Section des Unités de recherche Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Laboratoire de psychologie sociale - EA 351 de l'Université Paris 8 février 2008 Section des Unités de recherche Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Laboratoire de psychologie sociale - EA 351 de l'Université Paris 8 février 2008 Rapport du comité d'experts L'Unité de recherche : Nom de l'unité : Laboratoire de psychologie sociale Label demandé : EA N° si renouvellement : EA 351 (renouvellement partiel – éclatement - fusion entre deux EA, Paris 10 et Paris 8) Nom du directeur : Edith Sales-Wuillemin Université ou école principale : Université Paris 8 Saint-Denis Autres établissements et organismes de rattachement : Université Paris 10 - Nanterre Date(s) de la visite : 15 janvier 2008 2 Membres du comité d'évaluation Président : Monsieur Serge GUIMOND, Université Blaise Pascal, Clermont 2 Experts : Madame Chrystel BESCHE, Professeur, Université de Reims Monsieur Hervé BENONY, Professeur, Université de Dijon Monsieur Jean-Jacques RASSIAL, Professeur, Université de Provence Madame Marie SANTIAGO, Professeur, Université de Lausanne Expert(s) représentant des comités d’évaluation des personnels (CNU, CoCNRS, CSS INSERM, représentant INRA, INRIA, IRD…..) : Monsieur Pascal ROMAN (CNU, 16ème section), Université de Lyon 2 Observateurs Délégué scientifique de l'AERES : Monsieur Michel FAYOL Représentant de l'université ou école, établissement principal : Madame Anne-Marie HELVETIUS, Vice-Présidente du conseil scientifique 3 Rapport du comité d'experts 1 z Présentation succincte de l'unité • Effectif : 10 enseignants-chercheurs (dont 3 HDR), 2 ingénieurs, 20 doctorants • 45% des étudiants inscrits en thèse le sont depuis les 2 dernières années • 3 thèses soutenues au cours du dernier quadriennal, 6 thèses en transfert vers Toulouse (mutation du directeur de thèse), 2 thèses annoncées comme devant être soutenues en déc 2007 dans le rapport écrit ne l’ont pas été • Nombre de membres bénéficiant d’une PEDR : 0 • Nombre de publiants : 8/10 2 z Déroulement de l'évaluation L’évaluation s’est déroulée dans de très bonnes conditions. La directrice de l’unité a été, dans un premier temps, entendue seule par le Comité de visite. Après une brève présentation, les membres du comité ont pu poser quelques questions et engager une discussion. Ensuite, le directeur du projet de Laboratoire Parisien de Psychologie Sociale (éclatement-fusion entre deux EA, Paris 10 et Paris 8) a présenté les objectifs et le détail de ce projet, en présence de la directrice adjointe et de collègues de Paris 10 et de Paris 8. Les interactions avec le Comité de visite ont, durant chacun de ces temps, été brèves mais agréables et informatives. Le Comité de visite s’est ensuite réuni à huit clos pour définir les principales lignes du rapport à élaborer. Enfin, le président du comité a communiqué à l’ensemble du personnel présent les lignes directrices du rapport. 3 z Analyse globale de l’unité, de son évolution et de son positionnement local, régional et européen Globalement, l ‘unité présente un dossier positif étant donné sa taille. Il s’agit d’une équipe en évolution (2 recrutements sont prévus). Le bilan fait apparaître une très bonne insertion dans le tissu local et régional, tant par les thématiques de recherche du laboratoire que par l’obtention de contrats ou l’appartenance à de nombreux réseaux universitaires. La directrice fait état de 8 contrats en cours (total : 70,000 euros). Des faiblesses apparaissent cependant au niveau du positionnement européen. Aucune publication dans European Journal of Social Psychology et une seule communication scientifique en direction de l’association européenne de psychologie sociale expérimentale, association qui joue pourtant un rôle fondamental en Europe que ce soit au niveau de la diffusion de la recherche ou en ce qui concerne l’aide financière apportée aux doctorants. La directrice de l’unité reconnaît la faible part des publications en langue anglaise et manifeste une volonté de progrès dans ce domaine. 4 4 z Analyse équipe par équipe et par projet Les recherches sont structurées en trois équipes/axes : 1) processus cognitifs et productions langagières dans des situations d’interactions ; 2) Représentations sociales, catégorisation sociale et langage ; et 3) Processus sociocognitifs et ingénierie psychosociale et cognitive. Le premier axe poursuit la thématique historique du laboratoire sur la communication verbale et non-verbale et le contrat de communication. Le deuxième axe intègre les notions théoriques de représentations sociales et de catégorisation, avec des applications dans le domaine de la santé et de la discrimination intergroupe. Enfin, le troisième axe concerne la clairvoyance normative et l’application de la technique de l’entretien cognitif en milieu judiciaire. Le bilan des publications dans le rapport écrit inclut les travaux de 3 professeurs de Nancy 2 qui étaient sollicités pour faire partie du projet. Si l’on exclut ces travaux (qui ne peuvent être comptabilisés au titre du bilan du laboratoire de Paris 8 puisque les 3 professeurs de Nancy 2 n’en faisaient pas partie), la production scientifique des membres du labo de Paris 8 est réduite de moitié. On compte alors 31 articles dans des revues à comité de lecture et 36 chapitres dans des ouvrages scientifiques ce qui constitue, pour une unité de cette taille, un taux d’activité satisfaisant. On regrette cependant une tendance à l’auto-publication (25 des 36 chapitres se retrouvent dans des ouvrages édités par un membre du laboratoire). De plus, parmi les 31 articles cités, 2 seulement sont dans des revues clairement identifiées au domaine de la psychologie sociale. Les autres articles sont dans des supports de psychologie générale (i.e. Revue Québécoise de Psychologie) ou dans des périodiques spécialisés qui ne sont pas les principaux supports de publication de la discipline (par ex. Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive). En revanche, on note pas moins de 7 ouvrages majeurs spécifiquement identifiés à la psychologie sociale (i.e. Psychologie sociale de la communication). Ces ouvrages sont tous en langue française et offrent une contribution à l’enseignement de la psychologie sociale. Le projet de Labo Parisien de Psychologie Sociale a déjà été expertisé en ce qui concerne la participation de Paris 10. La visite à Paris 8 a permis la présentation d’un resserrement thématique de ce projet autour de « Responsabilité et justice sociale ». Pour ce qui est de Paris 8, ce thème est en continuité avec l’axe 3 du bilan. Peu importe le thème affiché, le comité constate un décalage entre l’objectif général de ce projet LPPS (améliorer la visibilité internationale de la psychologie sociale à Paris) et les réalisations passées du laboratoire de psychologie sociale de Paris 8 (cf. bilan) axées sur la diffusion en français des connaissances existantes”. 5 z Analyse de la vie de l'unité — En termes de management : La directrice du laboratoire, en fonction depuis quelques années seulement, offre toutes les garanties d’une gestion dynamique et efficace. La mise en place de nombreux séminaires de laboratoire, et la fixation d’objectifs clairs et importants en témoignent. — En termes de ressources humaines : 2 recrutements sont prévus pour le prochain quadriennal offrant ainsi des perspectives intéressantes pour cette unité. — En termes de communication : La participation du laboratoire de psychologie sociale de Paris 8 au sein du Réseau Parisien de Psychologie Sociale (REPAPS) a permis d’augmenter la visibilité des activités du laboratoire, notamment grâce au site Internet du réseau. Ce type de communication et de diffusion d’information relative à l’unité est à encourager. 5 6 z Conclusions — Points forts : Equipe dynamique, ayant des recrutements en vue, et très bien insérée à Paris 8 et sur le plan régional et national ; forte cohérence des thématiques de recherche et de l’orientation méthodologique ; contribution importante à la rédaction d’ouvrages de psychologie sociale en langue française. — Points à améliorer : Le nombre de soutenance de thèses et le financement des thèses. Visibilité européenne et internationale : augmenter la participation au sein des principales associations de la discipline et cibler les supports de publications majeurs de la discipline (en français et en anglais). — Recommandations : Etant donné qu’il s’agit d’une équipe en pleine croissance, cette unité devrait être encouragée à consolider et à développer ses forces dans les années qui viennent. Un des deux recrutements prévus est de niveau professeur. Compte tenu des possibilités actuelles du milieu, il semble probablement plus judicieux et dynamisant, de viser le recrutement de 2 Mconf (au lieu d’un Mconf et un Pr). En outre, le comité invite la directrice et les membres de l’unité à ne pas négliger les possibilités de collaboration et d’échange avec Paris 13 étant donné que des recrutements en psychologie sociale y sont aussi à l’ordre du jour. NB : Cette unité, reconnue dans le contrat quadriennal actuel (2005-2008), propose une recomposition partielle avec l'EA 3984 (Laboratoire Processus Cognitifs et Conduites Interactives) dans le projet Laboratoire Parisien de Psychologie Sociale (LAPPS) porté par Patrick Gosling. Ce rapport est établi sur le bilan présenté au moment de l'évaluation et émet un avis global sur le projet. 6 Saint-Denis, le 19 février 2008 Monsieur J.J. AUBERT Directeur de la section des unités AERES Référence : AER_P08_033-EA351-MF-V1 Monsieur le Directeur, Je vous prie de trouver ci-joint la réponse de Madame Edith Sales-Wuillemin, Directrice de l’unité de recherche EA 351. Vous souhaitant bonne réception, je vous prie d’agréer, Monsieur le Directeur, l’expression de ma haute considération. Le Président de l’Université Pascal BINCZAK Laboratoire de Psychologie Sociale Groupe de Recherche sur la Parole et la Pensée Sociale (EA351) Edith Sales-Wuillemin Professeure de Psychologie Sociale Directrice du LPS-GRPPS (EA351) Adresse : Université de Paris 8-UFR7 PPCS – 2 rue de la liberté, F-93526 Saint-Denis Cedex E.mail : [email protected] Phone : +33 149 406 507 EN REPONSE A LA VISITE DU COMITE D’EVALUATION DU 15 JANVIER 2008 Le laboratoire tient à remercier les membres du comité de visite qui se sont déplacés à Paris 8 le 15 janvier 2008 pour réaliser cette évaluation. Cette visite a duré 1h30 et s’est déroulée de manière satisfaisante. Le rapport du comité d’expert a été reçu le mardi 12 février en milieu d’après-midi. Après lecture attentive de ce rapport, nous souhaitons apporter quelques éléments de précision. Notre réponse se décompose en deux parties. Dans la première partie nous avançons des éléments concernant l’intérêt de notre demande de fusion avec nos collègues de Paris 10 afin de former un Laboratoire Parisien de Psychologie Sociale (LAPPS). Les points soulevés dans cette section font l’objet d’un développement plus conséquent dans le document qui sera transmis par nos collègues de Paris 10 (établissement principal pour le projet de LAPPS) Dans la deuxième partie, nous avançons des éléments de réponse plus spécifiques au bilan réalisé à propos de notre laboratoire LPS-GRPPS. Réponse concernant le projet LAPPS Nous souhaitons dans cette réponse réaffirmer notre volonté de fusion avec Paris 10. Ce projet présente en effet un grand intérêt pour les laboratoires impliqués, et ce pour plusieurs raisons. 1- il a l’avantage de fédérer un grand nombre d’enseignants-chercheurs autour d’un axe thématique commun à forte valeur ajoutée. Cet axe se trouve étayé et complété par deux autres. 2- il permet de créer une forte dynamique entre plusieurs laboratoires parisiens de psychologie sociale ; 3- enfin, il offre un point de visibilité non négligeable pour la psychologie sociale Il est également utile de rappeler que la fusion des unités de Paris 10 et Paris 8 au sein du LAPPS est une étape nécessaire. Sans ce préalable l’intégration de Paris 5 en 2010 ne sera pas envisageable. Si l’on prend pour point de départ le rapport de l’AERES et les éléments d’évaluation à propos du projet LAPPS, un ensemble de points peuvent être précisés pour souligner l’intérêt de ce projet : Il y a une forte cohérence thématique entre les unités de Paris 10 et de Paris 8. Il s’agit de psychologie sociale et non de psychosociologie ou de psychologie sociale clinique. Au-delà de ce premier constat, le projet présente un axe principal «responsabilité et justice sociale » qui offre une large visibilité et un grand intérêt compte tenu des champs théoriques qu’il convoque et des applications qu’il permet. Plus précisément, les processus étudiés permettent d’apporter des éléments de réponse sur des questions aussi variées que la mise en place des processus décisionnels dans les jurys d’assise (partage des informations, mode de communication, rôle des émotions dans la prise de décision, représentation, catégorisation et stéréotype des victimes, des accusés ou des témoins en relation avec les types de délits, rôle des attitudes implicites et explicites sur les jugements de responsabilité et les décisions de culpabilité) ou que le recueil des témoignages dans les enquêtes judiciaires (étude des entretiens des policiers avec les suspects, biais dans la procédure de recueil des témoignages, identification des suspects dans les parades d’identification …). L’actualité sur les différentes affaires judiciaires comme le procès d’Outreau offre des éléments tangibles concernant l’utilité de telles recherches. Deux autres axes viennent étayer et compléter le premier, « communication et langage » et « catégorisation, attitude et comportement ». L’axe communication et langage comprend des travaux qui portent sur l’analyse du fonctionnement des interactions verbales dans des situations d’évaluation, ou de prise de décision ou encore des interactions experts/novices …. L’axe catégorisation, attitude et comportement s’intègre également parfaitement dans cet ensemble. Il regroupe des travaux sur les processus sociocognitifs comme les jugements attitudinaux, les processus de catégorisation et de représentation des objets. Contrairement à ce qui est mentionné dans le rapport, pour Paris 8 cet axe « responsabilité et justice sociale » n’est absolument pas en décalage avec le passé puisque cette thématique est directement développée depuis 2001 au sein du troisième axe du laboratoire « processus sociocognitifs et ingénierie psychosociale et cognitive » qui comporte clairement un volet Ingénierie Psychosociale de l’Investigation Judiciaire. Ce volet a fait l’objet de nombreuses publications durant le précédent quadriennal et a débouché sur un grand nombre de publications : 8 ACL, 3 OS et 17 CHOS. L’essentiel des travaux a porté sur la construction, à partir d’une démarche d’ingénierie psychosociale, d’outils destinés aux professionnels de l’investigation judiciaire de manière à optimiser le recueil des témoignages à propos du témoignage oculaire : rappel des faits, description des personnes, et identification des criminels1. Par ailleurs, le projet de LAPPS montre clairement comment les deux autres axes du laboratoire de Paris 8 (« processus cognitifs et productions langagières dans des situations d’interaction » et « représentations sociales, catégorisation sociale et langage ») peuvent aisément venir alimenter l’axe « responsabilité et justice sociale ». Le premier parce que les situations de recueil de témoignage sont des situations d’interaction. Le second parce que dans le jugement de responsabilité joue sur des processus psychosociaux comme la catégorisation et le stéréotype associé à la cible ainsi que les attributions causales. Les travaux réalisés au sein du laboratoire avec des indicateurs langagiers présentent d’ailleurs un intérêt indéniable pour l’analyse des processus implicites en jeu, comme le « racisme voilé ». Dans cette perspective, le rapprochement direct proposé par le comité d’évaluation avec Paris 13 n’offre pas une meilleure cohérence thématique que le rapprochement avec Paris 10 au sein du LAPPS, elle s’avère même moindre. La création du LAPPS n’empêcherait toutefois nullement des collaborations avec nos collègues de Paris 13 dont les travaux de recherche présentent par ailleurs un grand intérêt scientifique. - Les deux recrutements envisagés à Paris 8, un PR et un MCF viendront renforcer le LAPPS. Il y a une forte possibilité de recrutement en région parisienne, mais également au niveau national et même international. Il s’avère que le projet de LAPPS constitue un réel critère d’attractivité pour les candidats. Des contacts ont déjà été pris. Dans ces circonstances, transformer le poste de PR en MCF comme le propose le comité d’évaluation, aurait un effet négatif, cela affaiblirait le projet. Au contraire, le recrutement d’un PR permettra le renforcement de l’axe « Responsabilité et justice ». Au-delà, le recrutement d’un nouveau professeur renforcera l’encadrement des doctorants Il est également mentionné dans le rapport du comité d’évaluation que l’ouverture d’un poste à Paris 13 risque d’hypothéquer les possibilités d’un recrutement pour Paris 8. Les contacts pris montrent que l’insertion de l’équipe de Paris 8 dans un grand Laboratoire Parisien est un important potentiel. Dans ces circonstances, le projet de LAPPS devrait permettre d’augmenter l’attractivité de Paris 8 pour les candidats. Réponse concernant le bilan du LPS-GRPPS (EA351) 1 Doit être également porté à la connaissance du comité que le laboratoire est en passe d’intégrer comme membre statutaire un enseignant-chercheur maître de conférences travaillant sur cette problématique, il avait depuis un an le statut de chercheur associé. De manière générale, nous notons que le rapport mentionne à plusieurs reprises que le laboratoire est une « jeune équipe », cette mention introduit une ambiguïté. Faut-il entendre que c’est une équipe jeune et dynamique, ou une « Jeune Equipe » ? Nous rappelons que nous demandons un renouvellement de la reconnaissance du laboratoire en tant qu’Equipe d’Accueil et non un label Jeune Equipe. En effet, le laboratoire a obtenu cette reconnaissance il y a plus de 10 ans (en 1990). De manière plus spécifique, le rapport a attiré notre attention sur deux points essentiels. Nous ne pouvons qu’être d’accord avec les remarques du comité de visite concernant la faible visibilité du laboratoire au niveau européen et international, ce qui se traduit par un déficit du nombre d’ACL dans les revues situées à ce positionnement. Ce point a été souligné lors de la visite du comité. Il a néanmoins été relevé que tous les articles publiés le sont dans des revues à comité de lecture, ce qui est conforme au critère d’évaluation. Bien entendu, le positionnement global doit être amélioré et un engagement formel a été pris pour relever le niveau de ces publications. Cela se traduit de manière concrète par une incitation des membres du laboratoire (enseignants-chercheurs et doctorants) à publier dans des supports de plus haut niveau et par la mise en place d’un budget consacré à la traduction/révision des articles en anglais. Le rapport souligne également la faible part des publications dans des revues clairement identifiées dans le domaine de la psychologie sociale. Ce constat est juste, mais la raison pour laquelle on aboutit à ce profil de publication ne réside pas dans la faible qualité des références, elle est relative aux problématiques développées au sein du laboratoire qui débordent largement le champ strict de la psychologie sociale comme la santé et les ressources humaines. Nous devons souligner que ces problématiques sont pour nous fondamentales parce qu’elles nous ont permis d’obtenir des contrats importants pour le financement du laboratoire, ils témoignent en outre de notre insertion dans le tissu local. Ces contrats obtenus au terme d’un processus d’expertise ont fait l’objet de publications (ACL et CHOS). Les ACL ont été publiées dans des revues de haut niveau, européen et international avec un facteur d’impact supérieur à 1,3. Par exemple, pour ce qui concerne le domaine de la santé : Eating and Weight Disorders (1,892), International Journal of Geriatric Psychiatry (1,778), ou Food Quality and Preference (1.365) …. Fait à Paris 8 le : 19/02/08 Edith Sales-Wuillemin Professeure de Psychologie Sociale Directrice du LPS-GRPPS (EA351)