La dermatite de contact

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La dermatite de contact
En collaboration avec la Commission des
spécialités de la Société Suisse d’Allergologie
et d’Immunologie (SSAI)
Auteur
Préface
La dermatite ou eczéma de contact, une réaction inflammatoire non infectieuse de la peau à
des substances ou à des facteurs externes, est
l’une des affections dermatologiques les plus
courantes. Au cours de leur vie, près de 20 pour
cent de la population suisse souffriront d’un
eczéma de contact plus ou moins grave.
Prof. Andreas Bircher,
médecin-chef du service
d’aller­gologie de la cli­nique et
poly­clinique de derma­tologie
de l’Hôpital universitaire de Bâle
Nous remercions très vivement
le Prof. Bircher pour la réalisation
de cette brochure.
2
L’eczéma de contact n’est ni contagieux, ni
dangereux pour la santé. Le plus difficile à supporter pour les patients sont les démangeaisons et les eczémas exposés aux regards qui
siègent sur le visage et sur les mains. Ce qui
explique l’ostracisme dont souffrent souvent les
personnes atteintes. Les eczémas de contact
peuvent être intenses et passagers mais aussi
persistants et chroniques. Selon le degré de
sévérité, un eczéma de contact peut entraîner
une incapacité de travail, voire nécessiter un
changement de métier.
Table des matières
4
Qu’est-ce que la dermatite de contact ?
4
L’eczéma de contact allergique
6
Le diagnostic
6
Le traitement
7
Les allergènes de contact les plus fréquents
8
La dermatite de contact irritative
9
Les groupes à risque
10
La prévention est possible
3
Qu’est-ce que la dermatite de
contact ?
La dermatite de contact est un terme générique
désignant une réaction cutanée résultant de
l’exposition à des substances allergènes ou irritantes. Le mot eczéma vient du grec ekzein qui
signifie bouillonner. Un eczéma aigu se manifeste ainsi : la peau s’enflamme, rougit, peut
enfler, des papules (boutons rouges) et des
vésicules se forment, donnant naissance à des
nécroses tissulaires douloureuses. Avec le
temps, les zones cutanées eczémateuses
s’épais­sissent, la peau se fissure, desquame.
Les eczémas s’accompagnent généralement de
fortes démangeaisons.
Dans la dermatite de contact, les eczémas sont
limités aux endroits où la peau a été en contact
avec la substance déclenchante. Ils apparais­
sent donc le plus souvent aux endroits exposés,
sur les mains et le visage. Les plus touchés sont
les adolescents et les jeunes adultes.*
Il existe deux types de dermatites de contact qui
sont difficiles à distinguer à l’œil nu : l’eczéma
de contact allergique, qui est une intolérance
immunologique déclenchée par des allergènes
de contact et la dermatite de contact irritative,
qui n’est pas d’origine allergique, mais le résultat
de frottements prolongés, une réaction cutanée
à une irritation ou à une sollicitation excessive.
Aucune de ces deux formes n’est contagieuse.
*Et ce contrairement à la dermatite atopique. Pour
plus de détails voir la brochure de aha! « L’eczéma
­atopique ».
4
Il existe également des « eczémas professionnels » qui sont dans la plupart des cas des dermatites de contact. On parle d’eczéma professionnel quand des substances utilisées dans la
vie professionnelle provoquent un eczéma qui
peut limiter la capacité de travail et entraîner
des problèmes d’assurance.
L’eczéma de contact allergique
Le système immunitaire mobilise localement, au
point de contact, des cellules de défense contre
l’allergène. Il s’ensuit le développement d’une
inflammation, l’eczéma. Les eczémas de
contact allergiques peuvent évoluer sur un
mode aigu ou chronique.
Les formes sévères de l’eczéma aigu s’accompagnent de fortes démangeaisons, la peau
devient d’un rouge intense. En général, il y a
formation d’un œdème (accumulation de
fluide) avec apparition de boutons rouges
(papules érythémateuses) se transformant en
vésicules et en cloques qui, en crevant, donnent
naissance à des zones cutanées érodées, suintantes et généralement douloureuses. En se
desséchant, ces lésions forment une croûte.
Dans l’eczéma chronique, l’inflammation est
moins prononcée, il se forme des fissures (rhagades) qui sont très douloureuses. Avec le temps
la peau s’épaissit et prend l’aspect du cuir ou du
lichen. Les eczémas chroniques peuvent entraîner une incapacité de travail permanente.
Les eczémas sont localisés essentiellement sur
les mains ou sur le visage, là où la peau est
exposée à une substance au contact de laquelle
elle développe une réaction allergique. Il faut
généralement un certain temps pour que les
problèmes apparaissent. Cette phase dite de
sensibilisation, jusqu’à ce que le système
immunitaire réagisse, peut durer quelques
semaines seulement, mais nécessite le plus
souvent plusieurs mois, voire plusieurs années
dans les cas extrêmes.
Dans les cas les plus sévères, la stimulation du
système immunitaire par le contact permanent
avec un allergène peut être tellement forte que
des eczémas apparaissent aussi à des endroits
du corps qui n’ont pas été en contact avec le
déclencheur (on les appelle « eczémas disséminés »). Il suffit parfois de traces d’une substance dans l’air pour qu’une personne hypersensible développe un eczéma sur les parties
du corps qui sont découvertes. Dans certains
cas, l’absorption d’un allergène de contact dans
l’alimentation peut pour ainsi dire déclencher
un eczéma géant « de l’intérieur ».
La souffrance qu’endurent les personnes touchées revêt plusieurs formes : aux symptômes
désagréables à douloureux s’ajoute la dégra­
dation de leur apparence physique. Ce sont les
mains et le visage qui sont les plus exposés et
les plus difficiles à cacher. Le fardeau est encore
plus lourd à porter quand l’eczéma perturbe les
activités quotidiennes ou entrave, voire rend
impossible l’exercice d’activités pro­fes­sion­
nelles.
1
▶ Eczéma de contact allergique : réaction à un bijou
contenant du nickel.
1
▶ Eczéma de contact allergique : réaction à un composant du bracelet de montre.
1
▶ Eczéma de contact allergique : réaction à une crème.
5
Le diagnostic
Il faut rechercher les substances avec lesquelles
le patient est en contact, identifier l’agent
déclencheur (allergènes de contact) et déter­
miner si des facteurs d’irritation, comme la
poussière, l’humidité (travail dans un milieu
humide, lavage fréquent des mains) ne
viennent pas aggraver l’affection.
du patient (p. ex. cosmétiques, shampooings,
lessives, substances utilisées au travail).
Le traitement
Une fois le facteur déclenchant identifié, l’eczéma de contact allergique peut généralement
être traité avec succès en une à trois semaines.
Dans la deuxième étape, le médecin procède
aux tests épicutanés (également appelés
patch-tests). De faibles quantités d’allergène
sont déposées sur la peau à l’aide d’un sparadrap contenant plusieurs capsules de test. En
moyenne, on peut réaliser de 30 à 40 tests en
une seule séance, et jusqu’à 80 en cas d’urgence. Le sparadrap est généralement posé sur
le dos et laissé en place pendant deux jours. La
lecture du test se fait le deuxième jour après
l’enlèvement du sparadrap ou le troisième et
quatrième jour après le début du test épicutané. Si une petite lésion eczémateuse se développe sous l’un des allergènes, le système
immunitaire a réagi et la substance déclenchante est identifiée.
Le traitement se déroule sur trois fronts.
Eviction : le contact avec l’allergène doit
autant que possible être évité. Avec le médecin,
le patient identifie les substances, objets ou
activités qui provoquent l’eczéma. Ensemble ils
cherchent les possibilités d’éviter ces facteurs
déclenchants ou de s’en protéger. L’existence
d’une allergie de contact sera documentée
dans un passeport d’allergie. En cas de réactions allergiques à des substances chimiques,
des notices ou des fiches d’information avec les
dénominations précises de la substance et sa
présence dans la vie quotidienne ou les fiches
d’information du Swiss Contact Dermatitis
Research Group (SCDRG) peuvent se révéler
utiles. Mais les dénominations variées (synonymes) d’une même substance chimique ainsi
que les réactions croisées à des substances
chimiquement apparentées compliquent la prévention de nouvelles réactions allergiques.
Si les batteries de tests standard ne permettent
pas d’identifier l’allergène de contact en cause,
d’autres tests cutanés sont généralement effectués avec des substances diluées provenant de
l’environnement domestique ou professionnel
Traitement local : les eczémas suintants aigus
sont traités par des bains, des compresses
humides et des substances anti-inflammatoires
(p. ex. la cortisone). Au besoin, on y associera
un produit contre les démangeaisons ou un
Dans une première étape, le médecin et le
patient essayent de déterminer la cause à l’aide
d’un interrogatoire et d’un examen physique.
6
Les allergènes de contact les plus fréquents
Il existe un nombre infini de substances susceptibles de provoquer un eczéma. Ce sont le plus souvent
des substances chimiques de faible poids moléculaire, plus rarement des substances naturelles.
Métaux
– nickel (p. ex. dans les bijoux fantaisie, boutons de jeans, pièces de monnaie)
– cobalt (p. ex. dans les peintures, les cosmétiques, les alliages de métaux)
– sels de chrome (p. ex. dans le ciment)
Conservateurs dans les cosmétiques (savons, crèmes, lotions)
– chloro-méthyl-isothiazoline (Kathon®)
– parabènes (p. ex. dans les médicaments, les cosmétiques, les denrées alimentaires, utilisés dans
le domaine industriel comme conservateurs pour les huiles, les graisses, les colles, les cirages à
chaussures, etc.)
– formaldéhyde (agent de conservation dans les cosmétiques et les produits de soin)
Additifs du caoutchouc (p. ex. carbamates)
– thiurames (dans les gants en caoutchouc, les objets en caoutchouc noir)
Médicaments à usage local
– lanoline et suint
– anesthésiques locaux
– désinfectants
Substances naturelles
– colophane (résine pour violons, utilisé dans le papier, en tant que colle dans l’industrie)
– baume du Pérou (résine de l’arbre Myroxylon pereirae, dans les pommades de soins)
– certains parfums (dans les shampooings, les savons, etc.)
Substances végétales
– sesquiterpenlactones (dans les plantes de la famille des astéracées et composacées)
– primine (dans les primevères)
Colorants
– paraphénylènediamine (p. ex. dans les teintures capillaires, les tatouages peints)
– bleu de dispersion 124 / 106 (textiles de couleur foncée)
7
antibiotique agissant sur l’infection concomitante. Lors d’un eczéma devenu chronique,
après disparition de l’inflammation, la peau
aura besoin de soins appropriés pour retrouver
sa souplesse. On recourt parfois à un traitement
par les rayons UV, qui freinent l’activité des cellules de défense, favorisent la stabilité de la
peau tout en prévenant une nouvelle inflammation. Depuis peu, on utilise avec succès dans les
eczémas chroniques sévères des mains des
dérivés naturels de la vitamine A (alitrétinoïne)
sous forme de gélules, uniquement sur prescription médicale.
Prévention des rechutes : les peaux les plus
sensibles doivent être protégées contre les facteurs susceptibles de déclencher des eczémas
en utilisant des savons adéquats et éventuellement par le port de gants en caoutchouc. Etant
donné qu’une infime quantité d’allergène suffit
à provoquer une rechute, il est généralement
impossible de poursuivre les recherches avec
des allergènes connus. Malheureusement, lors
d’une allergie de contact, l’efficacité des
mesures de protection personnelles (crèmes
pour les mains, gants de protection, etc.) est
elle aussi insuffisante.
Dans les rares cas où un eczéma est devenu
chronique au point de ne plus avoir besoin de
facteur déclenchant (eczéma « indépendant »),
seul un traitement continu procure un soulagement (soins cutanés, UV-thérapie).
Contrairement à d’autres affections allergiques,
comme le rhume des foins, on n’a pas réussi à
8
ce jour à désensibiliser contre un facteur
déclenchant dans l’eczéma de contact. Seule
une éviction totale de l’allergène permet la
guérison.
La dermatite de contact irritative
Les eczémas d’irritation sont deux fois plus fréquents que les eczémas allergiques. Ils résultent
de l’usure mécanique ou d’une sollicitation
excessive de la peau et se développent en
gé­né­ral plus lentement que les eczémas allergiques. Cet eczéma traduit en quelque sorte un
état d’épuisement de la peau : zones à vif qui
ne cicatrisent pas, crevasses, formation de
squames. Contrairement à l’eczéma allergique,
la peau étant moins rouge, démange moins
mais brûle davantage.
Les eczémas de loin les plus fréquents sont
localisés sur les mains suite à un excès d’humidité ou à des facteurs dessiccatifs si bien que
ce sont surtout les adultes qui souffrent d’eczémas irritatifs dus à leur activité professionnelle.
L’identification du déclencheur est rendue plus
difficile par l’absence de test spécifique pour
détecter un eczéma irritatif. Ce sont généralement l’évolution de la maladie, les zones touchées et l’activité du patient qui permettent
d’en déterminer la cause. Le médecin recherchera aussi d’autres allergènes pouvant inter­
venir et aggraver la situation. Un patient peut
présenter à la fois un eczéma irritatif et un
eczéma allergique. Le traitement de l’eczéma
irritatif est en principe identique à celui de l’eczéma allergique : il s’agit en premier lieu d’éviter un contact excessif avec les substances
déclenchantes (p. ex. l’eau, les savons, les lessives), de soigner les zones cutanées atteintes
et de prévenir les rechutes. Les moyens de protection personnels (p. ex. les crèmes et gants de
protection appropriés) permettent eux aussi
d’éviter les rechutes.
Dans de rares cas, le soleil et les rayons ultraviolets peuvent jouer un rôle dans le développement d’un eczéma. On parle alors d’eczémas
photoallergiques ou phototoxiques. En association avec une substance habituellement inoffensive (p. ex. des médicaments à usage local,
des substances végétales), des eczémas apparaissent sur les zones cutanées exposées à la
lumière (principalement sur le visage, les mains
ou les jambes). La dermite des prés en est un
exemple. Ainsi, le simple contact de la peau
avec la sève de la berce du Caucase par un jour
ensoleillé peut provoquer des stries rouges,
voire des bulles, sur les zones du corps exposées. Il s’agit d’une réaction phototoxique
typique relativement bénigne, mais qui peut
être extrêmement gênante.
1
▶ Application des capsules de test contenant les allergènes de contact sur le dos.
1
▶ Batteries de tests sur le dos restant en place pendant
1 à 2 jours.
1
▶ Réaction de test positive typique (eczéma) à un allergène de contact.
Les groupes à risque
La survenue d’un eczéma de contact allergique
ou irritatif dépend de la nature et de la fréquence du contact avec le facteur déclenchant.
De nos jours, les personnes le plus souvent
concernées sont :
1
▶ Dessin des zones de test au moyen d’un colorant.
9
• Les jeunes femmes : port de bijoux fantaisie
(allergie au nickel)
• Les coiffeurs et coiffeuses : eczémas ir­
ritatifs et allergiques des mains dus aux
shampooings, aux cosmétiques, aux teintures
­capillaires et aux produits pour permanente
• Les ménagères ou personnes qui s’oc­
cupent de jeunes enfants : eczéma irritatif
des mains (humidité)
• Les métiers du bâtiment : eczémas irritatifs
auxquels vient s’ajouter un eczéma allergique
au bout d’un certain temps (sels de chrome
dans le ciment, époxydes)
• Le personnel soignant : combine souvent
un eczéma allergique et irritatif dû à la fréquence des lavages et de la désinfection des
mains, au port de gants de caoutchouc et
autres f­ acteurs
• Le personnel d’entretien : eczémas irritatifs
fréquents
• Les ouvriers de la métallurgie : eczémas de
contact irritatifs dus à l’huile de coupe et aux
produits dégraissants ; plus rarement eczémas allergiques dus au nickel et aux conservateurs
Les enfants souffrent rarement de dermatites
de contact, une affection qui se déclare généralement chez le jeune adulte. Cela s’explique par
l’entrée dans la vie professionnelle ainsi que
par le port de bijoux et l’utilisation de cosmétiques.
Aujourd’hui, les femmes sont plus souvent
atteintes que les hommes en raison notamment du port de bijoux de mauvaise qualité
contenant du nickel, de l’usage de cosmétiques ainsi que par d’autres facteurs encore
mal connus.
Les personnes qui ont la peau sensible (p. ex.
atteintes d’un eczéma atopique) sont également prédisposées aux eczémas des mains (le
plus souvent irritatifs).
La prévention est possible
La prévention revêt une importance plus
grande encore du fait de l’impossibilité de traiter la cause de l’eczéma de contact. L’élimination des facteurs dessicatifs irritants (lavage des
mains fréquent, savons caustiques, etc.) peut
diminuer la fréquence et la gravité de la dermatite de contact irritative. Dans la forme allergique de l’eczéma de contact, seule la suppression totale du contact avec les allergènes
déclenchants est efficace. Pour certaines substances, cette règle est facile à appliquer dans la
vie quotidienne, mais elle peut devenir problématique pour d’autres allergènes dit ubiquitaires (c’est-à-dire omniprésents). Ainsi, en cas
d’allergie avérée au nickel, on renoncera à porter des bijoux contenant ce métal.
Dans la prévention, la déclaration de l’ensemble des constituants des produits utilisés
dans la vie quotidienne est particulièrement
importante. Ainsi, de nos jours la déclaration de
10
tous les constituants est obligatoire sur l’emballage des cosmétiques et des produits de
soin. Cela permet aux personnes atteintes
d’une allergie de contact de choisir des produits non problématiques. Malheureusement,
de telles déclarations ne sont pas encore obligatoires pour d’autres produits d’usage quotidien (p. ex. les bijoux fantaisie). L’expérience
montre pourtant qu’une fois acquise, une sensibilisation à un allergène de contact persiste
pendant des années, des décennies et même,
dans les cas extrêmes, de la vie. D’où l’importance d’éliminer dès le début les allergènes
éventuels pour éviter une sensibilisation par
contact.
1
▶ Eczéma de contact irritatif dû à une réaction à un
­sparadrap antirhumatismal.
1
▶ Dermatite de contact irritative toxique due au ciment
frais.
1
▶ Eczéma par dessèchement chronique de la main avec
desquamation et formation de crevasses.
11
La présente brochure a été réalisée
avec le soutien de :
Im­pres­sum
Edition : Fondation aha! Centre d’Allergie Suisse
Scheibenstrasse 20, 3014 Berne
Ré­dac­ti­on : aha! Centre d’Allergie Suisse
2e édition : 18 000 exemp­lai­res F
3e édition : 25 000 exemp­lai­res A
1re édition : 7 000 exemp­lai­res I
Impression : Egger AG, Frutigen
Pho­tos / Graphiques : 1 Clinique de dermatologie
Hôpital universitaire de Bâle
Note
Selon le sens, le masculin utilisé dans le texte s’applique
également aux femmes.
© by Fondation aha! Centre d’Allergie Suisse
Novembre 2010
Pour une meilleure qualité de vie
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