1 - INTRODUCTION Ce cours s`adresse à tout le monde, il s`inscrit

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INTRODUCTION
Ce cours s’adresse à tout le monde, il s’inscrit dans la continuité de l’histoire de l »institut de
la sociologie » (1965) très soucieux de donner une formation en ethnologie et sociologie et
l’accent est mis sur l’aspect mathématique et statistique : on poursuit une tradition, une
compréhension de la société qui ne peut pas se faire que par des instruments spécifiquement
sociaux.
Il y a une importance des faits symboliques qui joue encore un rôle important aujourd’hui.
Les thèmes seront le jeu, le rite, les mythes et la fête : pourquoi ? Quel est le lien entre ces
thèmes ? Jean Bazin se pose la question « qu’étudions-nous ? des populations ou des actions ?
[…] » : Ce sont des types d’actions mais quel genre d’actions ? Ces actions ne sont pas
spécialement relatives à la société contemporaine, ce sont des actions qu’on trouve partout,
dans toutes sociétés (d’où le nom d’anthropologie) qu’elles soient exotiques ou la notre.
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Chapitre 1 Vous êtes ici
L’objet et de situer notre travail sur 4 thèmes par rapport au domaine de l’anthropologie et des
sciences sociales : objet de cadrage.
I En quel sens l’anthropologie s’occupe-t-elle des cultures ?
Anthropologie et culture : comment s’articulent-ils ?
La culture c’est par cela que l’on reconnaît que l’autre est bien autre (in ne mange pas comme nous,
etc.) cela évoque Marcel Mauss dans « les techniques du corps » : les cultures physiques (manière dont
chaque société cultive les corps).
La définition de la culture : ensemble de manières d’agir, de penser et dAgir (Durkheim) mais
ensuite, le champ s’élargie : plan religieux puis le langage (capacité de former des langues), etc.
Durkheim décrit le fait social, la culture (la langue, système de monnaie moins net) au sens
anthropologique. La dernière phrase de la feuille dit que si on ne parle plus une langue, elle meurt : ce
n’est pas tout à fait vrai car la langue bouge (mots changent de sens), elle évolue donc ce n’est pas
indépendamment mais cette langue relève de l’institut déjà avant notre naissance mais ce sont des
hommes qui l’ont inventée.
II Où et quand prend forme la signification anthropologique de la culture ?
Voire la définition de Taylor dans le poly.
Le problème ici c’est de se rendre compte que cette signification est un sens particulier : ce n’est pas
un vrai sens mais un sens parmi les autres :
Le 1er sens de culture : il a pris un sens différent au cours de son histoire, cela vient d’une
source latine qui veut dire cultivé, faire grandir et l’usage de ce terme s’est appliqué à la terre et à sa
culture puis à l’autre extrême (renaissance) au travail de l’esprit. Ça désigne aussi le culte (rendre aux
dieux ce à quoi ils ont droit). Au 17 et 18ème siècles, c’est associé au fait de faire fructifier, de cultiver
des dons : l’homme aide au développement de son savoir, de l’esthétique, de la peinture, etc. (mort
entre le mot nature et culture). La culture, enfin, sera désignée comme les produits des activités
(peinture, musique) : c’est les beaux-arts, ce qui tourne autour des activités esthétiques donc il y a eu
des différents sens pas très différents les un des autres mais des fluctuations présentes.
Les coordonnées historico géographiques de l’émergence de ce terme en anthropologie :
quelles conditions ont fait que le mot culture a changé de signification par l’anthropologie ? C’est un
phénomène complexe : cest la problématique de CHANGEMENT SOCIAL (feuille).
Le changement social possède des conditions structurelles, des facteurs (tensions entre un mouvement
de lettrés et la noblesse qui cherché à se libérer) donc intervention d’un agent (associations,
mouvement, groupes de pressions, etc.). Les intellectuels organiques sont les lettrés qui se trouvent
être, à un moment donné, les portes paroles d’un groupe : ils l’exprime, le mette en forme, etc. c’est
différents groupes sont eux-mêmes plus ou moins en conflit (progressistes et conservateurs).
Souvent, il y a un évènement catalyseur qui fait que ce qui était mal perçu devient visible à l’opinion
publique (ça dépend du jeu des agents sociaux). L’opinion publique modifie la nature de l’enjeu et
l’amplifie ou le diminue.
Que c’est-il passé dans l’espace occidental à un certains moment le sens du terme culture a
changé ? 2 points :
A) Le tournant allemand de l’usage de la culture.
1) la naissance d’un mouvement d’idées
Vers 1770-1780, en Allemagne, il apparaît un mouvement d’idées (pas encore une idéologie). Une
certaines mentalité émerge au sein de la bourgeoisie (Allemagne est mal au point par les guerres de
religion) non pas de financiers, de propriétaires terriens, de juristes mais plutôt enseignantes ou ayant
des fonctions religieuses (protestants et catholique) et au sein, il y a ce mouvement d’idée qui est une
protestation contre la domination exercée par la noblesses allemande. La nature de cette revendication
fait de la culture le cœur de sa protestation : la « culture allemande ».
En effet, ces noblesses allemandes se sont fait un point d’honneur à parler le français car c’est
classant : la France est en pleine gloire. Derrière la question de la langue, l’allemand c’est vraiment
vulgaire pour eux, c’est une langue de paysans ; les valeurs associées au français sont les éclats de la
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civilisation, c'est-à-dire ce qui brille depuis Paris. Nous avons le couple fatal : la culture et la
civilisation. Cet usage français signe la distinction (Pierre Bourdieu : pour dévaloriser les autres) des
élites, elle passe par les bonnes manières, la politesse, la courtoisie et plus ou moins liée à la politesse
une certaine dose d’hypocrisie (sinon c’est la guerre permanente) et de cruauté. Toutes ces
caractéristiques constituent la civilisation telle que l’entendent les français à ce moment là.
Inversement, les comportements du reste de la population, au niveau de la langue allemande et les
pratiques (usages et coutumes) du reste de la population relèvent aux yeux de la noblesse, d’une sorte
de barbarie et de campagne : on est chez les sauvages, du côté du rustre, du fruste, du populaire.
Norbert Elias : « la civilisation des mœurs ».
2) le mouvement des lettrés
Pourquoi il y a une revendication des lettrés ? C’est l’affirmation du prestige de la civilisation, en
regard on voit la fraction des éclairés (référence au mouvement des lumières) qui cherche à valoriser
les formes nationales allemandes : la langue (pas très vieille, mise en forme par Luther) et un certain
nombre relativement limité de formes populaires comme les chants, les danses, la poésie, les contes :
populaire selon le sens de ces lettrés éclairés qui cherchent à valoriser cette âme allemande profonde
(opposition à la civilisation qui est la surface des chose, l’apparence) telle que l’exprime la poésie
allemande à travers des contes, des légendes et des chants.
On est devant un phénomène de défense de l’exception culturelle au nom de la tradition allemande, les
racines de l’Allemagne : l’âme populaire. Cette défense de la culture nationale est un phénomène
complexe :
en aval, le mouvement des nationalités : en Allemagne, Italie qui conduira à la fin du 19ème à la
réalisation de ces fameuses unités nationales.
En amont, les conditions et les facteurs protonationales : une certaine laïcisation des
références sociales (d’autres valeurs émergent). La langue latine (grec et latin) sont encore des
langues véhiculaires (qui permet de voyager et non pas vernaculaire le lieu) à ce moment là
mais on voit aussi la revendication au nom de la langue vernaculaire (l’Allemagne avec Luther
par une sorte de gestes de transgression décide de traduire la bible en langue vernaculaire).
Luther est un moine catholique qui en a ras le bol de certains comportement de l’église catholique :
c’est le re du protestantisme. En 1515, il affiche des thèses critiquant les actes de l’église catholique
(le système des indulgences par exemple : permet d’avoir moins de jours de purgatoire en payant le
clergé) et il reçoit le soutien des princes allemands donc tendance à la territorialisation (chaque église
essaie de construire sa propre unité linguistique : le mouvement gallican) : en Allemagne, ça se traduit
pas le fait de traduire la bible. Luther dit qu’il faut que tous les chrétiens soient en mesure de lire la
bible donc on passe de la lecture aristocratique à une explosion de démocratie religieuse. Il s’est fait
excommunié mais il n’est pas tout seul (il a les princes allemands) d’où la naissance du
protestantisme, c’est la « Réforme ». Ce mouvement nous intéresse car la posture n’est pas si
différente de cette de Luther, c'est-à-dire que la rupture contre l’universalisme catholique est un peu
comme le mouvement des lettrés pour la culture allemande. Il y a un mouvement de fond et de
particularisme national.
3) le Sturm und drang
Un des problèmes de l’anthropologie est l’articulation entre le particularisme et l’universalisme. Ce
mouvement porte un nom : le « Sturm und Drang » (le mouvement de tempête et l’élan) d’où une idée
de dynamisme, il ne dure pas longtemps (1770-1780) et il a sa tête pensante : J-F Herder, un pasteur
protestant lettré intéressé pas la culture (poésie, formes d’expression populaire allemande) et Goethe.
Ce mouvement se prolonge au 19ème par ce qu »on a appelé « le romantisme » (les frères Grimm : mise
en valeur de contes). Herder a une représentation de la culture : chaque peuple a une individualité et
que c’est sa fonction historique que de la développer : la valeur d’une culture pour lui ne tient pas à ce
qu’elle se rapproche davantage de la culture « légitime » ou d’une sorte de modèle culturel mais c’est
au contraire sa différence, son authenticité, son originalité.
L’authenticité a plus ou moins tendance à apporter de l’isolement : pas de métissage donc le problème
est la question de la pureté culturelle, de la pureté raciale. C’est une tendance plus ou moins logique :
plus le peuple est pur biologiquement, plus la langue sera pure, c’est le nuage sombre au dessus de ce
mouvement et on arrive o fascisme allemand des années 1930. Un autre aspect c’est le souci d’aller à
la recherche des origines.
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Selon Bourdieu, il y a une culture légitime et les autres valent pour autant qu’elles se rapprochent de
cette norme.
Il y a deux points d’application de l’authenticité, de l’originalité et de la pureté d’une culture : la
langue et le sang. Cette vision offre de multiples dangers comme l’isolement (l’ethnocentrisme chez
Lévi-Strauss). Herder pose l’originalité d’une culture mais il dit qu’elles sont toutes valables tant
qu’elles ont gardés leur capacité créatrice. Cette vision va se dégrader par rapport à l’ethnocentrisme et
la tendance raciste. L’intérêt c’est que, ayant cette vision de l’originalité des cultures, elles sont
incomparables : chaque peuple garde son style. Chaque langue est originale, chaque culture a la
volonté de garder son originalité, la solution est la traduction qui permet de dépasser l’enfermement du
particularisme à la fin du 18ème (le romantisme), ça interdit de penser que l’on possède l’universel :
c’est un progrès important de la pensée humaine.
Dans la version française, l’universalisme est déjà réalisé (valeurs portées par la révolution, ils
demandent aux autres d’être comme eux, c’est un peu comme du colonialisme) alors que dans la
vision de Herder, l’universalisme n’est jamais réalisé (les traductions ne sont jamais parfaites, c‘est
une approximation) mais il y a une possibilité en traduisant (échange des significations) : la langue
n’est donc pas vouée à rester renfermée sur elle-même, on est dans un travail d’universalisation.
Il y a donc l’universalisme contre le particularisme : le particularisme n’est pas fermé, il peut s’ouvrir
sur l’autre. Herder : « tout le sens de mon œuvre est une substitution à un universalisme reposant sur
une prééminence d’un modèle unique et exclusif de toutes autres formations culturelles, d’un
universalisme posant l’égale dignité d’incarnations différentes d’une même essence [humaine] »
B) La symétrie : l’apport français.
1) l’aspect folklorique
La culture populaire, l’aspect folklorique.
L’aspect folklorique comble une partie du mouvement « Sturm und drang » et de la définition de
Taylor. Les folkloristes sont les précurseurs de l’anthropologie et de l’ethnographie dans l’espace
européen et ils portent leur attention sur les façons de vivre, les us et les coutumes, l’objet de la vie de
tous les jours, etc. C’est un mouvement du 19ème siècle composé de gens ayant un métier intellectuel,
c’est donc l’œuvre d’observations et de récits faits par des curés, des avocats, des notaires, des
médecins (généralement des bourgeois), etc.
Les thèmes des folkloriques sont la maison, la culture matérielle traditionnelle, les coutumes, la
religion populaire et la tradition orale (recoupe les « Sturm und drang »). Cette grille a servi à collecter
des tonnes d’observations (plus dans les pays du centre et du Nord de l’Europe).
Dans le cas de la France, il faudrait mentionner plusieurs évènements qui scandent la naissance et le
développement de cette activité folklorique. Paradoxalement, l’un des 1er évènement se fait pendant la
révolution française et émane de l’abbé Grégoire élu à l’assemblé du tiers Etat (c’est un
révolutionnaire) : il a permis l’intégration des juifs en France, il a contribué à la transformation du
statut des esclaves et il est à l’origine d’un questionnaire traitant de lusage des dialectes régionaux (il
pense que la meilleure façon d’unifier la nation est d’imposer à tous les français une langue
commune : le français). Ce français est un dialecte régional de l’Île-de-France, à côté de cela, il y a
d’autres dialectes : le picard (Nord), le flamand, le breton, le basque, le franco-provincial, l’occitans
etc. Dans ce questionnaire, il demande de recueillir les restes de langue dont les Fraais voudraient
faire disparaître : c’est un paradoxe.
Pour lui, soit tout le monde parle un patois soit tout le monde parle le français, c’est le souhait de
Grégoire : c’est l’esprit des girondins (centralisateur, unificateur), le jacobinisme cherche plus à garder
des prestiges.
2) L’académie celtique
Cette académie fait un questionnaire en 1805 qui partage le même principe que l’abbé Grégoire. C’est
un mouvement et une période qui a un intérêt pour les origines celtes de la France, son but est de
retrouver et de mémoriser ce qui est à l’origine de la France. Depuis le 12 et 13ème siècle, il y a un
débat autour de cette origine, qui est à l’origine ? Les francs (les barbares qui ont envahis la France :
les conquérants, la noblesse française) ou les celtes ? Le celtisme est un mouvement développé au
19ème siècle qui part à la recherche des traces celtes. les trouver ? Grâce aux questionnaires (au
total 51 questions) : travail de réhabilitation d’une tradition jusqu’ici rejeté.
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On a des questions qui constituent un exemple dont se servent les folkloriques tout au long du 19ème
siècle. Il y a une curiosi pour les us et coutumes : ce qui constituera la culture aux yeux des
anthropologues.
3) Un cas de réception hostile de l’approche anthropologique ou quelques nouvelles du
« club des arracheurs ».
Une des fonctions importante de l’école c’est de permettre aux enfants d’évoluer par le milieu familial
et social. Mais souvent, le verbe « arracher », il faut l’arracher de son origine pour qu’il puisse
bénéficier de la culture : « le clan des arracheurs ».
La querelle des foulards : les arracheurs avaient une position très dure.
Polycopié : Finkielkraut est un personnage qui occupe une place importante dans l’espace intellectuel
français. Cet article oppose 2 types de cultures.
2 parties :
fait relativement limité, ce que vivent les jeunes lycéens ;
il généralise au-delà du cadre des lycéens à la société contemporaine.
Le sous-titre « si, comme on invite la jeunesse à le penser, tout se vaut, alors tout est permis, c'est-à-
dire le pire » : c’est une certaine vision de ce qu’on qualifie de relativisme.
Dans le cœur du sous-titre, il y a 2 propositions : l’idée que tout se vaudrait, ça illustre la posture du
relativisme. Cette 2nde proposition projette sur le relativisme une coloration particulière. Ce qui est
permis n’est pas interdit : on est dans le juridique, le légal ; on est dans le domaine de l’éthique, la
morale.
Est-ce que ce sous-titre est judicieux ? 1ère partie : les jeunes et les petits-monsieurs, dans la
description de ce 1er paragraphe F. évoque les lycéens des années 50. Le thème de l’inversion est que
l’on fait l’inverse de ce qu’on fait d’habitude. Au Moyen-Âge, on faisait entrer des animaux dans
l’Eglise alors que c’est un lieu sacré où on se tient correctement : c’est un rite d’inversion.
Bourdieu livre sur le système universitaire les « élites ».
La posture de ces petits-monsieurs : ce sont des élites. Ils fonctionnent à la reproduction ; à l’opposé,
on a les jeunes, ils n’ont plus de patrimoine à transmettre selon l’auteur (sous entendu), on est plus
dans le schéma de la répétition. On fait du nouveau le phénomène est frappant car il se déroule dans
une petite période. Ils veulent créer du nouveau, ils ont une culture différente de la Culture (la
tradition).
H. Mendras (1980, la sagesse et le désordre française des années 80).
Ce sont les adultes qui cherchent désormais à ressembler aux jeunes. Pour F. l’adolescence c’est un
royaume fermé avec ses valeurs propres, ses goûts, ses habitudes vestimentaires, etc. On est donc loin
de la définition de culture (manières de faire, de penser, d’agir…). Ils ont une forme d’expression
culturelle artistique (rock, etc.). Les jeunes forment en quelque sorte une tribu.
2ème paragraphe : le particularisme, la culture scolaire. Tr. s’égalise avec le mot de culture selon l’autre
F. n’est pas d’accord avec ça ; cette façon de tout mettre sur le même plan est un réflexe contre 2
grands dangers : l’ethnocentrisme (chap.3 de Race et Histoire) et le totalitarisme, les hommes sont
tous mis sur le même plan, c’est pas mieux que les autres : le relativisme.
Cette culture que F. regrette manifestement, c’est la culture légitime, elle est censée être universelle. F.
regrette la mort de cette culture universelle.
5ème paragraphe : la culture universelle disparaît de notre horizon. La foi était le ciment idéologique de
l’Eglise. Cette dimension de la foi a reculé : le « désenchantement du monde » (Weber). Un nouveau
ciment est apparu : la culture de l’humanisme reprise de l’ancienne culture paysanne : elle n’est plus
universelle mais elle vient d’univers homogènes et séparés.
« Le tri » : qui peut faire le tri ? Qui a l’autorité pour faire le tri ? Il est très difficile de dire de manière
objective que certaines cultures ont plus de valeurs que les autres.
« Tout se vaut » : ce sont des choses incomparables. Caque culture constitue un système : chacun de
nous faisons des tris mais entre ces différents systèmes on ne peut pas faire de comparaisons. C’est
une autre époque, un autre système dans un système différent.
Ce tri chez F. ce sont les détenteurs de la culture qui le font. Pour l’anthropologie, nous avons tous nos
différences : démocratique.
Dans aucune culture, les choses sont égales donc tout ne se vaut pas à l’intérieur d’un système.
Il y a une différence entre la vision légitimiste de la culture et une vision anthropologique qui
différencient les systèmes.
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