aofé»o-i-£iio+t-i) =°> ce qui implique >no _1=0+,_ 15 formule qui
contredit la minimalité de nO.n 0.On adonc n0=0, autrement dit la suite
E, est bien purement périodique. ?
On peut en déduire une démonstration du théorème de Kronecker.
Corollaire. Soit 0un entier algébrique non nul dont tous les conjugués
sont de module au plus 1, alors 9est une racine de Funité.
Soient 9X9 X=9, 02,...,0 2,..., 9d9 dles conjugués de 9etXd? ad-xXdx? ... ?a0
son polynôme minimal sur Z. Pour nentier 0posons n=9"+92
+... +93. Alors la suite (ÇJ vérifie
de plus les £? sont des entiers de l'intervalle [?d, +d~]. Enfin a0est
non nul, la proposition implique donc que (£J est purement périodique.
Soit tla période, onaÇ(=0;soit 9^ +... +9^ =d, et comme |9£ |<1
pour i= 1, ..., d, 8f=1. D
Le cas particulier de la proposition 1le plus intéressant est celui où
se =Fp(=Z/pZ), pétant (comme toujours !) un nombre premier. Considérons
donc une série s.r.l. £àvaleurs dans Fpet vérifiant
Soit L= Fpd la plus petite extension de Fpdans laquelle le polynôme
G=Xk? aak_1XXk~x?... ?a0 se décompose en facteurs linéaires. Alors
£est ultimement périodique (purement périodique si a00) et sa période
est un diviseur de p(pd?1), ce qu'on voit en utilisant les formules (3) et
(4) de A.1.2 [d'une part les p7p7-appartiennent àL* et vérifient donc
pjd-id -i _d'autre part les coefficients du binôme modulo padmettent p
comme période] ;en outre si Gn'a que des racines simples alors la période
divise pd?1. Le cas des suites récurrentes linéaires binaires est très simple.
L'entier dne peut alors prendre que les valeurs 1ou 2. Plus précisément,
si Çvérifie
posons À=al+ 4a0et supposons pimpair. Le symbole de Legendre
permet de caractériser les cas d=1ou 2: on a