LEXIQUE
Limites d’une mélodie (bornes, du grave à l’aigu). A ne pas confondre avec la « tessiture » qui désigne l’étendue que peut courvir une voix
ou un instrument.
Note initiale d’une mélodie qui ne débute pas sur un temps fort (départ en “levée”)
Sons disjoints émis successivement (ex. DO – MI – SOL). S’oppose à « accord » qui fait entendre les sons simultanément.
Division par 2 (ou un multiple de 2) de la pulsation.
Succession de sons dont les intervalles sont caractéristiques (ex. gamme de DO majeur = do, ré, mi, fa, sol, la, si do)
Chant à une seule voix. S’oppose à « polyphonie ».
Intervalle de 8 notes (ex. DO 4 – DO 5)
Mot italien. Mélodie ou rythme répété obstinément.
Signe (un point surmonté d’un demi-cercle) placé au dessus d’une note, indiquant que la durée de cette note peut être prolongée à volonté.
NB : un « point d’arrêt » a la même fonction ; le signe est alors placé au-dessus d’un silence.
Intervalle de 4 notes (ex. DO – FA)
Intervalle de 5 notes (ex. DO – SOL)
Désigne une danse et sa musique originaire de la Jamaïque dans les années 1960. Popularisé dès 1974 par Bob Marley.
Un point placé après une note y ajoute la moitié de sa valeur, en durée (ex. une noire pointée = une noire + une croche). Un rythme pointé, rapide, peut
évoquer le sautillé.
Groupement de portées utilisé pour noter des sons entendus simultanément;