Nom : DS1 1.Liens de parenté chez quelques vertébrés Exploiter des documents et pratiquer un raisonnement scientifique Les deux arbres diffèrent par la position relative des deux espèces fossiles par rapport à la Poule. L’arbre B est seul cohérent avec les données des tableau et le principe de parenté : on doit tenir compte du nombre d’états dérivés partagés entre 2 espèces pour définir leur parenté. On constate que la Poule et l’Archéoptérix partagent 2 états dérivés (présence de plumes et doigt I retourné vers l’arrière), alors que la Poule et Joholormis partagent 3 états dérivés (les deux précédents, de plus comme la Poule, Joholormis n’a pas de dents.) Sur 7 points /3 Titre /0.5 Titre : Arbre phylogénétique de 2 espèces fossiles et de la Poule Ancêtre commun exclusif à Joholormis et à la Poule Innovations évolutives successives Queue réduite, Absence de griffes Absence de dents Doigt I vers l’arrière Présence de plumes L’ancêtre commun à la Poule et à Joholormis possédait des plumes, un doigt I retourné vers l’arrière et ne possédait pas de dents. 2. La place de l’Homme parmi les êtres vivants Mobiliser ses connaissances L’Homme (Homo sapiens) est une espèce que l’on place dans les groupes successifs suivants : Eucaryotes (espèces possédant des cellules avec un noyau), Vertébrés (sp. possédant un squelette antéro-postérieur composé de vertèbres), Tétrapodes (sp. possédant 2 paires de membres munis de doigts), Amniotes (sp. possédant une cavité remplie de liquide autour de l’embryon), Mammifères (sp. possédant des poils et nourrissant les jeunes grâce à la production de lait maternel), Primates (sp. possédant des orbites en position faciale, des ongles à la place des griffes, des pouces opposables), Hominoïdes (dernières vertèbres soudées : coccyx en place d’une queue), Hominidés et Homininés Critères de réussite : -l’ordre des groupes emboîtés est respecté (0 ou 0.5) -les 9 clades sont cités (- 0.5 par oubli) -sur les 9 clades, 7 sont définis par un état dérivé correct (-0.5 par oubli) 3. Place des Australopithèques dans la lignée humaine Pratiquer un raisonnement scientifique a. L’Australopithèque et le Chimpanzé partagent les caractères suivants : un faible volume crânien un trou occipital en position postérieure, donc une articulation entre le crâne et la colonne vertébrale peu propice à une posture redressée une face prognathe (mâchoire saillante), des bourrelets sus-orbitaux prononcés b. C’est au niveau du bassin et des membres inférieurs que l’on retrouve des traces décisives de bipédie : les fémurs ne sont pas verticaux mais convergent vers les genoux le bassin est plus large que haut, ce qui permet un placement du centre de gravité propice à une locomotion bipède On peut aussi remarquer que la dentition (canines peu développées, pas de diasthème) et la forme de la mâchoire (plutôt en V) ?? présentent des caractéristiques humaines Position des innovations /2 Position ancêtre commun /0.5 Soin /0.5 Portrait /0.5 Sur 7 points / 0.5 /3 / 3.5 Sur 6 points /1 /1 /1 /1 /1 /1