http://sante-medecine.commentcamarche.net, http://www.sciencedaily.com , http://www.doctissimo.fr, http://www.bidmc.org , http://embryology.med.unsw.edu.au , http://www.sante-az.aufeminin.com, http://www.ameli.fr , http://www.has-sante.fr http://www.gardasil.fr Le cancer Le cancer provient d'une anomalie qui touche des cellules de l'organisme et provoque le développement incontrôlable et anarchique de certaines cellules. Il peut toucher toutes les parties du corps. Les cellules cancéreuses possèdent un patrimoine génétique anormal hérité ou muté ; cette mutation peut être favorisée par des facteurs extérieurs. Elles se reproduisent de manière incontrôlée et souvent plus rapide que les cellules saines. Les premières cellules cancéreuses peuvent apparaître dans un organe puis se développer dans un organe plus éloigné à cause de cellule appelées métastases qui se sont échappées du cancer initial par les vaisseaux sanguins ou lymphatiques. Ce qui est résumé dans la vidéo ci-dessous : Vidéo how cancer avec début et fin raccourcis et doublage QuickTime™ et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. Texte de la vidéo : Le cancer est causé par un changement dans les cellules du corps qui se multiplient ensuite de manière incontrôlée, ce qui va vous être montré dans cette animation. Le corps humain est composé de cellules. Toutes les cellules (ou presque) ont un noyau qui est le centre de contrôle de la cellule.Il contient les gènes qui contrôlent tout ce qui concerne la cellule y compris comment elle se développe et comment elle mourra. Les dommages sur les gènes sont la cause d’un cancer : ils peuvent avoir été hérités ou causés par d’autres facteurs comme le tabac. Les cellules du corps humain se divisent pour former plus de cellules et ainsi permettre aux organes et aux tissus de se réparer. Le noyau contrôle cette division. Les cellules cancéreuses se divisent de manière incontrôlée et souvent plus rapidement que les cellules saines. Dans beaucoup de cas ces cellules forment un amas appelé tumeur. Les tumeurs peuvent s’étendre jusqu’à entourer les tissus sains. Toutes les tumeurs ne sont pas cancéreuses : certaines n’infiltrent pas les tissus voisins et ne s’étendent pas à d’autres partie du corps, ce sont les tumeurs benignes. Les autres forment ce que l’on appelle un cancer. Les cellules cancéreuses peuvent aussi s’infiltrer dans les vaisseaux et se transmettre alors à d’autres organes formant ce que l’on appelle des cancers secondaires. Le cancer du col de l’utérus Le cancer du col de l'utérus est un cancer sexuellement transmissible provoqué dans la très grande majorité des cas par une infection par le virus du papillome humain(HPV). Il se développe sur une période de 5 à 15 ans qui débute par une infection du virus du papillome humain(HPV) qui représente le principal facteur de risque du cancer du col de l'utérus. Les autres facteurs de risque étant les premiers rapports sexuels précoces, les partenaires multiples, le tabac ou une infection d’un partenaire par le HPV ou une autre infection sexuellement transmissible. QuickTime™ et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. Les papillomavirus Les papillomavirus sont présents dans 80 à 100 % des cancers du col de l'utérus. A contrario, le risque de cancer chez les femmes non infectées est quasi-nul. Ce sont des virus sexuellement transmissibles : près des 2/3 des femmes qui ont une activité sexuelle sont en contact avec le virus puisqu’il se transmet par simple contact avec la peau et les muqueuses, mais seules 1 à 2 % contaminées par le virus vont développer un cancer du col de l'utérus. Parmi les différents types de virus (on compte près de 120 génotypes), tous n'ont pas le même pouvoir cancérigène. En Europe, le plus nocif est sans conteste celui de type 16, impliqué dans plus d'un cancer du col sur deux. Les autres types de ce virus oncogène sont HPV18 (20 % des cas) et moins souvent HPV31, HPV33 et HPV35. Mais il existe de grandes variabilités géographiques et la prévalence n’est pas la même en Amérique du Sud ou en Asie par exemple. Chez l’homme et chez la femme, les papillomavirus peuvent être responsables de la formation de condylomes génitaux ou condylomes acuminés appelés aussi crêtes de coq ou végétations vénériennes : ce sont des excroissances (un peu comme des grosses verrues) qui poussent au niveau de la vulve, dans le vagin ou autour de l'anus, ainsi que sur le pénis, le scrotum. Si l’infection persiste au-delà de 12 à 18 mois, la lésion risque de se QuickTime™ et un transformer en cancer. En effet c'est bien décompresseur sont requis pour visionner cette image. la persistance de l'infection par ce virus oncogène, qui entraîne des anomalies cellulaires - marqueur le plus important de tumeur. QuickTime™ et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. Le fonctionnement et l’utilisation du vaccin Il existe en France deux différents vaccins sur le marché : Gardasil de Sanofil Pasteur MSD et Cervarix de GlaxoSmithKline. Qu i ck Ti me ™e t u n d éc omp res se ur s on t req ui s p ou rv i si on ne rc ette i ma ge . QuickT ime ™et un déc ompr esse ur son tr equis po ur vision ner c ette imag e. Cervarix est un vaccin dirigé contre 2 souches du papillomavirus humain : les types 16 et 18. Il est disponible depuis le 20 septembre 2007 et est remboursé à 65% par la sécurité sociale. Gardasil est dirigé contre 4 souches du papillomavirus humain : les types 16, 18, 6 et 11. Il est disponible depuis le 20 septembre 2006 et est remboursé à 65% par la sécurité sociale depuis Juillet 2007. La vaccination se déroule en trois injections réparties sur 6 mois. Pour une efficacité optimale, il est indispensable de bénéficier des trois injections (Chaque dose coute 111,82€ pour Cervarix et 135,59€ pour Gardasil). Le vaccin peut être proposé aux jeunes filles entre 15 et 23 ans à condition qu’elles n’aient pas eu de partenaires sexuels ou au plus tard un an suivant le premier rapport. QuickTime™ et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. Le vaccin permet de prévenir les lésions précancéreuses et les cancers du col de l’utérus, les lésions précancéreuses de la vulve ainsi que les verrues génitales, liés aux Papillomavirus Humains cités prédécédemment. En aucun cas, il ne permet de guérir une maladie déjà présente. Enfin le vaccin est dirigé contre certains types de Papillomavirus Humains. Il en existe d’autres types contre lesquels aucun des deux vaccins proposés ne sera efficace. Ainsi, le frottis à partir de l’âge de 25 ans reste indispensable selon les recommandations de l'ANAES*. La campagne d’information et de publicité Ces campagnes ont deux sources différentes et donc deux buts. La première est une campagne d’information et de sensibilisation menée par le gouvernement et des associations à but non lucratif comme la ligue contre le cancer. Elle a pour but de sensibiliser les femmes aux risques du cancer du col de l’utérus et de les amener à en parler à leur médecin et à se faire dépister. Elle est constituée d’un site internet, de spots télévisés, d’affiches et de pages dans certains magazines. QuickTime™ et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. QuickTime™ et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. La seconde est une campagne de publicité menée par les deux laboratoires commercialisant les vaccins. Eux non plus n’oriente pas sur une campagne de vaccination systématique : ils parlent en général de « moyen de prévention ». Les deux laboratoires se basent sur leur site internet : http:///www.passezlinfo.fr et http://www.cancerducol-infos.fr . Voici quelques morceaux de leur campagne : QuickTime™ et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. QuickTime™ et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. Quick Time™ et un décompresseur sont requis pour visionner c ette image. QuickTime™ et un décompresseur sont requis pour visionner cette image.