• On est parfois tenté de penser que l’identification d’un
facteur génétique a automatiquement une influence sur
l’apparition de déficiences précises et que les troubles du
comportement font obligatoirement partie de la maladie.
•En réalité, la découverte des anomalies génétiques nous
a montré depuis de nombreuses années que pour une
même maladie, pour une même anomalie
chromosomique ou d’un gène, dans une même famille,
l’expression de la maladie était le plus souvent très
variable d’un sujet à un autre.
• Une anomalie génétique n’est pas toute puissante, il
existe le plus souvent d’autres facteurs, génétiques ou
autres, qui interviennent dans l’expression de la maladie
• Cette réalité est encore plus vraie quand on parle
des troubles du comportement