé ;
M. Michel Alliot, ancien recteur d’Académie
M. Etienne Cerexhe, Professeur à l’Université catholique de Louvain et à la
Faculté de droit de Namur - ou une personnalité belge
M. Jean-Mathias Goerens - ou une personnalité luxembourgeoise
M. Vincent Itoua, Professeur d’Université
M. Antoine Oliveira, Professeur agrégé de droit, vice-président de la CCJA de
l’OHADA
M. Paul-Gérard Pougoué – Professeur à l’Université de Yaoundé II, Cameroun
Mme Lorraine Ruf ou une personnalité suisse
Pr Akuété Pedro Santos, Doyen de la faculté de droit – Université de Lomé
M. Filiga Michel Sawadogo, Professeur agrégé de droit privé, ancien recteur de
l’Université de Ouagadougou
M. Lionel Zinsou, associé – gérant de la Banque Rothschild – Conseiller du Bénin
Haut patronage sollicité :
-
S.E.M. Faure Essozimna Gnassingbe, Président de la République du Togo,
S.E.M. Nicolas Sarkozy, Président de la République Française
Invités : (sollicités)
-
-
M. Pascal Agboyibo, avocat au barreau de Paris
Me Narcisse Aka, Président de l’Institut de droit communautaire (IDC)
M. Michel Akouété Akué, au titre du Forum des clubs OHADA en constitution
M. Etienne Alingué, Directeur du bureau régional de l’OIF pour l’Afrique de
l’Ouest,
M. Boutora-Takpa koleka , Secrétaire général de l’OHADA : (secrétaire
permanent Ohada)
Mme Sylvie Brunel, Professeur des Universités, ancienne Présidente de
l’association action contre la faim
M. Jacques Chirac, Président de la Fondation du dialogue des cultures et du
développement durable
Mme Christine Desouches, Conseiller spécial du secrétaire général de l’OIF
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M. Zéphirin Diabré, ancien ministre de l’économie et des finances du Burkina
Faso, ancien Pr à Havard et directeur général adjoint du programme des Nations Unies pour le
développement PNUD
Mme Fatouma Diallo, ancien ministre de la culture du Mali, présidente du
forum africain de l’ONU pour le développement
M. Abdou Diouf, Secrétaire général de l’OIF,
M. Robert Dossou, avocat, conseiller du Président de la République béninoise
Mme Honorine Dossou Maki, Présidente du Conseil des ministres de l’OHADA
M. Fulgence Dwima-Bakana, Premier président de la Cour des comptes au
Burundi
M. Ndongo Fall , Président de la CCJA (Cour commune de justice et d’arbitrage)
M. Alain Johandet, Secrétaire d’Etat chargé de la Coopération et de la
Francophonie auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes, assorti de l’offre de
la présentation d’un discours à la séance d’ouverture ou de clôture
M. Donald Kaberuka , Président de la BAD (Banque africaine de développement)
M. Alpha Oumar Konaré, Président de la commission de l’Union africaine
M. Jean-Baptiste Natama, Comm. sur le MAEP
M. Sidi Mohamed Ould Taleb, M. le Président de la BID (Banque islamique de
développement)
M. Jean-Pierre Patat, conseiller au centre d’études prospectives et
d’informations internationales CEPII, ancien directeur général chargé des études et des
relations internationales à la Banque de France participant aux travaux du G8 sur le nouveau
partenariat pour le développement de l’Afrique NEPAD.
M. Hugo Sada, Délégation aux droits de l’homme (OIF)
M. Jean-Michel Sévérino, directeur général de l’Agence française de
développement
M. Dorothé Sossa , Ancien garde des sceaux de la République du Bénin, doyen
de la faculté de droit et de sciences politiques de l’Université d’Abomey-Calavi au Bénin)
Mme Violaine de Villemeur : sous-directrice de la Gouvernance au
-
ministère de la Coopération, spécialement en charge du suivi de l’OHADA.
-
1 représentant de la Banque mondiale (Lomé)
Ambassadeurs locaux des Etats francophones
Participation :
du Togo et
Intervenants
Contributeurs écrits
Prise en charge : 2 membres par pays, intervenants compris Ouverture du congrès à tout public, notamment à toute la communauté juridique
des pays avoisinants.
Règles générales d’ordonnancement des travaux :
Interventions orales : durée 30 mn ( 20 pages)
Date de remise : 2 mois avant le congrès
Communications écrites : texte numérique
Date de remise des interventions et des contributions : deux mois avant
l’ouverture du congrès.
Publications : Revue juridique et politique des Etats francophones (éditions
Jurisafrica) – Site IDEF
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Emploi du temps :
-
Matinée : 9h – 12h 30
Déjeuner : 12h 30 – 14h
Après-midi : 14h – 17h 30
Dîner : 19h 30
Pause : 10h 30 – 11h
Pause : 15h 30 – 16h
Séances :
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o
Formation plénière pour toutes les séances
Séquences de 1h 30 comprenant :
2 interventions orales de 30 mn chacune
Débat : 30 mn
DATATIONS DU SEJOUR
Samedi 15 novembre 2008
Arrivée à Lomé à 17 h (accueil des congressistes par M. le premier Ministre
- installation à l’hôtel).
Dimanche 16 novembre
Visite touristique Togo – Bénin
Lundi 17 – Mardi 18 – Mercredi 19 novembre
Travaux du congrès – Les débats se dérouleront au Palais des Congrès
Jeudi 20 novembre
Visite du Ghana (visa délivré sur place)
Vendredi 21 novembre
Journée libre
Déjeuner au Lac Togo
Dîner convivial chez M. le Premier ministre
Samedi 22 novembre
Départ de l’Hôtel à 19 h
Hôtels prévus : SARAKAWA et IBIS
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