Après avoir appliqué cette stratégie, le client se rend compte que les
caméras ne sont plus allumées. Il décide de canaliser son attention sur
autre chose que sur les caméras des voisins : logique non ordinaire
Finalement, il avoue qu’il avait inventé ça et décider de ne plus y croire. Il
change de comportement, il demande pardon à l’entourage.
MISE EN GARDE ET AUTRES INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES
Les émotions se développent à partir de quatre sensations
fondamentales : la peur, la plaisir, la colère, la douleur. Ce qui produit
des réactions
La logique de la contradiction : je peux constater et dire au client que
lorsqu’il est confronté à une situation qu’il redoute, il tente de l’éviter.
Ce faisant, la personne se sent sauvée. Dans un premier temps, elle se
sent très bien, mais dans un second temps, cela l’amène à se sentir
incapable.
Pour réduire les effets secondaires, il faut utiliser les stratégies et
tactiques au début et à la fin pour favoriser l’autocorrection
Il ne faut pas utiliser une manipulation directe qui augmente la
résistance au changement.
Il faut utiliser des stratagèmes subtils : un langage persuasif, un
langage qui fascine et non pas un langage qui met sous pression, de
sorte que le patient arrive à changer comme si cela provenait d’un
processus de découverte personnelle et non comme si c’était le résultat
d’une pression exercée par la thérapie.
En utilisant une logique non ordinaire, la thérapie n’est plus directive
comme elle l’était dans les premières formes de thérapie stratégiques.
Lorsque, j’utilise une logique non ordinaire, je dois être capable
d’induire chez le patient une autotromperie fonctionnelle qui va se
substituer à l’autotromperie dysfonctionnelle antérieure.