Document 1 : desciption de différets micro

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Document 1
Laboratoire de biologie clinique
Avenue Eiffel 8 1300 WAVRE
Chef de service : Ph.Bonsang
Concerne : Adam Marie
Demeurant : rue haute, 14-1453 LA VILLE
Née le
20/02/1993 sexe : F
Demandé le : 15/05/2009
Au Docteur
BIENFAISANT MICHEL
Hématologie
Résultats Unité
Normes
12,7
g/dl
11,5 à 15,8
Hématocrite
40,5
%
36,4 à 46,6
Numération globules rouges
4, .81
millions/µl
4à5
TCMH (teneur corpusculaire
moyenne en hémoglobine)
28,5
pg/cell.
26 à 32
Volume globulaire moyen
83
µm3
Numération des thrombocytes
(plaquettes)
256
milliers/µl
Numération des leucocytes (globules
blancs)
15,6
milliers/µl
Analyse
Taux hémoglobine
77à 91
150 à 450
4,5 à 10,5
Source : Bio 4, Enseignement officiel, cahier élève, chapitre 6, activité 3, Ed Van In, 2010
Document 2 : les éléments d'une analyse de sang
Hémoglobine = protéine présente dans les globules rouges et qui permet de fixer l'oxygène.
L'hémoglobine contient un atome de fer, ce qui confère aux cellules qui la contiennent leur
couleur rouge
Erythrocyte (du grec erythro : rouge et kutos : cellule ) ou globule rouge = cellule
biconcave sans noyau contenant l'hémoglobine (d'où sa couleur rouge) et permettant le
transport de l'O2 et du CO2 dans le sang.
Thrombocytes (du grec thrombos: caillot et kutos : cellule)ou plaquettes. = ce sont des
petits éléments de cellules (fragments) qui interviennent dans la coagulation
l'Hématocrite (du grec haima: sang et de kritês qui interprète, qui explique) est le
pourcentage relatif du volume des cellules circulant dans le sang par rapport au volume total
du sang. Cette mesure est indispensable pour mesurer le VMG.
La teneur corpusculaire moyenne en hémoglobine (TCMH) ou Teneur globulaire moyenne
en hémoglobine (TGMH) est la quantité moyenne d'hémoglobine contenue dans un
érythrocyte. Elle permet de vérifier que l'individu ne manque pas d'hémoglobine (en général
ce manque est dû à un manque de fer)
Le volume globulaire moyen ou VGM est une valeur biologique rendant compte de la taille
des globules rouges. Utilité : détection de l'anémie
Source: Wikipédia, mars 2011
Observation d'une goutte de sang au microscope optique.
Source: banque nationale de photo en SVT
Document 3. Le système lymphatique
Schéma provenant de "le corps humain, un site ludique pour connaître le corps humain sa
composition et son fonctionnement".
http://anatomieludique.unblog.fr/le-systeme-lymphatique
Document 4 : le déclenchement de la réaction immunitaire
La souche bactérienne utilisée dans les expériences suivantes doit son pouvoir pathogène à
des toxines. Les toxines sont des substances nocives que des organismes secrètent dans leur
environnement. On répartit les souris en trois groupes auxquels on fait subir des traitements
différents.
Groupe
1
Traitement
Injection de bactéries
Résultat
Réaction immunitaire
Réaction immunitaire
2
Injection de toxines produites
par les bactéries
Réaction immunitaire
3
Injection de protéines présentes à la surface de la
paroi des bactéries
Source : Bio 4, Enseignement officiel, cahier élève, chapitre 6, activité 6, Ed Van In, 2010
Document 5 : les vaccins
Les vaccins sont des préparations contenant des microbes tués, des extraits microbiens ou
encore des microbes vivants ou leurs toxines atténués par des traitements physiques ou
chimiques. Ces préparatifs ont un pouvoir immunogène faible, mais ils sont immunogènes,
c'est-à-dire qu'il déclenche une réaction immunitaire spécifique. Suite à une première injection
de vaccin, une réponse primaire apparaît, puis des réponses secondaires suivent grâce aux
injections de rappel. Ainsi, l'été immunitaire augmente vis-à-vis d'un antigène donné. En effet,
le nombre de cellules "mémoire" étant accru, la réaction immunitaire spécifique sera
immédiate lors d'un éventuel contact avec un agent pathogène et ce dernier sera éliminé. Le
vaccin est préventif, il doit être fait avant que l'organisme ne soit exposé à l'antigène actif.
Source : Bio 4, Enseignement officiel, référentiel, chapitre 5, Ed Van In, 2010
Source :
banque
nationale
de photos
en SVT
Document 6 : le tétanos
Le tétanos est une maladie infectieuse grave, potentiellement mortelle. Le tétanos se
développe lorsqu'une blessure est contaminée par la bactérie Clostridium tetani. Celle-ci est
présente dans les objets rouillés, mais également dans les détritus de rue, de terre, les
excréments et la poussière.
Cette affection peut-être parfaitement évitée grâce à un vaccin antitétanique. La recherche
récente montre toutefois que, dans notre pays, près de la moitié de la population –
essentiellement des femmes de 50 ans et plus- n'est pas couverte par cette vaccination.
Lorsqu'une personne s'est blessée en jardinant ou en bricolant et qu'elle n'est pas en ordre de
vaccination contre le tétanos, le médecin procède à une sérovaccination afin d'enrayer le
développement éventuel du tétanos.
La sérovaccination est une injection à deux endroits différents du corps d'un sérum
antitétanique et d'un vaccin antitétanique. Le médecin fera encore deux injections de vaccin
seul après 4 et 8 semaines.
Des analyses périodiques de sang permettent de suivre l'évolution des quantités d'anticorps
antitétaniques suite à une sérovaccination. Les résultats obtenus sont mis en graphique.
Source : Bio 4, Enseignement officiel, cahier élève, chapitre 6, activité 9, Ed Van In, 2010
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