Statistiques : Vers une meilleure perception du Statistiques : Vers

du 10 avril 2010
Statistiques
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Statistiques : Vers une meilleure perception du
tissu
économique
tissu économique
Première opération statistique du genre en Algérie, le recensement économique
2011, qui débutera le 8 mai prochain, permettra de disposer de données
précises sur la nouvelle configuration du tissu économique national et pouvoir
ainsi accompagner son développement.
Première opération statistique du genre en Algérie, le recensement
économique 2011, qui débutera le 8 mai prochain, permettra de disposer de
données précises sur la nouvelle configuration du tissu économique national et
pouvoir ainsi accompagner son développement. Cette opération d'intérêt
national, qui nécessite l'adhésion des opérateurs économiques, durera trois
mois et touchera l'ensemble des secteurs économiques, à l'exception de
l'agriculture, dans le but de disposer de données précises afin d'accompagner
le développement économique du pays dans sa nouvelle configuration (public et
privé). Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, M. Daho Ould
Kablia, a insisté jeudi dernier lors des travaux du Comité national de
recensement économique, sur "la nécessité de mener une vaste action de
sensibilisation et d'information en direction des opérateurs économiques
concernés, en mettant à contribution aussi bien les associations
professionnelles que les moyens médiatiques pour assurer le succès de cette
opération d'intérêt national". A ce propos, le ministère prévoit une formation
dès le 19 avril en cours de 3.000 agents recenseurs et 700 contrôleurs, ainsi
qu'une campagne de sensibilisation et d'information "intense" à l'approche de
l'échéance prévue et durant toute la durée de l'opération.
Synthèse F. B.
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Le recensement économique débutera le 8 mai 2011 et s'étalera sur une
période de trois mois, a indiqué jeudi le ministère de l'Intérieur et des
Collectivités locales dans un communiqué, publié à l'issue de la 3e réunion du
Comité national de ce recensement. La formation des personnels d'enquête, soit
3.000 agents recenseurs et 700 contrôleurs est prévue quant à elle du 19 avril
au 4 mai 2011, selon cette source. Le ministère prévoit également une
campagne de sensibilisation et d'information "intense" à l'approche de
l'échéance prévue et durant toute la durée de l'opération. Le Comité national du
recensement économique s'est tenu sous l'égide du ministre de l'Intérieur et
des collectivités locales, M. Dahou Ould Kablia, président du Comité, en
présence du Secrétaire d'Etat auprès du Ministre de la Prospective et des
Statistiques chargé des statistiques, M. Ali Boukrami, et des secrétaires
généraux des départements ministériels membres de ce comité, selon la même
source.
Il sera entamé le 8 mai prochain
Le recensement permettra une meilleure perception du tissu
économique
Première opération statistique du genre en Algérie, le
recensement économique 2011, qui débutera le 8 mai prochain,
permettra de disposer de données précises sur la nouvelle
configuration du tissu économique national et pouvoir ainsi
accompagner son développement. Le recensement économique, qui est prévu
en 2011, est une opération qui consiste à enquêter, au sens statistique, sur
l'ensemble des entités économiques, toutes activités et tous secteurs juridiques
confondus hors agriculture. Cette opération a pour objectif la constitution d'un
répertoire exhaustif, fiable et actualisé des personnes morales et physiques
ainsi que des entités administratives et associatives, qui permettra de disposer
d'une base de sondage pour l'ensemble des enquêtes auprès des entreprises
ainsi que le suivi et la maîtrise des paramètres et indicateurs des différents
secteurs d'activité hors agriculture. Elle permettra aussi la révision des
pondérations pour les différents indicateurs de mesure de l'activité économique
ainsi que l'élaboration des comptes sectoriels pour la comptabilité
nationale.C'est une opération qui va toucher l'ensemble du territoire national et
par conséquent elle permettra de disposer de données statistiques à un niveau
très fin. Cette opération d'intérêt national, qui nécessite l'adhésion des
opérateurs économiques, durera trois mois et touche l'ensemble des secteurs
économiques, à l'exception de l'agriculture, dans le but de disposer de données
précises afin d'accompagner le développement économique du pays dans sa
nouvelle configuration (public et privé). Le ministre de l'Intérieur et des
Collectivités locales, Daho Ould Kablia, a insisté jeudi dernier, lors des travaux
du Comité national de recensement économique, sur "la nécessité de mener
une vaste action de sensibilisation et d'information en direction des opérateurs
économiques concernés, en mettant à contribution aussi bien les associations
professionnelles que les moyens médiatiques pour assurer le succès de cette
opération d'intérêt national". A ce propos, le ministère prévoit une formation,
dès le 19 avril en cours, de 3000 agents recenseurs et 700 contrôleurs, ainsi
qu'une campagne de sensibilisation et d'information "intense" à l'approche de
l'échéance prévue et durant toute la durée de l'opération. L'Office national des
statistiques (ONS) qui encadre cette opération est doté d'un comité technique
opérationnel pour le recensement, à pied d'œuvre depuis 2009. Le secrétaire
d'Etat auprès du ministre de la Prospective et de la statistique, chargé de la
statistique, Boukrami Ali, a insisté lors des séminaires organisés dans les
différentes wilayas sur la nécessité de "la mise en place d'un système national
efficace de statistiques économiques, accordant une grande importance à la
communication et l'écoute des opérateurs économiques". Le succès de cette
opération, qui coûtera 1,137 milliard de dinars dont 90% seront consacrés aux
salaires, aux primes et à la formation, "dépendra de l'ampleur de la
sensibilisation et des efforts devant être consentis dans ce domaine pour lequel
nous n'avons encore aucune expérience", a-t-il relevé. L'opération est
"déterminante" car elle constitue un atout important de développement de la
production de statistiques en adéquation avec les besoins de l'économie
nationale, essentiellement avec la nouvelle configuration du tissu économique
national. Le recensement se déroulera, rappelons le, en deux phases distinctes.
La première consiste à dénombrer l'ensemble des entités de toutes les activités
et tous les secteurs juridiques confondus (hors agriculture) en vue de mettre en
place un fichier général des entreprises et établissements économiques. La
deuxième phase porte sur une enquête approfondie qui devrait toucher un
échantillon d'entreprises sur la base d'un questionnaire (propre à chaque
secteur d'activité) pour la collecte de l'ensemble des données physiques et
comptables. Ainsi, après la promulgation du décret d'avril 2010 fixant les
conditions générales de préparation et d'exécution de ce recensement et
donnant le coup d'envoi officiel de sa préparation, le Comité national en charge
de son exécution a été installé à la mi-juin 2010. Ce comité, présidé par le
ministre de l'Intérieur et des collectivités locales et composé de représentants
de ministères, travaille en étroite collaboration avec les comités de wilayas, de
daïras et de communes. I. B.
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,Première opération statistique du genre en Algérie, le recensement
économique 2011, qui débutera le 8 mai prochain, permettra de disposer de
données précises sur la nouvelle configuration du tissu économique national et
pouvoir ainsi accompagner son développement. Cette opération d’intérêt
national, qui nécessite l’adhésion des opérateurs économiques, durera trois
mois et touche l’ensemble des secteurs économiques, à l’exception de
l’agriculture, dans le but de disposer de données précises afin d’accompagner le
développement économique du pays dans sa nouvelle configuration (public et
privé). Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Dahou Ould Kablia,
a insisté jeudi dernier, lors des travaux du Comité national de recensement
économique, sur «la nécessité de mener une vaste action de sensibilisation et
d’information en direction des opérateurs économiques concernés, en mettant à
contribution aussi bien les associations professionnelles que les moyens
médiatiques pour assurer le succès de cette opération d’intérêt national ». A ce
propos, le ministère prévoit une formation dès le 19 avril de 3 000 agents
recenseurs et 700 contrôleurs, ainsi qu’une campagne de sensibilisation et
d’information «intense» à l’approche de l’échéance prévue et durant toute la
durée de l’opération. Les responsables de services statistiques de wilaya avaient
bénéficié d’une formation en août dernier afin de se familiariser avec les
différents aspects liés à cette opération d’envergure nationale. L’Office national
des statistiques (ONS) qui encadre cette opération est doté d’un comité
technique opérationnel pour le recensement, à pied d’œuvre depuis 2009. Le
secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Prospective et des statistiques, chargé
de la statistique, M. Boukrami Ali, a insisté, lors des séminaires organisés dans
les différentes wilayas, sur la nécessité de «la mise en place d’un système
national efficace de statistiques économiques, accordant une grande importance
à la communication et l’écoute des opérateurs économiques». «Le recensement
est, avant tout, une affaire de communication, pour laquelle l’Etat a consacré
des sommes colossales», a souligné M. Boukrami en marge d’un séminaire
organisé dernièrement à Blida sous le signe «un système de statistiques au
service d’une politique économique efficace». Le succès de cette opération, qui
coûtera 1,137 milliard de dinars dont 90% seront consacrés aux salaires, aux
primes et à la formation, «dépendra de l’ampleur de la sensibilisation et des
efforts devant être consentis dans ce domaine pour lequel nous n’avons encore
aucune expérience», a-t-il relevé. L’opération est «déterminante» car elle
constitue un atout important de développement de la production de statistiques
en adéquation avec les besoins de l’économie nationale, essentiellement avec la
nouvelle configuration du tissu économique national. «La nouvelle configuration
de notre tissu économique national n’est pas bien observée par notre appareil
statistique », avait déclaré à l’APS le directeur général de l’Office, Mounir
Khaled Berrah, d’où «la nécessité de la réalisation d’un recensement
économique, car il constitue un atout essentiel de développement de la
production statistique en adéquation avec les besoins de l’économie ». Cette
opération a pour objectif notamment la constitution d’un répertoire exhaustif,
fiable et actualisé des personnes morales et physiques ainsi que des entités
administratives et associatives, qui permettra de disposer d’une base de
sondage pour l’ensemble des enquêtes auprès des entreprises et le suivi et la
maîtrise des paramètres et indicateurs des différents secteurs d’activité. Elle se
déroulera en deux phases distinctes. La première consiste à dénombrer
l’ensemble des entités de toutes les activités et tous les secteurs juridiques
confondus (hors agriculture) en vue de mettre en place un fichier général des
entreprises et établissements économiques. La deuxième porte sur une enquête
approfondie qui devrait toucher un échantillon d’entreprises sur la base d’un
questionnaire (propre à chaque secteur d’activité) pour la collecte de l’ensemble
des données physiques et comptables. Le Comité national en charge de
l’exécution du recensement, présidé par le ministre de l’Intérieur et des
collectivités locales et composé des représentants de ministères, a été installé à
la mi-juin 2010.
R. E.
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Par Samira Imadalou
Pour la première fois depuis l’indépendance, l’Algérie lancera, le 8 mai prochain,
le recensement économique. D’un coût de 1,137 milliard de dinars et d’une
durée de trois mois, cette opération de grande envergure permettra de
constituer une base de données précise et exhaustive (personnes morales et
physiques ainsi que des entités administratives et associatives) sur la nouvelle
configuration du tissu économique national. Et ce, de manière à aider la prise
de décision. Elle touchera l’ensemble des secteurs économiques, à l’exception
de l’agriculture, en deux étapes.La première consiste à dénombrer l’ensemble
des entités de toutes les activités et tous les secteurs juridiques confondus en
vue de mettre en place un fichier général des entreprises et établissements
économiques. La deuxième phase porte sur une enquête approfondie qui
devrait toucher un échantillon d’entreprises sur la base d’un questionnaire
(propre à chaque secteur d’activité) pour la collecte de l’ensemble des données
physiques et comptables.Cette opération statistique a été précédée, pour
rappel, de regroupements régionaux de sensibilisation. Le secrétaire d’Etat
auprès du ministre de la Prospective et de la Statistique, chargé de la
statistique, M. Boukrami Ali, a, durant ces rencontres, insisté sur l’importance
d’une telle opération. De même qu’il a relevé la nécessité de «la mise en place
d’un système national efficace de statistiques économiques». Cependant, pour
assurer la réussite d’une telle action, la communication et l’interconnexion entre
les différents acteurs du comité installé à cet effet en juin 2010 sont à
prioriser. Aussi, pour permettre aux agents chargés de mener cette opération,
les opérateurs économiques privés et publics sont appelés à travailler
étroitement avec ces agents en leur divulguant l’information recherchée.
Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, M. Daho Ould Kablia, a
d’ailleurs insisté sur ce point, le 7 avril dernier, lors des travaux du Comité
national de recensement économique. Le succès de cette opération «dépendra
de l’ampleur de la sensibilisation et des efforts devant être consentis dans ce
domaine pour lequel nous n’avons encore aucune expérience», a-t-il relevé. En
prévision de ce recensement, le ministère prévoit une formation, dès le 19 avril
en cours, de 3 000 agents recenseurs et de 700 contrôleurs, ainsi qu’une
campagne de sensibilisation et d’information «intense» à l’approche de
l’échéance prévue et durant toute la durée de l’opération. De son côté, l’Office
national des statistiques (ONS) qui encadre cette opération est doté d’un comité
technique opérationnel pour le recensement, à pied d’œuvre depuis 2009. Pour
l’Office, «le recensement constitue un atout essentiel de développement de la
production statistique en adéquation avec les besoins de l’économie».
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