AR Hlm PACA & Corse/FL Santé mentale et Hlm à Marseille établi le 13 février 2016 – page 2
– Vincent Baudot), vise à constituer un réseau de traitement des situations sensibles dans le domaine
de la santé mentale et du logement, en trois étapes : entretiens des principaux acteurs (étude de
faisabilité/diagnostic), constitution du réseau inter-acteurs (formation-action), animation au
lancement
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.
Depuis 2009 :
L’AR Hlm PACA & Corse participe :
- au RSML 13/14, avec l’appui d’expertise de l’USH, et est tenue informée des avancées et
travaux des autres RSML à l’échelon marseillais
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,
- au Conseil d’Orientation en Santé Mentale de la Ville de Marseille pour une
représentation du mouvement Hlm dans l’instance institutionnelle en « santé mentale » et la
prise en compte de ses enjeux dans la politique partenariale ad hoc initiée par la Ville de
Marseille.
Depuis 2015, une nouvelle étape
Dans le prolongement de l’action engagée en matière de santé mentale, l’AR Hlm PACA & Corse est
partenaire du GCSMS coordination marseillaise « santé mentale et habitat » en cours de
construction et de formalisation.
Principales difficultés pour les bailleurs sociaux
Depuis 2000, la mobilisation de l’AR Hlm PACA & Corse, avec l’appui d’expertise de l’USH a permis
d’identifier les principales difficultés pour le logement social en matière de santé mentale :
• la santé mentale reste un axe majeur de tranquillité résidentielle : malgré la
sensibilisation engagée, le trouble de santé mentale est avant tout pour les organismes Hlm
un trouble de voisinage ; il fait principalement l’objet de procédures applicables en la matière
• la qualification/l’acculturation à la santé mentale des personnels de proximité s’avère
nécessaire pour identifier, chez un locataire, un problème de santé mentale qui est ou peut
être à l’origine d’un trouble (usage inapproprié du logement, trouble de voisinage, mise en
danger/agressivité) et éviter la survenance de situations urgentes/aigues
• la solitude des référents « santé mentale » pour
- en amont, poser un « diagnostic » et lier les troubles causés à une souffrance mentale,
ou partager des informations sanitaires sur un locataire (sortie d’hôpital psychiatrique
par exemple) pour prévenir toute survenance
- mettre en œuvre une réponse adaptée en mobilisant les procédures et les référents
spécialisés, y compris en amont en veillant/organisant un suivi/accompagnement
adaptés
- trouver l’écoute et la patience nécessaires auprès des locataires victimes du trouble
de voisinage,
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Des bilans ont été rédigés pour chacune des trois phases ainsi qu’un document d’évaluation globale de la démarche expérimentale (disponibles sur
demande auprès de l’AR Hlm PACA & Corse)
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En cours d’évaluation