1 Notre réalité physique 2 Potentiel du vecteur magnétique 3

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Notre réalité physique
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Potentiel du vecteur magnétique
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Prolongement au réel des réactions d’organisation d’énergie virtuelles
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La lumière et le photon
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L’émotion
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L’émotion et le cœur
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Le cœur
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Notre réalité physique
La matière se définit comme un ensemble vide d’où les particules se regroupent
grâce à de l’énergie dirigée. Celle-ci n’est que l’expression de la lumière
(MdeC.p.114). La matière se définit comme étant de la lumière solidifiée ou de
l’énergie ralentie. De par sa résonnance d’onde scalaire stationnaire, elle est
considérée comme une ride de la réalité physique (MdeC. p.270).
La science moderne a démontré à la fois le caractère à la fois électrique et
biochimique de notre organisme. Cependant, il est beaucoup plus que cela. Il est
aussi de nature électromagnétique. Or, l’électromagnétique est un phénomène
de nature inter dimensionnel (MdeC. p. 59).
David Bohm, un physicien bien connu, prétend que nous sommes reliés
« holographiquement » à tous les aspects de la matière, de la conscience et des
mondes visible et invisible. À son avis nous faisons partie d’un vaste mouvement
holomorphe et la séparation n’est qu’illusion d’un vécu dans la matière. De plus,
nous sommes liés fondamentalement les uns les autres (MdeC,xxvi).
Selon le postulat de Bohm, la nature ultime de la réalité physique ne consiste
pas à un assemblage d’objets distincts, mais plutôt en un grand tout indivisible
qui se trouve en un perpétuel flux dynamique. Dans ce mouvement, la pensée et
la matière ne sont pas dissociées. Ce sont plutôt les différents aspects d’un
mouvement total indivisible.
Bohm a aussi établi un lien entre les objets animés et inanimés. « La capacité
de la forme à être dynamique est l’élément le plus caractéristique de la pensée.
D’ailleurs, avec l’électron, nous avons quelque chose qui ressemble à la
pensée ». Par conséquent, de par la nature holographique de l’univers, la
matière n’existe pas indépendamment du prétendu espace vide (MdeC. P. 47).
Ci-après un exemple d’un potentiel de relation entre l’électron et la pensée. Deux
physiciens qui analysent un même élément dans le même microscope émettent
des considérations différentes sur l’oscillation de ces particules élémentaires
Pour l’un, elles vont dans un sens, pour l’autre dans un sens différent.
Le champ de l’âme conscientisée propre à chacun ferait la différence. Par sa
capacité d’interaction elle opère comme un champ magnétique. Créant une
masse inertielle à ces particules. Cette masse porteuse d’un champ
électromagnétique s’enligne selon les énergies psychique, subtile et spirituelle
qui émanent de l’âme conscientisée concrétisant la pensée.
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Potentiel du vecteur magnétique
William Teller relie les champs d’énergie subtile aux processus biologiques du
corps humain. Selon ce scientifique, le potentiel du vecteur magnétique
constituerait le pont entre le plan physique et les plans subtils. Vue sous cet
angle, la dynamique humaine en devient une ou nous découvrons que nous
pouvons grandement influer sur nos fonctions biologiques en manipulant les
structures subtiles. Les facteurs d’influence opèrent dans les deux sens (MdeC.fig
2-10 p. 32).
Prolongement au réel des réactions d’organisation d’énergie virtuelles
J’en ai trois à l’esprit.
Entre l’émotion ressentie et la déflagration imprévisible à la naissance de
l’Univers, il y a similarité. Avant le Big Bang tout est dans un équilibre thermique,
rien ne bouge. C’est de même pour l’émotion avant que ne se pointe
l’imprévisible, tout est en équilibre. Qu’il y ait surprise chez l’humain ou un fait qui
attire l’attention, une pensée surgit. L’humain subit une décharge du champ
électromagnétique qui fait varier ses vibrations. De même, le virtuel se voit
débalancé dans son équilibre thermique quand le tout se passe sous forme de
déflagration qui libère un potentiel d’énergie.
La dépendance aux drogues, à l’alcool et bien d’autres plus ou moins
significatives produisent à des degrés divers le même effet. Les pensées y sont
attirées. L’humain se fait un mur autour. Il devient seul. Il s’enfonce dans sa
dépendance, la nourrissant. Il se creuse un trou. L’énergie qu’il développe
demeure dans l’enceinte qu’il a créée. Elle le maintient dans ses filets et l’attire
toujours vers le bas.
Cette énergie qui le captive est à l’égal de l’énergie sombre avec sa gravitation
répulsive. L’humain rejette toute aide, iI est le seul à avoir raison. Son univers,
c’est le trou avec son énergie répulsive (qui repousse). C’est le même type
d’énergie sombre de l’avant Big Bang.
Le spin et la vie sont mouvement. Le spin est le moment cinétique (le
mouvement propre) d’une particule C’est son moment angulaire intrinsèque
associée à chaque particule. C’est une caractéristique de la nature de la
particule, au même titre que sa masse et sa charge électrique. Le spin est une
propriété quantique. Il joue un rôle important dans le magnétisme
Exemples : l’interaction spin-orbite de l’électron conduit à la structure fine du
spectre atomique de l’atome. L’hélicité du spin du photon est associé, à la
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polarisation de la lumière. L’hélicité est la projection de spin d’une particule sur
l’axe de sa quantité de mouvement. La polarisation est l‘orientation du plan de
vibration d’une onde par rapport au plan de propagation.
Le spin influence pratiquement tout le monde physique. Il est responsable du
moment magnétique de la particule associé au mouvement cinétique qui
engendre de l’énergie.
C’est le moment cinétique de la particule par son rôle de magnétisation associé à
l‘interaction de l’âme conscientisée qui contribue à l’intelligence organique,
prodiguant vie et énergie.
L’exercice du rééquilibrage énergétique par tournoiement dans le sens du soleil,
les bras en tant que vecteur du corps en parallèle au sol est un équivalent du
spin de la particule. En plus de ce rééquilibrage, cet exercice proposé aux
adeptes du « Kundalini yoga » contribue à augmenter la vitesse du mouvement
des particules. C’est une meilleure assise pour la vie.
Ce qu’il y a de particulier, c’est que cet exercice, associé à quatre autres, existe
depuis des lunes, bien avant l’arrivée des connaissances particulières du monde
quantique. L’humanité trouve-t-elle réponse en regard de sa faculté introspective
à la recherche d’un plus. Y décèle-t-on dans l’issue du vécu humain des valeurs
qui tiennent la route ?
La lumière et le photon
La lumière est une ride ondulatoire du champ électromagnétique. Elle relie la
matière aux dimensions supérieures. La lumière est à la fois une oscillation dans
le temps et en dehors de celui-ci. La lumière est en même temps onde et
particule du fait qu’elle évolue simultanément dans la dimension physique et la
dimension hyperspatiale.
Selon les physiciens, la lumière est une réflexion de la cinquième dimension
(champ électromagnétique) étant donné qu’elle provient d’une dimension
supérieure. La lumière est en rapport d’harmoniques avec les formes sonores et
géométriques. Elle sert de véhicules aux ondes neutriniques. La lumière blanche
est la somme de toutes les couleurs.
Les objets animés vivants communiquent entre eux par le biais de la lumière qui
devient leur véhicule bioénergétique. Le cerveau et le système nerveux
communiquent quant à eux par un système de transmission basé sur la lumière.
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Plus le champ électromagnétique qui alimente le système nerveux et le cerveau
est chargé, plus l’échange d’information est dynamique.
Prenons note que la lumière est le véhicule des configurations de la pensée vers
le champ électromagnétique. Sa capacité interactive entre les particules permet
un échange d’information visant à créer la forme ou l’in-form. La lumière est un
phénomène qui se situe en dehors de l’espace temps. Arthur Young la
considérait comme la conscience même.
Le photon, particule de lumière, est une sorte de pont entre les dimensions
supérieures et le champ de la pensée. Les cellules du corps humain
communiquent entre elles grâce à l’absorption et à l’émission de biophotons.
C’est à partir de l’ADN que le corps émet des biophotons. Il est à la fois
récepteur, transmetteur et centre d’entreposage d’énergie photonique.
Le photon est l’unité de lumière ou quantum d’énergie qui existe dans les sept
couleurs de base (fréquence) (voir note). Les photons de lumière, tout en étant
l’élément transporté, sont les véhicules du champ électromagnétique. Ils
déferlent en cascade pour amener de l’information aux électrons et en échanger
avec eux.
Le photon est le transporteur des configurations de l’entité-pensée. Des photons
semblables se rassemblent et créent collectivement une intensité qui brise le
seuil séparant les réalités observables et non observables Ajoutons à cela que
le photon est le messager communicant l’information aux particules du champ
électromagnétique. Ces interactions entre particules permettent un échange
d’information visant à créer la forme.(MdeC. p, 29-55-270).
Note – Motoyama a conclu que plus les chakras, vortex d’énergie, (porte
d’entrée des sept couleurs d’énergie) sont actifs et équilibrés, plus ils captent et
émettent des photons (MdeC p, 282 note 51).
L’onde neutrinique est constituée de neutrinos nus qui se comportent comme
une onde et non comme des particules. L’onde neutrinique chevauche l’onde
électromagnétique ou les photons lumineux à la vitesse de la lumière au carré.
L’onde neutrinique est une sous structure du photon de lumière. Elle évolue sur
un plan qui est perpendiculaire à la direction de déplacement de la lumière. Elle
est équivalente à une onde de spin qui tourne autour du photon. Par cette onde
neutrinique à valeur magnétique, elle transporte l’information issue de la
conscience (MdeC. P. 281)
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Le neutrino est une particule élémentaire électriquement neutre de masse
infime (zéro) et d’un spin d’une demie, capable de traverser toute matière. Leur
nombre dépasse les photons et les protons dans une proportion d’un million
pour un.
C’est le champ électromagnétique, véhicule de la lumière, qui organise dans la
structure et la forme la substance que nous appelons la matière. Sans le champ
électromagnétique, il n’y aurait aucune matérialisation ou manifestation d’objets.
Nous en viendrons un jour à comprendre que la lumière transporte des
configurations encodées par l’âme conscientisée.
L‘émotion
Avant toute émotion, il existe un équilibre thermique qui se définit comme suit :
lorsque deux corps de températures différentes entrent en contact, ils échangent
de l’énergie thermique de sorte que leurs températures respectives s’égalisent.
L'équilibre thermique représente la situation où la température au sein d'un
système est uniforme. Il s’agit de contrer un débordement par un apaisement
pour éviter l’agitation thermique et l’explosion.
Comme déjà mentionné, l’émotion est représentative du Big Bang issue d’un état
en équilibre thermique qui se replie sur lui-même pour contrer le tumulte profond.
Ce tumulte ou un fait latent hors du temps veut s’animer. Le couvercle ne suffit
plus à tout contenir. L’équilibre est rompu. L‘énergie prend son envol et le temps
aussi. Les deux naissent simultanément tout comme le Big Bang.
Le temps imaginaire s’inscrit en temps réel. La gravitation répulsive (le
couvercle) est renversée, cet ensemble s’amalgame et ce tout devient énergie
hors de contrôle. L‘homme a perdu les pédales. Il a pété les plombs.
L’émotion et le cœur
Le cœur est intimement lié aux fonctions cérébrales par le truchement des
systèmes sympathiques et parasympathique et des systèmes barorécepteur. Vu
que la communication se fait dans les deux sens, l’émotion du cœur peut soit
améliorer les fonctions cérébrales soit les amoindrir.
Le réseau du barocepteur achemine l’information sur l’état physiologique du
cœur vers le cerveau, et les circuits du cerveau sympathique et parasympathique
acheminent l’information du cerveau vers le cœur.
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L’expression des sentiments d’appréciation, de bienveillance et d’amour
inconditionnel, sentiments localisés dans le cœur, engendre des effets
bénéfiques mesurables sur le corps humain. Les émotions affectent au plus haut
point les diverses fonctions biologiques (ondes cérébrales, respirations et rythme
cardiaque) et font augmenter le spectre énergétique qui irradie le cœur (MdeC.
p.173).
Le barorécepteur en physiologie cardiaque, est un récepteur présent dans la
couche de tissu élastique des vaisseaux sanguins. Par mesure de l'étirement de
la paroi, Ils sont sensibles à la pression artérielle. Ils servent ainsi à réguler celleci par l'intermédiaire des voies orthosympathiques et parasympathiques
(barorécepteur wikipédia).
Le quatrième chakra ou vortex d’énergie, porte d’entrée de l’énergie verte,
appelé émotion, est localisée près du cœur.
Le cœur
Ajoutons à la relation émotion et cœur que l’activité émotionnelle a un impact sur
le rendement global du système. Les pensées et les émotions sont reflétées
dans le système électrique du cœur, organe qui est le plus fort générateur de
champ électromagnétique. Ce champ peut d’ailleurs se mesurer à plus d’un
mètre de distance du corps physique (MdeC. fig. 2-19).
L’émotion et le cœur est un champ organisé tout comme l’hologramme.
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