Lycée Hoche – BCSPT1A – A. Guillerand
Structure de la matière – Chapitre 4 : Liaisons covalentes délocalisées – Mésomérie Page 1
Structure de la matière – Chapitre 4 : Liaisons covalentes délocalisées –
mésomérie
I. Notion quantiques de la liaison chimique – Notion d’électrons délocalisables
1. Notion d’orbitales moléculaires
2. Types de recouvrement entre OA
3. Électrons délocalisables et notion de mésomérie (formules résonnantes ou formules mésomères)
II. Écriture des formules résonnantes ou mésomères d’une molécule
1. Convention d’écriture et symbole de mouvement électronique
2. Mouvements de base des électrons délocalisables
3. Formules mésomères les plus représentatives d’un édifice polyatomique
III. La mésomérie, un outil pour l’analyse des propriétés physicochimiques
1. Analyse des propriétés géométriques réelles des édifices polyatomiques
2. Analyse de la stabilité des édifices polyatomiques ioniques
3. Analyse de la réactivité des édifices polyatomiques
Extrait du programme de seconde et de 1ère S
Molécules organiques colorées : structure moléculaires,
molécules à liaisons conjuguées.
Reconnaître si deux doubles liaisons sont en position
conjuguée dans une chaîne carbonée
Établir un lien entre la structure moléculaire et le caractère
coloré ou non coloré d’une molécule.
Extrait du programme de BCPST 1
Caractéristiques de la liaison covalente.
Mésomérie.
Conjugaison et conséquences structurales.
Aromaticité ; critère de Hückel.
Comparer les densités de probabilité de présence et les
énergies dans les liaisons sigma et pi.
Écrire les formules résonnantes d’une molécule.
Utiliser la mésomérie et la conjugaison pour interpréter la
géométrie et la réactivité.
Introduction
La notion de liaison covalente localisée n’est pas une bonne image de la réalité. Il n’est pas possible de localiser avec
précision un électron, même s’il est engagé dans une liaison. Cependant certains électrons des liaisons ont des
probabilités beaucoup plus fortes de se situer entre les atomes liés que d’autres. Certains électrons seront donc
considérés comme localisés et d’autres comme délocalisables. Cette délocalisation sera modélisée grâce à la notion de
mésomérie.