C – Par rapport à T, quand il dit point d’exclamation c’est que quand on sait qu’il pourrait y avoir
des points d’exclamation, on se repère par rapport à la voix. Par exemple si la voix elle descend,
c’est sûrement un point, si elle monte c’est sûrement un point d’interrogation, etc…
H – Les conseils pour le prochain, c’est aussi de… de bien savoir quand l’autre va continuer sa
phrase, quand ça va être à lui de parler.
E – Mais aussi… heu… par rapport à ce qu’a dit F tout à l’heure, il faut s’arrêter mais quand
même si on s’arrête tout le temps, on aura l’impression que… que c’est un peu coupé donc je suis
d’accord pour qu’on s’arrête mais faut pas qu’on s’arrête tout le temps, faut pas que ça dure trop
longtemps non plus.
Y – Pour rebondir sur ce que dit H. mais aussi c’est que aussi il faudrait se mettre d’accord pour
lui qui fait l’un après l’autre et surtout que tous les deux soient d’accord mais parce que sinon y
en a qui dit un bout et l’autre dit “ ah non ce n’est pas tout à fait comme ça ” ça fait que les
auditeurs sont un peu perdus.
M – Je vais rebondir sur ce que dit Y. je suis d’accord avec lui parce que heu… si y a une
personne qui dit un petit bout et que l’autre redit le reste… ça va pas aller, il vaut mieux qu’ils
partagent l’histoire.
Enseignante – En conclusion, c’est donc au niveau de la voix, articuler, se mettre d’accord sur le
contenu de l’histoire.
S – Et aussi pas couper quand on dit “ non ce n’est pas ça ” Et après c’est… il ne faut pas couper
heu… l’autre… il faut attendre son tour pour…
Enseignante – Et vous qui avez vécu cette expérience, quels conseils vous donneriez pour que ça
se passe bien ? Qu’est-ce qui était difficile . Qu’est-ce qui était facile ? Est-ce que vous vous y
prendriez de la même manière ?
F – Moi je sais que j’ai fait une erreur… parce que quand j’ai raconté mon histoire à R., moi ce
que je pensais quand il m’a dit “ j’ai compris ”. Je… j’aurais dû… Il m’a dit ça mais il a dû
comprendre autre chose que moi et je ne lui ai pas redemandé de le redire après et ce qui fait
qu’on s’est un peu embrouillés ;
J – Moi je conseillerais de…de… voir… pendant la préparation, il faudrait quand même penser
au… que les autres aussi vont… dire l’autre partie de l’histoire… que cela va être plus ou moins
compréhensible.
T – Moi je conseille que… quand on a… quand on apprend en quelque sorte le texte, de ne pas
tout tout retenir heu… le moindre détail… parce que parfois quand on apprend tous les détails,
après quand on apprend les phrases importantes, quand il y a les phrases importantes, on ne sait
plus les ranger, on oublie de le dire.. ; de dire les choses les plus importantes.
Enseignante – Est-ce que c’était une histoire fantastique que vous avez entendue ?
C –Oui, au début c’était réel, et à un moment il y a un événement heu… un événement. Il voit des
musiciens qui sortent et là il se réveille parce que sa maman est là.
J – Ben moi je dirais que ce n’est pas une nouvelle fantastique, c’est juste un rêve raconté.
E – Oui, mais un rêve qui est… y a des choses dans ce rêves que l’on n’a pas vues dans ce rêve
mais qu’on voit après dans la réalité sous une autre forme.
Enseignante – C’est à dire .
E – Par exemple Zacharie… dans le réel on retrouve sa tombe, alors que dans le rêve sans que
jamais avant il l’ait vue ! Et normalement quand on fait un rêve, c’est qu’on a déjà vu ou appris.
Et là on la trouve dans le rêve et dans le réel. On ne sait plus si c’est un rêve ou la réalité.
T – C’est du fantastique parce que les morts-vivants, tout ça…
Enseignante – est-ce que vous pensez que cette histoire a été racontée comme une nouvelle
fantastique ?