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CUSTOMER PROFILE
L’ESSENTIEL
Industrie
Santé
Taille de l’établissement
9300 collaborateurs
Challenges
• Faciliter la collaboration entre le
CHU de Nancy et l’Institut de
cancérologie de Lorraine
• Accélérer la consultation de
l’imagerie médicale
Solutions
• EMC Documentum
• EMC® Vendor-Neutral Archive
• Baies de stockage EMC VNX
• Base Oracle
• J4Care SMooTH PatientViewer
Résultats
• Examens d’imagerie accessibles
15 minutes après leurs
réalisations
• Prise en charge des patients
facilitée entre le CHU de Nancy et
l’ICL
• Banque de plus de 3 millions
d’examens sur 10 ans accessible
instantanément
Comptant plus de 9200 employés et 1600 lits, le centre hospitalier régional univer-
sitaire de Nancy est un établissement de santé qui assure en continu des missions
de soins, d’enseignement, de recherche et innovation, de santé publique, de
dépistage, de prévention et d’éducation à la santé.
Ces missions sont réalisées en collaboration avec plusieurs structures, y compris
des écoles paramédicales et la faculté de médecine, et surtout l’institut de cancérol-
ogie de Lorraine (ICL), un centre régional de lutte contre le cancer qui regroupe
plus de 700 professionnels au service de près de 200 lits.
Depuis plus de 10 ans, le CHU de Nancy et l’Institut de cancérologie de Lorraine ont
entrepris une collaboration dans le domaine de l’imagerie médicale en choisissant
en 2001 le même PACS (Picture Archiving Communication System).
UN PACS VIEILLISSANT ET NON COLLABORATIF
L’imagerie médicale tient une place essentielle et sans cesse croissante dans la prise
en charge des patients. C’est pourquoi les technologies n’ont cessé d’évoluer,
apportant davantage de vitesse, de qualité et de fiabilité aux outils de radiologie en
2006, le CHU de Nancy est le premier de France à devenir “100% sans film”. En
basculant sur un système à lecture électronique des images, le classement et
l’utilisation des documents sont rendus plus facilement accessibles et comparables.
L’Institut de cancérologie de Lorraine fait également ce choix afin de faciliter le
partage d’informations avec le CHU de Nancy.
Frédéric Lefèvre, radiologue au CHU de Nancy, se souvient “Lorsque nous avons pris
la décision d’implémenter le Pacs, c’est-à-dire le système de gestion électronique
des images médicales avec des fonctions d’archivage, les avantages ont été facile-
ment perçus par les radiologies comme par les cliniciens et la transition s’est donc
faite très rapidement. Nous allions pouvoir utiliser les fichiers avec deux ans
d’antériorité et surtout s’y référer avant une consultation patient. Cela représentait
une amélioration significative et durable à la prise en charge des patients et la
cohérence des soins.”
Mais ces bénéfices s’accompagnent de contraintes informatiques fortes, liées à la
gestion des volumes grandissants de données. En 2003 par exemple, un scanner
était composé de près de 800 images, contre plus de 2000 en 2014. Cela signifie
que l’examen est plus long à transférer au sein de l’infrastructure informatique, et
plus longs à consulter pour les médecins. Quant aux deux ans d’antériorité des don-
nées, ils sont réduits à moins de 18 mois. “Au-delà des problématiques de perfor-
mances du PACS, l’outil n’était pas adapté au partage avec l’ICL. Chaque
établissement possédait le même système, mais sans communication entre les deux
ce qui produisait des doublons et générait une perte de temps importante,” précise
le Dr. Lefèvre.
CHU DE NANCY
Améliorer la prise en charge des patients en
accélérant l’accès à l’imagerie medicale