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IM
COMITÉ DE RÉPARTITION TACTIQUE DE LACTIF
COMMENTAIRE MENSUEL
MAI 2017
REVUE DES MARCHÉS FINANCIERS
28 AVR.
2017 AVR. ÀCJ 1 AN
MARCHÉS BOURSIERS VARIATION DE L’INDICE
(DEVISE LOCALE)
S&P 500 2 384 0,91 % 6,49 % 15,44 %
S&P/TSX 15 586 0,25 % 1,95 % 11,72 %
MSCI EAEO 1 834 2,27 % 8,89 % 8,30 %
MSCI Marchés émergents 978 2,04 % 13,42 % 16,40 %
REVENU FIXE (%) VARIATION EN POINT DE BASE
Taux d’intérêt 10 ans US 2,28 -10,7 -16,4 44,7
Taux d’intérêt 2 ans US 1,26 0,8 7,4 48,0
Taux d’intérêt 10 ans CA 1,55 -7,8 -17,4 3,4
Taux d’intérêt 2 ans CA 0,72 -2,7 -2,6 2,9
DEVISES VARIATION DU TAUX
CAD/USD 0,73 -2,46 % -1,57 % -8,05 %
EUR/USD 1,09 2,28 % 3,59 % -4,86 %
USD/JPY 111,49 0,09 % -4,68 % 4,69 %
MATIÈRES PREMIÈRES VARIATION DU PRIX
Pétrole WTI (USD/baril) 49,33 -2,51 % -8,17 % 7,43 %
Cuivre (USD/livre) 2,60 -2,11 % 3,63 % 13,93 %
Or (USD/once) 1 268,30 1,68 % 10,12 % -1,72 %
Le marché boursier mondial a établi un nouveau record en avril. Sur le
plan régional, l’indice S&P 500 a progressé, alimenté par les excellents
bénéfices des sociétés et les anticipations entourant la réforme fiscale.
Au Canada, les actions ont sous-performé leurs homologues mondiales,
en raison de la baisse des prix des matières premières et de la position
très critique du Président Trump à l’égard du commerce avec le pays, qui
a surtout porté sur le bois d’œuvre et l’industrie laitière. À l’étranger, les
actions européennes ont atteint un sommet depuis 2015 après les résultats
favorables aux élections françaises, qui ont fait renaître la confiance envers
l’avenir de la zone euro. En ce qui concerne les actions japonaises, elles ont
également gagné de la valeur, la faiblesse du yen stimulant les profits des
sociétés et la confiance des investisseurs. Ailleurs, les actions des marchés
émergents se sont approchées de leur sommet de deux ans grâce à l’intérêt
accru envers le risque et le repli du billet vert.
En dépit de l’amélioration continue des perspectives de croissance de
l’économie mondiale et de l’atténuation des pressions politiques, les taux
de rendement des obligations gouvernementales nord-américaines ont
reculé en tandem avec les faibles résultats de l’inflation et la chute des
prix pétroliers, les investisseurs abaissant leurs attentes quant au nombre
de hausses du taux directeur américain en 2017. Parallèlement, les écarts
de crédit se sont resserrés, sous l’impulsion des bénéfices supérieurs aux
prévisions et des attentes voulant que la réforme fiscale du Président
Trump se traduise par une forte hausse des bénéfices des sociétés. Ces
deux éléments ont inspiré la confiance sur les marchés des obligations de
sociétés et à rendement élevé.
Dans le marché des devises, le dollar américain a perdu du terrain après que
Donald Trump ait indiqué qu’il était « trop fort » et que les investisseurs
aient revu à la baisse leurs prévisions de hausse du taux directeur cette
année. Sans surprise, l’euro a fortement rebondi lorsque les résultats des
élections françaises ont révélé que le prochain président de la République
devrait être un candidat pro-européen. Le dollar canadien a été plombé par
les faibles données de l’inflation, le repli des prix du brut et Donald Trump,
qui a envenimé les relations commerciales avec le Canada en imposant des
tarifs douaniers sur les importations de bois d’œuvre.
Pour terminer, le pétrole brut s’est maintenu sous la barre des 50 $, alors
que les stocks toujours élevés et l’augmentation continue de la production
américaine ont annulé les effets positifs de la réduction de la production
par les pays membres de l’OPEP. Lor a clôturé la période à la hausse, les
investisseurs analysant le contexte politique en Europe et les cent premiers
jours de la présidence de Donald Trump, qui n’a toujours pas offert beaucoup
de détails sur son programme de croissance. Les investisseurs ont toutefois
repris goût au risque vers la fin du mois, ce qui a légèrement réduit la
demande de titres refuge et fait reculer le prix de l’or.
En avril, les pressions poliques se sont aénuées et les invessseurs ont recommencé à miser sur la croissance
économique. Parmi les faits saillants du mois, notons la victoire du candidat centriste et pro-européen Emmanuel
Macron, qui est passé au deuxième tour des élecons présidenelles françaises en mai et qui devrait aisément vaincre
la candidate naonaliste de l’extrême-droite Marine Le Pen. Cee victoire a réduit la probabilité d’une propagaon de
la tendance populiste observée aux États-Unis et au Royaume-Uni au cœur même de l’Europe. De plus, à l’approche
des premiers 100 jours de sa présidence, Donald Trump a dévoilé son ambieux plan de réforme scale et a demandé
à son administraon de mere à exécuon son projet visant à réduire l’impot des sociétés et des parculiers.
2MAI 2017
COMITÉ DE RÉPARTITION TACTIQUE DE LACTIF
COMMENTAIRE MENSUEL
2016 20172015
PIB du Canada (sur un mois) PIB du Canada (sur un an)
-0,6
-0,4
-0,2
0,0
0,2
0,4
0,6
FÉV.JAN.DÉC.NOV.OCT.SEP.AOU.JUL.JUI.MAIAVR.MAR.FÉV.JAN.DÉC. 0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
2,5
Après des gains importants pendant
plusieurs mois consécutifs, l’économie
canadienne a marqué une pause en
février, mais elle demeure en bonne
position pour afficher une excellente
progression au premier trimestre.
CANADA
Les perspectives de l’économie canadienne demeurent relativement
bonnes, grâce à la vigueur de la consommation, à la politique
monétaire accommodante et à la remontée graduelle des prix du
pétrole. Par contre, on peut s’inquiéter des mesures que pourrait
prendre le Président Trump pour respecter certains engagements
de sa plateforme électorale (America First), comme nous avons
récemment pu le constater avec ses commentaires sur le bois d’œuvre
et l’industrie laitière du Canada. Cela dit, les droits d’importation
sur le bois d’œuvre auront certainement une incidence négative sur
l’industrie forestière, mais l’impact sur l’économie canadienne dans
son ensemble ne devrait pas être si important. De plus, même si
Donald Trump souhaite renégocier l’ALENA, il est peu probable que
le Canada soit la principale cible, car nos relations commerciales
sont relativement bien équilibrées et nous demeurons le principal
consommateur des produits américains.
2016 20172015
PIB des É.-U.
(sur un trimestre, données ann. dés.) Indicateurs avancés des É.-U.
(sur un mois)
0,5
1,0
1,5
2,0
2,5
3,0
3,5
-0.4
-0.3
-0.2
-0.1
0.0
0.1
0.2
0.3
0.4
0.5
0.6
En dépit d’un léger ralentissement
au premier trimestre, les indicateurs
avancés pointent vers un rebond de
la croissance économique au
deuxième trimestre.
MAR.FÉV.JAN.DÉC.NOV.OCT.SEP.AOU.JUL.JUN.MAIAVR.MAR.FÉV.JAN.DéC.
ÉTATS-UNIS
Malgré une croissance sous les attentes au premier trimestre, les
principaux indicateurs de l’économie américaine, tels que l’indice
manufacturier des directeurs d’achat, les demandes initiales
d’assurance-chômage, les commandes de fabrication et les
dépenses en immobilisations projetées, pointent vers un rebond de
la croissance du PIB au deuxième trimestre. En effet, les mesures de
la confiance des consommateurs et des entreprises demeurent à des
niveaux qui correspondent à une forte croissance, d’où la probabilité
d’une augmentation des dépenses à terme. Entre-temps, la Réserve
fédérale ne semble pas porter beaucoup d’attention aux faibles
résultats du premier trimestre et reste ferme dans son engagement
à relever ses taux à deux autres reprises cette année, alors que des
voix s’élèvent toujours pour la réduction de son bilan.
2016 20172015
PMI composé de la zone euro PIB de la Chine (sur un an)
52
53
54
55
56
57
6.5
6.6
6.7
6.8
6.9
7.0
7.1
7.2
7.3
L’économie européenne ne cesse de nous impressionner, la relance
s’observant désormais dans les services et la fabrication. En Chine,
l’économie a le vent dans les voiles, favorisée par la vigueur du logement,
des dépenses en infrastructure, des exportations et des ventes au détail.
MAR. DÉC.SEP.JUN.MAR.DÉC.SEP.JUN.DÉC.
INTERNATIONAL
En Europe, l’économie affiche toujours des signes de résilience en
dépit des incertitudes politiques. On doit souligner que selon les
sondages, les sociétés et les consommateurs ont fait fi des récents
troubles politiques, comme en témoignent le sommet depuis 2011 de
la confiance des dirigeants d’entreprises et la progression, au rythme
le plus rapide en deux ans, de la confiance des investisseurs. Il n’est
pas surprenant que l’économie britannique semble s’essouffler après
que la première ministre, Theresa May, ait déclenché les négociations
officielles du Brexit le mois dernier, la confiance s’étant évaporée avec
la hausse des prix à la consommation et les incertitudes entourant
les ententes commerciales futures. Finalement, l’économie chinoise
a rebondi au premier trimestre et affiché, pour la première fois en sept
ans, deux hausses trimestrielles consécutives de son taux de croissance,
ce qui a relancé les perspectives de croissance mondiale.
3MAI 2017
COMITÉ DE RÉPARTITION TACTIQUE DE LACTIF
COMMENTAIRE MENSUEL
À l’heure actuelle, nos scénarios sont les suivants : une expansion mondiale synchronisée (65 %), qui représente le prolongement de la conjoncture actuelle
favorable aux actions ; Instabilité politique (15 %), qui nuirait aux actions, mais qui s’avérerait positif pour les obligations ; Instabilité sur les marchés émergents
(10 %), dans lequel un déséquilibre au sein des marchés émergents entraînerait une forte volatilité ; et finalement, une stagnation de l’économie mondiale
(10 %) qui nuirait aux actions, mais qui s’avérerait positif pour les obligations.
SCÉNARIO PRINCIPAL
EXPANSION MONDIALE
SYNCHRONISÉE
PROBABILITÉ 65 %
L’expansion mondiale synchronisée demeure
bien ancrée au cours des 12 prochains
mois, et toutes les grandes régions y
contribuent. L’économie américaine
prend son envol grâce à l’amélioration du
secteur de la consommation et du rebond
du secteur manufacturier. Les avantages
économiques procurés par les politiques
favorables à la croissance de Donald
Trump compensent les effets négatifs des
politiques commerciales restrictives. Entre-
temps, l’économie canadienne continue
de s’ajuster aux faibles prix pétroliers et
elle demeure soutenue par la demande
américaine, la valeur concurrentielle du
dollar canadien et les mesures budgétaires.
Les décideurs politiques de l’Europe et
du Japon sont finalement en mesure de
relancer la croissance. Quant aux marchés
émergents, ils tirent parti de l’augmentation
de la demande mondiale, des liquidités
abondantes et de la hausse des prix des
matières premières. En résumé, l’importance
accordée aux politiques de relance aux États-
Unis devrait se révéler favorable à l’économie
mondiale dans son ensemble et relever les
perspectives inflationnistes, qui bénéficieront
également des prix plus élevés pour les
matières premières. Cette conjoncture
réflationniste augure bien pour les actions
et les matières premières (à l’exception de
l’or), contrairement aux titres à revenu fixe
et au dollar américain.
SCÉNARIO 2
INSTABILITÉ POLITIQUE
PROBABILITÉ 15 %
La rhétorique populiste et les politiques protectionnistes aux États-Unis et au Royaume-Uni se propagent à la
zone euro. Elles causent de grands bouleversements politiques et entraînent une crise de confiance, perturbant
ainsi l’économie et les marchés financiers du monde entier. Nous amorçons un cycle électoral plutôt volatil en
Europe et l’augmentation des risques associés aux mouvements eurosceptiques et anti-élites pourrait plonger
le continent dans une période d’instabilité politique et soulever des doutes quant à la viabilité de la zone euro.
Parallèlement, les conséquences potentielles des négociations du Brexit au Royaume-Uni demeurent à l’avant-
plan, alors que la première ministre, Theresa May, amorce officiellement le processus qui mènera au départ de
son pays de l’Union européenne. Aux États-Unis, la plateforme électorale de Donald Trump, «America First»,
pourrait se concrétiser, ce qui pourrait nuire fortement au commerce mondial en raison de ses politiques
protectionnistes allant à l’encontre des traités commerciaux.
SCÉNARIO 3
INSTABILITÉ DES MARCHÉS
ÉMERGENTS
PROBABILITÉ 10 %
Les économies des marchés émergents sont les plus vulnérables à la hausse accélérée des taux d’intérêt
aux États-Unis et par conséquent, du billet vert. Le repli marqué des investissements directs étrangers, le
remboursement de la dette libellée en dollars américains et les sorties possibles de capitaux pourraient
se propager rapidement et engendrer une ruée vers les titres de qualité. Ceci accentuerait la vigueur du
dollar américain et causerait un resserrement généralisé des conditions sur les marchés financiers. De plus,
l’endettement excessif et croissant accentue la vulnérabilité de l’économie chinoise dans un contexte de
ralentissement économique, soulevant ainsi de nouvelles craintes d’un atterrissage difficile dans la deuxième
économie en importance au monde. Les politiques américaines nuisant au commerce mondial se concrétisent.
Des tarifs douaniers sont imposés aux économies émergentes, telles que la Chine et le Mexique, qui adoptent
ensuite des mesures de rétorsion, provoquant ainsi une guerre commerciale mondiale.
SCÉNARIO 4
STAGNATION DE L’ÉCONOMIE
MONDIALE
PROBABILITÉ 10 %
Après une expansion de huit ans, l’économie mondiale ralentit et s’essouffle, les perspectives mondiales
étant réduites sous l’impulsion des pressions à long terme que sont le vieillissement de la population, la
faible croissance du marché de l’emploi et une productivité en berne. Par ailleurs, les importantes mesures
de stimulation monétaire en place ne sont pas en mesure de relancer la croissance, car la perte de confiance
généralisée annule l’effet des politiques accommodantes, laissant ainsi les décideurs politiques avec très peu
de munitions pour protéger l’économie contre la tempête.
4MAI 2017
COMITÉ DE RÉPARTITION TACTIQUE DE LACTIF
COMMENTAIRE MENSUEL
PRÉVISIONS POUR LES 12 PROCHAINS MOIS
SCÉNARIOS 28 AVRIL
2017
EXPANSION
MONDIALE
SYNCHRONISÉE
INSTABILITÉ
POLITIQUE
INSTABILITÉ
DES MARCHÉS
ÉMERGENTS
STAGNATION
DE L’ÉCONOMIE
MONDIALE
PROBABILITÉ 65 % 15 % 10 % 10 %
CROISSANCE DU PIB (SUR UN AN)
Monde 3,10 % 3,25 % 2,25 % 2,00 % 2,00 %
Canada 2,50 % 2,75 % 1,00 % 0,50 % 0,50 %
États-Unis 1,90 % 3,00 % 1,00 % 1,50 % 1,00 %
INFLATION (GLOBALE SUR UN AN)
Canada 1,60 % 2,40 % 1,75 % 1,00 % 1,00 %
États-Unis 2,40 % 2,40 % 2,00 % 1,50 % 1,00 %
TAUX COURT TERME
Banque du Canada 0,50 % 0,75 % 0,25 % 0,25 % 0,25 %
Réserve fédérale 1,00 % 1,50 % 0,75 % 0,50 % 0,50 %
TAUX 10 ANS
Gouv, du Canada 1,55 % 2,30 % 1,20 % 1,20 % 1,20 %
Gouv, des États-Unis 2,28 % 3,00 % 1,40 % 1,20 % 1,25 %
CROISSANCE DES PROFITS (12 PROCHAINS MOIS)
Canada 21,4 % 27,9 % -1,6 % -4,9 % -1,6 %
États-Unis 10,6 % 17,6 % -5,4 % -5,4 % 2,8 %
EAEO 15,2 % 8,4 % -15,2 % -15,2 % -5,7 %
ME 24,2 % 30,9 % -21,1 % -21,1 % -13,3 %
COURS/BÉNÉFICE (12 PROCHAINS MOIS)
Canada 16,8X 17,0X 16,0X 16,0X 17,0X
États-Unis 17,7X 18,5X 16,0X 16,0X 16,0X
EAEO 15,0X 16,0X 14,0X 14,0X 14,0X
ME 12,4X 13,5X 13,0X 12,0X 13,0X
DEVISES
CAD/USD 0,73 0,80 0,70 0,65 0,70
EUR/USD 1,09 1,05 0,95 1,10 1,15
USD/JPY 111,49 125,00 110,00 100,00 90,00
MATIÈRES PREMIÈRES
Pétrole (WTI, USD/baril) 49,33 65,00 45,00 40,00 45,00
5MAI 2017
COMITÉ DE RÉPARTITION TACTIQUE DE LACTIF
COMMENTAIRE MENSUEL
MATRICE DES RENDEMENTS PRÉVUS
SCÉNARIOS EXPANSION MONDIALE
SYNCHRONISÉE INSTABILITÉ POLITIQUE INSTABILITÉ DES
MARCHÉS ÉMERGENTS
STAGNATION DE
L’ÉCONOMIE MONDIALE
PROBABILITÉ 65 % 15 % 10 % 10 %
Marché monétaire 0,6 % 0,4 % 0,4 % 0,4 %
Obligaons canadiennes -1,9 % 4,3 % 4,7 % 4,7 %
Acons canadiennes 6,3 % -23,0 % -25,6 % -18,2 %
Acons américaines 1,6 % -19,3 % -13,0 % -12,2 %
Acons internaonales -8,1 % -28,1 % -22,6 % -20,1 %
Acons des marchés
émergents 4,9 % -30,5 % -30,9 % -23,5 %
STRATÉGIE ACTUELLE 1
MINIMUM CIBLE MAXIMUM STRATÉGIE RÉPARTITION VARIATION CHANGEMENTS
DU 5 AVRIL
Marché monétaire 0,0 % 5,0 % 25,0 % Surpondéraon 10,0 % +5,0 % Augmentaon de 5,0 %
Obligaons canadiennes 20,0 % 40,0 % 60,0 % Sous-
pondéraon
25,0 % -15,0 % Augmentaon de 5,0 %
Acons canadiennes 20,0 % 25,0 % 45,0 % Surpondéraon 32,5 % +7,5 % Réducon de 5,0 %
Acons américaines 3,0 % 13,0 % 23,0 % Neutre 13,0 % 0,0 % Aucun changement
Acons internaonales 2,0 % 12,0 % 22,0 % Sous-
pondéraon
7,0 % -5,0 % Réducon de 5,0 %
Acons de marchés
émergents 0,0 % 5,0 % 15,0 % Surpondéraon 12,5 % +7,5 % Aucun changement
¹ En fonction d’un objectif de valeur ajoutée de 100 points de base. La cible présentée est celle d’un portefeuille modèle et est utilisée à des fins indicatives seulement. Les cibles individuelles de nos
clients sont utilisées dans le cadre de la gestion de leurs portefeuilles respectifs.
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