Remerciements
C’est autour du concept de co-construction que je souhaite articuler ces remerciements. En
effet, si l’idée de co-construction m’apparaît aujourd’hui comme inhérente à la compréhension des
rapports intergroupes et plus généralement à celle des rapports humains, il ne pourrait en être
autrement dans ce préambule dédié aux remerciements. Je tiens donc à remercier toutes celles et
ceux dont les relations, réelles ou projetées, ont participé à la co-production de cette réflexion et à
son aboutissement.
Pour commencer, je tiens à remercier l’ensemble des membres du jury qui m’ont fait
l’honneur d’accepter d’évaluer et de critiquer ce travail : Marie-Christine Toczek (Université de
Clermont-Ferrand), Lucile Lafont (Université de Bordeaux) et Philippe Sarazzin (Université de
Grenoble). La finesse et la pertinence de leurs remarques permettent aujourd’hui d’entrevoir de
nouvelles perspectives de recherche.
Je tiens à remercier tout particulièrement mes co-directeurs Marie-Françoise Lacassagne et
Philippe Castel pour l’ensemble de leurs contributions relatives à ce travail et à la construction plus
générale de mon rapport à la recherche. L’un comme l’autre ont cette qualité d’offrir des espaces de
co-construction du savoir où le contrat de communication négocié offre une parole libre et possède
une légitimité propre.
Je tiens aussi à remercier l’ensemble des personnes du laboratoire SPMS pour les échanges
que nous avons eu et qui ont jalonné ces années de doctorat. Je souhaite porter une attention plus
spécifique à ceux dont les interactions ont directement impacté le travail que j’ai pu faire : Iouri
Bernache-Assolant, Patrick Boucher, Pierre De Oliveira, Lucie Finez, Fabrice Gabarrot, Ahmed
Jebrane, Raphael Laurin et Antoine Marsac.
Un special thanks à tous mes collèges pour nos échanges qui ont permis de co-construire une
identité groupale bénéfique lors de ce travail durant toutes ces années.
Enfin, à ma famille et mes amis qui m’ont toujours soutenu mais qui ont subi directement ou
indirectement les conséquences de cet engagement doctoral.
Merci donc à : Anaïs, Audrey, Aurélien, Baptiste, Boris, Carlos, Caroline, Cécile, Charlotte,
Clément, Faycel, Gelareh, Ghislain, Ivan, Jean-Marc, Juliette, Khafid, Khaled, Louay, Manou,
Marie, Martine, Marvin, Maryse, Michel, Meriem, Monem, Nico, Orsolya, Pascaline, Patrice,
Patrick, Paul, Paulette, Pierre, Quentin, Raph, Rodolphe, Roland Manchot, Thomas, Valery,
Victorien, Virginie, Vivien, Wellience pour et dans le désordre : son mental, sa voix, son humour
familial, ses cours d’espagnol, ses collaborations prolifiques, leurs art de tenir une position initiale
envers et contre tout dans une discussion sans intérêt, son historique de recherche internet, son coup
droit, ses stats, son café, ses bonbons qu’on connaît pas, son chocolat rose, sa mère, son adoration
inconditionnée et utopique de Roger F., leurs cours d’arabe, sa vision de l’entreprise, ses mots
improbables pendant sa soutenance, son obédience rouge, sa visite à Vichy, sa capacité à avoir
menacé stéréotypiquement ma sœur au collège, ses poils de chat, leurs longues relectures pressées,
ses longs échanges sur l’école…, son passage qui m’a ouvert la voie, son bulletin de classe aussi bon
qu’improbable, ses défaites au squash, son initiation à la revendication syndicale, ses moments de
détentes, ses discussions de balcon….
Pour conclure, un grand merci à tous et une attention toute particulière à celles qui m’ont
suivies et soutenues chaque jour à la maison tant dans mes absences, que mes horaires
décalés…Cynthia et bien entendu Noémie.