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Anatomie du 13 octobre 2003
Contenu nerveux et méningé du canal vertébral.
Sur quelques niveaux il y a les pédicules avec les trou intervertébraux. Derrière les corps
vertébraux entre les pédicules il y a des foramens intervertébraux qui voient passer le nerf
spinal. En regard de l’interligne C7-T1 il y aura un nerf spinal C8 car le nerf spinal C1 passe
au dessus de l’arc postérieur de C1 donc entre crane et C1. Au delà le nerf spinal T1 émerge
au niveau du trou entre T1 et T2, idem pour L1 qui est entre L1 et L2. Au niveau sacré c’est
idem. Dans le canal vertébral les nerfs spinaux prennent naissance sur la moelle qui n’occupe
pas toute la hauteur du canal car elle reste à un niveau assez haut donc cette moelle qui a une
forme de crayon ne va descendre que jusqu’en face du corps de L2 (cône terminale de la
moelle). La dure-mère elle aussi descend pas à l’extrémité caudale de la colonne mais s’arrête
en face du corps de S2. Cette moelle raccourcit va aussi présenté des régions plus courtes que
les segments du canal vertébral correspond aux différentes parties de la colonne : la moelle
cervicale occupe l’espace correspondant à 6,5 vertèbres ; au niveau de la jonction thoraco
lombaire on voit un niveau vertébral de différence ; la hauteur de la moelle lombaire est très
petite et la hauteur de la moelle sacré (cône terminale) est encore plus petite. Mais ces
éléments donnent des nerfs de façons importante : plexus lombaire, plexus sacré (nerf
sciatique). Il y a bien sur des paires de nerfs spinaux symétriques par rapport au plan médio
sagittal. Dans cette région caudale de la moelle et dure mère il y a un ensemble de structures
nerveuses qui vont se verticalisés, les nerfs spinaux vont se verticalisés. En dissection on voit
que ces éléments nerveux sont en forme d’écrin de queue d’un cheval donc ça constitue la
« queue de cheval ». Il y a aura des lésions dites de la queue de cheval au niveau de la région
situé entre L2 et S2. La dure-mère : long fourreau circulaire qui entoure la moelle et s’avance
au niveau de chacun des foramens intervertébraux en faisant une manche qui accompagne le
nerf spinal vers le foramen à gauche et à droite et on peut la comparer à un pull-over.
Contenue du canal vertébral en vue aérienne (cervical ici).
Le contenu est fait d’une tige descendante qui dans la cervicale haute est un peu plus large
(moelle oblongue). Au niveau cervical la moelle est à l’origine des nerfs qui vont constitués le
plexus brachial donc élargit mais pas très volumineuse dans le canal vertébral et sera encore
plus fine au niveau thoracique. Moelle qui présente 2 zones centrés sur un petit orifice qui
contient le même liquide que celui qui est à l’extérieur de la moelle : le liquide cérébro-spinal.
Autour de ce canal de l’épendyme on a la substance gris en forme de papillon qui est constitué
par des neurones, cellules nerveuses et entouré par la substance blanche qui sont de la gaine
de myéline blanchâtre qui entoure axones. Cette structure fait 1 cm de dimension au niveau
large et de part et d’autres émergent des filets nerveux qui constituent 2 bras : les racines
ventrale et dorsale qui ont une spécificité fonctionnelle, les ventrales ont des filets nerveux
efférents : moteurs, les filets qui passe dans la racine dorsale sont des racines sensitives qui
proviennent du nerf spinal qui est un nerf mixte (moteur et sensitif). L’union de racine dorsale
et ventrale se fait avant la sortie par le foramen intervertébral et la dure-mère fait à ce niveau
un espèce de manche, dure-mère qui s’applique autour du nerf spinal donc la dure-mère cesse
d’exister au niveau du foramen intervertébral. Hors du foramen intervertébral il y a le gros
contingent qui constitue le nerf spinal cervical qui est mixte et également mixte la petite
branche dorsale qui est le nerf qui se distribue sur toute la musculature postérieur de la région
cervicale. Il y a une couverture sur le tissu nerveux qui est une couche de vaisseaux qui
constitue la méninge profonde : c’est la pie mère sur toute la surface du tissu nerveux qui va
irriguer le tissu nerveux. Entre dure-mère et la pie mère il y a un espace qui est remplit du
liquide cérébro-spinal qui maintient les éléments nerveux et méningés avec des rapports
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mobiles, c’est un réseau de petit fils qui va de la face superficielle de la pie mère à la face
profonde de la dure-mère et ça constitue l’arachnoide. La dure-mère est la membrane la plus
résistante mais mobile dans le canal vertébral grâce à de nombreux éléments : mobilité par
rapport à des éléments ligamentaires, osseux car autour de la dure-mère il y a des éléments qui
peuvent se déplacer pour permettre une mobilité de la moelle par rapport à son contenant : ce
sont des lobules graisseux péridural qui sont en face ventrale ou dorsale de la dure-mère
Ventralement il y a aussi des veines péridurales qui sont longitudinales pour un certain
nombre et derrière les corps vertébraux il y a émergence de veines en provenance de ces corps
qui vont rejoindre les dispositifs veineux longitudinaux.
Canal des foramens transversaires.
Il accueil l’artère en situation médiale et la veine en position latérale et un élément nerveux
qui innerve les petits muscles sur les bords de la gouttière transversaire. On voit que l’artère
vertébrale pénètre dans le canal transversaire qu’à partir de C6 donc en arrière du tubercule
carotidien et va jusqu’à C1 au contact de la masse latérale de C1. La veine vertébrale suit le
trajet inverse de l’artère et prolonge ce trajet jusqu’au foramen transversaire de C7 puis
s’incurve ventralement pour gagner le confluent veineux de la base du coup et aller sur la
Veine cave supérieur.
Aspect radiologique de face (vertèbre thoracique et lombaire).
On aperçoit par transparence des structures ovalaires aplaties transversalement situé en regard
de la partie haute du corps : c’est la visualisation des pédicules vue en enfilade donc ce
pédicule qui est constitué d’os cortical dense visualisable grâce à cela. Les processus épineux
se situent dans le plan médio sagittal alors que les pédicules successifs de vertèbres thoracique
ou lombaire se répartissent sur 2 lignes parallèles à la précédente. Ceci peut ressembler à la
tête d’une chouette. La traumatologie va perturber l’alignement des pédicules les uns par
rapport aux autres, ou des processus épineux qui peuvent être latéralisés vers la droite ou la
gauche : ceci est typique des déformations en scoliose (forme de « S ») qui se diagnostique
sur la disposition en courbe successive de ces processus épineux. Il arrive qu’à la suite d’un
accident un pédicule ne s’aligne plus avec le pédicule sus jacent et sous jacent et donc on va
parlé de strabisme d’une vertèbre car il s’agit des yeux. Ce strabisme peut être du à une
fracture de vertèbre et que le morceau comportant le pédicule s’est déplacé.
Aspect radiologique correspond à un ¾ gauche de vertèbre lombaire.
On reconnaît la grande incisure qui sépare les deux zygapophyses et que le corps vertébral
n’est que partiellement caché en dorsale. En radiographie l’image de l’arc vertébral est plus
net que le corps car est fait d’os plus dense que le corps. On aperçoit l’image correspondant
au pédicule qui est l’œil d’un chien. Au niveau de L4, L5 en général il peut y avoir une
disparition d’une zone qui se situe entre la base du coup du petit chien et la partie inférieur du
pédicule : cela apparaît sous la forme d’un manque d’os se trouvant sur le collier du petit
chien. Cette disparition d’os indique que la partie haute et la partie basse de la vertèbre sont
désolidarisés car la partie craniale glisse vers le haut alors que la partie basse reste accroché à
la zygapophyse craniale de la vertèbre sous jacente : c’est la pathologie de spondylolistésice
(listésice = glissement, spondylo = vertèbre)
Niveau des coupes tomodensitométriques.
C’est la plus utilisé avant même les radiographies. Quand on fait ce scanner de la colonne on
fournit une planche avec 5/6 images horizontalement.
-section discale : on voit la coupe du disque intervertébrale avec derrière les orifices vides des
foramens intervertébraux puis la section de la colonne zygapophysaire et en général on
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trouvera une zygapophyse sectionné la plus extérieur qui est celle de la vertèbre sous jacente.
Selon le niveau on pourra voir la région du ligament jaune et la section ou non au niveau du
processus épineux. Le ligament jaune s’avançant pratiquement jusqu’au bord postérieur du
foramen intervertébral donc s’avance très ventralement.
-section pédiculaires : Ventralement on coupe le corps vertébral, le pédicule, la colonne
zygapophysaire puis la lame puis le processus épineux. On aperçoit un orifice où les veines du
corps vertébral s’échappe en arrière.
-Section 1/3 caudale du corps : Le corps, le trou intervertébral, la colonne zygapophysaire, la
lame et le processus épineux qui sont décalé vers le bas au niveau lombaire. En réalité de part
et d’autre du corps vertébral il y a des masses musculaires du muscle psoas (comparé à une
glace).
Points de repères pratiques.
- Protubérance occipitale externe : jonction entre crane et le coup. Facile à percevoir à la
jonction entre dur et mou (car muscle épais et processus épineux très profond).
- Proéminente : processus épineux de C7 ou T1.
- Processus épineux de T3 en regard de la jonction entre l’épine et la face médiale de la
scapula.
- Processus épineux de T7 : au niveau de l’angle caudale de la scapula
- Processus épineux de L4 : sur la ligne bi iliaque qui joint le pole craniale des deux
crêtes iliaques des os coxaux. Donc en piquant juste au dessus ou généralement en
dessous du processus épineux de L4 on peut traverser le ligament interépineux, le
jaune puis la paroi constitué par la dure-mère et là on arrive dans le liquide cérébro-
spinal pour soit ponctionner soit injecter par exemple un anesthésique.
- Extrémité caudale du sacrum : face dorsale de S5 qui est le hiatus sacré qui est pas
entre les deux fesses mais à la divergence du pli inter fessier où on peut palper les
cornes du sacrum donc on a là accès au canal vertébral et on peut aussi ponctionner ou
piquer dans le canal vertébral directement en traversant la membrane qui recouvre le
hiatus sacré.
- A 1 cm médialement et caudalement par rapport à l’épine iliaque dorso craniale il y a
le premier trou sacré dorsal dans lequel on peut piquer pour injecter un anesthésique
La colonne thoracique participe au thorax. La colonne thoracique fait de 30/35cm de haut
donc squelette très étendu dorsalement alors que ventralement : le sternum n’a qu’une hauteur
de 16/18cm donc disproportion. Le sternum est unique et symétrique et constitue le ventral du
thorax. L’os qui le constitue est plat car pas épais et il est pas très dense, friable et il a un
contenu spongieux important et grâce à ça les hématologistes ont besoin de prendre la moelle
et donc ponctionnent ici. Cet os se subdivise en 3 portions : cranialement la manubrium, la
corps sternale allongé et la 3eme portion qui n’est pas vraiment osseuse.
Le manubrium et le corps assimilé à un poignard. Le processus xiphoïde est cartilagineux.
3 portions reliés par des interfaces cartilagineuses : une synchondrose entre corps et
manubrium Le sternum s’avance vers le bas, le processus xiphoïde est souvent plus saillante
vers l’avant chez les enfants plutôt car chez l’adulte il est situé sous les muscles et tissu
graisseux plus envahissant. En profil on voit qu’il y a une angulation : l’angle sternal = angle
de Louis entre le corps et le manubrium
- Le manubrium : polygonal, bombé transversalement vers l’avant et face dorsale creusé
transversalement. Sur la ligne médiane c’est épais sur la ligne médiane où il y a des
crêtes qui délimitent une partie en surélévation par rapport à deux parties latérales
excavées : ça donne insertion à des muscles différents.
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- Le corps sternal : Rectiligne, possède des crêtes : 4 situés entre surfaces articulaires
visibles sur les bords latéraux du sternum. Ces crêtes résultent de l’embryologie du
sternum qui dérive de pièces qui se soudent les unes aux autres : ce sont des sternèbres
mais c’est pas toujours aussi régulier que dessiner. Ces crêtes perceptibles sous la peau
de gens mince sont à l’horizontal des articulations du corps.
- Les bords du sternum ont des incisures : articulaires ou non articulaire.
- L’incisure non articulaire est au bord craniale du manubrium et est médiane et
symétrique, se trouve à la base du coup : c’est l’incisure jugulaire. De part et d’autres
il y a deux incisures articulaires répondant à la clavicule : ça correspond à une
articulation en selle. Il y a une incisure costale I qui est l’articulation avec le premier
cartilage costale. Au dessous il y a une incisure extra articulaire qui sépare l’incisure
costale I et II. L’incisure II a une partie sur le manubrium et une partie sur la partie
haute du corps sternal. A la jonction entre corps et processus xiphoïde il y a l’incisure
VII. Les incisures intercostales ne sont pas vides mais il y a des muscles, des
membranes intercostales qui viennent se fixer contre le sternum. Au niveau de
l’incisure jugulaire il y a des épines de part et d’autres aperçu à la base du coup.
Insertions musculaires.
4 muscles sur face postérieur, 4 sur la face antérieure.
-face ventrale : Sur le manubrium la crête délimite deux aires. Sur la partie saillante il y a le
muscle sterno cleido mastoïdien à la face craniale de la clavicule. Sur la partie latérale il y a
l’insertion du faisceau mannubrial du muscle grand pectoral qui est retrouvé sur le bord
ventrale de la clavicule, on le retrouve aussi sur toute la hauteur du corps sternal. La face
ventrale du processus xiphoïde fait l’objet de l’insertion du muscle droit de l’abdomen.
-face dorsale : Le sterno cleido hyoïdien et le sterno thyroïdien sur le manubrium Sur le corps
il y a un seul muscle transverse du thorax qui a des digitations ascendantes à la face interne
des côtes et ce muscle intervient comme un abaisseur des côtes donc expiration forcée. A la
face dorsale du processus xiphoïde il y a l’insertion d’un des faisceaux du muscle diaphragme.
Classification des côtes.
Les arcs costaux sont constitués d’une portion postérieur osseuse et ventralement il y a des
cartilages costaux et la jonction chondro costal se fait selon une ligne oblique. Les deux
derniers côtes n’arrivent pas au niveau de la face ventrale du thorax mais sont prolongés par
un capuchon cartilagineux. La thorax humain est plus développé transversalement que
sagitallement donc structure ogivale aplatis dans le sens antéro postérieur. La cage thoracique
est délimité par un orifice craniale qui va depuis la T1 en passant par les côtes KI et le
manubrium sternal. Caudalement l’orifice résulte de la constitution des différents cartilages
les plus caudaux ceci depuis le 7ème cartilage costal jusqu’au 12ème. L’orifice craniale du
thorax a déjà une inclinaison qui augmente au fur et à mesure qu’on descend et l’orifice
caudale du thorax est dans un plan ascendant c’est à dire qu’il y a convergence des plans
craniale et caudale des orifices du thorax, ce qui confirme la disproportion en hauteur de la
colonne thoracique et le sternum = 16 cm de haut.
- De KI à KVII : côtes vraies car possède un cartilage propre qui arrive jusqu’au
sternum.
- De KVIII à KX : fausses côtes car elles n’arrivent pas jusqu’au sternum mais se
branchent sur le cartilage immédiatement précédent (K8 sur K7 etc.).
- De K XI à KXII : côtes flottantes : Satellite de la paroi postérieur du tronc et ne sont
pas vraiment flottant car maintenues par un ensemble musculaire, ligamentaire
important. Elles sont pourvues d’un petit cartilage qui en coiffe l’extrémité latérale.
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Les 7 premières côtes sont sternale alors que de 8 à 12 sont des côtes asternales car n’arrivent
pas au sternum.
Vue craniale d’une côte type.
On choisis une côté intermédiaire. Au niveau des K8 et K9 le diamètre maximal du thorax est
observé. On voit la côte qui s’applique sur la fossette corporéale craniale et sur la fossette
transversaire correspondante. A partir de la tête qui est élargit il y a le col de la côte amincit
qui aboutit dans une région de la côte pourvu de saillis dont l’une est articulaire : la tubérosité
costal. Que ce soit la tête ou cette tubérosité costale, elles sont appliqués dans des articulations
synoviales ce qui n’est pas toujours le cas des articulations des cartilages costaux avec le
sternum car seul l’articulation du 1er cartilage costal avec le sternum est toujours une
synoviale alors que pour les autres c’est variables : soit synovial soit synchondrose.
La côte va continué son trajet vers l’arrière et le dehors (dorso latérale) jusqu’en un point où
elle change de direction donc ça constitue l’angle costal. A partir de là la côte s’avance
latéralement : orientation ventro latérale et continue son trajet arqué jusqu’à un moment où
son orientation se modifie encore c’est à dire que son orientation latérale disparaît et se
médialise mais là il n’y a pas d’angulation individualisé, c’est juste la courbure qui fait ce
changement d’orientation. A l’extrémité sternale de la côte elle laisse la suite au cartilage
costal qui s’avance jusqu’à l’incisure costal du sternum correspondante. Cette côte décrit un
trajet qui correspond à la lettre « C » et ça constitue la courbure d’enroulement de la côte. Sur
les bords de la côte il y a une courbure de torsion de l’arrière vers l’avant donc le bord dorsal
de la côte se situe cranialement dans la partie moyenne et redevient dorsal dans la partie
ventrale de la côte donc la côte sur tout son trajet effectue une rotation dans le sens des
aiguilles d’une montre (côté droit) de 180° : dorsal à dorsal le bord.
Rapport costo vertébraux :
L’articulation de la tête de la côte se fait avec les fovéas costal corporéales de la vertèbre x et
de la vertèbre x 1. Mais la jonction entre côte et processus transverses se fait avec la
vertèbre de niveau x. On voit l’axe de mobilité de la côte qui a une orientation dorsale caudale
latérale donc triple composante.
L’os sec posé sur une table :
schéma défectueux car extrémité de la côte et la partie de la courbure la plus marqué devrait
être sur le même plan horizontal. Sur un plan une côte repose par 2 points : un situé à son
extrémité et un autre situé au niveau de sa courbure la plus marquée donc double incurvation
donc on parle de la courbure en S de la côte en question.
Face craniale de K1 et K2.
-K1 : n’a pas d’angle costal, angle costal confondu avec la région du tubercule. Ce col de la
côte est presque transversal donc pas oblique dorsalement comme les autres côte. C’est une
côte plane, pas de courbure en « S ». Cette côte est inscrite dans son homologue sous jacent
donc elle est de petite taille. Près de son extrémité ventrale elle est pourvu d’une tubérosité
encadré par 2 sillons : tubercule du muscle scalène ventral qui est un muscle du coup. Ce
scalène ventral est rencontré avec les vaisseaux du membres supérieur car les deux sillons qui
encadrent ce tubercule (de Lisfran) sont des empruntes de l’artère subclavière qui est
nourricière du membre supérieur et qui marque son emprunte à la face craniale de la côte juste
en arrière et latéralement par rapport au tubercule du muscle scalène ventral donc le tendon
terminal du scalène ventral sépare le passage de l’artère subclavière de celui de la veine qui
gagne le confluent de la base du coup pour participer à la constitution de la veine cave
craniale. Les éléments du plexus brachial vont cheminés dans ce défilés des scalènes puisqu’il
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