Décembre au théâtre Les élèves de la classe de seconde Artisanat et Métiers d’Arts, option marchandisage visuel, sont allés voir deux représentations théâtrales. ROSES Les élèves font un petit compte-rendu de leurs impressions : Du contre… On ne comprenait pas tout. J’ai trouvé ça étrange… Le texte apparaissait comme une musique de fond, car des actions avaient lieu en même temps et détournaient l’attention. On ne percevait pas les changements de rôles : plusieurs personnes jouaient Richard, par exemple, et l’on ne savait pas qui était qui. Le texte était appris par cœur, ça se voyait ! C’était récité et pas naturel. Les musiques étaient bien choisies, elles étaient en adéquation avec la pièce. Parfois un peu sinistre ! On pouvait s’endormir facilement, plusieurs élèves se sont endormis… heureusement que les camarades les ont – discrètement - réveillés ! Du pour… On ne comprenait pas tout. J’ai trouvé ça étrange… Une première scène très forte et c’était dynamique et surprenant de voir les comédiens surgir du public, on ne s’y attendait pas ! La scène des marionnettes était très drôle. C’était intéressant quand les comédiens dansaient, cela change des pièces traditionnelles. Et souvent un mélange des deux ! http://www.lequai-angers.eu/saison/spectacles/roses DANS LA RÉPUBLIQUE DU BONHEUR Un petit texte commentaire de la pièce est né suite à un échange avec les élèves : C’était courageux de se mettre nu sur scène. Pourquoi se sont-ils déshabillés et rhabillés sur scène ? Cela signifiait qu’ils étaient mis à nu par la société. Seul restait le corps. Au début une scène et un décor traditionnel et après tout disparaît pour un décor minimum, très contemporain. Le décor avec les néons était violent pour le regard. Le miroir en fond de scène : c’était bien. Cela symbolisait le reflet de soi-même, le fait de s’accepter. Cela ressemblait un peu à une comédie musicale : ils chantaient, ils dansaient,… ils chantaient bien ! Ce qui était dit était ensuite chanté, typique de la comédie musicale. Le jeu des acteurs était très bien, Bob et Azelle et les grands parents ont été les personnages les plus appréciés. Il y avait même des musiciens sur scène. On apercevait les comédiens dans les coulisses. Il y avait un jeu sur le son : parfois du playback, parfois un décalage, cela troublait la perception. Certaines scènes étaient longues, notamment la dernière. C’était plus compréhensible que Roses. La pièce était assez rude dans les rapports entre les gens. La pièce était « culotée » ! Les comédiens ont pris des risques devant le public. http://www.lequai-angers.eu/saison/dans-la-republique-du-bonheur